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19 février 2024 1 19 /02 /février /2024 03:47
Le covid, une plate-forme pour le bioterrorisme et les armes biologiques

Intervention du docteur David Martin au Parlement européen

Il y a plus d’une décennie, j’étais assis dans ce même fauteuil. À l’époque, j’avais alerté le monde sur ce qui se préparait. Nous avions discuté de la question de savoir si l’Europe devait adopter la politique des États-Unis qui consiste à autoriser les brevets sur les matériaux d’origine biologique. Et à l’époque, j’ai exhorté cette institution, et j’ai exhorté les gens du monde entier, à réaliser que la militarisation de la nature contre l’humanité avait des conséquences désastreuses.

Tragiquement, je suis assis ici aujourd’hui, avec cette phrase malheureuse que je n’aime pas dire, à savoir, « Je vous l’avais bien dit ». Nous sommes ici pour faire face à la condition humaine et poser la question : Qui voulons-nous être ? À quoi voulons-nous que l’humanité ressemble ?

Et plutôt que de voir cela comme un exercice futile, ce qui est très facile de temps en temps lorsque vous êtes dans ma position, je ne vois pas cela comme un exercice futile. Je vois cela comme l’une des plus grandes opportunités qui s’offrent à nous, parce que nous avons maintenant une conversation publique, qui est au premier plan dans l’esprit des gens, alors que c’était une conversation ésotérique sur les brevets biologiques dont tout le monde se fichait. Mais lorsque cette conversation est entrée dans les maisons, c’est devenu quelque chose dont les gens peuvent se préoccuper.

Cela ne s’est pas produit au cours des 3 dernières années. Cela ne date pas des 5 ou 6 dernières années. Il s’agit en fait d’une question permanente qui a probablement commencé ici en Europe, au début du milieu des années 1990. Mais il est certain que dès 1913-1914, cette conversation a commencé ici même, en Europe centrale. La pandémie, que nous croyons être survenue ces dernières années, ne s’est pas non plus produite du jour au lendemain. En fait une pandémie très spécifique utilisant le coronavirus a commencé à une époque bien différente.

La plupart d’entre vous ne savent pas que le coronavirus, en tant que modèle d’agent pathogène, a été isolé en 1965. Le coronavirus a été identifié en 1965 comme le premier modèle viral réplicable infectieux pouvant être utilisé pour modifier une série d’autres éléments de la condition humaine. Il a été isolé à une époque où il était associé au simple rhume. Mais ce qui est particulièrement intéressant au sujet de son isolation en 1965, c’est qu’il a été immédiatement identifié comme un agent pathogène pouvant être utilisé et modifié pour toute une série d’objectifs. C’était en 1965.

En 1966, le tout premier COV modèle de coronavirus, a été utilisé dans le cadre d’une expérience biologique transatlantique de manipulation humaine. 1966. Cela ne s’est pas fait du jour au lendemain. Il s’agit là d’un événement préparé depuis longtemps. En 1966, nous avons eu la première expérience transatlantique d’échanges de données sur le coronavirus entre les États-Unis et le Royaume-Uni. Et en 1967, nous avons réalisé les premiers essais d’inoculation de coronavirus modifiés à des êtres humains. N’est-ce pas incroyable ? Il y a 56 ans. Le succès du jour au lendemain, d’un agent pathogène dont l’ingénierie a duré 56 ans.

Où étions-nous lorsque nous avons autorisé, en violation des traités sur les armes biologiques et chimiques, où étions-nous ? En tant que civilisation humaine ? Quand nous pensions qu’il était acceptable de prélever un agent pathogène des États-Unis et d’en infecter le monde entier ? Où en était cette réflexion ? Et qu’aurait dû être cette discussion en 1967 ? Cette discussion n’a pas eu lieu.

Ironiquement, le rhume a été transformé en chimère, dans les années 1970. En 1975, 1976, et 1977, nous avons commencé à chercher comment modifier le coronavirus, en l’introduisant dans différents animaux, les porcs et les chiens. Et sans surprise, en 1990, nous avons découvert que le coronavirus, en tant qu’agent infectieux, était un problème industriel pour principalement deux industries : les industries du chien et du porc. Les éleveurs de chiens et de porcs ont constaté que le coronavirus provoquait des problèmes gastro-intestinaux. C’est sur cette base que Pfizer a déposé le brevet du premier vaccin, à base de protéine de pointe (Spike). Brevet déposé en 1990.
1990. Opération « Warp Speed ». Où sont la pression et la vitesse ? Pfizer 1990, le tout premier vaccin à base de protéines de pointe contre le coronavirus. N’est-ce pas fascinant ? N’est-ce pas fascinant que l’on nous ait dit que la protéine de pointe était une nouveauté et que nous venions de découvrir que c’était là le problème ? Non. En fait, nous n’avons pas découvert le problème maintenant, nous l’avons découvert en 1990, et nous avons déposé le premier brevet sur les vaccins en 1990 contre la protéine de pointe du coronavirus.

Pfizer, la compagnie qui n’a pas acheté les votes de cette assemblée et de toutes les assemblées de tous les gouvernements du monde. Pas ce Pfizer-là. Ils n’ont certainement rien à voir avec cela. Oh si, ils y sont pour quelque chose. Et en 1990, ils ont découvert qu’il y avait un problème avec les vaccins. Ils ne fonctionnaient pas. Pourquoi ? Le coronavirus est un modèle très malléable, qui se transforme, change et mute au fil du temps. Et toutes les publications sur les vaccins contre les coronavirus, de 1990 à 2018, chaque publication a conclu que le coronavirus échappe à la stimulation vaccinale, parce qu’il se modifie et mute trop rapidement pour que les vaccins soient efficaces. Et depuis 1990 jusqu’à 2018, c’est la science qui a été publiée. C’est ce que l’on appelle suivre la SCIENCE. Suivre la science, c’est leur propre mise en accusation de leurs propres programmes qui disaient que ça ne marchait pas. Il existe des milliers de publications à ce sujet, qui ne sont pas payées par des sociétés pharmaceutiques. Ces publications issues de recherches scientifiques indépendantes montrent sans équivoque, y compris les efforts de modification des chimères, réalisés par Ralph Baric à l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill, toutes montrent que les vaccins ne sont pas efficaces contre le coronavirus. Et cette science n’a jamais été contestée.

Cependant, une évolution intéressante s’est produite en 2002. Cette date est très importante. En effet, en 2002, l’université de Caroline du Nord, à Chapel Hill, a breveté, je cite : « un clone infectieux de coronavirus dont la réplication est défectueuse ». Que signifie cette phrase ? Le terme « infectieux à réplication défectueuse » signifie qu’il s’agit d’une arme. Il s’agit d’une arme destinée à cibler un individu sans causer de dommages collatéraux à d’autres individus. Et ce brevet a été déposé en 2002, sur la base de travaux financés par le NIAID de Anthony Fauci (Institut national des allergies et des maladies infectieuses) de 1999 à 2002. Ces travaux, brevetés en Caroline du Nord, à Chapel Hill, ont mystérieusement précédé d’un an le SRAS 1.0.

Le SRAS 1.0 ne provenait pas d’un marché clandestin de Wuhan. Il pourrait provenir d’un laboratoire de l’université de Caroline du Nord, à Chapel Hill. Ce sont les faits. Nous avons fabriqué le SRAS. Le SRAS n’est pas un phénomène naturel. Le phénomène naturel s’appelle le rhume. Il s’agit d’une maladie de type grippal. Il s’agit de la gastro-entérite. C’est le coronavirus naturel. Le SRAS est le résultat d’une recherche menée par des humains qui ont utilisé un modèle de système de vie pour s’attaquer à des êtres humains, et ils l’ont breveté en 2002. Et en 2003, surprise de taille, le CDC a breveté le coronavirus humain, en violation, une fois de plus, des traités et des lois sur les armes biologiques et chimiques en vigueur aux États-Unis.

Je suis très précis sur ce point. Les États-Unis aiment parler de leur droit et de tout le reste, de l’État de droit et de toutes sortes d’absurdités. Mais nous ne ratifions pas de traités concernant la défense des êtres humains. Nous évitons ostensiblement de le faire. En fait, nous avons l’habitude de défendre les droits de l’homme, puis de les nier lorsqu’il s’agit de faire partie de la communauté internationale, ce qui est légèrement problématique.
Lorsque le CDC a déposé le brevet, en avril 2003, sur le modèle du coronavirus du SRAS isolé chez l’homme, qu’ont-ils fait ? Ils ont téléchargé une séquence en provenance de Chine et ont déposé un brevet sur cette séquence aux États-Unis. Tous ceux qui connaissent les traités sur les armes biologiques et chimiques savent qu’il s’agit d’une violation. C’est un crime. Il ne s’agit pas d’une erreur innocente. C’est un crime. L’office américain des brevets a rejeté cette demande de brevet à deux reprises, jusqu’à ce que les CDC décident de corrompre l’office des brevets pour qu’il passe outre l’examinateur de brevets et délivre finalement le brevet en 2007 sur le coronavirus SRAS. Ne perdons pas cela de vue, car la RT-PCR, le test que nous allions prétendument utiliser pour identifier le risque associé au coronavirus, a en fait été identifiée comme un acte de bioterrorisme par moi-même, lors des événements parrainés par l’Union européenne, en 2002 et 2003. Il y a 20 ans. Cela s’est passé ici à Bruxelles et dans toute l’Europe.

En 2005, ce pathogène en particulier a été spécifiquement qualifié de plate-forme technologique pour le bioterrorisme et les armes biologiques. Il a été désigné comme tel, ce n’est pas ma terminologie que j’utilise. Et à partir de 2005, il s’agissait d’un agent permettant de mener une guerre biologique. C’est la classification officielle depuis 2005. Cela ressemble-t-il à de la santé publique ? Est-ce le cas ?
« Technologie permettant la guerre biologique ». Cela ne ressemble pas à de la santé publique. Cela ne ressemble pas à de la médecine. Cela fait penser à une arme conçue pour éliminer l’humanité. C’est ce que l’on comprend. Et cela ressemble à cela parce que c’est exactement ce que c’est.

On nous a fait croire que Eco Health Alliance (Alliance Eco-Santé), le DARPA et toutes ces organisations sont ce que nous devrions surveiller, mais on nous a spécifiquement demandé d’ignorer les faits, à savoir que plus de 10 milliards de dollars ont été acheminés par le biais d’opérations secrètes, grâce au chèque d’Antony Fauci, et à un registre comptable parallèle, dans lequel le NIAID présente un bilan, et à côté, il y a un bilan de biodéfense équivalent dollar pour dollar, dont personne dans les médias ne parle. Et cela dure depuis 2005.

Notre moratoire sur le gain de fonction était censé geler tout effort de recherche sur le gain de fonction. Comme par hasard, à l’automne 2014, l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill, a reçu une lettre du NIAID disant que le moratoire sur le gain de fonction sur le coronavirus in vivo devait être suspendu. Mais comme leurs subventions avaient déjà été financées, ils ont reçu une exemption. Un laboratoire d’armes biologiques de l’université de Caroline du Nord, à Chapel Hill a bénéficié d’une dérogation au moratoire sur le gain de fonction. De la sorte, en 2016, il a été possible de publier l’article indiquant que le SRAS coronavirus était prêt à émerger chez l’homme.
C’était le WIV1 : virus de l’institut de virologie de Wuhan. Prêt à émerger chez l’homme en 2016, dans le cadre des travaux de l’Académie nationale des sciences.

Conséquence. En 2017-2018, la phrase suivante est entrée dans le langage courant de la communauté : « Il va y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire ». Le mot clé de cette phrase est le mot « libération ». Cela ressemble-t-il à une fuite ? Est-ce que cela ressemble à une chauve-souris et à un pangolin qui seraient entrés dans un bar du marché de Wuhan, auraient traîné ensemble, eu des relations sexuelles ? Et ainsi, nous aurions le SRAS COV 2 ? Non. Le terme « libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire » a été utilisé quatre fois en avril 2019. Sept mois avant le soi-disant patient numéro un, quatre demandes de brevet de Moderna ont été modifiées pour inclure l’expression « libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire », afin de justifier la fabrication d’un vaccin pour une chose qui n’existait pas.

Veillez à ce que chaque enquête fasse référence à la nature préméditée de cette affaire. En septembre 2019, le monde a été informé que nous allions avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire. De la sorte, en septembre 2020, il y aurait une acceptation mondiale d’un modèle de vaccin universel. Ce sont leurs mots. L’objectif était d’amener le monde à accepter un modèle de vaccin universel et d’utiliser le coronavirus pour y parvenir. On peut lire :
« En attendant qu’une crise des maladies infectieuses soit réellement présente, et au seuil d’urgence qui est souvent largement ignoré, pour maintenir la base de financement au-delà de la crise, nous devons mieux faire comprendre au public la nécessité de contre-mesures médicales, telles qu’un vaccin universel contre la grippe ou le coronavirus. Les médias sont un vecteur essentiel, et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage médiatique à notre avantage pour nous attaquer aux vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient un bénéfice à la fin du processus ».

Cela ressemble-t-il à de la santé publique ? Cela ressemble-t-il au meilleur de l’humanité ?
Non. Il s’agit d’un terrorisme domestique prémédité, déclaré dans les actes de l’Académie nationale des sciences en 2015, publiés devant eux. Il s’agit d’un acte de guerre biologique et chimique perpétré contre la race humaine. Il a été admis par écrit qu’il s’agissait d’un hold-up financier et d’une fraude financière :
« Les investisseurs suivront s’ils voient un profit à la fin du processus ».

Concluons en formulant cinq recommandations très brèves.
La nature a été piratée. Toute cette histoire a commencé en 1965, lorsqu’ils ont détourné et manipulé un modèle naturel. La science a été piratée. Les seules questions qui pouvaient être posées étaient des questions autorisées, sous la protection des brevets des CDC, de la FDA, du NIH, et de leurs organisations équivalentes dans le monde entier. Nous ne disposions pas d’une science indépendante, mais d’une science détournée. Et malheureusement, il n’y a pas eu de contrôle moral, en violation de tous les codes que nous défendons. Aucun comité d’examen indépendant, financièrement désintéressé, n’a jamais été mis en place autour du coronavirus. Pas un seul. Pas depuis 1965. Aucun IRB indépendant (Commission de revue institutionnel) n’a jamais été mis en place sur le coronavirus. La moralité a donc été exclue des contre-mesures médicales.

En fin de compte, l’humanité a été perdue parce que nous avons décidé de permettre que cela se produise. Notre tâche aujourd’hui est de dire :
Fini la recherche sur le gain de fonction. Un point c’est tout.
Fini la militarisation de la nature. Un point c’est tout.
Plus de mécénat de la science, par les entreprises dans leur propre intérêt, à moins qu’elles n’assument à 100 % la responsabilité du produit pour chaque effet secondaire et chaque décès qu’elles provoquent.

Retranscription d’une vidéo du docteur David Martin

https://twitter.com/pbhushan1/status/1660678694321684482?lang=fr

Jean Saunier

 

 

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