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14 avril 2025 1 14 /04 /avril /2025 08:12
N’en déplaise à NewsGuard, le vaccin contre le Covid 19 est une injection génique

Le média NewsGuard évalue la fiabilité et la transparence des sites d’information sur la base de neuf critères journalistiques. Natalie Huet prétend que Riposte Laïque « publie régulièrement des informations fausses ». Ainsi, dans l’article d’Avril 2024 « Vers une santé mondiale totalitaire ».

NewsGuard_Riposte Laïque 2024

Cet article « affirme que le vaccin contre le Covid 19 est une injection génique ». Or, « les vaccins ARNm ne pénètrent pas dans le noyau de la cellule où se trouve notre ADN, et ne peuvent donc pas modifier ou influencer nos gènes comme le ferait une injection génique ».

Avant le 1er Septembre 2021, un vaccin était défini comme « un produit qui stimule le système immunitaire d’une personne de sorte à produire une immunité contre une maladie en protégeant la personne de cette maladie ». La vaccination était définie comme « l’acte d’introduire un vaccin à l’intérieur du corps pour produire une immunité à une maladie particulière ».
Après le 1er Septembre 2021, selon la FDA, le vaccin devient « une préparation utilisée pour stimuler la réponse immunitaire du corps contre une maladie ». La vaccination devient « l’acte d’introduire un vaccin dans le corps pour produire une protection contre une maladie ».
Désormais, « les vaccins n’ont pas à prévenir l’infection ou la transmission ».
Alexis Haupt, philosophe français, illustre par un syllogisme cette évolution :
« Tout vaccin est censé offrir une protection.
Or, le produit appelé vaccin ne protège pas.
Donc, il ne s’agit pas d’un vaccin ».

En ce qui concerne l’injection génique, il s’agit d’une substance hybride. Le 25 Janvier 2021, Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique, qualifie ces produits de « vaccins-médicaments ». Il ajoute : « Je ne devrais pas dire ça, et pourtant, c’est la réalité ».
Stephan Oelrich, président de la firme pharmaceutique allemande Bayer déclare lors du Sommet mondial de la santé en Octobre 2021 : « En fin de compte, les vaccins ARNm sont un exemple de thérapie cellulaire et génique. Si nous avions interrogé le public il y a deux ans en lui demandant s’il serait prêt à recevoir une thérapie génique ou cellulaire et à l’injecter dans son corps, nous aurions probablement obtenu un taux de refus de 95 % ».
Thomas Renz, avocat américain, révèle : Dans leurs propres documents, Pfizer et Moderna ont admis qu’il s’agissait d’injections de thérapie génique, et donc d’une nouvelle catégorie de substances thérapeutiques sur lesquelles on dispose déjà d’une longue liste de réactions indésirables et aucune donnée à long terme puisqu’elles sont encore en phase expérimentale. Dans l’essai Pfizer, il y a eu neuf pages de réactions médicales adverses et d’accidents post-vaccinaux incluant la mort.

Martin Zizi, professeur de médecine et bio physicien, excellent connaisseur de la technologie ARNm, confirme que l’Agence européenne du médicament a toujours écrit qu’il n’y avait aucune donnée d’efficacité pour le critère d’évaluation « transmission », les injections géniques ne sont pas et n’ont jamais été des vaccins.
Pour lui, il ne s’agit pas d’un vaccin, mais « d’une plate-forme d’expression de protéines hétérologues », (soit étrangères à la nature humaine), faisant exprimer des protéines virales (ici la protéine Spike du Coronavirus) dans des cellules humaines à des fins d’immunisation. Il y a bien une posologie d’ARN, mais pas de ce qu’elle déclenche comme libération de protéine Spike dans l’organisme. La dose d’ARNm injectée est connue, mais c’est la production de protéine Spike dans le corps qui compte et on ne sait pas en contrôler la quantité. La dose de protéine Spike n’est pas connue. Il y a violation des principes de précaution et de sécurité.

Martin Zizi confirme : « Cette technologie n’est pas au point, comme l’ont montré toutes les expériences avec ce produit jusqu’en 2019. Et c’est vraiment grave car il ne s’agit pas d’un vaccin, il ne s’agit pas d’un médicament. ça ne répond pas à la base de ce qu’est la pharmacologie humaine ».
Alexandra Henrion-Caude, ancienne généticienne à l’INSERM, affirme que les vaccins à ARN contre le Covid-19 seraient dangereux pour notre ADN, allant à l’encontre des connaissances scientifiques sur le sujet : « Cette injection, non reconnue comme étrangère, va rentrer son code génétique chez nous, donc va nous modifier génétiquement ».
Les vaccins à ARNm contre le Covid-19 « peuvent s’intégrer au génome » des patients.
« Le vaccin ARNm anti-coronavirus est une injection d’information génétique dans le corps, qui modifie nos cellules en leur imposant l’instruction de produire une protéine toxique qui lui est étrangère, la protéine Spike, et ce, dans l’attente que le corps produise des anticorps ».
« On a pu entendre : rassurez-vous, l’ARNm se dégrade tout de suite. Non ! On sait que deux mois après, il est toujours là. Ou Rassurez-vous, il ne circule pas dans le corps, alors qu’on l’a vu dans le cerveau ou dans les ovaires. Mais le plus inconfortable finalement, dans cette crise, c’est la facilité avec laquelle on a collé des étiquettes sur untel ou unetelle, comme celles de complotiste ou d’antivax, ce qui n’a pas permis au débat scientifique de se tenir ».

On nous a raconté que le virus était apparu sur un marché de la ville de Wuhan, issu des amours naturelles de la chauve-souris et du pangolin. Des connaisseurs ont relevé que ce virus avait toutes les caractéristiques d’un virus synthétique produit en laboratoire par l’insertion dans le génome d’un coronavirus naturel de séquences particulières, caractéristiques des processus appelés gains de fonction.
Luc Montagnier, professeur, prix Nobel de médecine, s’exprima le 17 Avril 2020 à ce sujet :
« Il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté des séquences du VIH et de la malaria ».

Luc Montagnier révèle que le SRAS-CoV-2 était issu de manipulations de gains de fonction, c’est-à-dire l’insertion par ingénierie génétique de séquences amplifiant les caractéristiques d’un agent infectieux. En augmentant sa contagiosité, sa virulence, ou sa létalité. En le dotant de nouvelles propriétés, comme le potentiel de franchir la barrière d’espèces entre les populations animales et l’espèce humaine. En lui donnant la possibilité d’être employé comme vecteur d’antigènes immunisants aux fins de produire un vaccin.
À la fin de Janvier 2022, des virologistes communiquent par voie d’emails avec le docteur Anthony Fauci. Ils l’informent que le SRAS-CoV-2 présente bien toutes les caractéristiques d’un virus artificiel et que l’hypothèse d’une origine naturelle n’est pas crédible.
Des commentateurs qualifient le professeur Montagnier de sénile. Une campagne de presse se déchaîne contre lui.
Le SRAS-CoV-2 est en réalité une pure production de la recherche bio militaire, une arme de guerre biologique. Les développements actuels de la bio-ingénierie génétique permettent de travailler sur des agents infectieux en cherchant à cibler certains types de population. Les recherches se sont déroulées depuis 60 ans dans des laboratoires bio-militaires, comme celui de Fort Derrick, en Caroline du Nord, et au sein du laboratoire P4 de Wuhan en Chine.

Virginie Joron, députée européenne, confirme : « Le Covid-19 a bien été fabriqué en Chine, mais financé par les Etats-Unis ».
Des documents déclassifiés du programme de recherche de la DARPA, organisation de recherche et développement du département de la Défense américain, valide cette affirmation. Le virus a été créé au sein du labo de Wuhan sous la supervision d’EcoHealth Alliance et du Dr Fauci.

Des laboratoires bio militaires actifs existent dans de nombreux pays, travaillent à la fabrication d’agents pathogènes. Le laboratoire de Wuhan est le fruit d’une collaboration internationale incluant la France. BioMérieux avait la charge du chantier de construction du laboratoire P4, inauguré en présence d’Yves Lévy, mari d’Agnès Buzyn. Le professeur Jean-Baptiste Fourtillan a incriminé l’institut Pasteur dans la création du SRAS-CoV-2, avant d’être interné en psychiatrie dans des conditions douteuses.

La collaboration entre le département de la Défense américain et des firmes comme Moderna et Pfizer sur les virus synthétiques et les « vaccins » à ARNm remonte au début des années 2010.
Pfizer et Moderna ont été choisis en 2020 par l’administration américaine pour apposer leur label sur des vaccins développés par le Pentagone. On en a la certitude aujourd’hui, car ce fut l’argument utilisé par Pfizer lors de son procès contre l’auditrice Brook Jackson qui avait porté plainte au sujet de fraudes dans les essais cliniques.
En Australie, le Dr Malhotra déclare que l’histoire du vaccin à ARNm contre le Covid est probablement « la plus grande tromperie médicale à laquelle nous assisterons de notre vivant ».

Tout un système de patentes, de licences et de brevets lient l’appareil d’Etat américain aux prestataires privés sélectionnés pour la commercialisation de médicaments et de « vaccins ». Le CDC et la FDA sont fortement intéressés à la commercialisation de ces produits et leurs responsables encaissent des commissions substantielles. Ce modèle d’affaires ressemble à une extorsion crapuleuse de fonds publics.
Selon Adam Andrzejewski, fondateur et directeur du groupe de surveillance Open The Books, le NIH distribue chaque année 32 milliards de fonds publics sous forme de subvention de recherche à environ 56 000 entités différentes. Les scientifiques en lice pour obtenir une part de ce gâteau doivent respecter les règles, effectuer des travaux qui soutiennent le discours de l’establissement sur la politique de santé publique.
Jusqu’à ce jour de Novembre 2023, les sociétés pharmaceutiques Moderna et Pfizer ont gagné plus de 100 milliards de dollars avec leurs vaccins Covid. C’est 20 fois plus que le budget de l’OMS pour les deux années 2020 et 2021. Produire une dose de vaccin ARNm coûte entre 1 et 3 dollars. Les deux sociétés ont annoncé qu’elles voulaient demander 110 dollars par prise en 2023.
Dans le British Médical Journal, Victor Roy, éditorialiste, détermine combien d’argent le secteur public aux Etats-Unis a investi dans le développement de vaccins à ARNm : au moins 31,912 milliards de dollars.
En réalité, les contribuables ont payé pour la mise au point de vaccins géniques. Et les sociétés pharmaceutiques sélectionnées encaissaient des profits faramineux. Soit un cadeau de départ de 32 milliards de dollars d’argent public pour la commercialisation et la production des « vaccins », avec des bénéfices records.
Le SRAS-CoV-2 et les injections géniques à ARNm appartiennent en grande partie aux agences de santé supervisées par le Dr Anthony Fauci et aux agences du département de la Défense.

Le Dr Anthony Fauci a été confronté publiquement aux financements qu’il a accordés aux expériences de gains de fonction, et à l’origine artificielle du SARS-CoV-2. Il a nié l’entier des allégations aujourd’hui démontrées. Il a réuni 27 virologistes de réputation mondiale. Il les a convaincus de signer une tribune publiée dans Le Lancet. Cette tribune infirme la théorie de la fuite du Covid du laboratoire de Wuhan et affirme que cette hypothèse est de nature conspirationniste.
Or, 26 des 27 signataires avaient des liens directs ou indirects avec le laboratoire de Wuhan. Nombre d’entre eux ont reçu des financements généreux après la publication de cette tribune.

Anthony Fauci et un groupe de virologistes véreux ont ourdi une conspiration pour induire en erreur l’opinion publique, avec la complicité de revues médicales comme Nature ou Le Lancet… et la complicité du média NewGuard et de Madame Natalie Huet.
Li-Meng Yang, virologiste chinoise qui a obtenu l’asile politique aux Etats-Unis, témoigne avoir travaillé dans un laboratoire BSL-3 sur le SRAS-CoV-2. Elle déclare le 27 février 2023 :
« Il est impossible de causer une pandémie de cette ampleur à partir d’une fuite de laboratoire accidentelle. Nous devons enquêter pour savoir pourquoi le coronavirus a été lâché intentionnellement par le Parti communiste chinois à Wuhan ».

Le Dr Redfield, ancien directeur du CDC, a témoigné de comment il a été exclu du petit groupe de travail au début de la crise Covid. Il a admis que Fauci a créé le virus dans le laboratoire de Wuhan avec l’argent des contribuables américains.
John Ratcliffe, ancien directeur des renseignements nationaux, a reconnu que Fauci avait créé ou fait créer ce virus en laboratoire.

Madame Natalie Huet, le virus a été fabriqué en laboratoire et lâché intentionnellement.
Le « vaccin » Covid est une injection génique qui peut modifier la génétique humaine.
Tous les savants, médecins, et journalistes honnêtes, sans conflits d’intérêts, le disent et le prouvent.
Les savants, médecins, et journalistes malhonnêtes, ayant des conflits d’intérêts, soutiennent le mensonge et sont payés grassement pour cela.

Avec l’aide de Jean-Dominique Michel, anthropologue, expert en santé publique.

Jean Saunier

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