Arrogance ? Stupidité ? Irréalisme ? Le nabot de Kiev joue les matamores pour ne pas désespérer ses troupes. On peut le comprendre. Mais que la coalition qui le soutient débloque à ce point… On doit se poser des questions sur la santé mentale des dirigeants de l’Occident.
Télé-réalité en Suisse pour exiger la capitulation de la Russie
La paix se discute entre belligérants. Et le vainqueur impose ses conditions. En parloter dans un talk show planétaire est vain et ridicule. D’ailleurs, la moitié des chefs d’État convoqués par l’histrion de Kiev ne sont pas venus, ou ont envoyé des sous-fifres.
La paix se discute après un cessez-le-feu. Elle ne se décrète pas comme une directive de l’UE. « Geler le conflit n’est pas une solution » glapit Pustula la Hyène. Vladimir doit filer doux devant cette mégère !
Pour le paltoquet « il y a des agresseurs et des victimes ». C’est exact. Les néo-nazis ont persécuté pendant huit ans les russophones du Donbass tuant 15.000 civils… Mais l’amour rend aveugle.
Seul le président kenyan William Ruto parle juste. « Un engagement en faveur de la paix rend inévitables certaines concessions de part et d’autre ». Un propos que n’entend pas le Zigue. Il exige toujours une capitulation sans condition de la Russie victorieuse. Le sénile de White House vient de lui refiler 1,5 milliard de dollars supplémentaires. Alors pas question d’arrêter la baston.
Zelensky est venu gronder les Européens qui ont mal voté
Le culot de ce psychopathe, clone de Macronescu, est sans limites. Tandis qu’il interdit à ses compatriotes de se déplacer et les envoie à la boucherie, lui se balade, se pavane et vient se remplir les poches… Reçu dans les parlements, invité par les gouvernements, ce clown imprécateur distribue félicitations et blâmes.
À Berlin, très contrarié par les résultats des élections de dimanche dernier, il a fustigé les Allemands qui ont déclassé Olaf en troisième position. Le parti du chancelier malchanceux faisant un moins bon score que les souverainistes de l’AFD.
Une centaine de députés allemands ont ostensiblement quitté leur siège lorsque le Zygomyr est venu les gourmander. Deux partis, un de droite et un de gauche, ont assumé leur décision : « Nous refusons d’écouter un orateur en tenue de camouflage (…) L’Ukraine n’a pas besoin d’un chef de guerre mais d’un président de paix ».
Le mendigot a quand même obtenu tout ce qu’il réclamait
Venu quémander des milliards supplémentaires, l’histrion malappris a reproché aux Allemands d’avoir voté pour des formations diffusant des slogans pro-russes. À force de se croire partout chez lui, il va finir par rappliquer avec ses sbires du SBU pour zigouiller ceux qu’il insupporte.
« Être neutre avec les Russes serait dangereux pour votre pays » a éructé le nabot, reconnaissant implicitement que les menaces de l’OTAN sont pires que celles du Kremlin. Avant de relancer ses imprécations contre la Russie qui, selon ses dires, va envahir l’Europe dans les jours qui viennent.
Pour le récompenser de sa vigilance, Olaf lui a remis d’autres cadeaux : cent missiles « Patriot » de plus, ainsi que des fusils pour tireurs d’élite, des armes anti-chars et des drones. Et il a exhorté les alliés de l’OTAN à donner davantage à Sa Majesté le Zyg Premier.
Après quoi, le Zyg, Olaf le caniche de Pustula et le ministre de la Défense sont allés inspecter le camp d’entraînement de l’OTAN à Sanitz, dans le Nord de l’Allemagne. Où l’on enseigne aux biffins ukrainiens l’art de tuer des Russes. Mais ne cherchez plus ce site sur une carte… Il figure parmi les cibles prioritaires désignées par Vladimir, lors d’un conseil stratégique, en prévision du moment où ça va barder pour de bon.
L’Ukraine est un pays aux mains d’assassins psychopathes
Des hauts fonctionnaires, des généraux, des ministres se vantent de faire liquider leurs opposants. Après le coup d’État de Maïdan, fomenté par la CIA, les assassinats politiques sont devenus une forme courante de gouvernance… Mais Pustula la Hyène soutient que ce pays présente toutes les garanties de démocratie pour rejoindre l’Eurocrature !
Les néonazis de Kiev n’ont jamais pardonné aux gens du Donbass d’avoir combattu les hitlériens… Pour justifier une intervention des milices des oligarques qui guignaient cet oblast, alors la région la plus riche d’Ukraine, il fallait pousser ses habitants à bout.
D’abord interdiction mesquine d’utiliser leur langue dans l’enseignement et les documents officiels alors que 90 % étaient bilingues, partageant les mêmes racines slaves. Vinrent ensuite les exactions menées par des voyous paradant sous des croix gammées. Vols, viols, rackets, pillages, tortures, assassinats, incendies, encouragés par les autorités.
En 2020, le minus Zelensky prétendait vouloir la paix. Il lui aurait suffi d’appliquer les protocoles de Minsk. Mais c’est la Russie qui est venue sauver les russophones. Juste à temps. Quand toutes les forces de Kiev se regroupaient pour une « solution finale ».
Malgré 15 000 morts, deux fois plus d’éclopés et quatre fois plus de déplacés, les russophones ont tenu bon. Face aux exactions des néo-nazis de Kiev et de Kharkov, recrutés dans la pègre locale et parmi des militaires en rupture de ban, ils se sont sentis de moins en moins ukrainiens. Et les idées de séparatisme ont fait leur chemin.
Entre 2014 et 2022, des chefs charismatiques émergent au Donbass. Ils sont protégés par leurs partisans. Et indirectement par des médias occidentaux qui s’intéressent à eux. Et s’emploient à les faire connaître.
Viktor Iouchtchenko, le prédécesseur de Zelensky, s’emploie à les faire disparaître. Les uns après les autres. Traquenards. Traîtrises. Attentats. Faux suicides… Après lui, le Zygomyr a continué dans la voie du crime.
La liste des victimes est longue. Parmi les plus connues :
Alexandre Zakhartchenko, élu en 2015 chef de la région de Donetsk avec 78 % des voix. Négociateur de Minsk II. Une bombe dans un café l’élimine en août 2018. Kiev affirme que c’est un règlement de comptes.
Kirill Stremousov, originaire du Donetsk vivant à Kherson, il a soutenu le président légitime Ianoukovytch. Le 26 avril 2022, Stremousov est élu gouverneur de Kherson. Le 11 mai, il demande au président Poutine le rattachement de l’oblast à la fédération de Russie… Le Zygomyr offre alors une récompense de 500.000 hryvnias (11.500 euros) pour l’assassinat de Stremousov. Il décédera dans un accident de la route entre Kherson et la Crimée. Sa voiture a été sabotée.
Mykhaylo Filiponenko, député de Lougansk, a été assassiné en novembre 2023. Une bombe dans sa voiture. « Il s’agissait de notre opération », a clamé fièrement Andriy Cherniak, responsable du GUR, le renseignement militaire ukrainien.
Oleg Popov, député de Lougansk, mort en décembre 2023 dans l’explosion de sa voiture. Le Kremlin a accusé les services spéciaux ukrainiens. Personne n’a démenti. D’habitude, ils se vantent de leurs assassinats décidés en comité restreint, présidé par le Zygomyr.
Les Ukrainiens accusent les Russes de tuer leurs prisonniers mais récusent toute analyse de leurs vidéos de mauvaise qualité. Par contre, ils assassinent des civils travaillant avec les Russes, et s’en vantent. Sans que les crapules de l’ONU, de l’UE et de la CPI s’en émeuvent.
Ils vont même faire assassiner leurs victimes en Russie
Ces courageux sicaires s’y risquent rarement eux mêmes. Ils sous-traitent les crimes à des mahométans du Caucase ou d’Asie centrale, en conflit interminable avec Moscou, qui cultivent des griefs séculaires et ont toujours quelque vendetta à assouvir.
Parmi les victimes connues, Oleg Tsariov, député ukrainien devenu pro-russe après Maïdan, grièvement blessé lors d’une fusillade à Yalta fin 2023. Mais aussi le député Illia Kyva, assassiné fin 2023 dans un hôtel près de Moscou. Attentat revendiqué par Andri Ioussov, directeur des opérations spéciales au ministère de la Défense de Kiev.
Sans oublier la journaliste Daria Douguina assassinée en août 2022 dans l’explosion de sa voiture. Le quotidien américain « Washington Post » a révélé en octobre que les services de sécurité ukrainiens avaient perpétré une série d’assassinats ciblés en Russie, dont celui de Douguina. Les sbires qui menaient ces opérations étaient entraînés, équipés et conseillés depuis des années par la CIA.
On attend qu’un reporter courageux révèle les liens entre le gouvernement de Kiev et les terroristes du Crocus à Moscou qui ont assassiné le 22 mars 120 personnes et en ont blessé 150. Des tueurs à gages islamistes attendus à la frontière par un comité d’exfiltration qui devait les accueillir en fanfare, et leur faire un triomphe en Ukraine.
Christian Navis