Le Blog de Lazare

Tout le monde sait que nous vivons depuis longtemps à crédit et que les dettes accumulées atteignent des chiffres astronomiques. L’opinion générale est que nous ne pourrons jamais la rembourser et qu’il suffit de faire comme si elle n’existait pas. D’ailleurs, nous ne sommes pas une exception, bien d’autres pays européens sont dans la même situation et s’en accommodent.

Je pense que cette opinion est erronée et que nous remboursons notre dette bel et bien, mais pas de la façon dont on l’imagine. Si nos créanciers étaient en majorité nos concitoyens comme c’est le cas au Japon par exemple, le problème serait uniquement financier, mais ce n’est pas le cas. Parmi nos principaux prêteurs figurent les émirats, Qatar et Arabie Saoudite en tête, qui se fichent pas mal d’être remboursés puisqu’ils ont plus d’argent qu’il n’en faut. Par contre, l’implantation de leur religion chez nous est un objectif primordial faisant partie d’un plan de conquête planétaire sous le drapeau de l’islam, ce qui vaut bien quelques milliards octroyés à nos gouvernants.

Il est quasiment certain que la plupart des gouvernements européens aux abois ont conclu des accords tenus évidemment secrets avec ces états musulmans, ce qui explique le prosélytisme des instances bruxelloises au sujet du voile islamique en particulier et de l’immigration en général. Il y a pratiquement toujours une tenue islamique dans chacune de leurs affiches, l’accent est invariablement mis sur la nécessité de recevoir des immigrants, et la CEDH s’oppose toujours aux renvois des délinquants dans leur pays d’origine. Il est clairement impossible que tout cela soit dû au hasard, et comme ces actions sont contraires à l’intérêt de leurs peuples, la seule option qui reste est l’argent versé par les émirats.

Bien sûr, pour rester crédible, il faut de temps en temps jeter en pâture au public un bouc émissaire pris la main dans le pot de confiture, comme pour prétendre que l’on élimine les brebis galeuse, mais c’est juste du théâtre, parce que tous font la même chose et sont complices.

Nous payons donc notre niveau de vie actuel avec le flot d’immigrés qui envahit progressivement notre pays, les constructions de mosquées chaque jour plus nombreuses, les agressions au couteau quasi quotidiennes et le viol de nos femmes et de nos filles. Les arrivants se comportent en conquérants, et savent très bien que le laxisme de toute l’administration envers eux est dû à notre situation de dépendance, et que nous avons les mains liées.

Certains pays un peu moins dépendants réussissent plus ou moins à secouer le joug et à refuser d’être remplacé, comme les Pays-Bas, mais un pays trop endetté comme l’Italie a beau élire une présidente qui promet de lutter contre les arrivées incessantes de clandestins, il ne peut pas et constate que toutes les actions qu’il décide sont mises en déroute par une kyrielle d’organisations et même par la justice. Et les bateaux continuent d’arriver et de décharger leurs cargaisons de clandestins.

Pour bien enfoncer le clou, les assassinats d’enseignants, les tentatives d’égorgement et les égorgements eux-mêmes font partie du remboursement de la dette, c’est pourquoi les coupables ne sont astreints qu’à des peines d’emprisonnement dérisoires, quand ils ne sont pas purement et simplement déclarés irresponsables, ce qui est de plus en plus souvent le cas.

Il semble que par leur attitude et surtout par leurs votes, nos compatriotes aient accepté ce marché. Beaucoup accusent la propagande médiatique, qui certes a une grande influence sur l’opinion des gens. Mais quand même, la plupart des grandes villes de France, que ce soient Paris, Marseille, Lyon, Strasbourg, Toulouse, Bordeaux, Grenoble, Nantes et Rennes, elles ont bien des maires écolo-gauchistes favorables à l’immigration, non ? Et les médias gouvernementaux n’ont pas joué un grand rôle dans leur élection et leur réélection. C’est pourquoi je pense que globalement les français ont accepté la situation actuelle et acté leur remplacement.

Alors, que faire ? Voter, d’abord, tout en sachant qu’aucune personnalité ne pourra remettre le pays à flot, la situation est  trop compromise, tout ce que l’on peut demander à un élu aujourd’hui, c’est de limiter les dégâts. Et pour cela, la priorité est d’empêcher les frappadingues écolo-gauchistes d’arriver au pouvoir, ce qui n’est malheureusement pas totalement exclu.

Gilles Mérivac