Les médias du Nouvel Ordre Mondial se sont empressés de mettre en avant les tueurs à gages, des pauvres types islamistes frustrés, prêts à tout pour aller fourrer leurs 80 chaudasses au paradis d’Allah.
Mais quid des commanditaires de ce ces crimes abominables ? Là, les loufiats des médias mainstream sont beaucoup moins diserts. Néanmoins, en ramassant une info par-ci, un témoignage par-là, on commence à y voir plus clair. Poutine, lui, ne s’y est pas trompé.
Les quatre auteurs directs de l’attentat ont été arrêtés alors qu’ils tentaient de fuir en direction de l’Ukraine
On pouvait imaginer que les assassins cherchaient refuge dans un petit pays mafieux qui, malgré les 150 morts et 300 blessés, n’appliquerait pas les accords internationaux de coopération et d’extradition, bien qu’il soit membre d’Interpol. À la différence des USA qui, récemment, ayant détecté une attaque de Daesch en préparation contre l’Iran, avaient alerté preuves à l’appui, les ayatollahs de Téhéran.
De même l’ambassade étasunienne à Moscou avait averti il y a deux semaines qu’elle disposait d’informations selon lesquelles des extrémistes avaient des plans imminents ciblant de grands rassemblements à Moscou, y compris des concerts… L’ennui est que, ne connaissant ni le lieu, ni la date, cela ne servait pas à grand-chose sur le moment.
Pour la suite, car il semblerait qu’outre les onze terroristes identifiés, il y ait tout un maillage de petites mains du crime assurant l’intendance, les USA ont promis de transmettre aux Russes tout ce qu’ils savent. On verra bien…
Les autorités de Kiev, comprendre le dictateur-bouffon Zygomyr, auquel Macronescu ressemble de plus en plus, se sont empressées de clamer que leur pays n’avait rien à voir avec cette tuerie de masse. Mais alors, comment se fait-il qu’un passage était préparé du côté ukrainien, dès la veille de l’attentat, pour faciliter aux tueurs le franchissement de la frontière ? Mobilisant les autorités civiles et militaires au Nord de Kiev dans la région de Chostka, frontalière de l’oblast de Briansk, cible privilégiée des Ukronazis en raison de son accès relativement aisé.
Les observations satellites montrent une agitation inhabituelle dans ce secteur, côté ukrainien, alors qu’aucune action militaire en cours ne justifie une telle fébrilité. Mais avec l’odieuse impudence qui caractérise le Zygomyr, le clown sanglant de Kiev a accusé Poutine d’avoir fait assassiner ses concitoyens, pour disposer d’un motif suffisant pour attaquer l’Ukraine. Comme s’il avait eu besoin de ça, pour se porter au secours des Russes de Crimée, de l’Est et de la Novorossia.
Joindre l’utile à l’agréable : le djihad plus les « primes de rendement »
Bien sûr, ce sont des fanatiques du Coran et de la charia. Bien sûr, ce sont des pauvres types formatés dès l’enfance par l’école coranique et ensuite conditionnés par les prêches des muftis salafistes. Mais on a de bonnes raisons de croire que certains n’ont pas été seulement manipulés. Mais aussi achetés.
La presse et les télévisions russes font état de l’interrogatoire des premiers suspects mis hors d’état de nuire. Avant de les fusiller ou de les pendre comme ils le méritent… Deux d’entre eux reconnaissent, fournissant des détails crédibles, qu’ils auraient été approchés dans l’immeuble où ils résidaient, par des « agents recruteurs étrangers. Parlant le russe avec un drôle d’accent ». Comme les Ukrainiens. Étrange coïncidence.
Ces recruteurs leur auraient fourni armes et explosifs et promis un million de roubles à chacun (environ 10 850 USD ou 10 000 €) payables moitié tout de suite et le solde une fois le « travail » terminé. À certains, on a offert une voiture en Russie et promis une maison dans leur pays.
Les agents spéciaux du FSB (les services secrets russes) n’étant pas entravés par nos infâmes directives drouadelommistes, les assassins se sont assez vite mis à table. Révélant les noms de leurs contacts et les procédures utilisées. Le travail va être maintenant de remonter la filière. Les Russes leur ont promis mille morts. On sait qu’ils ne plaisantent pas.
Il est à noter que le dirigeant de la Tchétchénie, le musulman Ramzan Kadyrov, a fait savoir que ses soldats déployés depuis des mois dans la région de Briansk pour sécuriser la frontière avec l’Ukraine ont participé à l’identification et à l’arrestation des suspects… Poutine a eu l’intelligence de rallier ses anciens ennemis, en jouant sur les bisbilles opposant depuis toujours les mahométans entre eux. Comme nous avions agi en Algérie avec les harkis et dans le Sahara avec les Touaregs. Mais ça, en France, on ne sait plus faire. Ou a même honte de seulement y penser.
« L’immonde » toujours égal à lui-même déplore que les criminels aient été malmenés lors de leur arrestation. C’est horrible, ils ont des traces de sang sur le visage et l’un d’eux a même la tête entourée d’un bandage. Alors qu’il aurait été si simple de demander à ces énergumènes fanatiques de bien vouloir se laisser arrêter sans résister. On voit ce que ça donne en France…
Pour Mykhaïlo Podoliak, porte-parole de Zelensky, il ne faut pas faire tout un plat d’un simple « incident » entre Russes !
Pas très intelligent comme réponse, lorsqu’on lui demande son avis sur les infrastructures préparées par les dirigeants ukronazis pour accueillir les terroristes dans un sanctuaire, à l’abri des représailles de Moscou…
Même les guignols français qui, paraît-il, s’apprêtaient à envahir la Russie dénoncent ces « crimes monstrueux ». De même la Maison-Blanche se fend d’un communiqué de teneur similaire. Ainsi malgré des désaccords profonds, on reste entre gens civilisés.
Du côté de l’ONU, le porte-parole des nations désunies, le Pakistanais Farhan Haq, donne dans la taqîya en bon mahométan qu’il est. Il se dit « attristé » (mais pas indigné !) par cette « fusillade ». Surtout ne pas prononcer le mot attentat, alors que les incendies ont causé plus de morts que les balles. Et ses adjoints ajoutent off the record, du moins le croient-ils, « ces Russes n’ont eu que ce qu’ils méritaient ».
Tandis qu’en Syrie, en Irak, en Afghanistan et bien sûr au Tadjikistan dont sont originaires les chefs du gang de tueurs à gages, des manifestations de joie et de soutien aux assassins éclosent « spontanément ». Scandées par les youyous des bâchées. Dès la nuit tombée, les moutons rôtissent. Achetés avec l’argent des émirs pétroliers.
Plus préoccupant, bien que la cenSSure veille à ce qu’on n’en parle surtout pas, des rassemblements d’allégresse ont eu lieu en France, en Angleterre, au Canada et aux USA, dans les enclaves étrangères hostiles. Comme après le 11 septembre. Pour fêter la mort des « croisés ». Car selon eux, tout civil désarmé lâchement assassiné est assimilé à un croisé vaincu sur le champ de bataille…
Il leur faut bien ça pour réécrire l’histoire à l’intention des masses illettrées et fanatisées. Car si après presque deux siècles de guerres (1095 – 1291) l’expédition militaire d’Orient a pris fin, submergée par le nombre, les maladies et leur coût excessif, le ratio des pertes estimé par les historiens actuels serait de l’ordre de 50 mahométans expédiés au paradis d’Allah pour un chrétien occis. Pourrait-on faire aussi bien aujourd’hui ?
En France, cet électrochoc a l’air de réveiller le jeune Bardella
La mémère à chats a eu beau lui ordonner de rester consensuel et surtout de ne pas faire de vagues, pour ne pas irriter les faiseurs d’opinion islamo-gauchistes, celui-ci désigne enfin, clairement, l’ennemi de la civilisation.
« Cette attaque ignoble doit sonner pour nous comme une sommation et nous rappeler que l’ennemi est aussi chez nous et qu’il faut le combattre » a-t-il déclaré, dénonçant une « attaque barbare. » Hier Moscou, demain Paris ? Mais c’est déjà fait au Bataclan ! Mais ça pourrait recommencer, vu l’inertie coupable des pouvoirs publics et l’intolérable complaisance de certains juges…
On savait que les islamistes n’aiment pas la musique. Interdite en Afghanistan. Seuls les hurlements du muezzin, cinq fois par jour, sont doux à leurs oreilles. Tellement qu’ils commencent à nous les imposer en Europe… Il est donc logique qu’ils s’en prennent aux concerts où une jeunesse innocente et désarmée se rend pour passer un bon moment de convivialité. Comme au festival de musique de Reïm en Israël, le 7 octobre 2023, où près de 300 personnes furent assassinées.
Les victimes, naïves, voulaient célébrer l’amour et la liberté. On les a déjà oubliées. On fustige ceux qui mettent hors d’état de nuire leurs assassins. Et personne ne veut entendre, surtout pas en France, que cela peut recommencer à tout moment. Chez nous. Ou dans n’importe quelle autre nation civilisée où la cinquième colonne islamique fourbit ses armes, préparant le terrain pour des commandos importés.
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/