Le Blog de Lazare

Olivier Véran voulait rassurer les femmes enceintes : « C’est sans danger »

Ici avec Olivia Grégoire, alors secrétaire d’État chargée de l’Économie sociale, solidaire et responsable

Question : a-t-elle reçu un placebo ou un produit à ARNm ?

Des risques accrus de myocardite et de péricardite

Avec les autorités gouvernementales sanitaires et financières, et avec la Commission européenne, aussi surprenant que cela puisse paraître, à quelques dramatiques exceptions près, comme celles des études sur les femmes enceintes qui auraient été retirées des rapports remis à la FDA, Pfizer aurait toujours joué, juridiquement, le jeu de la transparence sur les produits à ARNm.

Les vrais coupables, les vrais criminels, ceux qui portent la plus lourde responsabilité des drames provoqués par les injections des produits de Pfizer & Co., ce seraient les politiciens professionnels qui dirigent (ou dirigeaient) les pays occidentaux, la Commission européenne, l’UE (Parlement et autres institutions), les « journalistes » des médias subventionnés et, surtout, ceux sans qui, rien de tout cela n’aurait été possible : les médecins qui ont recommandé ces injections en affirmant qu’elles étaient sans danger et qu’elles protégeaient, alors qu’ils savaient que tout cela était faux ou, pire encore, qu’ils n’en savaient strictement rien.

Sur la page du site de Pfizer.com consacrée aux modifications de l’accord d’approvisionnement en Paxlovid (médicament antiviral actif par voie orale prescript dans le traitement du « C19 ») du gouvernement américain et à la mise à jour de ses prévisions pour l’année 2023, on trouve deux longs passages consacrés aux « va x ins » à ARNm :

• • COMIRNATY® (Vaccin Covid-19, ARNm).
  • « Le vaccin Pfizer-BionTech Covid-19 (formule 2023-2024).

« Indication, utilisation autorisée et informations de sécurité importantes pour COMIRNATY® » « COMIRNATY® (Vaccin Covid-19, ARNm) est un vaccin approuvé pour l’immunisation active pour prévenir la maladie du coronavirus 2019 (Covid-19) causée par un syndrome respiratoire aigu sévère coronavirus 2 (SAR-COV-2) chez les individus de 12 ans et plus. »

Résumé des « Informations importantes sur la sécurité »

Allergies sévères

« Il ne faut pas renouveler l’injection en cas de survenue de réaction allergique sévère à un des ingrédients qui compose COMIRNATY®, ou au produit lui-même, lors d’une précédente injection d’un vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19 vaccine ».

« Elles se produisent généralement dans les minutes qui suivent l’injection, jusqu’à 1 heure. »

« En cas d’allergie sévère, il faut se rendre dans un hôpital. »

« Les signes d’une réaction allergique sévère peuvent comprendre : « difficulté à respirer, gonflement du visage et de la gorge, un rythme cardiaque rapide, une mauvaise éruption cutanée sur tout le corps, des étourdissements et de la faiblesse ».

Pfizer écrit qu’en présence d’une réaction allergique sévère, il faut procéder à une « hospitalisation en urgence ».

Myocardites et péricardites : risque accru

 « Les vaccins autorisés ou approuvés ARNm Covid-19 présentent des risques accrus de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite ([inflammation du sac fibreux dans lequel se trouvent le cœur et les racines des gros vaisseaux sanguins]), en particulier au cours de la première semaine qui a suivi la vaccination. Pour COMIRNATY®, le risque observé est le plus élevé chez les hommes de 12 à 17 ans. Cherchez un médecin immédiatement si vous présentez l’un des symptômes suivants après avoir reçu le vaccin, en particulier pendant les 2 semaines après avoir reçu une dose du vaccin ».

Pfizer indique quels sont les signes pathologiques qui doivent alarmer

Pfizer rappelle même que les signes qui doivent faire penser à une myocardite et à une péricardite sont :

• • • Douleur thoracique
    • Essoufflement
    • Cœur battant rapidement, ou avec des battements « flottants ».

Pfizer précise qu’il existe des symptômes supplémentaires, en particulier chez les enfants :

• • • Évanouissement
    • Fatigue inhabituelle et persistante ou manque d’énergie
    • Vomissements persistants
    • Douleur persistante dans l’abdomen
    • Froid inhabituel et persistant avec pâleur de la peau fraîche.

Pfizer rappelle également que « Le vaccin Pfizer-BioNtech Covid-19 n’a pas été approuvé ou autorisé par la FDA, mais a été autorisé à usage d’urgence par la FDA, (…) pour une utilisation chez les enfants âgés de 6 mois à 11 ans… » et il communique les mêmes informations et les mêmes recommandations que pour COMIRNATY®.

Il en est de même pour les injections destinées aux enfants âgés de 12 à 17 ans.

« Lésions cardiaques permanentes, 19 % de mortalité, dont 10 % de morts subites »

Au sujet des myocardites, et alors que des médecins de plateau télé et des « journalistes » affirmèrent publiquement que les myocardites, ce n’était vraiment pas grave et que cela passait tout seul, rapidement, une étude démontrerait (étude présentée par le docteur Drew), que 50 % des jeunes hommes atteins de myocardites après une injection d’un produit à ARNm de Pfizer & Co. seraient désormais victimes de lésions cardiaques permanentes.

Rappelons que selon le site de la Société Française d’Anesthésie et de Réanimation, avec les myocardites : « Il y a un taux de récupération de 31 % à 5 ans, une mortalité de 19 % toutes causes confondues dont 15 % d’origine cardiaque et 10 % de morts subites »

N’est-ce pas monstrueux ?

Souvenons-nous que nombre de responsables d’associations sportives ont affirmé que les produits à ARNm étaient sans danger, et qu’en mépris absolu du libre consentement éclairé, ils ont exigé que les enfants et les adolescents soient injectés aux produits à ARNm pour qu’ils puissent pratiquer leur sport préféré…

N’est-ce pas monstrueux ?

Patrick Ledrappier