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18 janvier 2025 6 18 /01 /janvier /2025 05:06
Covid-19, un virus fabriqué pour rendre les gens idiots et stériles

L’histoire est terrifiante. Elle ressemble à une dystopie de série B. Les Chinois cherchaient un moyen d’encadrer leur peuple à l’aide d’une arme biologique, plus efficace que les cyber contrôles qu’on peut toujours contourner… L’opération fut menée de main de maître à Wuhan, avec le concours de partenaires stratégiques, tels que l’Institut Pasteur et la Fondation Mérieux. Dans le cadre d’accords approuvés par le gouvernement français. Une casserole de plus pour Macronescu !

L’hypothèse d’un virus sorti d’un labo chinois est évoquée par le magazine « Science », revue à comité de lecture exigeant, référence mondiale de l’actualité scientifique, et validée par le Nobel de médecine feu Luc Montagnier. Aussitôt, elle est dénoncée comme une théorie du complot par de prétendus « experts », médicastres de cour et chercheurs à la ramasse stipendiés par les nababs du Nouvel Ordre Mondial. Aujourd’hui, la vérité ne peut plus être dissimulée. Et c’est encore pire que ce qu’on pensait !

Cible prioritaire les neurones

Lentement, prudemment, en pesant leurs mots… Pour ne pas perdre leur boulot et être mis au ban de la société par les « savants » de la télé… Des médecins, biologistes, neurologues et virologues reconnaissent que le coronavirus détruit des neurones essentiels pour la cognition et la fertilité. Et sa nocivité est accrue par les pseudo-vaxxins à ARNm.

Depuis le début de la prétendue pandémie, on a observé chez de nombreuses personnes infectées des difficultés de concentration, d’anticipation, des troubles de la mémoire. Parfois une forme de procrastination évoluant vers l’aboulie. Quatre ans après la première vague de la « grippe pangoline », on a enfin entrepris des recherches sur les causes de ce brouillard cérébral qui met le cerveau en bouillie.

On a la preuve à présent que le coronavirus SARS-CoVid est capable de pénétrer dans les méninges et de détruire certaines cellules cérébrales. En particulier les neurones GnRH, qui jouent un rôle essentiel dans la fertilité, mais aussi dans le développement mental des enfants et le maintien de la lucidité chez les personnes âgées.

Une des études les plus pertinentes, publiées dans la revue « Nature », montre que l’intrusion du coronavirus entraîne une diminution du volume du cerveau avec une perte cognitive importante en particulier chez les vieux. La cause réside dans une suite de micro-ruptures des vaisseaux sanguins du cerveau, entraînant la mort d’une partie des neurones, avec pour conséquence un vieillissement cérébral accéléré.

Il est probable que l’augmentation brutale des cas du syndrome de Guillain Barré chez les vaxxinés soit une conséquence directe des mixtures à ARNm qu’on leur a injectées de gré ou de force. Le SGB est une affection neurologique grave qui amène le système immunitaire du cobaye à endommager ses cellules nerveuses avec perte de la parole ou élocution difficile, et des paralysies parfois définitives.

La corrélation entre les virus et les dégradations neuro-cérébrales n’est pas une découverte. On sait qu’après la grippe espagnole de 1918 une grande partie des survivants souffraient de la maladie de Parkinson. À l’époque, on n’avait pu que le constater sans savoir l’expliquer.

Analyse de la scène de crime

Sur 100 milliards de neurones, certains très peu nombreux, environ 10.000 dont 2000 dans l’hypothalamus, produisent une hormone appelée GnRH (Gonadotropin-Releasing Hormone). Et à la différence des autres neurones, ceux-ci ne se régénèrent pas.

Ces neurones sont essentiels. Ils s’activent à la puberté, passent dans le sang et atteignent l’hypophyse, une petite glande située sous le cerveau d’où ils contrôlent les capacités de reproduction. Ils libèrent des hormones lutéinisantes (LH) et de stimulation folliculaire (FSH) qui vont agir sur les ovaires et les testicules, contrôlant leur croissance et déclenchant la production de spermatozoïdes et d’ovocytes. LH et FSH participent également à la sécrétion des œstrogènes et de la testostérone.

Des médecins ont relevé des taux de testostérone anormalement bas chez des hommes jeunes atteints de Covid-19. Ou vaxxinés, ce qui revient au même. Ceux-ci se plaignaient de problèmes érectiles, tandis que des femmes virussées souffraient d’une perte de la libido ainsi que de cycles menstruels anarchiques ou taris.

Pour les Davos, Trilatérale et Bilderberg, la stérilisation virale est un levier idéal pour réduire de moitié la population de la planète. Avec un bonus : produire des générations de demeurés. Car ces neurones à GnRH jouent un rôle essentiel dans le développement neurologique et intellectuel des enfants. Une semaine après la naissance, une première activation de ces neurones se produit de façon différente selon les filles ou les garçons, n’en déplaise aux crétins genristes… Cette étape initiale est primordiale pour le développement futur des capacités cognitives.

L’arme du crime

Au début, comme la plupart des vaxxinés étaient de personnes saines, contaminées par des mixtures rendues obligatoires par un despote déjanté, les « savants de la télé » étaient dans le déni absolu des sautes d’humeur, comportements bizarres et changements de personnalité observés chez des vaxxinés.

Les médicastres médiatiques étaient payés pour dire que le SARS-Covid était un virus pulmonaire qui aurait franchi allègrement la barrière des espèces en visitant les chauves-souris, les pangolins et les rats musqués avant les humains… Mais serait incapable de franchir la barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau des agressions extérieures.

La perte d’odorat était logique puisque les neurones à GnRH ne naissent pas dans le cerveau mais dans le nez, pendant le développement embryonnaire, avant de migrer ensuite dans le cerveau. Tout en conservant des liaisons avec l’épithélium olfactif, via leurs fibres nerveuses. C’est une des portes d’entrée du virus.

L’autre porte se trouve à l’intérieur des cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins cérébraux. Ceux-ci ne sont plus étanches et laissent fuir les virus qui endommagent la barrière hémato-encéphalique.

Le covid est comme le sparadrap du capitaine Haddock

On ne s’en débarrasse pas comme ça. Ce monstre de l’ingénierie biologique a tendance à s’incruster. Deux ans après, on trouve encore dans les cellules des cobayes humains des fragments de ce virus actifs ou pouvant le redevenir à tout moment.

Des scientifiques de l’Université de Californie à San Francisco (UCSF) ont mis en évidence des fragments du covidus macronibus encore actifs dans le sang de patients apparemment guéris, un an et demi à deux ans après l’infection ou l’injection. Ce qui revient au même à une lettre près. Cette découverte pourrait expliquer la rémanence des covid dit longs. En fait toujours présents malgré des périodes d’inactivité relative.

Lors d’une conférence sur les rétrovirus et les infections opportunistes tenue à Denver, du 3 au 6 mars 2024, le docteur Michael Peluso, chercheur à l’UCSF, a présenté des preuves irréfutables que les antigènes du covid peuvent persister chez certaines personnes présentant des réponses immunitaires normales à l’infection ou à l’injection.

Des individus auparavant en bonne santé, souffrent de déprime, pertes de concentration, problèmes digestifs et pathologies vasculaires, des années après l’intrusion du virus. Les chercheurs utilisant un test ultra-sensible pour la protéine spike du virus ont découvert que le covid était toujours présent deux ans après chez certaines personnes. Vaccinées, en fait sur-infectées, ou qu’on disait guéries.

Une étude est en cours pour déterminer les facteurs liés au sexe, à l’âge, à l’ethnie, au mode de vie, qui font que certains patients sont plus touchés que d’autres. Les premiers résultats contredisent ce qu’on tenait pour acquis. Le diabète, l’obésité, l’alcoolisme, la sédentarité sont certes des facteurs aggravants. Mais des hommes et des femmes jeunes, sans antécédents médicaux, des sportifs menant une vie saine, sont eux aussi touchés. Le moindre effort du muscle cardiaque peut les faire s’effondrer à l’entraînement ou en compétition. Même si les médicastres de Macron se démènent pour minimiser le phénomène.

Quant aux dégâts définitifs, outre les risques de crises cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux (AVC), les troubles cognitifs observés persistent et s’aggravent. On assiste à une augmentation des cas de démence dite sénile chez des personnes jeunes.

À noter que l’Afrique a été épargnée malgré un sous-équipement sanitaire patent… Il est interdit de corréler ce « miracle » à l’administration systématique de nivaquine (même molécule que quinine ou chloroquine) pour entraver le développement de la malaria. L’OMS financée par le NWO, et Big Pharma avec ses VRP de choc, dont Pustula la Hyène et les véreux de la télé, ont dit que c’était un poison. Si ces philanthropes le disent, c’est forcément vrai !

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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