Le petit être assassiné sur la photo est un fœtus de 6 à 7 cm, approximativement entre 10e et 11e semaines. Plus tard, il aurait pu faire le bonheur de ses parents et jouer dans le jardin avec ses frères et sœurs…
Pardonnez-moi ce néologisme de « constitutionnalisation » pourtant bien à propos dans ce contexte, ce me semble.
Comme vous le savez, j’aime bien, parfois reprendre un sujet qui a déjà été abondamment traité par d’autres, mais sur lequel j’ai préféré prendre un peu de recul et un peu plus de temps de réflexion.
Et puis, j’avais autre chose à faire ces derniers jours… !
Cela dit, je connais le sujet depuis longtemps, depuis que Simone Veil l’avait mis sur le tapis.
Je ne suis pas contre un avortement justifié et encadré, sous contrôle médical et pris en charge par les services sociaux. Mais je suis contre un avortement libéralisé et pratiqué comme un acte anodin, une habitude de dépit pour des femmes qui ne prennent aucune précaution et se comportent comme des idiotes, alors qu’il existe des moyens de contraception, des pilules du lendemain, des préservatifs et autres. Chaque être humain et supposé être responsable de ses actes.
J’ai toujours trouvé, personnellement, que l’avortement provoqué, à part dans des cas exceptionnels, était une chose mauvaise, malsaine, inhumaine et donc immorale qui éloignait l’homme et la femme de la normalité naturelle du règne animal dont nous sommes issus.
La nature, à laquelle il faut toujours se référer, veut que dès l’âge de 13, 14 ou 15 ans, une fille soit pubère et féconde, donc en âge d’enfanter.
Il y a des dizaines à des centaines de milliers d’années, à des époques où les humains ne vivaient en moyenne pas plus de 25 à 35 ans, la fille/femme n’avait pas d’autre choix que d’être fécondée tôt par le mâle de son choix ou qui lui était imposé par ses parents ou la tribu et d’avoir des enfants qu’elle devait ensuite protéger et élever, pendant que les mâles chassaient, cueillaient, bâtissaient des habitats ou fabriquaient des objets utiles, des outils, des poteries ou des vêtements.
Je pense aussi que nos ancêtres préhistoriques étaient probablement bien moins sauvages, barbares et violents que les humains d’aujourd’hui…
Mais ce n’est que mon avis, simplement parce que s’ils avaient été aussi barbares et violents que bien des peuples d’aujourd’hui dans le monde actuel, nous ne serions sans doute pas là…
Oh, je comprends très bien les femmes d’aujourd’hui qui sont après tout seules à supporter cette situation et à vouloir avorter plutôt que de souffrir, bien souvent, de la détresse sociale, biologique et psychologique d’une grossesse non désirée (viol) ou pathologique (médicale). Je partage et je compatis sincèrement. Mais il n’en demeure pas moins que l’avortement est un acte grave qui peut avoir de grandes répercussions sur toute la vie de la femme qui l’a subi. J’en ai connu quelques-unes.
Mais ce qui me choque, c’est plutôt le contexte idéologique, politique et donc peu médical de la conjoncture dans laquelle s’est passée cette constitutionnalisation de l’IVG.
Il y a là des motivations et des pressions politiques malsaines sous-jacentes sans rapport avec le cœur du problème.
Curieusement, c’est un chef d’État en très mauvaise position politique qui a conduit cette affaire dont il se fout royalement des tenants et aboutissants du fait de son immoralité totale et de son mépris de l’Homme et de la Femme, en général.
Un homme qui avait demandé à un général (qui a refusé) de tirer à balles réelles sur les Gilets jaunes, qui méprise les agriculteurs et qui soutient l’Ukraine en entraînant de fait la mort de son peuple est un monstre.
Plus récemment :
« Journée des Femmes : quel symbole !
Macron choisit une star du… porno ! »
https://resistancerepublicaine.com/2024/03/09/journee-des-femmes-quel-symbole-macron-choisit-une-star-du-porno/
Et donc, Macron a fait son grand cinéma de « graver dans le marbre » du Panthéon, et ce pour toute éternité, le droit d’assassiner des bébés dans le ventre de leur mère jusqu’au troisième mois de grossesse où le bébé est déjà un petit être humain conscient et doué de sens et de perception.
Bien sûr, ces gesticulations pitoyables et stériles, comme toujours, ces discours bêlants et cette grotesque mise en scène sont destinés à tenter de détourner l’attention du peuple de la folie, des délires, des trahisons, des échecs dans tout et des crimes de Macron, sans parler de sa guerre personnelle contre la Russie et contre le monde entier…
Et il est bien évident que ce qui est gravé aujourd’hui dans le marbre est appelé à être tôt ou tard modifié par de nouvelles lois constitutionnelles, comme augmenter encore la durée de grossesse avant l’IVG.
Rien ne pourra l’arrêter…
Les bidouillages de la Constitution sont d’ailleurs l’apanage de chefs d’État névrosés et psychotiques et, dans ce sens, Macron me fait penser à la descente de Mitterrand dans la crypte du Panthéon, en 1981 (funeste année), deux roses socialistes ridicules à la main, pour aller honorer la mémoire de deux gauchistes, Jean Jaurès et Jean Moulin…
À travers cet acte, Mitterrand souhaitait laisser le message inavoué d’être un jour inhumé sur la Place des Grands Hommes. Hélas, Mitterrand ne fut qu’un minuscule petit homme insignifiant et inefficace à l’ego démesuré qui a payé avant sa mort plusieurs journalistes et hommes de médias pour écrire sur lui des livres faisant son apologie…
Macron répond aux mêmes critères et je ne serais pas étonné que lui aussi souhaite la même chose pour lui. Sauf qu’il n’aura été que le destructeur de la France.
De la Loi elle-même
Tout le monde sait, aujourd’hui, avec Macron, qu’une loi votée par le Parlement ou en congrès est avant tout politique et sans aucune valeur de fond.
Vous noterez que « Le Conseil constitutionnel ne lui a pas, en effet, conféré de valeur constitutionnelle en tant que telle. La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) et la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) ne l’ont pas davantage consacrée. »
« Loi constitutionnelle du 8 mars 2024 relative à la liberté de recourir à l’interruption volontaire de grossesse »
https://www.vie-publique.fr/loi/292357-liberte-recours-ivg-dans-la-constitution-avortement-loi-du-8-mars-2024
Cette loi pourra donc très facilement modifiée ou abrogée.
Elle n’apporte d’ailleurs rien de nouveau. Moralement, un médecin pourra toujours refuser de prescrire une IVG et certaines femmes pourront toujours aller se faire avorter à l’étranger ou clandestinement par des personnes non autorisées et hors de tout contrôle médical et dans des conditions d’hygiène et d’asepsie scandaleuses…
Autres liens :
https://ripostelaique.com/lapologetique-de-lavortement-ou-lart-de-la-fausse-semantique.html
https://ripostelaique.com/droite-et-gauche-sont-fiers-de-lavortement-constitutionnel.html
https://ripostelaique.com/ivg-un-cadeau-empoisonne-pour-macron.html
https://ripostelaique.com/ivg-loi-veil-puis-constitutionnalite-puis-infanticides-de-masse.html
https://ripostelaique.com/ivg-dans-la-constitution-pire-quune-defaite-cest-un-suicide-et-on-attend-la-suite.html
https://resistancerepublicaine.com/2024/03/07/lavortement-applaudi-alors-que-pour-la-loi-lenfant-est-reconnu-des-la-fecondation/
https://ripostelaique.com/droit-a-lavortement-ou-sterilisation-des-femmes-pauvres-en-france.html
https://ripostelaique.com/on-navorte-plus-on-interrompt-seulement.html
La France d’aujourd’hui, sous les coups perpétuels de la gauche fasciste et criminelle, va devenir un pays de non-droit et de totale immoralité en laissant se développer des lobbies de débauche et d’atteinte à la dignité humaine encourageant toutes les perversions, les dépravations et les déviances sexuelles et violentes ou criminelles que vous connaissez comme moi.
La seule question est de savoir où cela va s’arrêter.
Est-ce que demain le viol des petites filles de 10 ans, la pédophilie généralisée, la torture des enfants, l’esclavage des enfants, le meurtre des enfants, sans oublier la zoophilie qui existe aussi, vont aussi être l’objet de lois permissives qui seront érigées en lois constitutionnelles…?
Je pose juste la question.
Laurent DROIT, patriote écœuré