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L’ex-otage franco-israélienne Mia Shem s’est exprimée publiquement à la télévision sur sa détention dans la bande de Gaza et le moins que l’on puisse dire c’est que ses déclarations ne vont pas trop dans le sens d’un peuple palestinien victime du Hamas. C’est ainsi que la jeune femme a pu constater la réalité au sein de la famille qui la détenait et qui était « entièrement de mèche avec le groupe terroriste, y compris les femmes et les enfants ».
Dommage pour les tenants de la version idéaliste qui tend à dédouaner les Palestiniens musulmans de leur propension naturelle à la haine des juifs et des chrétiens.
Chrétiens qui, en Cisjordanie, sont eux-mêmes victimes de nombreuses exactions de la part des musulmans immaculés d’amour et un peu de haine de l’autre ! Leurs édifices religieux y sont ainsi vandalisés, voire brûlés, les chrétiennes violées – tout comme les femmes juives le 7 octobre dernier – car : « Les femmes sont les premières victimes de la violence islamiste à l’égard des chrétiens. Elles sont parfois violées, à l’occasion laissées pour mortes. » Allo ! Les gauchistes, vous avez entendu ?! Parce que nous, nous ne vous entendons pas beaucoup sur ce sujet !
Ces « menaces et intimidation contre les chrétiens en Palestine se sont accentuées depuis l’émergence de l’État islamique en Syrie. En février 2015, des islamistes ont installé un panneau d’affichage au centre-ville de Nazareth sur lequel ils ordonnaient aux chrétiens de ne pas répandre leur foi ou même de parler de Jésus d’une manière contredisant la version islamique de sa vie. » Raison principale pour laquelle les chrétiens en territoire islamique palestinien font mine de soutenir la fausse cause d’un faux peuple afin de ne pas subir trop de représailles. Car la rage islamique est une rage inextinguible, nous ne le savons que trop bien en France.
https://vigile.quebec/articles/christianophobie-la-persecution-des-chretiens-en-palestine
Mia Shem, quant à elle, a donc sévèrement heurté le déni des défenseurs de la Palestine islamique, qui serait massivement pacifique et opprimée par le Hamas, et ne mériterait pas les « injustes » représailles israéliennes. Hélas, il s’en trouve même dans nos rangs patriotes – et au nom d’un vieil antisémitisme résiduel – qui valident cette thèse absurde !
Mia, prototype de la jeunesse progressiste, bien éloignée du nationalisme ou d’un quelconque intégrisme religieux juif, a été victime de la réalité des faits, à savoir que les Palestiniens de Gaza – et d’ailleurs – sont quasi-unanimement pour le Hamas et la charia, et contre tous les mécréants : « Enfermée dans une pièce sombre, il est interdit de parler. Vous ne devez pas être vue, pas être entendue, vous êtes cachée. Il y a un terroriste qui vous regarde 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Il vous viole avec les yeux. Et bien sûr, il y a la peur d’être violée. J’étais dans sa maison, sa femme était à l’extérieur de la pièce avec les enfants. C’est la seule raison pour laquelle il ne m’a pas violé. »
Espérons qu’elle parviendra à convaincre les autres, dont les naïfs Israéliens qui manifestent contre la guerre à Gaza :
Toutefois, le témoignage de Mia ne révèle rien que nous ne sachions déjà, nous qui nous défions depuis des années d’une religions conquérante et dévastatrice. Il expose juste l’atrocité coutumière de la « culture lumineuse de paix », enfin d’après la doxa progressiste, mais qui se résume à ça : « J’étais par terre, couverte de sang, j’ai crié que j’avais perdu ma main […] quelqu’un a commencé à toucher le haut de mon corps, puis sorti de nulle part quelqu’un m’a tiré par les cheveux. On m’a mis dans une voiture et nous sommes allés à Gaza. »
Et à ceux qui croient encore que cela ne concerne que les juifs, ils oublient ou ignorent que, pour les Palestiniens musulmans, nous sommes tous des mécréants, c’est-à-dire des ennemis à éliminer : « Ô les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens ; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d’entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes. » (Coran 5/51-52).
Dans l’esprit d’un musulman, Mia, tout comme les victimes du 7 octobre, du 11 Septembre ou du 13 Novembre, etc., ne sont pas humaines. La jeune franco-israélienne, sans doute très candide avant sa sordide expérience, l’ignorait. Elle ne l’ignore plus désormais…
(PS : l’entretien complet de Mia Shem est diffusé sur CNews le 29 décembre à partir de 21 heures)
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