Big Pharma, éminente composante du Nouvel Ordre Mondial, a encore sévi. Voyant ses profits diminuer, après une prise de conscience tardive et partielle de la nocivité de leurs mixtures par une partie de la population, les banksters ont décidé de frapper un grand coup.
Puisqu’ils ont contribué à mettre en place le despote, en contrôlant ses médias, ses affidés et ses finances, malgré toutes les casseroles que ce paltoquet se traîne, ils sont en droit d’exiger un renvoi d’ascenseur.
Tyranneau a déjà donné. En parquant une population de moutons terrorisés par un péril imaginaire… Puis en interdisant d’exercer leur art aux médecins honnêtes… Enfin, en imposant des vaccinations hasardeuses dans le meilleur des cas, souvent handicapantes, parfois mortelles, par le chantage à l’emploi. En violation des dispositions du Code de Nuremberg et du Code de la santé publique français.
Mais les gros capitalistes cupides n’en ont jamais assez. Quand ils pressent un citron, c’est jusqu’à la dernière goutte. Les pépins, ils les laissent aux manants.
Une ruse vaseuse pour interdire de s’opposer aux vaxins
L’amalgame, interdit à l’opposition et sévèrement sanctionné par une justice militante, quand il s’agit d’immigration et d’insécurité, est légitime lorsqu’il sert les projets du dictateur. En l’occurrence, continuer à remplir les caisses des multinationales de l’anti-santé publique.
L’astuce, pour ce gouvernement dont la moitié au moins de membres sont des multimillionnaires par pur hasard, consiste à remplir le même sac poubelle avec les dérives sectaires, les gurus qui soignent les cancers avec de la méditation, et d’éminents universitaires qui dénoncent le danger immédiat et à plus ou moins long terme des mélanges dopés à l’ARN messager.
Sur proposition des ministres-loufiats du dictateur, l’Assemblée anti-nationale a adopté le 14 février en première lecture un texte de lutte contre les dérives sectaires, notamment sur Internet, en décidant de créer un nouveau délit de « provocation à l’abstention de soins médicaux »… Bien évidemment, cela vise en priorité les pseudo-vaccins imposés par le gouvernement, et vantés par ses médicastres médiatisés.
Ce projet de loi scélérate a été voté par 151 voix contre 73 et va donc poursuivre son chemin parlementaire. Malgré l’indignation d’une partie de l’opposition. Et malgré les réserves de quelques macronards qui, de leur propre aveu, doivent au professeur Raoult d’être toujours en vie.
Refuser la mort sur ordonnance, c’est du complotisme !
Ils n’ont pas fustigé l’extrême drouâte, coupable de tout ce qui va mal dans ce pays, parce qu’une coalition des oppositions a rejeté l’article, comme l’avait fait le Sénat fin 2023. Députés LFI, LR et RN ont dénoncé une grave menace pour les libertés publiques, et une censure des lanceurs d’alerte qui dénoncent les turpitudes de l’industrie pharmaceutique.
L’ambiance électrique a ravivé les polémiques sur le passe sanitaire et les vaxins covidesques. Marine a fait entendre sa voix : « N’y a-t-il pas ici quelques ministres qui ont été soignés par le professeur Raoult ? » a-t-elle demandé. Sans donner de noms. Courageuse mais pas téméraire, la mère à chats.
Il a quand même fallu deux votes pour obtenir l’accord de l’Assemblée anti-nationale aux 2/3 vide (224 élus sur 577). Une nouvelle délibération a été demandée par le député Renaissance Sacha Houlié, président de la commission des Lois. On sent bien que ça coince quelque part. Mais Macronescu n’en a cure. Il passera en force comme d’habitude.
Ce nouveau délit d’incitation au rejet des soins imposés par Macronescu et sa clique serait passible d’un an de prison et de 30 000 euros d’amende, peines portées à trois ans et 45 000 euros en cas de récidive.
Il est à noter que les socialauds, plus pourris que jamais, ont voté cette infamie censée selon eux « défendre la science et empêcher les gens qui n’y connaissent rien de s’exprimer sur Internet ». Pourtant, on relève un nombre important de médecins, de biologistes, de pharmaciens, praticiens et/ou profs de facs parmi tous ces ignares !
La députée Renaissance Brigitte Liso a cru bon de préciser que ce texte ignoble ne s’appliquerait pas aux lanceurs d’alerte. Il y a juste un bémol dans ses belles intentions. Qui définira les lanceurs d’alerte et les distinguera des affreux complotistes ? Sinon le gouvernement, ses administrations et ses juges. Et au-dessus d’eux, Ursula la Hyène, qui a le pouvoir de les faire tous marcher au pas de l’oie. Surtout quand les super profits de Big Pharma risquent d’être écornés.
Convaincre les imbéciles et museler les sceptiques, c’est tout un art qu’on enseigne à sciences peaux de bananes
Face à la multiplication des témoignages, les « officiels » ne peuvent plus nier des relations de causalité entre les prétendus vaccins et les phlébites, embolies, myocardites, AVC et dérèglements hormonaux… Les corrélations sont minimisées en négligeant de tenir des statistiques réelles, et en dissuadant de faire des autopsies.
S‘y ajoutent des troubles psychiatriques tels que des dégradations des neurotransmetteurs produisant des comportements aberrants, inhabituels et inquiétants. Et l’apparition de nouvelles maladies à prions , liées à la protéine spike trafiquée, qui transforme en éponge le système nerveux central. Même s’il est difficile d’évaluer toutes les suites d’un phénomène qui peut mettre plusieurs mois à se déclarer…
Pendant WW2 puis la guerre froide, les comportementalistes Hovland, Lumsdaine & Sheffield ont étudié les facteurs permettant d’influencer le maximum de personnes en même temps. Car les exécutions sommaires ne sauraient suffire pour contrôler les masses. Les tyrans ont besoin de bras pour faire tourner les usines et cultiver les champs. Il leur faut aussi des miliciens et des délateurs endoctrinés.
Un manipulateur efficace donnera une apparence de crédibilité à un discours saupoudré de termes techniques abscons, façon pataphysique. La pression sera insidieuse et permanente, adaptée à un public captif. En lui inspirant de l’inquiétude afin de neutraliser sa méfiance, altérer sa morale sociale et neutraliser son aptitude à raisonner.
C’est le rôle tenu par les médias d’État qui rabâchent inlassablement les mêmes mensonges, en faisant défiler des cohortes de pseudo-experts qui se confortent les uns les autres… Le message répétitif doit paraître évident, réconfortant et indiscutable, usant des grosses ficelles de la dynamique de groupe et des pulsions de l’instinct grégaire. Soutenues par des sondages truqués et une claque qui applaudit bruyamment afin de donner l’illusion de l’approbation générale.
Tandis que sous l’aspect moralisateur de ceux qui se dévouent au nom de l’intérêt général, des polémistes sournois discréditeront, ostraciseront et diaboliseront ceux qui « pensent mal ». Avec l’appui des cenSSeurs pour couper les micros et interdire d’antenne les dissidents.
Des tueurs en série ont pris le pouvoir
Doués pour leurrer leur entourage, les tueurs en série restent longtemps impunis et finissent par se croire invincibles. Cela ne peut qu’encourager les récidives. Le comportement de Macronescu, de ses courtisans et de leurs sbires illustre jusqu’à la caricature cette constatation.
La France est devenue en trois ans un zoo démoniaque où des millions de cobayes servent, volontairement par bêtise ou passivement sous la menace, à des expérimentations hasardeuses menées par des fous criminels… Mais si l’on en croit le milliardaire chinois en exil Guo Wen Gui (alias Miles Kwok), les grands gagnants du fiasco politique Covid seront ceux qui auront refusé la vaccination.
Ils seront en mesure de survivre à un inévitable effondrement économique à cause de la surmortalité des vaccinés. Et aussi parce que les survivants, disposant d’une force de caractère et d’une intelligence supérieures à la moyenne, seront avantagés par la sélection naturelle.
Accusé Macronescu, vous serez condamné en vertu des dispositions du Code de Nuremberg
« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. La personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir et être placée en situation d’exercer un libre choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition.
On doit lui faire connaître la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience.
Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori de croire que la mort ou des séquelles invalidantes surviendront. »
Christian Navis