La sexy-baronne est-elle jetée en pâture à la presse (aux chiens galeux aurait dit François Mitterrand), pour protéger le Premier ministre ?
Michelle Georgina Mone, née Allan à Glasgow (Écosse), le 8 octobre 1971
Sa scolarité s’est interrompue à l’âge de 15 ans et elle n’a aucun diplôme. Ancienne mannequin, Michelle Georgina Mone a percé avec succès dans la lingerie féminine, en particulier dans la vente de soutiens-gorge, de petites culottes et de strings.
Doit-elle son titre de « baronne » (pair à vie du Royaume-Uni), accordé en 2015 par le Premier ministre David Cameron à ses indéniables atouts naturels ?
La sexy-baronne de 51 ans se retrouverait-elle au cœur d’un scandale avec le rôle peu enviable d’« arbre qui cache la forêt » ?
Le quotidien anglais de centre gauche, The Guardian, vient de boucler une enquête de deux ans sur ce qu’il présente comme étant le « Le scandale de la baronne Mone », mais qui mériterait plutôt d’être appelée le « scandale des contrats des EPI » (équipements hospitaliers de protection individuelle).
Résumé de l’affaire
Comme de nombreux autres membres éminents du cercle des dirigeants conservateurs anglais, la baronne Mone s’est retrouvée en 2020 au cœur de la prétendue « crise » de la fausse pandémie du « C19 ».
Inscrite sur une liste nommée « VIP », elle a pu favoriser une société afin qu’elle obtienne de juteux contrats avec le gouvernement britannique dans le cadre de sa politique de lutte contre cette fausse pandémie de « C19 ».
Cette liste « VIP » a permis aux inscrits d’éviter les rigoureuses procédures qui encadrent les marchés publics au Royaume-Uni.
325 millions de livres sterling, soit près de 375 millions d’euros pour cette première affaire…
Pour l’occasion, une société est créée, la « PPE Medpro » et la sexy-baronne intervient pour que cette société obtienne des contrats pour fournir les hôpitaux du Royaume-Uni en vêtements individuels de protections, dont des masques, pour les personnels soignants.
Sans appel d’offre publique et sans mise en concurrence, liste VIP oblige, la société « PPE Medpro » soutenue par Michelle Mone, aurait obtenu un premier contrat d’un montant de 203 millions de livres sterling, puis un second de 122 millions, soit au total 325 millions de livres sterling, soit près de 375 millions d’euros pour cette première affaire…
La baronne Michelle Mone s’est naturellement défendue de tout conflit d’intérêts, puisqu’elle ne serait pas actionnaire de la société « PPE Medpro »…
Une saga digne des dictatures africaines ou communistes des années 1970 ou de la macronie actuelle
La suite démontre à quel point les dirigeants politiques occidentaux se savent judiciairement intouchables. D’ailleurs, sans cela, et en tenant compte du droit actuel, les inscrits sur cette liste VIP anglaise, tout comme les signataires français des contrats avec McKinsey & Co., ou avec Pfizer & Co., seraient tous en prison pour de longues années.
Les contrats signés, et l’argent encaissé, la société « PPE Medpro » a importé de Chine (principalement de Hong Kong) des équipements de protection individuelle dont la qualité était si médiocre qu’ils ne pouvaient pas être utilisés par les personnels soignants des hôpitaux.
Un trust du futur mari de la sexy-baronne empocherait « moins » deux versements de 65 millions de livres sterling…
En septembre 2020, peu de temps après le versement des premiers 203 millions de livres sterling à la société, un trust domicilié sur l’île de Man et détenu par Doug Barrowman, futur mari de la sexy-baronne, aurait reçu deux versements d’un total d’au moins 65 millions de livres sterling…
De ce trust, environ 45,8 millions de livres sterling auraient été transférés sur un de ses comptes bancaires personnels, apparemment détenu à la HSBC de l’île de Man.
Un trust de la sexy-baronne aurait reçu près de 30 millions de livres sterling…
Toujours en septembre 2020, depuis le compte bancaire du trust de Doug Barrowman, son futur mari, une somme de 28,8 millions de livres sterling aurait été transférée vers un autre trust appartenant cette fois à la baronne, sa future épouse.
Les millions encaissés sur différents comptes, les heureux multimillionnaires se marient…
Le 28 novembre 2020, la sexy-baronne Michelle Mone épouse sur l’île du Man Douglas Barrowman et depuis leur union officielle, ils diffusaient sur les réseaux sociaux des photos de leurs agapes et de leur bonheur d’être très riches.
L’enquête du Guardian dresse la liste de quelques acquisitions réalisées avec l’argent des contribuables, acquisitions en principe destinées à la protection du personnel soignant du Royaume-Uni :
Un cheval de course, « Monbeg Genius », acheté pour 80 000 livres sterling.
- Un jet : un Cessna de 11 places (immatriculation M-KNOX), acquisition estimée à 10 millions de dollars.
- Un yacht : le « Lady M », acquis en mai 2021 pour 6 millions de livres sterling.
On apprend également que les trois enfants adultes de Mone auraient acheté en août 2020 quatre propriétés à Glasgow pour plus de 3 millions de livres sterling chacune. Huit autres propriétés auraient été achetées par un trust familial pour 9 millions de livres sterling dans le prestigieux Park Circus de Glasgow.
La « National Crime Agency » (NCA) intervient
En avril 2022, alors que la sexy-baronne Mone fait une apparition à la Chambre des Lords à Londres pour voter sur un projet de loi gouvernemental, dans le même temps des agents de la « National Crime Agency » (NCA) perquisitionnent ses propriétés à Londres et sur l’île de Man : une enquête pour suspicion de fraude serait en cours.
L’arbre qui cache la forêt, et 325 millions de livres sterling ce serait « peanuts » (« cacahuètes »)
La baronne est très active sur X pour orchestrer médiatiquement sa défense, dont on peut retenir une seule chose : les 325 millions de livres sterling encaissés par « PPE Medpro », ce serait « peanuts » si l’on croit l’un de ses derniers messages :
« Vous n’avez probablement jamais entendu parler de lui, mais Sir Chris Wormald est l’homme directement responsable du gaspillage de 4 milliards de livres sterling en EPI. Il a des questions très sérieuses auxquelles il faut répondre. »
Rishi Sunak, le Premier ministre est-il à l’abri ?
La question que se poseraient pas mal de responsables politiques proches de l’actuel Premier ministre Rishi Sunak serait la suivante : est-ce que le scandale de l’affaire Mone protège Rishi Sunak au sujet des plus-values qu’il aurait encaissées grâce à la vente d’actions de Moderna qu’il aurait favorisé alors qu’il était ministre des Finances ?
Et là, il ne serait pas question de quelques petits 325 millions de livres sterling, ni même de 4 milliards…
« L’amélioration perpétuelle de leur niveau de vie »
Ils sont tous à vomir (certains diraient, mais pas moi, monsieur Breton, qu’ils sont à « pendre »), et la baronne également.
Ils créent des crises pour nous asservir à jamais pendant qu’ils s’enrichissent sur le dos de la bête et qu’ils font avancer, implacablement, l’Agenda 2030 et la dépopulation de la Planète.
Pour eux, c’est l’amélioration perpétuelle de leur niveau de vie. Ils s’achètent des yachts, des jets, des chevaux de course, de résidences de multimillionnaires, pendant que pour nous c’est le déclin sans espoir de retour à vie meilleure.
Pendant qu’ils se goinfrent des meilleures viandes, des meilleurs champagnes et caviars, pour se distraire, ils se rendent en jet privé dans divers forums pour expliquer que les gueux que nous sommes à leurs yeux doivent se priver de tout, de leurs voitures, de leurs chauffages, de leurs animaux de compagnie, et qu’ils doivent se mettre à bouffer des insectes et à boire du lait de cafard – tout en étant régulièrement injectés avec leurs produits à ARNm, car il faudrait sauver l’espèce humaine de fausses pandémies et la planète du faux réchauffement climatique s’origine humaine (et animale maintenant).
N’est-il pas grandement temps de penser très sérieusement à leur désobéir ?
En tout ?
Pour tout ?
Tout le temps ?
Mais clandestinement…
Bien amicalement.
Pierre Lefevre
Les « sources » des informations que nous diffusons sont en liens dans nos lettres.