Le docteur Meryl Nass a découvert comment des expériences d’hydroxychloroquine ont été conçues pour tuer des patients Covid. Combien ont été assassinées ?
L’OMS a imposé des protocoles d’hydroxychloroquine à des doses toxiques à des patients sous respirateur, ce qui eut pour conséquence des décès. Et l’OMS a prétendu que l’hydroxychloroquine ne fonctionnait pas.
Le docteur Meryl Nass a découvert le pot aux roses à travers des expériences d’hydroxychloroquine parrainées par le gouvernement et conçues pour tuer volontairement les patients hospitalisés de Covid 19 gravement malades, afin de discréditer le produit.
Le 14 juin 2020, le docteur Meryl Nass a identifié pour la première fois deux expériences Covid dans lesquelles des doses massives et hautement toxiques étaient administrées à des patients hospitalisés gravement malades, dans des unités de soins intensifs (doses quatre fois plus élevées que l’innocuité de l’hydroxychloroquine).
L’Organisation Mondiale de la Santé a mené de telles actions auprès de 3 500 patients Covid-19, dans 400 hôpitaux de 35 pays. Un rapport frauduleux paru dans The Lancet faisait état de 35 % de taux de mortalité plus élevés chez les patients recevant de l’hydroxychloroquine.
Mais le professeur Raoult a toujours affirmé que l’hydroxychloroquine devait être administrée immédiatement après les débuts de la contamination, et pas plus tard. Pour lui, tout est une question de dosage et de traitement à un moment donné de la maladie. Et l’hydroxychloroquine fonctionne parfaitement dans les conditions décrites par le professeur Raoult, ce que confirme le docteur Meryl Nass.
L’OMS a détourné la science. L’OMS a fait passer l’hydroxychloroquine pour un poison. L’OMS a détruit un médicament qui soigne au profit d’une stratégie mensongère afin de l’orienter vers la vaccination forcée. C’est une supercherie et un crime. L’hydroxychloroquine ne fonctionne pas dans les conditions d’essai de l’OMS.
C’est pourquoi le Lancet a retiré son faux rapport, son étude à charge sur l’hydroxychloroquine, car la vérité était découverte.
Le docteur Meryl Nass explique comment l’OMS veut imposer des pouvoirs de surveillance et de censure aux masses. C’est le plan de nos prédateurs.
« Nous traversons un coup d’État en douceur. L’idée est de créer un nouvel ensemble de lois et d’ignorer les lois existantes sur les droits de l’homme et d’autres lois, sous le prétexte de la préparation à la pandémie et de l’agenda de la biosécurité. L’OMS est en train d’élaborer, par l’intermédiaire de toutes les nations, avec le directeur de l’OMS, un traité sur les pandémies, et des amendements aux règlements sanitaires internationaux existants, qui supprimeront les protections des droits de l’homme actuellement incluses dans le CDH. Nous mettrons en œuvre la surveillance, la censure, nous nous débarrasserons de la liberté d’expression, nous exigerons des gouvernements qu’ils censurent et qu’ils ne diffusent qu’un seul récit. Nous serons également soumis à l’obligation d’élaborer des vaccins en cent jours, ce que l’organisation CEPI prévoit de faire. Jérémy Farrar, l’un des fondateurs du CEPI, qui est maintenant le scientifique en chef de l’OMS, s’est chargé de faire avancer les choses. D’autres amendements prévoient également de contraindre les États à ne plus formuler de recommandations, mais des décrets exécutoires, de fournir un bouclier de responsabilité, de se débarrasser des droits de propriété intellectuelle, déplacer les fournitures d’un pays à l’autre, à imposer les passeports numériques et à permettre au directeur général de l’OMS d’exiger la déclaration de l’existence d’une pandémie ou d’une pandémie potentielle. Il peut simplement la déclarer sans aucune contrainte. Les pays du monde entier devront alors s’y conformer. En outre, l’OMS vous dira quels médicaments vous pouvez ou ne pouvez pas utiliser dans votre pays une fois la pandémie déclarée. Évidemment, le budget augmentera. La santé unique est un autre aspect de ce programme. Ce concept a été créé pour permettre à l’OMS, grâce à ces documents, d’assumer la juridiction de tout ce qui existe dans le monde, en affirmant que le changement climatique, les animaux, les plantes, les systèmes d’eau, les écosystèmes sont tous des éléments centraux de la santé. Le concept intègre également une notion particulière selon laquelle les humains n’ont plus de valeur supérieure à celle des animaux ».
Ainsi, quelques personnes orchestrent un canular de pandémie mondiale. La structure du monde est contrôlée. Un réseau mondial interconnecté de sociétés secrètes et de groupes secrets, et les agences gouvernementales, fonctionnent comme la structure d’une entreprise mondiale. Un siège social à un endroit du monde. Des filiales qui opèrent selon les directives du siège social, dans les autres pays. Au centre du réseau, dans l’ombre, le noyau central du culte dirige le monde : l’araignée qui impose la volonté du centre et dicte la politique dans pratiquement tous les pays…
Dans chaque pays, un réseau subsidiaire, certaines familles, sociétés secrètes. Dans chaque pays, les pyramides du gouvernement et de la politique, de la banque et de la finance. Les pyramides de la propriété des médias et les pyramides du système médical.
Ainsi, au niveau de la santé, dans chaque pays, quelques personnes au sommet dictent la façon dont les médecins et le reste de la profession médicale doivent agir, ce qu’ils doivent faire. La profession médicale suit alors massivement, sans la moindre hésitation. Et ceux qui s’interrogent et résistent, se retrouvent dans des situations très difficiles. Les sommets des pyramides répondent au même maître à l’échelle mondiale, l’araignée. Par conséquent, la volonté de l’araignée ordonne quelle sera la politique dans le monde entier, selon une structure pyramidale. Le culte mondial de la pandémie n’a pas de frontières et exerce ses activités à l’échelle mondiale.
L’Occident se cache derrière la propagande, les beaux discours de liberté et de démocratie, et déploie un système de contrôle féroce, draconien, orwellien et fasciste. Le temps est venu où le culte veut jouer le modèle de contrôle chinois à travers le monde. Depuis la supercherie de pandémie, l’Occident ressemble beaucoup plus à la Chine.
Dès le début de la pandémie, l’OMS, contrôlée par Bill Gates, a dit que la Chine était l’exemple de réponse à suivre. Et le même processus s’est déroulé : propagation du virus, diagnostic sur la base de symptômes grippaux et respiratoires, introduction du test PCR, choix de la Lombardie connue pour son air toxique et ses maladies respiratoires, comme Wuhan, explosion du nombre de morts, des personnes dites mortes du Covid, mais avec une ou plusieurs autres commodités, intervention de scientifiques ayant des conflits d’intérêts avec l’OMS ou Bill Gates, prévisions pour justifier les confinements (400 000 morts selon Macron), interdiction des médicaments efficaces, médias hystériques pour faire vivre un enfer aux Occidentaux terrorisés, succession de vagues dues aux mutations du virus, et au final vaccinations répétées. Sans oublier les incitations financières (aux États-Unis, 4 600 dollars pour diagnostiquer une pneumonie régulière, 13 000 dollars pour désigner quelqu’un avec les mêmes symptômes que la pneumonie liée Covid-19, 39 000 dollars pour placer un patient diagnostiqué d’une pneumonie liée Covid-19 sous assistance respiratoire. Combien de personnes sous aspirateur sans raison sont mortes ? Combien le confinement a-t-il tué de personnes ?
Cela a été fait par ce réseau mondial qui opère dans tous les pays et contrôle les pyramides de santé pharmaceutiques dans chaque pays. Les quelques-uns au sommet ont appliqué la politique menée depuis le centre : l’araignée qui consiste à désigner tout ce qui bouge de Covid.
La pandémie, canular de pandémie, a été jouée de cette manière. Jour après jour, la politique transforme la société humaine en ce qu’ils appellent la nouvelle normalité. La Grande Réinitialisation. La grande arnaque pour transformer la vie sur terre. En faveur du Nouvel Ordre Mondial et au profit de 1 % de la population mondiale.
Le système veut faire la guerre à la Russie et à la Chine. Le système déclenche des cataclysmes à Hawaï, des incendies partout, à volonté, avec les armes à énergie dirigée. Le système veut remplacer sa population et ne s’en cache plus. Le système a institué la religion vaccinale et veut vacciner tous les mois. Le système appauvrit les gens, il double les prix de toutes les denrées, mais l’inflation n’est pas liée à la guerre, ni à la sécheresse, l’inflation est liée à la volonté des entreprises bénies par le pouvoir européen et local de chaque pays de se remplir les poches, l’inflation est liée à la spéculation. Vaccin, pénurie alimentaire, pénurie pétrole : l’objectif est de créer la demande, de fomenter un climat anxiogène pour pouvoir vendre toujours plus cher, imposer une soumission populaire.
La société dirigeante est une ploutocratie génocidaire et informatique qui va contrôler ses populations. D’où le nombre 666, le chiffre de la Bête, l’annonce de l’Apocalypse. La société dirigeante est fasciste au sens du fascisme considéré comme l’union de l’État et des grandes entreprises. La société dirigeante incarne le triangle dramatique de Karpman, proposé par Stephen Karpman en 1968. Le manipulateur pervers passe du rôle de victime à celui de Persécuteur, puis de Sauveur. Toutes les combinaisons sont possibles, mais à la fin, le manipulateur gagne toujours. Il endosse le bon rôle, au bon moment, en fonction de la situation et des besoins.
La civilisation occidentale est une civilisation inconsistante, une civilisation Tartuffe. D’un côté, je suis humanitaire, je suis bon, de l’autre côté, je me remplis les poches. C’est ce que disait Trotski dans un discours : pour chaque brigandage, l’Amérique nous sert de l’humanitaire. On affame la population blanche occidentale, on la remplace, on la crétinise par l’éducation et par la télé, on la culpabilise. Prétexte, il faut lutter contre le réchauffement climatique.
Depuis cinq siècles et l’invention de l’imprimerie de Jean Gutenberg, la société est sous contrôle médiatique. La population sans réaction se laisse prendre, comme la grenouille dans l’eau qui chauffe doucement.
Au sommet du Gouvernement mondial du 14 février 2023, Klaus Schwab confirme toutes ces avancées : « Et nous avons juste maintenant nous avons bougé vers la phase exponentielle. Et je suis d’accord : l’Intelligence Artificielle mais aussi le Métavers, les technologies néo-spatiales et je pourrais continuer à en évoquer encore et encore ! La biologie synthétique.
Notre vie d’ici à dix ans sera complètement, différemment très affectée, et ceux qui contrôlent ces technologies, d’une certaine façon, seront les maîtres du Monde ».
Maurice Bardèche, universitaire, écrivain français (1907-1998), écrit : « Je crois que le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l’homme et de la création. Je crois à l’inégalité parmi les hommes, à la malfaisance de certaines formes de libertés, à l’hypocrisie de la fraternité.
Je crois à la force et à la générosité. Je crois à d’autres hiérarchies que celle de l’argent. Je crois le monde pourri par ses idéologies. Je crois que gouverner, c’est préserver notre indépendance, puis nous laisser vivre à notre gré ».
Friedrich Engels, philosophe allemand (1820-1895) : « La démocratie est une contradiction dans les termes, et au fond une pure hypocrisie… La liberté politique est un simulacre et le pire esclavage possible ; cette liberté fictive est le pire asservissement. Il en va de même de l’égalité politique : c’est pourquoi il faudra réduire en pièces la démocratie aussi bien que n’importe quelle autre forme de gouvernement ».
Jean Saunier