Retenez bien ces mots : « Beyfortus ™ ® © », « virus respiratoire syncytial humain » (VRS) et « anticorps monoclonaux ».
« Beyfortus ™ ® © », est le nom commercial d’un nouveau « nouveau va x in ».
VRS est l’acronyme qui désigne une maladie respiratoire saisonnière.
Les « anticorps monoclonaux » sont des molécules synthétiques (produites en laboratoires), et qui sont censées imiter les anticorps naturellement produits par notre système immunitaire.
Ces mots, « Beyfortus ™ ® © », VRS et « anticorps monoclonaux », sont les mots de la nouvelle peur qu’il vont tenter d’instiller dans le cerveau des jeunes et futurs parents, afin de pouvoir injecter dans le corps de leurs bébés ce nouveau « nouveau va x in ».
J’insiste sur point : tout comme l’ARNm à usage thérapeutique ou vaccinal, tout comme le « Rem-dé-si-vir », les anticorps monoclonaux appartiennent aux « nouveaux médicaments » et aux « nouveaux vaccins » si chers à Bill Gates. À ce sujet, n’oublions jamais les propos qu’il a tenus le 15 février 2010 à Palm Beach, en Californie, lors de la célèbre conférence TED50 : « Avec les nouveaux médicaments et les nouveaux vaccins, on ne pourra réduire que de 10 % à 15 % la population mondiale, ce n’est pas suffisant ! »
« Le tout premier « va x in » à anticorps monoclonal »
Le « Beyfortus ™ ® © », produit et commercialisé par Sanofi (France) et AstraZeneca (groupe suédo-britannique), serait donc le tout premier « va x in » à anticorps monoclonal dont le principe actif (une « molécule anticorps ») s’appelle le « nirsevimab ».
1,45 % des nourrissons concernés par des complications associées au VRS
Selon l’Associated Press (AP), le Beyfortus ™ ® © sera recommandé en « injection unique pour les nourrissons nés juste avant ou pendant la saison du VRS [la saison du VRS varierait selon les latitudes, elle serait de novembre à avril dans le nord des États-Unis et au Canada], il sera recommandé avant le début de la saison pour ceux âgés de moins de 8 mois et pour certains nourrissons à risques âgés de 8 à 19 mois ».
La chaîne de télévision CNBC indique que ce nouveau vaccin sera « largement disponible pour tous les nourrissons, qu’ils aient ou non un problème de santé ».
Selon les CDC (« Centers for Disease Control and Prevention »), presque tous les enfants sont infectés par le VRS avant l’âge de 2 ans et selon l’AP : « aux États-Unis, environ 58 000 enfants de moins de 5 ans sont hospitalisés pour le traitement d’une infection au VRS chaque année et plusieurs centaines en meurent ».
Comme l’on compte près de 4 millions de naissances par an aux États-Unis, seul 1,45 % des nourrissons seraient donc concernés par des troubles respiratoires associés au VRS.
Sur le même sujet, une étude réalisée par les CDC de 2009 à 2011 révèle qu’il n’y aurait eu, aux États-Unis et lors de cette période, que « 300 décès chez les enfants de moins d’un an ». Soit 25 décès d’enfants de moins d’un an en moyenne par an, ou encore 0,000625 % de mortalité chez les enfants de moins d’un an victimes d’une infection respiratoire associée au VRS.
Cette étude des CDC est citée par le docteur Meryl Nass (épidémiologiste de la guerre biologique) dans l’article que consacre à cette affaire The Defender – children’s health defense ; article dans lequel il affirme, à juste titre, comme nous allons le voir : « le risque de décès par VRS est inférieur au risque de blessure ou de décès par les vaccins et autres traitements proposés pour faire face à cette maladie. »
Si ces décès sont naturellement dramatiques pour les familles concernées, ce que nous dit Nass, c’est que, compte tenu des risques, y compris des risques mortels liés à cette nouvelle vaccination, ces 25 décès d’enfants par an, en moyenne, ne doivent en aucun cas justifier une vaccination annuelle généralisée pour 4 millions de nouveau-nés.
12 morts de bébés lors des essais cliniques du Beyfortus ™ ® ©
Aux États-Unis, la FDA (« Food and Drug Administration ») vient d’accorder la mise sur le marché du Beyfortus ™ ® ©, et les CDC commencent une campagne médiatique de recommandation de vaccination au Beyfortus ™ ® © pour les nouveau-nés, afin, disent-ils, de les protéger du risque mortel que représente ce virus respiratoire syncytial humain (la musique est connue : ce nouveau vaccin est parfaitement sûr, totalement inoffensif et il empêche les bébés de mourir tout en protégeant les autres en stoppant la propagation du virus…).
Pourtant, lors des essais cliniques du Beyfortus ™ ® © réalisés avec des nourrissons, dont on ignore à ce jour le nombre exact ayant participé à cet essai clinique (mais comment des parents peuvent-ils offrir comme cobayes leurs nouveau-nés aux laboratoires pharmaceutiques ?), 12 bébés seraient morts.
Mais qu’importent ces morts, car pour la FDA, elles ne peuvent en aucun cas être liées au Beyfortus ™ ® ©.
D’ailleurs, la chaîne de télévision CNBC le répète « 4 nourrissons seraient morts d’une maladie cardiaque, 2 seraient morts d’une gastro-entérite, 2 seraient morts de causes inconnues (mais ce serait très probablement pour CNBC des décès dus au syndrome de mort subite du nourrisson), 1 nourrisson serait mort d’une tumeur cancéreuse, 1 nourrisson serait mort du Covid, 1 nourrisson serait mort d’une fracture du crâne et 1 nourrisson serait mort d’une pneumonie. »
Patrick Ledrappier
Une nouvelle peur pour injecter les nouveau-nés...
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