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22 janvier 2024 1 22 /01 /janvier /2024 02:06
Union européenne : ne plus subir

Les citoyens de notre continent ont cru pendant longtemps que c’était pour répondre à leurs aspirations pacifiques, à leur volonté de coopération politique et économique et à leurs souhaits de prospérité que l’Union européenne avait été créée. Trouvant son origine dans la CECA puis le Marché commun, remarquable réussite, celle-ci est devenue en 50 ans un monstre.

L’imposture de l’Union européenne
L’UE est devenue un outil du mondialisme financier et de la ploutocratie prédatrice grâce auquel celle-ci impose son pouvoir économique et ses décisions politiques aux États-nations soumis de notre continent. Elle n’est plus qu’une franchise de l’atlantisme et le relais servile et empressé de la domination américaine sur le continent européen et des intérêts du « deep state » financier et militaro-industriel de Washington.

L’UE, siège d’une bureaucratie cooptée, non élue et vivant dans l’entre-soi, est l’ennemie des nations et des peuples européens qu’elle entend abaisser et faire disparaître en poussant à leur dislocation au travers de sécessions et de partitions afin de les diluer dans un grand magma apatride de consommateurs.
Sur la base des traités que des dirigeants félons ont accepté de signer, la bureaucratie bruxelloise impose des directives qui transforment profondément notre législation et ont contribué à détruire notre industrie, notre agriculture et notre secteur de l’énergie. Par exemple au plan civilisationnel elle vise à substituer la « common law » anglo-saxonne au droit continental classique d’inspiration romaine qui est un pan de notre civilisation européenne.

Au plan des principes de la démocratie l’Europe de Bruxelles, siège d’une oligarchie cooptée manifeste la plus grande hostilité au suffrage universel, aux votes populaires et aux expressions de la démocratie directe comme les référendums. Il faut rappeler la forfaiture de Sarkozy et de la classe politique française qui consista à annuler le refus des électeurs français de la Constitution européenne en 2005. Depuis ce jour union européenne et démocratie sont des concepts inconciliables.

De même la puissance atlantique veille à contrôler la désignation à Bruxelles et à la tête de nos pays de dirigeants contestables, voire méprisables, comme Juncker et von der Leyen ou souvent issus de l’oligarchie financière mondiale tels Draghi.
L’UE, contestée par les peuples, devenue une ennemie des libertés fondamentales, ne peut trouver de solution que dans une tyrannie, chaque jour plus affirmée, qui s’exerce contre des nations comme la Pologne et la Hongrie et contre la liberté d’expression.

Largement grâce à l’UE, l’Allemagne avait atteint avant la crise ukrainienne les objectifs qu’elle s’était fixés au XXe siècle : la domination sans contestation de l’Europe.

L’Union européenne n’est que lâcheté et faiblesses :
• laxiste, ouverte, complice, déjà soumise, en fusion avec l’Allemagne, elle impose aux peuples de notre continent une invasion brutale d’allogènes et un Grand Remplacement démographique qui pourrait faire des populations de souches européennes des minorités chez elles ;
• elle est ouverte à tous les vents et particulièrement au libre-échange mondialisé qui a ruiné notre industrie et à la conquête de notre patrimoine par les prédations américaine (Alstom) comme chinoises;
• elle n’a que peu de poids diplomatique dans le monde. Après les mensonges de Minsk le président russe ne lui fait plus confiance. Il la tient pour quantité négligeable en vue des négociations à venir. Le seul sentiment qu’inspire l’Europe dans le monde est le mépris  ;
• elle est dotée d’une monnaie inadaptée et néfaste sauf pour l’Allemagne : l’euro.

En réalité l’Union européenne n’est plus composée aujourd’hui à l’exception de la Hongrie, peut-être de la Slovaquie et naguère de la Pologne que de nations, dont notre vieux et cher pays, complètement vassalisées et colonisées par l’atlantisme : « les nations esclaves ».

En réalité l’Union européenne n’est plus composée aujourd’hui à l’exception de la Hongrie, peut-être de la Slovaquie et naguère de la Pologne que de nations, dont notre vieux et cher pays, complètement vassalisées et colonisées par l’atlantisme : « les nations esclaves ».

Elles ont été attraites à des degrés différents dans la guerre d’Ukraine à cause de leur appartenance à l’OTAN mais surtout pour céder aux ordres et aux puissantes pressions de Washington. Désormais l’UE qui devait représenter une garantie de paix se trouve impliquée dans un conflit qui oppose l’OTAN à la Russie. Les sanctions exigées par Washington ruinent nos pays, dont la France. L’Allemagne menée par un pantin est en perdition. En attendant les USA qui n’ont pas eu un militaire tué, relancent leur économie et pillent ce qui reste des économies européennes, les dirigeants européens étant complices.
Cette histoire sinistre n’est pas finie. L’aliénation complète du continent européen est en cours d’officialisation et de textualisation.

L’aliénation définitive de notre continent européen
Durant l’année 2023 les événements se sont précipités. Les autorités de Bruxelles ont été saisies d’une frénésie multiforme de franchissement d’étapes décisives vers l’aliénation puis la disparition des souverainetés et les libertés de notre continent.

Pourquoi ce bouillonnement de textes et cette précipitation ? L’échec de l’armée ukro-otanienne au cours de l’année fait entrevoir à terme une sévère défaite de l’OTAN elle-même. De surcroît Washington semble vouloir se détourner de l’affaire ukrainienne en s’engageant au Moyen-Orient avec leur délicatesse et leur habileté habituelle et en gardant un œil belliciste sur la Chine. Cela laisse prévoir la possibilité d’une désagrégation peut-être une débâcle de l’atlantisme et par voie de conséquence celles de l’UE. Selon Jean Goychman un vent de panique souffle sur Bruxelles. Il apparait donc impératif de serrer les rangs et de poser le plus vite possible les fondements d’une Europe de l’avenir c’est-à-dire celle de la grande réinitialisation, de la substitution démographique et de l’hostilité à la Russie. C’est une course de vitesse afin de tenter de fixer les institutions européennes et de les empêcher d’éclater. Il s’agit d’atteindre dans les meilleurs délais un point de non-retour opposables aux nations et aux peuples européens.

Faisons l’inventaire
Les « grandes orientations des politiques économiques » (GOPÉ) sont des « recommandations » de politique économique et sociale émises chaque année par la Commission européenne, et adressées à chacun des États membres en vertu de l’article 121 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE).
Cette atteinte fondamentale à la souveraineté des nations européennes est ancienne mais se durcit au fil du temps. C’est en fait la véritable feuille de route de la politique économique et sociale de tous les États membres de l’UE. Les « recommandations » émises par Bruxelles sont de facto des obligations. La Commission peut sanctionner les États membres qui s’écarteraient ou seraient en retard dans l’application des mesures préconisées avec des sanctions financières à la clé.

Au début d’octobre 2023 d’anciens responsables politiques de l’UE ont publié un manifeste pour un « fédéralisme progressif et pragmatique ». Dans la foulée le 22 décembre 2023, le Parlement européen a adopté des propositions de réforme des traités européens à une faible majorité. On n’y parle pas explicitement de « fédéralisme » mais il est largement sous-entendu. À titre d’exemple, le vote à la majorité simple ou qualifié devient la règle. Il serait créé une fonction de « Président de l’Union européenne », ainsi qu’une « union de la défense » dotée de capacités militaires sous le commandement opérationnel de l’UE.

En août 2023, le président du Conseil européen, Charles Michel, a déclaré que l’Union européenne devait être prête à intégrer de nouveaux membres “d’ici 2030”.
Réunis à Grenade, le 6 octobre 2023, les chefs d’État des 27 pays de l’Union européenne ont démarré les discussions pour un élargissement de l’UE à de nouveaux membres, dans le cadre de la préparation de l’Agenda stratégique 2024-2029. Il s’agit notamment de l’Ukraine, de la Moldavie, de la Géorgie et de pays balkaniques dont la perspective d’adhésion a fait l’objet d’un sommet UE-Balkans occidentaux le 13 décembre 2023.

Le Conseil européen s’est réuni les 14-15 décembre 2023 et a émis des conclusions qui font le choix de vouer l’UE qui est devenue une organisation belliciste, au soutien des guerres occidentales : Ukraine, droit d’Israël à se défendre… L’UE est donc appelée à devenir une OTAN bis lorsque la maison-mère sera occupée à chercher des noises à d’autres parties du monde.

Enfin, le 20 décembre dernier, un accord sur cinq actes législatifs de l’UE a eu lieu entre le Conseil et le Parlement européen sur la réforme du système d’asile et de migration de l’Union. Un système de solidarité obligatoire sera instauré entre membres de l’UE qui s’engage à réinstaller environ 60 000 réfugiés en 2024-2025.

Au final, en quelques mois, c’est dans la précipitation et la panique face à une possible déroute de l’atlantisme que les dirigeants non élus de l’Union européenne pour qui la constitution du fédéralisme européen c’est maintenant ou jamais, ont procédé à un coup d’État contre les États-nations. Visiblement ils n’ont pas l’intention de demander leur avis aux peuples européens. Nous nous trouvons dans un processus de création d’un État européen qui fera l’objet d’un élargissement à dix nouveaux pays dont l’Ukraine. Cet État deviendra un OTAN bis dédié en priorité aux conflits avec la Russie et est appelé à prendre en main l’organisation et la gestion des migrations à la place des États.

Appartenir à cet Eurogoulag, né d’une escroquerie idéologique, quasi totalitaire, corrompu, ouvert aux invasions et vassalisé par l’atlantisme ne peut n’être ressenti que comme humiliant et déshonorant d’une manière intolérable par les citoyens européens lucides.
Une prise de conscience existe chez les peuples européens. Elle se traduit par l’émergence et la présence politique de partis attachés au concept d’État-nation, plus ou moins hostiles à l’invasion migratoire et à la dissolution de leur pays dans le magma européiste et mondialiste.

Nombreux sont ceux qui clament qu’il faut sortir de l’Union européenne et que c’est une question de vie ou de mort. C’est le titre du livre d’Alain Falento. Certains, comme François Asselineau, appellent à un Frexit que mènerait un gouvernement attentif aux intérêts de la France et des Français et soucieux de notre indépendance et de notre souveraineté.

Une sortie de l’Union européenne par le Frexit ?
Les objectifs d’un Frexit.
Comme le plaide Asselineau, le Frexit devrait être lancé et se dérouler en application des traités qui ont créé l’Union européenne dans son état actuel et en priorité de l’article 50 du TFUE qui prévoit un mécanisme de retrait volontaire et unilatéral d’un pays de l’UE. Celui-ci doit notifier au Conseil européen son intention de le faire.
Quels pourraient être les grands objectifs ?
Refuser notre vassalisation et reprendre possession de notre destin afin d’éviter , comme aujourd’hui, d’être engagé dans des conflits qui ne nous concernent pas et de garder le contrôle de l’immigration dans notre pays

Retrouver les attributs de l’État-Nation :
– l’indépendance ;
– la souveraineté (en regrettant que ce mot ait été pollué et déconsidéré par le jacobinisme de certains), juridique, monétaire, militaire, diplomatique ;
Réaffirmer les principes républicains du suffrage universel, de la démocratie et de l’intangibilité des libertés fondamentales.

Récupérer notre souveraineté énergétique, industrielle, économique et financière
Un Frexit réussi devrait être accompagné de l’abandon de la monnaie commune, l’euro. Il en irait de même d’une sortie de la Cour Européenne des Droits de l’Homme fortement infiltrée et noyautée par l’organisation Soros. À terme, la France devrait quitter l’OTAN, organisation à but défensif qui aurait dû s’auto-dissoudre lors de la fin de l’empire soviétique.

Les obstacles à un Frexit
Les obstacles à un Frexit apparaissent cependant nombreux et contraignants :
• politiques tout d’abord :
– la puissance de l’oligarchie financière mondialiste capable d’imposer par un coup d’Etat médiatico-judiciaire un candidat quasi-inconnu et sans bilan économique et politique, à la présidence d’une grande nation occidentale ;
– l’infiltration et la présence étendue dans les rouages politiques français des complices du mondialisme et du « deep state » américain ;
– la force militante de la plupart des médias occidentaux qui écrase les opinions dissidentes ;
– les ruines encore debout de l’espoir européen ;
• la frilosité d’une partie importante des populations âgées soucieuse de ses économies et guère tentée par ce qui lui apparaîtrait comme une aventure incertaine représente un argument fort contre le Frexit. Asselineau reproche vivement, parfois avec excès, à ses concurrents, notamment Zemmour, leur refus du Frexit. Mais serait-il raisonnable, face aux réalités de cet électorat de s’exposer à un échec qui serait funeste pour la cause de la sortie de l’Union européenne ? Même si aujourd’hui, il constate de plus en plus la présence de personnes plus âgées qu’auparavant à ses réunions, lancer un Frexit à l’heure actuelle aboutirait probablement à une impasse ;

• les difficultés techniques et la lenteur forcée d’une sortie. Nous le voyons bien avec le Brexit. Il aura fallu beaucoup de temps au Royaume-Uni pour le faire voter et les réalités économiques et juridiques ont pesé et pèsent toujours sur la sortie effective de l’Union européenne. Or l’Angleterre ne s’est pas heurtée au problème de la sortie de l’euro ce qui pourrait être le lot de la France. Un Frexit pur et simple exigerait des années d’effort. Or il y a urgence .

Bernard Monot qui est profondément hostile à ce qu’est devenue l’Union européenne a cependant écrit dans son livre « l’Eurovision pour les peuples » qu’un Frexit se traduirait pour la France par une déstabilisation politique et économique et, à terme, par un chaos social plus grand encore que celui engendré par l’application des politiques de l’UE. C’est la raison pour laquelle au vu des difficultés inextricables du Brexit il choisit l’option inverse : faire un « Bruxit » plutôt qu’un Frexit, c’est-à-dire de retirer le fédéralisme bruxellois de l’UE pour reconstruire une « Europe des patries », fondée sur des projets et des coopérations.
Mais pour le réaliser il faudrait un gouvernement attentif aux intérêts et au destin de la France. Ce n’est pas le cas.

À court terme la solution devrait passer par l’insoumission et la dissidence
L’objectif serait de déstabiliser cette tour de Babel vacillante par des refus d’obéissance aux diktats de la bureaucratie de Bruxelles et les dénonciations des dérives de l’UE et de ses dirigeants :
• la corruption qui règne à la tête de l’UE, en particulier celle de la présidente de la commission : Frau von der Leyen qui n’a toujours pas communiqué ses mails concernant les contrats Pfizer, peu de pays tapant du poing sur la table, malgré les efforts admirables de Sylvie Joron. Sans parler des valises de billets qu’on trouve sous les lits de responsables ;
• l’exercice d’un pouvoir illégitime et non conforme aux traités et aux règles de l’union par la même Frau von der Leyen, non élue, qui, en particulier, en bonne bochesse, nous pousse à la guerre avec la Russie ;
• ce sont des opportunités qui devraient être immanquables pour leur faire sentir leur absence de légitimité et leurs responsabilités dans ce qu’est devenue l’Union européenne.

Notre pays devrait reprendre la main sur la législation et la réglementation, notamment en matière économique :
• maintenir contre la Commission, comme la Hongrie et la Pologne, des lois et des réformes conformes à l’intérêt national et aux traditions du pays, même si elles ne cadrent pas avec l’idéologie européiste ;
• refuser des directives conformes à l’idéologie européiste et mondialiste, contraires à l’intérêt national et qui détruisent notre industrie et notre agriculture;
• prendre des mesures de protection du patrimoine industriel, foncier et artistique de notre pays par une procédure d’autorisations qui a existé (notamment celles du Trésor) et par des nationalisations temporaires ;
• créer l’équivalent du «  small business act » américain ;
• refuser la logique des travailleurs détachés dont les cotisations salariales et patronales devraient être celles du pays d’accueil et non du pays d’origine.

Refuser l’invasion migratoire et les quotas de clandestins comme le fait la Hongrie, restaurer des protections aux frontières et adapter Schengen à nos urgences.
Annuler progressivement nos sanctions à l’égard de la Russie.

En définitive, il s’agit de contester et délégitimer la gouvernance bruxelloise sur des sujets primordiaux comme mineurs et de dérégler voire de défaire la machine bruxelloise.
Il nous sera objecté le respect des traités comme Bernard Monot l’a fait dans son livre en 2019. Il convient de noter que François Asselineau, naguère très ferme sur ce thème, semble assouplir sa position dans ses dernières vidéos, comme d’ailleurs sur l’immigration : un traité est fait pour être modifié s’il est dommageable.

D’ailleurs l’activité de von der Leyen est-elle conforme aux traités européens ? Draghi n’a-t-il pas violé éminemment les règles de base de l’euro en lançant son quantitative easing ?
Ne pas subir, c’est ce qu’ont fait la Pologne et la Hongrie malgré les chantages de Bruxelles. C’est ce que fait un petit pays comme le Danemark en matière d’immigration. C’est ce qu’ont fait l’Espagne et l’Italie dans le domaine de l’énergie.

Rappelons-nous les dégâts dans le dispositif de l’UERSS qu’a accomplis Nigel Farage par son éloquence et sa détermination à libérer son pays ce qu’il a réussi. Et Sylvie Joron ? Son courage et sa compétence mettent en lumière les dérives glauques de Bruxelles.
Quels sont les risques ? Des amendes ? Chaque année la France est créditrice. Nous envoyer un corps expéditionnaire ?
La France est l’un des rares pays à détenir l’arme absolue. Pas de France, plus d’Europe ! Si le confetti fiscal du Luxembourg se retirait il faudrait une loupe pour s’en apercevoir.

En fait il existe deux grands obstacles à un tel type de solution :
• l’officialisation dans l’affolement et l’extrême urgence, de la création d’un État européen et de ses politiques militaires, d’immigration et d’élargissement. Une fois installé, cet État aura les moyens et le pouvoir de la répression et de l’élimination de toutes les oppositions ;
• la présence à la tête du pouvoir français d’un imposteur totalement intégré à l’oligarchie mondialiste et dévouée aux ambitions et au projet de celle-ci.

L’Ultima ratio de nos espoirs
Face à ces obstacles l’ultima ratio de la défense et de la préservation de nos libertés et de la souveraineté de nos pays européens se trouve dans leur peuple et leurs protestations.
Les médias subventionnés occultent ce qui se passe en Europe :
• le soulèvement violent des agriculteurs néerlandais à qui on a voulu faire céder leurs fermes pour faire de la place à de nouvelles constructions de la grande réinitialisation ;
• la réaction violente d’Irlandais à la suite d’une agression meurtrière par un allogène d’un de leurs compatriotes ;
• en Allemagne, il paraît que des manifestations massives se répètent de manière permanente ;
• en Espagne, également, des manifestations de masse se sont déroulées contre la politique de Sanchez à l’égard de la Catalogne ;
• en France le monde agricole connaît une agitation de protestation et semble entrer en dissidence. Le mépris de l’imposteur est général et les sondages montrent l’opposition des Français à la politique migratoire actuelle. Les réactions de plus en plus vives ont lieu à la suite de crimes commis par des immigrés.

Une déroute de l’OTAN pourrait-elle-disloquer cette tour de Babel ? 2024 semble devoir être très intéressante. Sera-t-elle celle du réveil ?

André Posokhow
26 décembre 2023

 

Extrait de: Source et auteur

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