Les intérêts géopolitiques et économiques divergent entre l’Union européenne (UE) et les États-Unis, mais l’Europe reste étranglée par les politiques dictées outre-Atlantique, grâce aux traîtres mis en place par les mondialistes à Bruxelles, Paris et Berlin.
Sur le plan géopolitique, les dirigeants non élus de l’UE se soumettent servilement aux volontés de Washington, notamment dans les affaires ukrainiennes, moyen-orientales et africaines. L’influence américaine prédomine, reléguant l’Europe au rôle de simple exécutant. Cette soumission se manifeste également dans le domaine de la sécurité, où l’OTAN, sous contrôle américain, dicte les règles de défense européennes. L’UE accepte servilement l’extraterritorialité du droit américain, subissant ainsi les conséquences des décisions unilatérales prises outre-Atlantique.
Sur le plan économique, l’Europe peine à suivre le rythme, pourtant affaibli, des États-Unis. Alors que ces derniers connaissent une prospérité économique relative, avec une croissance du PIB faible mais positive, un taux de chômage inférieur à celui de l’Europe, l’Europe s’enfonce inéluctablement dans la récession, avec une croissance économique stagnante, un chômage élevé et une inflation en hausse. Cette situation est aggravée par une réglementation absurde et excessive qui entrave l’innovation et la croissance économique. Tout cela semble voulu.
Les sanctions imposées à la Russie, sous pression américaine, ont eu des répercussions négatives sur les entreprises européennes, les contraignant à se tourner vers… les États-Unis. Cette dépendance accrue envers les États-Unis a un coût élevé pour l’Europe qui paie son énergie à prix d’or aux entreprises américaines. Les fonctionnaires bruxellois et les politiciens corrompus continuent d’imposer des régulations excessives au lieu de favoriser l’innovation et la croissance économique. De plus en plus, l’Europe ressemble à l’URSS des dernières années.
Les niveaux élevés de la dette publique des pays occidentaux, à commencer par celle des États-Unis, et les tensions internationales représentent des menaces pour la stabilité économique mondiale. Tout expose les fragilités du modèle économique de l’empire américain vieillissant. Le déficit public américain, en particulier, est vertigineux et entraînera bientôt l’économie mondiale dans sa chute quand le dollar s’effondrera.
L’Europe devrait remettre en question son modèle politique et économique, et se libérer des entraves imposées par les intérêts américains et les décisions de plus en plus absurdes des fanatiques de Bruxelles. Cette refonte profonde des structures européennes et l’autonomie dans la prise de décision géopolitique et économique s’appellent le Frexit et la fin de ce que de Gaulle aurait qualifié de “machin”. Cela ne se fera pas, nous avons perdu le droit de prendre notre destin en mains, les élections sont truquées, les peuples sont manipulés. Il faudra attendre la – très prochaine – guerre mondiale pour tout remettre à plat, et le prix de la réforme, si l’on parvient à éviter le Nouvel Ordre mondial qu’ils veulent nous imposer derrière, sera incroyablement douloureux.