Vingt-deux millions de téléspectateurs français ont regardé la cérémonie en direct diffusée en mondovision. La France est humiliée de par le monde. Les chrétiens sont humiliés de par le monde. Le blasphème fait à Jésus-Christ est diffusé de par le monde. Autant de raisons de réagir publiquement. Lorsque le blasphème, le sacrilège, l’humiliation générale sont organisés de façon publique, la réaction doit aussi être publique.
Tout était évidemment prévisible : Macron a confié l’organisation de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques à des personnages particulièrement connotés. Il fallait bien s’attendre à ce que cela s’oriente vers quelque chose de scandaleux. Le metteur en scène, Thomas Jolly, un homosexuel notoire, fait la promotion de l’idéologie LGBT, ce n’est pas étonnant, compte-tenu de son historique, de son parcours personnel. Il s’est justifié dans les médias : « Hier soir, c’étaient des idées républicaines d’inclusion, de bienveillance, de générosité et de solidarité ». C’est vraiment se moquer du monde, se moquer de l’opinion publique. Des idées républicaines, certainement, dans le sens où d’emblée, sont mises en scène, devant la Conciergerie, les images animées de Marie-Antoinette, la tête coupée, et chantant ça ira, ça ira, les aristocrates à la Lanterne. Non seulement, on se jouait sur cet aspect sanguinaire de la Révolution française, on a d’emblée présenté la République française comme une espèce de Moloch qui veut le sang des Français, le sang des souverains, le sang de tous ceux qui ont été décapités, exécutés de mille et une façons, mais on s’est moqué de la décapitation de la reine Marie-Antoinette en lui faisant chanter les paroles de la Carmagnole, ce chant révolutionnaire, alors même qu’on la représente la tête coupée. Et c’est cette tête coupée qui entonne les paroles républicaines révolutionnaires. C’était complètement sordide, le tout aménagé de musique métal-rock. Quelque chose d’absolument révoltant, jouant sur le sang, sur ce côté propre à la Révolution française d’agiter les foules autour de l’idée du sang, de donner à la foule la soif de sang.
D’emblée, cette cérémonie d’ouverture démarre sur un hors-sujet : ce ne sont pas les Jeux Olympiques qui sont célébrés, c’est vraiment une vision satanique du Nouvel Ordre Mondial. Le mondialisme est d’essence satanique. Macron est un adepte du culte de Satan, il l’a démontré.
Certains pensent que le satanisme est une idée fixe des catholiques ou des complotistes. Ils devraient essayer de décoder tout ce qui a été montré à travers cette cérémonie d’ouverture.
Parmi les personnages choisis par Macron, outre Thomas Jolly, Barbara Butch, en charge de la musique, féministe et activiste LGBT, selon le journal Le Parisien, issue d’une famille juive traditionnelle, a fait de l’homophobie et de la grossophobie ses deux principaux combats. Cindy Leoni, sous-préfète chargée de la préparation de la cérémonie, ex-présidente de SOS Racisme, d’après sa fiche Wikipédia, d’origine israélienne sayanim, a travaillé auprès du DILCRAH, le délégué international à la lutte contre la racisme, l’antisémitisme et l’anti LGBT. Macron a choisi systématiquement des militants idéologiques, et les militants idéologiques n’ont strictement rien à voir avec les Jeux Olympiques. Dès le départ, Macron a missionné des gens choisis sur base de conception idéologique pour adresser un message idéologique à la planète entière, un message promu devant un grand nombre de chefs d’Etat issus de tous les continents et diffusé en mondovision, devant des millions de téléspectateurs. Au-delà de cette diffusion en direct, les images continuent d’être répercutées à travers les réseaux sociaux de par le monde, les journaux télévisés, les articles de presse, les extraits qui se répandent ici et là.
Le message a été vraiment calculé, il faut en être conscient. Tout cela ne relève pas du hasard. Tout cela ne doit pas être considéré comme une interprétation des catholiques ou de certains complotistes ou conspirationnistes. Derrière tout cela, il y a quelque chose qui était minutieusement préparé. Thomas Jolly parle de douze scènes particulièrement préparées. Ces scènes participent à un message mondialiste, révolutionnaire, satanique, anti chrétien, anti français, un message de promotion de la débauche sous toutes ses formes.
Ce n’est pas simplement le fait de Macron, ce n’est pas simplement le fait de l’équipe choisie pour préparer cette cérémonie. C’est vraiment quelque chose qui a été approuvé dans différents cercles mondialistes. Deux heures avant le début de la cérémonie, François Hollande a diffusé ce message sur les réseaux sociaux : « Vous vous inquiétez qu’il pleut ce soir, parce que je serai présent à la cérémonie, je vous le confirme, je serai là, il pleuvra peut-être, mais c’est la plus belle fête au monde qu’il soit possible d’organiser, une fête qui se produit uniquement par siècle, des spectacles féériques qui vont avoir lieu ce soir, des compétitions exceptionnelles qui vont se dérouler, des champions venus du monde entier, et puis enfin ce que signifie l’olympisme, c’est-à-dire la fraternité, la paix, la lumière de la démocratie qui va venir, et moi je ne verrai que du soleil ce soir. J’ai voulu les Jeux Olympiques à Paris, j’en suis heureux ».
Hollande annonçait sa présence même s’il allait pleuvoir. Il répétait que ça allait être un événement exceptionnel, un spectacle exceptionnel, un événement séculaire. Il était parfaitement informé du contenu de ce spectacle et se réjouissait par avance de ce qui allait être montré.
Le lendemain, dans un message vidéo, Jacques Attali estime qu’il faudra voir dans dix ans si les transgressions mises en avant durant cette cérémonie seront devenues des banalités, des libertés, ou si au contraire le monde les aura jugées décadentes et sera revenu à ce qu’il qualifie d’obscurantisme.
Attali espère que la France aura ouvert une voie. Cette cérémonie a vraiment été voulue par le Nouvel Ordre Mondial. Elle n’a pas simplement été une initiative personnelle d’un fou assis sur le fauteuil de l’Elysée. Ce n’est pas simplement Macron sataniste et président de la République qui en est le responsable. Le message d’Attali confirme que cette cérémonie a été souhaitée, pensée, programmée par les forces du Nouvel Ordre Mondial. Tout cela est d’essence satanique. Il faut vraiment en avoir conscience. Le fil complet de cette cérémonie montre bien la haine du christianisme. Il y a énormément de symbolique, et des choses nous échappent.
Les images et les mots. Lorsque Macron prend la parole, il déclare ouvrir cette cérémonie des
33 èmes Olympiades. Dans la Franc-Maçonnerie, le 33 ème grade est le plus haut. Lorsqu’il prononce ces mots, on voit sur son visage une forme de rictus. Son discours est un discours d’initié. Lorsqu’il a pris la parole au dîner des chefs d’Etat, à la pyramide du Louvre, symbole hautement maçonnique, il a tenu plusieurs formules maçonniques que notent tous les initiés.
D’emblée, cet élément maçonnique apparaît à la fois devant les chefs d’Etat lors du dîner et à la cérémonie d’ouverture.
Ensuite, les allusions à travers les différentes scènes. Les images de Marie-Antoinette, la tête coupée, ce n’est pas simplement une image révolutionnaire. Dans l’histoire de la Révolution et des exécutions du roi, de la reine, et de membres de la famille royale, à travers le régicide, il y a un aspect d’ordre religieux, anti religieux. Le roi de France est considéré comme le père de la nation. La Révolution cherche à éliminer le roi dans sa symbolique, dans sa personne, elle cherche aussi à éliminer ce lien qui existe entre l’autorité et la religion. Elle veut s’affranchir de Dieu et de la religion catholique. Elle persécute le clergé, elle organise le génocide vendéen, elle martyrise les Français contre-révolutionnaires à travers toute la France, de Marseille à Nantes, Lille, Paris, Lyon …
Montrer la reine décapitée est une insulte à l’histoire de France, c’est comme si la France commençait son histoire en 1789, alors que la grandeur de la France est évidemment antérieure à 1789, elle est gallo-romaine, elle est chrétienne. Et le patrimoine est essentiellement antérieur à la
Révolution française. D’ailleurs, Macron aime bien les lieux luxueux, les ors et les jolis meubles. Mais en tant que président, il vit essentiellement dans des biens qui datent de l’Ancien Régime. Son Trogneux change la décoration de l’Elysée, mais le Palais n’est pas un édifice né de la République.
La mise en avant de l’image de la reine décapitée montre une volonté manifeste de débuter la cérémonie avec le côté assumé d’avoir persécuté la France catholique. C’est le premier message que tout le monde peut comprendre. Cette symbolique signifie : nous assumons d’être les héritiers de ceux qui ont persécuté. Il y a une forme de rituel dans la façon dont le roi a été assassiné.
Dans les autres tableaux, dans les autres scénographies de cette cérémonie, il y a toute une série d’éléments plus abjects les uns que les autres. Dans un clip qui fait la promotion du trouple, trois individus s’entrelacent, s’embrassent, se lèchent, se caressent d’une façon absolument infâme. Là, l’idée de destruction de la famille est mise en avant, la débauche est projetée devant la planète entière à une heure de grande écoute. Les familles pensaient assister à un spectacle olympique, et ont droit à une promotion de la débauche, de l’homosexualité, de la transsexualité. C’était Sodome et Gomorrhe mise en images.
Ensuite, on a ridiculisé la Garde républicaine avec Aya Nakamura. Là encore, des symboles significatifs, le côté multiculturalisme, le côté culture de bas-étage. Le répertoire de Aya Nakamura relève de paroles dignes de pornocrates plutôt que de la chanson française. Chaque élément n’est pas choisi au hasard. Lors de cette scénographie, Aya Nakamura sort de l’Institut français, autrefois le lieu qui représentait la science, le lieu de travail des scientifiques. De ce haut lieu de représentation de la science et des scientifiques français, on fait émerger pour l’occasion Aya Nakamura, c’est grandeur et décadence, en quelques secondes. La Garde républicaine en grand uniforme l’accompagne en musique et se met à danser de façon quasiment tribale, c’est consternant.
La scène du Passeur n’est pas anodine. Des enfants sont amenés sur une barque par un personnage sombre, à l’air ténébreux. Il y a quelque chose de très malsain dans cette image. On peut penser à beaucoup de choses, compte-tenu de tout ce que l’on sait à l’heure actuelle.
La parodie blasphématoire de la Cène est le clou du spectacle. C’était vraiment un moment vomitif. Le metteur en scène Thomas Jolly ose prétendre que tout cela était fait dans une démarche de bienveillance et de générosité, il nous prend vraiment pour des imbéciles. Au moins, assumez ! Bon sang, assumez vos scandales et vos outrances, mais ne prenez pas les gens pour des imbéciles. Les personnages, travestis, transgenres, drag quenns, qui composent cette parodie blasphématoire de la Cène, c’est vraiment écoeurant. Dans leur perversité, ils ont eu l’outrecuidance d’y mettre une petite fille. L’un des personnages, queers, fait le signe de lui trancher la gorge. Ces gens abominables doivent tout salir, tout souiller. Au cours de cette soirée, ils ont souillé la religion, souillé le Christ, souillé l’enfance, souillé l’histoire de France, souillé la conception de la famille. Vraiment, tout y est passé, c’est une immoralité, une abjection, un anti christianisme, une addition de tout ce qui est anti France, c’est une conjugaison de toutes les abominations.
Sur la table de la Cène, apparaît un personnage qui représente Dionysos, le dieu grec du vin, le symbole de la débauche. Les symboles s’enchaînent.
Puis survient le cavalier de l’Apocalypse, au grand galop, amenant le drapeau olympique. Dans les textes de l’Apocalypse, on peut lire : « Je vois un cheval vert pâle, son cavalier s’appelle la mort et le monde des morts marche derrière lui. Ils reçoivent le pouvoir sur le quart de la terre, ainsi ils vont tuer ses habitants avec l’épée, la flamme, tout ce qui apporte la mort et avec les bêtes sauvages de la terre ».
Faites le lien avec quantité d’autres éléments de l’actualité, de tout ce que nous avons vécu ces dernières années, le covidisme. Dans l’organisation sous prétexte sécuritaire de la mise en cage des Parisiens, il y a énormément de parallèles à faire avec les deux ans et demi de covidisme. On ne peut pas se déplacer sans QR code. Tout cela nous ramène au plan de dépopulation.
Le cavalier de l’Apocalypse apporte le drapeau olympique. Ensuite, ce drapeau est hissé au mât avec une représentation du veau d’or à côté des anneaux olympiques. Cela fait penser au Moloch, qui avale les enfants dans un brasier.
On a vu également une nouvelle statue dorée à la gloire de Simone Veil, l’avorteuse en chef. Tout est là, tout est additionné pour bien nous faire comprendre que cette cérémonie est d’essence satanique. Depuis le début du premier mandat de Macron, des cérémonies comportent toutes des messages hautement symboliques. Après la première élection, la cérémonie devant la pyramide du Louvre, avec la mise en avant du triangle. Dès le début, il a choisi de jouer cartes sur table. Ce n’est pas caché. On a vu d’emblée que Macron annonçait la couleur en se montrant le représentant de la Franc-Maçonnerie, et aussi du satanisme. Lors d’un entretien vidéo, il nous parle de la Bête, il annonce que la Bête de l’événement est là et elle arrive.
Quand on met cela en corrélation avec cette cérémonie d’ouverture, on a vraiment l’impression que les messages se succèdent, annonçant leur espoir du règne de Satan sur le monde.
On peut aussi mettre en corrélation avec le message de Macron au Grand Orient de France, pour les 250 ans du Grand Orient de France. Il a martelé que la République était intrinsèquement liée à cette Franc-Maçonnerie, et que quiconque critiquait cette Franc-Maçonnerie devenait un ennemi de la République :
« Tous n’étaient pas maçons, mais tous en défendaient les valeurs. La Franc-Maçonnerie n’a pas fait à elle seule la République, mais la République sans elle ne se serait pas faite. La Franc-Maçonnerie fut l’atelier de la République, là où se poursuivait l’oeuvre commencée dans le temple. La Franc-Maçonnerie donna à la République ses premières forces vives et à l’heure où le parti républicain n’avait qu’une prise incertaine sur le pays, que la monarchie menaçait de revenir, les francs-maçons furent dans nos villages, dans nos petites patries, ces commis voyageurs de la République dont parlait Gambetta. Ils furent ces humbles militants pénétrés de l’idéal des Lumières, défendant la République face aux forces monarchiques comme face aux tenants de l’insurrection ».
Macron a allumé à l’Elysée un cierge du chandelier d’Hanouka, devant un parterre de rabbins et de représentants de la communauté juive. Ce faisant, il rompt avec la neutralité religieuse et la laïcité, mais il nous parle de neutralité religieuse et de laïcité. A travers sa fascination pour la Franc-Maçonnerie, et son attrait pour le judaïsme, il maltraite systématiquement la religion catholique en France.
On peut également faire le parallèle entre cette cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques et l’Eurovision 2024. Le concours Eurovision de la chanson a déjà été l’occasion de scènes complètement sidérantes, promotion de l’homosexualité, du satanisme. Le satanisme était partout dans ce concours Eurovision et partout dans cette cérémonie d’ouverture.
Tout cela est planifié, organisé par les cercles mondialistes. En quelques mois, deux grands événements télévisés dans le monde entier font la promotion du satanisme et montrent de façon assumée que ce mondialisme est satanique. Le culte de la République est le culte de Lucifer.
Il faut avoir conscience de l’ennemi auquel nous avons affaire. C’est symptomatique que tout cela soit aussi perceptible, après les élections européennes, puis après les élections législatives françaises. En fait, cela nous démontre que le combat n’est absolument pas électoral, le combat ne se déroule absolument pas dans les urnes. Désormais, le combat est vraiment entre le bien et le mal. Le combat est de nature eschatologique, de nature spirituelle.
D’après Alain Escada
Le combat oppose les « élites » au peuple. Des élites qui testent le peuple, et qui sont prêtes, qui disposent de toutes les forces pour écraser toute révolte. Des élites qui n’hésiteront pas à massacrer la foule si elle devient trop dangereuse. Des élites qui ne reculent et ne reculeront devant rien pour achever la Révolution commencée en 1789.
Anéantissement de la différenciation des sexes, anéantissement de la différenciation des générations, permission de l’inceste avec la petite fille, permission de la pédocriminalité avec la disparition des trois enfants, permission du meurtre avec Marie-Antoinette décapitée, annonce de la mort de civilisation occidentale, annonce de la mort prochaine de l’humanité, avec le cavalier de l’Apocalypse. Tels sont quelques enseignements de cette cérémonie macabre et laide.
Jean Saunier