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22 mars 2024 5 22 /03 /mars /2024 07:36
Assassin est un mot arabe très important dans la culture islamique

On a « oublié » en Occident, et on a effacé des livres d’histoire le fait que le terme « assassin » est un mot arabe. Avec lequel les Croisés ont fait connaissance au XIe siècle en Orient. Encore un apport des mahométans à la civilisation.

Au départ, une secte dissidente de celle du chamelier pédophile

Les « Hashashiyin » qu’on appelait aussi fedayin étaient des ismaéliens qui, après s’être entraînés à égorger, décapiter, dépecer, exsanguiner leurs ennemis sunnites dès le VIIIe siècle, ont exercé ensuite leurs « talents » contre les Juifs et les Chrétiens.

Les premiers sicaires étaient issus de la secte des Nizârites. Peu nombreux, à défaut d’une véritable armée, ils s’imposaient par la terreur. En utilisant des petites équipes de fanatiques pour empoisonner les puits ou décapiter leurs ennemis. Califes, vizirs et sultans, puis croisés.

L’assassin devait être prêt à se sacrifier. Mais comme l’endoctrinement le plus strict faiblissait parfois devant l’instinct de survie, on le neutralisait chez le futur « martyr » en le soûlant de liqueur de haschich ou de tisane de cannabis.

Rendu plus malléable, on pouvait alors l’influencer et le motiver à commettre les pires forfaits. Avec la promesse d’une immense félicité, puisqu’un harem de houris l’attendait au paradis d’Allah.

Allah n’aime que les forts, les faibles ne méritent pas de vivre

Les exécuteurs en service commandé étaient très fiers de leur « travail ». Le respect et le prestige qui en résultaient étaient liés à la crainte qu’ils inspiraient, plus qu’à une admiration benoîte. Sauf chez les enragés de leur secte. Mais cela ne les contrariait pas. Bien au contraire. Puisque «Allah n’aime que les forts ». (« Gott mit uns » sous d’autres cieux)

« Allah n’aime que les forts, c’est dans le coran » disent-ils pour agrémenter leurs victoires… Quand ils perdent une bataille, loin d’en tirer la conclusion qu’ils ont commis des erreurs stratégiques, ils en déduisent qu’Allah les a punis pour leur manque de piété. Ils ont failli en oubliant une prière ou en avalant leur salive pendant le ramadan.

Ainsi, incapables de pratiquer la moindre autocritique, chaque défaite depuis la Reconquista jusqu’à leurs déboires contre Israël les conforte dans leur fanatisme religieux. Assorti d’un fatalisme métaphysique. «Mektoub» tout est écrit d’avance jusqu’à la fin des temps. Avec la victoire finale de l’islam qui s’imposera à la terre entière.

Une guerre qui pourrait durer jusqu’à l’an 3000 et même au delà…

« Les Maures nous ont imposé la plus longue des guerres. Elle dure depuis quatorze siècles et n’est pas prête de s’achever. Cent fois nous avons remporté des batailles. Nous aurions pu autant de fois éliminer nos ennemis mais la charité chrétienne nous en a empêchés. Et ils en rient encore de notre dieu crucifié, incapable de triompher, au nom de son imbécile miséricorde. »

Citation d’Aymeric de Bainville in Gerbe d’orties Guerre de France

Faudra-t-il vitrifier La Mecque et les fragments de météorite qu’ils adorent comme un cadeau de leur dieu ? L’Occident n’est pas encore mûr pour comprendre que seules des mesures radicales pourraient, non pas éradiquer cette secte, mais neutraliser ses adeptes les plus toxiques.

Ils ne renonceraient pas à leur fanatisme véhément. Mais ils seraient, au moins pour un temps, décontenancés. Et il faudrait alors les encadrer et les contrôler sans relâche. Pour étouffer la tentation de nuire, consubstantielle à leur formatage. Ne pas faire comme en Algérie, où les barbaresques mis au pas pendant 124 ans (1830 – 1954) ont repris leurs pratiques sanguinaires, du jour où on a relâché la pression. Depuis, ils méprisent notre mollesse.

La première faiblesse de l’Occident, et de la France en particulier, est de croire à la supériorité de la raison sur l’obscurantisme. Depuis le siècle des Lumières, éteintes depuis belle lurette, ce paradigme pollue l’esprit de la plupart des imbéciles instruits qui nous gouvernent. Leur masquant tout ce qui ne cadre pas avec leurs modèles de religiosité. Accueillir l’islam dans leurs catégories mentales est un crime contre l’humanité judéo-chrétienne, agnostique et athée.

La deuxième faiblesse de l’Occident, et tout particulièrement de la France, est de croire que l’islam est un monothéisme comme les autres. Une politique de l’autruche qui dispense de l’effort d’essayer de comprendre les ressorts pervers et le fonctionnement totalitaire de cette dictature multi-cartes. Son idéologie impérialiste, ses visées géopolitiques, son intolérance religieuse, son organisation mafieuse, son système économique et juridique sclérosé, et ses structures paramilitaires qui reposent plus sur la terreur que sur l’aptitude au combat.

Une stratégie et des tactiques inchangées depuis 1400 ans

« L’islam modéré » est un oxymore odieux inventé pour rassurer les futures victimes. Car il y a différentes sortes de djihad. Tous ne passent par l’égorgement des kouffars. Du moins pas tout de suite.

Parce que leurs intérêts financiers et commerciaux sont mêlés à l’économie de l’Occident, les monarchies pétrolières préfèrent le « djihad de la main ». La corruption des élites, les infiltrations dans les structures de décision, des échanges compromettants et des prises de positions dominantes dans l’économie. Ce fut d’ailleurs une politique constante dans le passé, partout où les mahométans n’étaient pas assez forts pour faire triompher le « djihad du sabre ».

Ces manœuvres d’étouffement sont complétées par le « djihad du cœur ». Les conversions. Surtout celles des femmes amoureuses de leur «prince d’Arabie» même s’il végète grâce aux minima sociaux. Leurs enfants seront obligatoirement éduqués dans la foi du pédo-prophète.

Cet islam que la caste politico-médiatique qualifie de modéré est plus patient que celui des islamistes sanguinaires qui égorgent et décapitent. Mais leur objectif de prise de contrôle de la société est le même. Ils savent qu’il suffit d’attendre un peu. La démographie joue pour eux.

Le coran indique les trois étapes pour conquérir et convertir

D’abord le «Dar al-Sulh », ou « pays de paix provisoire » quand la communauté musulmane minoritaire en terre étrangère doit être discrète, travailleuse et pacifique. Peu à peu, les kouffars dans leur ignorance et leur naïveté, mais aussi trompés par des dirigeants cupides achetés pour laisser faire, tolèrent le prosélytisme islamique sans exiger la moindre réciprocité. « L’islam laïcisé et européanisé » auquel plus grand monde ne croit aujourd’hui, a longtemps servi d’étiquette à cette supercherie.

Ensuite le « Dar al-Harb » ou « pays de guerre » quand les musulmans sont assez nombreux et se sentent assez forts pour ne plus recourir à la « taqiya » (double langage) et dévoilent leurs vrais desseins. En douceur relative d’abord, en infiltrant les rouages du pouvoir politique, judiciaire et médiatique pour y répandre leur idéologie et y coopter des « frères ».

Mais si des « infidèles » s’opposent à eux, tous les moyens sont bons pour les faire taire. Émeutes, guérillas urbaines, intimidations, insécurité permanente, assassinats ciblés. Quitte à revenir au premier point si ça tourne mal pour eux… Sachant que les dirigeants français sont prêts à accepter toutes les bassesses et toutes les humiliations en échange d’un retour au calme provisoire.

Enfin le « dar al islam » (république islamique) dont on n’est plus très loin fin 2023, comme Houellebecq l’avait anticipé dans « Soumission ».

Les institutions, les lois, les coutumes et le mode de vie des personnes finissent par se plier au impératifs de la charia. Juifs et chrétiens sont tolérés mais ils ont un statut inférieur, celui de dhimmis rackettés en échange de la « protection » que leur accordent les mahométans. Leurs droits civils et civiques sont moindres que ceux des « croyants » et ils n’ont plus aucune chance d’accéder à des positions dirigeantes.

Les faveurs dont les mahométans bénéficient dans les études, à l’embauche, auprès des services sociaux et devant les tribunaux, en sont la première étape dite « dar el hacq » (pays des droits) où l’on remplace les principes d’égalité républicaine par des privilèges octroyés aux islamistes.

Le leurre du vivre-ensemble

Le prétendu « miracle andalou », présenté par des imposteurs immigrationnistes comme la société idéale, reposait sur des rapports de forces et des alliances de circonstances, permettant des paix plus ou moins durables, où les dhimmis pouvaient être un peu mieux traités en échange de passe-droits accordés aux mahométans dans les fiefs chrétiens.

Les mahométans ont toujours voulu continuer à se comporter dans le monde occidental comme dans leurs pays d’origine, en y appliquant leurs lois et coutumes, et si cela génère des frictions, ce n’est pas à eux de s’adapter… Mais aux pays hôtes et à leurs populations de modifier leurs normes juridiques, culturelles et comportementales, comme par exemple instaurer un délit de blasphème, abjurer l’évolutionnisme et contraindre les femmes à se vêtir de sacs de patates.

Des guerriers ? Non, des assassins !

On les dit pleutres et mauvais combattants. Mais pas quand ils sont imbibés de substances désinhibantes. Ils n’ont plus peur de rien et le conditionnement qui les imprègne depuis l’école coranique, dès l’âge de trois ans, les conduit à un état d’exaltation meurtrière.

Ce n’est pas une forme de folie comme prétendent les juges islamo-gauchistes pour refuser de les condamner pour leurs crimes. Ces fanatiques mystiques sont parfaitement conscients de leurs actes. Ils les narrent (aujourd’hui les filment) avec force détails et une immense fierté, et en retirent auprès de leurs coreligionnaires gloire et honneurs.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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