13 septembre 2023
3
13
/09
/septembre
/2023
02:46
Il semble extrêmement difficile de tirer les vers du nez ainsi que quelque leçon de l’actualité sanitaire. Il faut je pense le répéter inlassablement, dans notre contexte médiatique évoquant ostensiblement The Truman Show avec Jim Carrey, ou encore l’univers crapulo-stalinien de « L’Aveu » (livre d’Artur London publié en 1968, film Costa-Gavras 1970) chacun croit vivre dans un univers médiatique qu’il pense réel, palpable, factuel, pourquoi pas immuable, indiscutable, mais qui s’avère au final en carton pâte, bidon, bidouillé, truqué, marron (au sens Bernanosien de brocanteur marron – se donnant des airs de Louis XIV). D’ailleurs, lorsque l’on voit à l’œuvre certains de nos procureurs euh.. journalistes, mettre sur le gril certains invités, ne croit-on pas les entendre éructer entre les lignes, inlassablement, comme les crapules staliniennes d’Artur London, au sens propre comme au figuré, ce postulat haineux et revanchard : « Avouez ! avouez ! avouez ! avouez ! mais avouez donc ! ».
Des faits. Les faits, il me faut inlassablement et métaphoriquement les formuler, les répéter, retourner 1000 fois cette idée dans mon crâne, comme retourner 1000 fois ma langue dans ma bouche, afin de garder le cap de cette réalité, essayer, au milieu de ce répugnant smog médiatique, de ne pas me laisser enfumer, de la garder obstinément en point de mire : les faits, tels des phares dans la nuit. Soit : la société Pfizer, entre 2000 et 2020 s’est acquittée d’amendes d’un montant d’environ 10 milliards de dollars pour fraudes diverses et variées.
La société-conseil Mc Kinsey s’est discrètement acquittée courant 2021 d’une amende de près de 600 millions de dollars dans le cadre du scandale des opiacés (environ 500 000 morts US à ce jour.)
https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/mckinsey-solde-laffaire-des-opioides-avec-les-etats-americains-1287508 Dans le cadre d’une épidémie décrétée par les pouvoirs publics, et dont la définition même fluctuera durant celle-ci, de même que celle du « vaccin » qui évoluera discrètement en cours de route, ainsi que les statuts du « cas » et de « l’infecté » : on change allègrement, et sans vergogne, les règles du jeu en cours de match. La société Pfizer (pour l’heure seule restant en lice) a obtenu des mêmes pouvoirs publics l’autorisation, dans le cadre d’un état d’urgence promulgué pour l’occasion, d’inoculer la population d’un produit présenté initialement en phase d’essai 3 jusqu’à fin 2023.
Pfizer, comme d’autre industriels pharmaceutiques dont certains ne sont plus en course, ont exigé et obtenu des politiques d’être pénalement dédouanés en cas d’effets secondaires graves ultérieurs. Aux victimes de démontrer désormais un éventuel lien de causalité, nié d’ailleurs par une grande part des instances, y compris celles précisément censées y veiller, de même que les politiques, et on comprend aisément pourquoi : responsables mais pas coupables, souvenez vous des précédents. Faits encore : pénalement, législativement, pour la France du moins, (je l’ai dit dès 2020) le corollaire d’une obtention d’ AMM provisoire (autorisation de mise sur le marché provisoire) d’un produit encore en phase d’essai 3, étant qu’il n’existe aucun autre médicament ou traitement efficace connu susceptible de soigner la maladie. Les pouvoirs publics français, dans le cadre du choix tout vaccinal, ont fait confiance au produit expérimental Pfizer, société ayant payé 10 milliards de dollars d’amendes pour comportements frauduleux divers, entre 2000 et 2020, cela commence-t-il à la fin des fins à nous rentrer dans le crâne ?
Ainsi qu’à Mc Kinsey, société ayant payé en 2021 une amende de près de 600 millions de dollars dans le cadre du scandale des opiacés (500 000 morts US). Et c’est à eux qu’on confie la mise en place d’une campagne d’inoculation massive de ce produit expérimental ?! Il semblerait que les réglementations habituelles régissant les principes médicaux de précaution aient pour l’occasion également été balayées d’un revers de main : durée de mise au point habituelle d’un vaccin 10 ans ou plus, ici quelques mois ou un an. Tout ceci est factuel. Factuel encore : un conseil scientifique, mis en place par le Président, prenant ses décisions sous le sceau du secret d’État. Traduction possible : les auteurs de ces décisions, incluant de possibles erreurs mortelles, sont ainsi couverts pour les 50 prochaines années, autrement dit à vie. Heureuse coïncidence que celle d’être « en guerre », n’est-ce pas Emmanuel ?
Ainsi qu’à Mc Kinsey, société ayant payé en 2021 une amende de près de 600 millions de dollars dans le cadre du scandale des opiacés (500 000 morts US). Et c’est à eux qu’on confie la mise en place d’une campagne d’inoculation massive de ce produit expérimental ?! Il semblerait que les réglementations habituelles régissant les principes médicaux de précaution aient pour l’occasion également été balayées d’un revers de main : durée de mise au point habituelle d’un vaccin 10 ans ou plus, ici quelques mois ou un an. Tout ceci est factuel. Factuel encore : un conseil scientifique, mis en place par le Président, prenant ses décisions sous le sceau du secret d’État. Traduction possible : les auteurs de ces décisions, incluant de possibles erreurs mortelles, sont ainsi couverts pour les 50 prochaines années, autrement dit à vie. Heureuse coïncidence que celle d’être « en guerre », n’est-ce pas Emmanuel ?
Mon hypothèse, à ce stade, sort certes du domaine factuel : je soupçonne les décisionnaires du tout vaccinal d’avoir fait en sorte, sous peine d’être en contradiction avec la loi, que non seulement il n’existât aucun autre médicament ou traitement efficace connu, mais qu’il ne devait à aucun prix en exister ou émerger un, quitte à prostituer la vérité et ses défenseurs, et les foutre si nécessaire et sans vergogne sur la paille comme des macs le feraient avec leurs putes sur le trottoir. Dès 2020, je soupçonnais une méthodologie de petits gangsters. Confirmée ultérieurement par la mise à l’index d’un certain nombre de soignants non vaccinés par exemple, mais soulignée également initialement par les alertes répétées d’un Maître Di Vizio, dès 2020 je crois, quant au questionnement sur la moralité possiblement douteuse de certains acteurs impliqués (Pfizer et Mc Kinsey, ou autres scientifiques et médecins de plateau aux conflits d’intérêts non déclarés, manifestement hors la loi, les cons osant tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît, paraîtrait-il). Méthodes de petits gangsters encore, que celle consistant à ne jamais attaquer un adversaire sur le fond, mais toujours sur la forme (Pr Raoult, Maître Di Vizio et d’autres comme Mme Henrion-Caude, etc). Faites les condamner, même symboliquement et sur des questions de pure forme, qui par l’ordre des médecins, qui par l’ordre des avocats, il en restera toujours quelques traces dans les cervelles de poisson rouge d’un certain nombre de citoyens vertueux. Comme par exemple cette conviction mordicus – que dis-je, religieuse, pour ne pas dire sectaire – d’une de mes ex-collègues, pour qui le Pr Raoult serait d’évidence un escroc de bas étage, et sur la base de quelle compétence, lui demandais-je ? Celle, à minima, de ton doctorat de virologie ? Non : du haut de ton statut de gardienne de musée auditrice de France-Inter ou d’Europe 1. Compétence équivalente au vide intersidéral, mais conviction absolue quant à la moralité de scientifiques mondialement réputés, dont le seul défaut est de ne pas suivre aveuglément la doxa du moment. Moi je dis chapeau bas mes petits gangsters politiques, médiatiques, pharmaceutiques et médicaux, qui avez réussi à trafiquer ainsi le trouillomètre de vos contemporains pour le ramener à zéro.
Ce qui me rassure définitivement sur le travail de l’IHU de Raoult durant cette « crise » sanitaire, est que depuis son retrait de l’institut, M. Raoult a bien confirmé avoir jusqu’au bout continué à prescrire des traitements à base d’hydroxychloroquine, ainsi que d’autres médicaments proscrits (Ivermectine, etc), indiqué au passage qu’ils avaient vacciné ceux qui en exprimaient le désir, qu’ils avaient soigné autour de 30 000 patients, en prenant la précaution d’impliquer un huissier de justice pour chaque prise en charge, qu’ils n’avaient à déplorer que peu de décès, parmi lesquels d’ailleurs des malades s’étant présentés trop tardivement, qu’ils offraient les meilleures statistiques de France. Partant de là, pas besoin d’avoir fait Normale Sup’ pour savoir que jamais il ne sera attaqué sur ses résultats.
Très important : non inoculé moi-même, refusant d’être volontaire à mon insu dans le cadre d’une expérimentation de masse forcée au moyen de manipulations-intimidations psychologiques, 69 ans, diabétique type II, j’ai été infecté par le variant delta, par imprudence, et j’ai été sauvé à l’hôpital grâce aux soins intensifs d’un personnel vacciné et dévoué (à peu près une semaine, deux semaines d’hôpital au total). Mes aïeux, je n’avais jamais bouffé autant d’oxygène. J’y ai vu d’ailleurs arriver, en attendant de monter aux soins intensifs, un jeune inoculé (je le sais car j’ai entendu l’infirmière lui poser la question, et sa réponse positive) sur un brancard, semblant en état de choc, en proie en tout cas à ce qui me paraissait des sortes de convulsions. Nullement anti-vax pour autant, simplement anti-inoculation de produits expérimentaux, en sortant de là je suis allé faire un rappel tétanos dans la foulée, sans aucune crainte ni problème. Important également : par prudence, j’avais régulièrement ingéré, en amont de la fatale infection, durant les 6 mois précédant celle-ci, vitamines C, D (gélules huile de foie de morue ou solution disponible en pharmacie), et dans une moindre mesure magnésium et zinc. Par ailleurs en relativement bonne forme physique, il ne me semble pas impossible que cela ait pu contribuer à l’issue positive de mon aventure. Il y avait bien un truc dangereux dans la nature, mais vraiment dangereux pour une part sans doute très ciblée, relativement âgée et présentant des co-morbidités (mon cas), quantitativement bien moins importante que ce qu’ont prétendu sans doute les autorités, qui étaient possiblement elles-mêmes, et dans une certaine mesure, perdues et paniquées. Néanmoins, je puis témoigner ici que ce virus fut vraiment du très lourd pour moi. Je pense l’avoir échappé belle. Mais ne regrette en rien de n’avoir pas succombé aux sirènes de l’inoculation miracle, contre les injonctions de mon médecin traitant, même s’il reste vrai qu’à un moment donné, je ne fus vraiment pas sûr de l’issue…
Silvio Molenaar
/https%3A%2F%2Fripostelaique.com%2Fwp-content%2Fuploads%2F2021%2F10%2Fpasseport-sanitaire-comme-si-ca-avait-encore-un-rapport-avec-la-sante.jpg)
Crise sanitaire : récapitulatif non exhaustif
Il semble extrêmement difficile de tirer les vers du nez ainsi que quelque leçon de l'actualité sanitaire. Il faut je pense le répéter inlassablement, dans notre contexte médiatique évoquant...
https://ripostelaique.com/crise-sanitaire-recapitulatif-non-exhaustif.html