Une photo peut être plus parlante que de longs discours. Et celle-là nous en dit davantage que tous les propos formatés des médias menteurs. Les pseudo-journaleux ont beau raconter combien les dirigeants de l’Occident apprécient, estiment et admirent « le Churchill ukrainien »… À l’évidence cet être disgracié n’est pas de leur monde !
Chez les zélites, on ne mélange pas les torchons et les serviettes
Le contraste est saisissant entre ces décideurs et leurs entourages, en costards de Savile Row, smokings et robes de soirée, papotant comme s’ils étaient conviés à un gala ou un festival, et le petit homme esseulé et mutique qui tire une tronche en biais.
Ils et elles rivalisent d’élégance. Le Zygomyr a l’air d’un clodo. Ils et elles sont sûrs d’eux, bien dans leur peau, affichant une prestance qui doit moins à la nature qu’à une éducation appropriée dans un milieu social privilégié. Le Zygomyr, maladroit, malappris et complexé, n’y est pas à sa place.
En plus ce type ne sait pas se tenir. Il se dandine sur une patte comme s’il avait une envie pressante mais n’osait pas demander le chemin des toilettes. En fait, il s’est démis un genou en tombant dans les escaliers de son souterrain privé. En panique, pour fuir les missiles russes « qui sont tous détruits en vol ». Mais on a oublié de le lui dire.
Ses « amis » ont tellement honte de lui que, sur la plupart des sites de propagande consacrés au sommet OTAN de Vilnius, on a ressorti des archives le Zygomyr d’avant, glabre et en costard-cravate. Trucage puéril pour faire plus sérieux que cet épouvantail dépenaillé.
Les privilégiés de la politique, de la finance et des affaires (les trois s’entremêlent et se cumulent) sont venus pour afficher leur pouvoir, se congratuler mutuellement et se partager le monde en tranches comme un gigot goûteux. Pas pour faire l’aumône à un mendigot compulsif qui commence à les agacer sérieusement.
Chassez le naturel, il revient au galop !
Les participants au congrès mafieux de Vilnius ont l’arrogance et la suffisance que donnent le pouvoir et l’argent. Et malgré leurs propos réconfortants, ils n’arrivent pas à masquer le mépris que leur inspire ce loufiat, déguisé en commando de choc, qui ignore les bonnes manières et n’est même pas crédible dans son numéro de fier guerrier. Cet histrion n’a jamais été qu’un bouffon pour séries télévisées bas de gamme. Son talent de comédien s’arrête là.
Certes les grands de ce monde l’ont utilisé à contre-emploi, dans l’espoir de tailler des croupières à la Russie. Depuis le Viêt Nam et l’Afghanistan, ils considèrent que les dirigeants fantoches qu’ils installent sont des Kleenex. On les jette après usage. Une fois que le conglomérat militaro-industriel a fait son beurre. Et qu’on n’a plus rien à attendre d’une prolongation inutile du conflit. À part que là, tirant les leçons de leurs déboires passés, les USA ont évité de s’exposer. Envoyant des rustres commandés par un guignol se faire tuer à leur place.
Ils feront massacrer les Ukrainiens jusqu’au dernier afin de satisfaire leurs noirs desseins. Mais ils n’en ont cure. Ces gueux ne sont que de la chair à canon et des chiffres pour leurs statistiques truquées.
Les pertes ukrainiennes sont effroyables. Et malgré le prétendu patriotisme de ses soldats, le Zygomyr a dû instaurer des lois spéciales permettant d’aller enrôler des gamins à la sortie des lycées, des malades dans les hôpitaux, et des vieux dans leur retraite tranquille. Pour les expédier au front après une formation militaire sommaire. Puisqu’il n’y a plus de volontaires, et que la plupart des hommes valides mobilisables se cachent ou ont quitté le pays.
Les cibles du tir aux pigeons sont payés de promesses
L’indépendance de l’Ukraine est d’autant moins la préoccupation des maîtres du monde qu’ils sont déjà propriétaires de son économie, de ses industries, de ses banques, de ses mines et de ses terres agricoles à hauteur de 90 % via des holdings US comme Blackrock, dans le capital desquelles on a intégré pour la forme des oligarques locaux qui vendraient leur mère pour une poignée de dollars. Sans parler des dettes astronomiques contractées à l’égard des USA qui ne font pas des cadeaux avec l’argent de leurs contribuables comme Macronescu.
Le seul objectif de la prolongation de cette guerre inutile est d’essayer d’affaiblir la Russie, pour ensuite lui imposer des mesures commerciales désavantageuses et un pillage en règle de ses ressources naturelles. Mais pour convaincre les derniers Ukrainiens encore en état de se battre d’aller se faire descendre en tentant de forcer des lignes de défense russes quasi imprenables, on leur a fait miroiter une adhésion improbable à l’eurocrature et à l’OTAN.
Le Zygomyr, bouffi de l’importance qu’on lui a accordée jusqu’à Vilnius semblait y croire. Pourtant, depuis des années avant 2022, les demandes présentées pour un examen de la candidature de l’Ukraine à l’UE patinaient comme avec la Turquie. Pour les mêmes nobles raisons : économie défaillante, corruption généralisée à tous les niveaux de l’administration, de la justice et de l’armée, régime politique dictatorial.
Quant à l’OTAN, comme ses conseillers l’ont fait dire à Papy Robinette, « l’Ukraine n’est pas prête ». L’argument n’est pas nouveau là aussi. D’abord parce que ses généraux sont de piètres stratèges, plus à l’aise dans les magouilles financières que dans l’art de la guerre. Avec des centurions infoutus d’utiliser correctement le matos qu’on leur fournit. Et de la piétaille qu’on doit flinguer dans le dos (erreurs de tirs paraît-il) pour l’empêcher de reculer et de fuir les champs de bataille.
L’unanimité de façade de l’Occident, critiquée et condamnée par la majorité des autres pays de la planète, ne parvient plus à masquer la déception et le dégoût que le Zygomyr inspire aux « grands de ce monde » du fait de ses échecs à répétition, et de sa prétention à faire porter à ses alliés le poids de ses erreurs.
Les leçons de morale et les conventions internationales, c’est pour les autres.
Les enfants-soldats et les ados enrôlés de force, c’est mal. En Afrique. Pas en Ukraine. Les bombes à sous-munitions qui tueront indistinctement des civils dans leur propre camp, c’est mal. En Afrique et en Asie. Pas en Ukraine. Les bombes à uranium appauvri qui pollueront la terre et l’eau pour des décennies, c’est mal. En Afrique, en Asie et en Amérique du Sud. Mais pas en Ukraine.
Bombarder des civils et organiser des attentats terroristes contre eux, comme en furent victimes les Russes du Donetsk pendant huit ans, c’est mal. Sauf si les commanditaires sont les nazis de Kiev… Des soldats prisonniers de guerre liquidés sommairement, c’est mal. Sur tous les continents. Mais pas quand des Ukronazis assassinent des Russes. Partout, ces exactions sont tenues pour des crimes de guerre sinon pour des crimes contre l’humanité. Mais pas en Ukraine. Alors à quoi sert que la CPI ? Sinon à prétendre empêcher Poutine de voyager à sa guise ?
Leur amour pour le Zygomyr, c’est comme l’amour des bobos pour les immigrés
Les riches et les puissants, calfeutrés dans des beaux quartiers contrôlés par des caméras et protégés par des hommes de main, comme tous les mafieux qui veulent être respectés, clament combien ils trouvent sympathiques et méritants les immigrés… Mais ils n’en veulent surtout pas dans leur environnement immédiat. Sinon comme femme de chambre, chauffeur ou jardinier.
Les riches et les puissants, barricadés dans de luxueux ghettos de privilégiés, font la promotion du vivre- ensemble, de l’école sans barrières, de la copulation sans frontières et du métissage obligatoire pour tous. Une posture politicienne qui leur permet de bénéficier des avantages et privilèges octroyés par les séides du Nouvel Ordre Mondial à ceux qui font semblant d’en appliquer les directives.
Mais dans la réalité, ils pratiquent un apartheid de fait. Ne vont pas frayer avec les racailles. Même leurs fournisseurs de coke sont des criminels embourgeoisés BCBG… Et ils se débrouillent, au nom de la délocalisation et du redéploiement, pour planquer le maximum de leur fortune dans des paradis fiscaux où règnent la loi et l’ordre.
Chez les riches, l’endogamie sociale est de rigueur. Et en bons parents qu’ils sont, ils financent de vraies études à leurs enfants, dans des sanctuaires de l’intelligence et du savoir. Le plus souvent hors de France dès qu’ils passent au niveau supérieur.
Et s’ils versent ostensiblement à des ONG quelques aumônes fiscalement déductibles, pour entretenir une réputation d’humanistes et de bienfaiteurs, la démarche est la même avec le Zygomyr. Ils lui font la charité à condition que ce mendiant balaie devant leurs portes et ramasse les papiers gras. Un altruisme apparent qui ne saurait cacher un profond mépris. D’ailleurs, un signe qui ne trompe pas, à Vilnius Macronescu ne l’a pas serré sur son cœur et ne l’a pas gratifié des papouilles dont ils sont tous les deux friands.
Finalement, le nabot pleurnichard est arrivé en quémandeur, les poches vides, à Vilnius. Il en est reparti les poches pleines de promesses dont on dit qu’elles n’engagent que les imbéciles qui y croient.
Christian Navis
Leur amour pour Zelensky, c'est celui des bobos pour les migrants
Une photo peut être plus parlante que de longs discours. Et celle-là nous en dit davantage que tous les propos formatés des médias menteurs. Les pseudo-journaleux ont beau raconter combien les ...
https://ripostelaique.com/leur-amour-pour-zelensky-cest-lamour-des-bobos-pour-les-migrants.html