Les dirigeants stipendiés par Big Pharma et leurs toubibs médiatocs n’ont cessé de claironner qu’aucun remède n’existait contre le covid. Ces crapules accusaient les médecins qui voulaient soigner les malades d’être des charlatans. Auxquels on retirait le droit d’exercer.
Il n’y aurait pas eu d’autre solution que les vaccins assassins. Ces cupides et ces corrompus sauveraient les malades malgré eux, en violant le code de la santé publique et celui de Nuremberg.
Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. La personne concernée doit pouvoir exercer un libre choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition.
Paxlovid, le médicament anti-covid fabriqué par Pfizer
Surprise, Pfizer a dans ses armoire un traitement efficace ! Selon la FDA (Food and drugs Administration) qui délivre les autorisation de vente aux USA, le paxlovid est un traitement antiviral actif contre le covid-19. Pris par voie orale, il associe un antirétroviral et un acide aminé catalytique qui empêche le virus de se répliquer.
Au cours des essais en double aveugle, 1 039 patients ont reçu du Paxlovid et seulement 0,8 % d’entre eux ont été hospitalisés ou sont morts dans les 28 jours. À comparer au pourcentage de 6,7 % parmi les 1 046 malades de la grippe covidesque traités avec un placebo.
Paxlovid est une marque qui associe deux composants, le Nirmatlevir au point depuis 2018 et le Ritonavir homologué OMS depuis 2013.
Après bien des réticences, le gouvernement français a fini par autoriser ce traitement en février 2022 mais, summum de l’hypocrisie, en déconseillant de le distribuer en pharmacie ! Alors on l’achète où ? Au kebab du coin ou chez les dealers de Barbès ?
Dans tous les pays, des sportifs de 18 à 30 ans vaccinés Covid meurent d’arrêts cardiaques
En Polynésie, la « Hawaïki Nui Va’a » participe à l’hécatombe. Cette fameuse course de pirogues à balancier, originaire des « Raromataï » (îles Sous-Le-Vent) reçoit des équipages de rameurs en provenance de Hawaï, Nouvelle-Zélande, Nouvelle-Calédonie, Californie, mais aussi de quelques pays européens. Jusqu’à 150 participants. Plus les épreuves féminines et les « seniors ».
Les aïtos (= champions, ancien nom des guerriers) doivent avoir le cœur solide. Ils arrivent à tenir des temps de l’ordre de trois heures sur les 45 km de Huahiné à Raïatea, et de quatre heures pour les 58 km de Tahaa à Bora Bora. Sans changement d’équipe ni arrêt en route. Les ravitailleurs se placent dans la trajectoire, sautent à l’eau, et jettent les provisions quand la pirogue les frôle… La course se fait en haute mer, sauf le tronçon Raïatea-Tahaa, 25 km à virevolter dans le lagon.
Cette année, la course a repris, après l’interruption forcée par la dictature sanitaire. Et pour la première fois depuis trente ans, on a déploré un mort de 27 ans et une évacuation sanitaire d’urgence pour un malaise grave. Ceux souffrant seulement d’essoufflement, de douleurs thoraciques et de palpitations sont soignés sur place.
Silence confus des infirmiers et des secouristes dans les dispensaires, gêne palpable de certains « taotés » (docteurs) obligés de mentir pour ne pas être radiés. Ou parce qu’ils ont honte d’avoir vacciné à tours de bras. Mais les « tahua raau » (guérisseurs) sont plus diserts. Et en privé, les langues se délient.
— Il a été vacciné ? Ai-je demandé à la vahiné d’un aïto souffrant.
— Oui bien sûr.
— On l’a obligé ?
— C’était ça ou arrêter la compétition.
— Plusieurs fois le vaccin ?
— Évidemment !
— Il n’avait jamais souffert du cœur avant ?
— Non, jamais.
— Sinon, il y a des cardiaques dans sa famille ?
— Pas à ma connaissance.
Les aveux tardifs de certains responsables de Pfizer
Tandis que le matraquage médiatique pour la prétendue vaccination contre le covid reprend de plus belle, il devient de plus en plus difficile de cacher que leur vaccin provoque beaucoup de myocardites… Certes il y a des cas plus ou moins graves, et cette inflammation du muscle cardiaque ne conduit pas forcément au trépas. Mais elle peut se révéler longtemps après le vaxin. Et l’issue fatale n’est pas exceptionnelle.
Confronté aux témoignages de médecins qu’on n’a pu ni acheter, ni faire radier par des politiciens corrompus, Pfizer a tenté de limiter les dégâts… Aux États-Unis, où Pfizer traîne une ribambelle de casseroles et de condamnations (jusqu’à 4 milliards de dollars) la loi oblige à publier les données de sécurité des remèdes dans des communiqués de presse. Ce qui fut fait le 19 novembre 2021, puis en janvier 2022. Sans nier mais en essayant de minimiser. « Les effets secondaires signalés avec notre vaccin peuvent comprendre une myocardite. »
Avant de diffuser en septembre 2023, un peu tardivement tout de même, un communiqué de presse dans lequel la « Haute direction » a écrit noir sur blanc : « Les vaccins à ARNm contre le covid-19 présentent des risques accrus de myocardite. »
Comme s’ils venaient de le découvrir ! Jusqu’alors, Pfizer parlait de « réactions indésirables ou d’effets secondaires bénins ». L’équivalent des somnolences, des allergies cutanées ou des céphalées provoquées par certains vaccins. Des inconvénients réels mais pas mortels.
Mais les autorités françaises obéissent au professeur Macronescu
Ce bougre qui a la science infuse, a dicté à l’ANSM (l’agence nationale de sécurité du médicament) un communiqué rassurant. « Les effets secondaires des vaccins anti-covid sont très suivis par les autorités sanitaires. De très rares cas de myocardite ont été signalés, en particulier chez des hommes jeunes. »
Questions à des médecins et biologistes qui servent d’attachés de presse :
— Est-ce vraiment l’avis unanime de tous vos collègues ?
— Oui, presque tous…
— Mais il y en a qui ne partagent pas ces conclusions ?
— On peut dire ça comme ça…
— Pourriez-vous me présenter un de ces récalcitrants ?
— Ils ne font plus partie du personnel. (sourire gêné)
Malgré les vaccins forcés, Pfizer perd du pognon
Les produits-miracle supposés rendre leur tignasse aux chauves et leur virilité aux petits vieux, avec des risques qu’on évite d’évoquer, ne suffisent plus à équilibrer le compte d’exploitation d’ Albert Bourla, vétérinaire de profession, qui prétend soigner les humains avec des remèdes de cheval et de hyène.
Confrontée à des critiques ayant conduit à une enquête poussée, sa cliente Ursula ne peut plus commander pour des milliards d’euros de vaccins covidiens. Inutiles et perdus parce qu’une partie non négligeable de la population a constaté les dégâts parmi ses proches, et refuse de continuer à servir de cobayes pour soutenir les cours de la Bourse.
C’est dramatique ! Le chiffre d’affaires total de la firme est tombé en un an de 22,64 milliards USD à 13,23 milliards de dollars. Quant au chiffre d’affaires des vaccins, il a perdu 70 % en se retrouvant à 1,31 milliard de dollars, contre 4,4 milliards l’année dernière.
Pfizer a réduit de 9 milliards de dollars ses prévisions de ventes pour 2023 après avoir été obligé par le gouvernement étasunien à reprendre 8 millions de traitements au Paxlovid le tueur du coronavirus, désormais inutiles puisque la soi-disant pandémie est enrayée.
Les USA sont un pays de dingues frappés de multiples tares, mais à la différence des crétins de l’eurocrature, ils savent négocier des contrats avec retour de la marchandise inemployée.
Ainsi tandis que les médias menteurs persistent à vouloir effrayer les populations avec leur pandémie factice, Pfizer a annoncé une diminution de ses bénéfices de 3,5 milliards de dollars du fait de la chute des ventes de ses produits, en raison de la fin de la prétendue pandémie. Il en est résulté une perte de 0,42 dollar par action au troisième trimestre, contre un bénéfice de 1,51 dollar au cours du même trimestre de 2022.
Alors, un conseil. Si vous avez acheté des actions Pfizer, sur les recommandations avisées de Macronescu, le Mozart de la finance qui y a placé toutes les économies de son Brichel, vendez-les vite avant un effondrement des cours !
Christian Navis
Pfizer propose un médicament anti-covid mais Macron préfère les vaccins bidon
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