La propagande en temps de guerre vise à démoraliser l’ennemi et à valoriser ses propres troupes. Et le mensonge par omission est de mise. Qui parle de ces dizaines de milliers d’Ukrainiens de 18 à 60 ans qui, depuis l’été 2022, sont arrêtés aux frontières de la Roumanie parce qu’ils refusent de se faire enrôler dans une guerre qui n’est pas la leur ?
Qui parle des dizaines de soldats ukrainiens qui, depuis quelques jours, se rendent sans combattre ? Parce qu’ils en ont assez des rogatons que l’OTAN leur a fourgués et de ces inutiles carnages. Qui a rapporté que, dans le Sud, une fraction non négligeable de la 47e brigade mécanisée, fer de lance de la contre-offensive, la mieux équipée en matériel de l’OTAN, a refusé de se battre ? Le Zygomyr a promis de faire fusiller les mutins. À moins que ceux-ci ne le mettent avant, dos au mur.
La France est un belligérant, honteux et furtif
La preuve : depuis dix huit mois, les chaînes de désinformation continue subventionnées par Macron ne cessent de nous rebattre les oreilles avec les insuffisances du matériel russe, l’incompétence de leurs officiers supérieurs et l’abrutissement de leurs soldats… Tandis que du côté des Ukronazis, c’est chaque jour la victoire en chantant.
La contre-offensive du Zygomyr devait chasser les Russes avant l’été. Et puis, en pleurnichant à son habitude, le clown de Kiev s’est plaint que c’était « plus difficile que prévu ». Et il a exigé de nouvelles livraisons d’armes et de matos lourds pour remplacer ses tas de ferraille que les Russes allument comme au stand de tir à la fête foraine.
Entre temps, les médias ont acquis un peu de réalisme. Pour ne pas perdre la face, ici on déplore la faiblesses des blindés français et la vulnérabilité des tanks boches et yankees. Là, on explique que les régiments de Kiev manquent d’entraînement. Depuis 17 mois, malgré tous les instructeurs dépêchés sur place par l’OTAN, et les stages de formation chez les cobelligérants, ils n’ont pas eu le temps de s’aguerrir.
Arrête ton char Zygomyr !
Respectueux de l’autorité et surtout trop attachés à leurs émoluments, les généraux d’opérette et les soi-disant experts militaires des télés, n’oseront jamais fustiger l’ignorance du métier des armes par les matamores tempêtant au plus haut niveau des États.
Le sénile de Washington n‘a jamais servi dans l’armée. Il a esquivé le Viêt Nam grâce aux relations familiales, bénéficiant de cinq ajournements pour études, et a été réformé à la suite d’un examen physique et mental en avril 1968. Avant d’être sénile, il était déjà débile. Et ce sont ses alliés anglais qui vendent la mèche ! Perfide Albion.
Le zygomyr n’a reçu aucune formation militaire lui non plus. Petit, gras, mou et veule, personne n’aurait voulu de cet avorton dans les commandos dont il usurpe la tenue pour la frime, si le pacte de Varsovie n’avait été dissous en 1991 à la fin de la guerre froide.
Quant au paltoquet, il n’a pas eu besoin de solliciter les appuis de Brichelle pour se faire réformer. Merci Chiracula. De toute façon, à l’époque, l’armée pas encore LGBT dispensait de service ou reléguait à des tâches de bureau subalternes les invertis.
Poutine est un guerrier dans l’âme. Ses « biographes » occidentaux croient le desservir en le présentant comme ayant été un enfant bagarreur. Pour moi, c’est une qualité. Mais eux, préfèrent les lopettes comme le paltoquet effarouché ou le nabot Zygomyr. Chacun ses goûts…
Judoka de bon niveau et champion de sambo, art martial mêlant le judo et la boxe, il prouve que le muscle et l’esprit ne sont pas incompatibles. Familier de Thomas Hobbes, Emmanuel Kant et John Locke à l’université, il achève son cursus par une thèse sur « Le principe du commerce de la nation la plus favorisée en droit international ». Après quoi, il entre au KGB où il devient officier de terrain avec le grade de commandant à 32 ans. Il aura encore le temps de passer colonel avant de se lancer en politique.
Les claques du Zygomyr, c’est dur à encaisser pour l’OTAN
Le virtuose du piano à queue avait promis aux otanesques une victoire rapide. On lui a donné tout ce qu’il exigeait. Véhicules, armes, munitions, et surtout beaucoup de pognon.
Un peu gênés aux entournures, les stratèges étasuniens de l’ISW (Institut for the Study of War) soulignent prudemment que les assauts ukrainiens n’ont pas donné les résultats escomptés, que les Russes résistent mieux que prévu, et appellent à la patience. Sans se soucier des pertes considérables chez ceux qui font la guerre à leur place.
De leur côté, les médias menteurs français ne peuvent cacher que les pertes ukrainiennes sont très lourdes. Autant en hommes qu’en matériels. Les chars boches Léopard qu’on présentait comme invincibles sont en déroute. Pas assez maniables. Pas assez rapides. Là où ils peuvent faire demi-tour, ils fuient. Sans pour autant esquiver les champs de mines. Sinon leurs équipages, formés aux frais de l’Eurocrature, les abandonnent pour courir se mettre à l’abri quand ça canarde dur.
Les super blindés Bradley US de conception ancienne (1963) tombent souvent en panne et il n’y a pas de personnel qualifié pour les réparer. Quant aux couches de blindage surajoutées, elles les ont tellement alourdis qu’il se traînent…
Les blindés français AMX-10 ont une protection trop faible pour résister aux tirs des chars russes. Pire, leur bas de caisse est tellement léger qu’il s’ouvre comme une boîte de conserve au premier obus ou à la première mine. Ces tanks à roulettes offerts au bouffon de Kiev constituent des unités de reconnaissance, utilisables au contact contre des guérilleros comme au Sahel. Les stratèges de Kiev n’ont pas compris que ces engins ne pouvaient être déployés comme forces d’assaut en première ligne.
Même remarques pour les CV 90 offerts par la Suède, dont on reconnaît piteusement qu’ils ne peuvent rivaliser avec les chars russes actuels. Ils ont l’air de tanks, ils font le bruit de tanks, mais ils servent de transports de troupes et évitent le champ de bataille.
Les médias ne peuvent plus tout cacher
Faisant preuve d’un brin de réalisme, mais toujours autant obnibulés par la certitude que « le camp du bien » ne peut pas perdre, ils reprochent aux Russes leurs nombreux champs de mines, remodelés en permanence par des roquettes, qui canalisent les forces ukrainiennes dans de dangereux goulots. Mais pourquoi ces Russes ne se laissent-ils pas étriper par les néonazis sans se battre ? Comme les Français offrent sans se défendre leurs gorges aux djihadistes ? Quel manque de tact !
En outre, ces « rustauds alcooliques » selon les télés macronardes, ont pris l’avantage dans la guerre électronique. Perturbant les transmissions des néonazis, détraquant les vols de leurs drones, et surtout déviant les munitions guidées par GPS comme celles des Himars, ces lance-roquettes multiples qu’on disait « invincibles ».
On attend les avions de pied ferme
Pas de quoi s’inquiéter s’ils sont livrés avant la déroute finale des Ukronazis. Avec des pilotes aussi bien formés et performants que ceux des chars, ils n’iront pas loin contre des chasseurs russes et des missiles qui ont fait leurs preuves. À moins que les Ricains ou les Eurocraturiens assoient quelques pilotes dans les cockpits. Mais là, la guerre prendrait une toute autre dimension. Et j’imagine que Poutine saurait en tirer toutes les conséquences.
Et puis… doit-on vraiment craindre les avions de l’USAF ? Le F-15 toujours en service date de 1972. Malgré des refits électronique-informatique, ce zinc qui fait rêver le Zygomyr est un vieux coucou. Tout comme cet autre fleuron, le F-16 qui a 49 ans. Utilisé à présent pour la formation et l’entraînement. Mais ils ont l’avantage d’avoir fait leurs preuves.
Le F-35 présenté comme le chasseur le plus performant, mais aussi le plus cher, alliant maniabilité, puissance de feu et performances, accumule les déboires depuis 2016. Ses capteurs affichent des menaces inexistantes et ignorent les risques potentiels. Ses sièges éjectables risquent de blesser grièvement ou de tuer les pilotes. Le système de combat a du mal à viser ses cibles. Son avionique se fissure. Et la gestion en temps réel du logiciel du turboréacteur reste erratique malgré d’innombrables patchs.
Après 27 versions qui ont corrigé les bugs des précédentes mais en ont ajouté d’autres, le F-35 est interdit de vol. Cloué au sol dans l’usine de fabrication de Lockheed Martin, à Forth Worth. Malgré cela, les clientèles captives des États vassaux des USA comme la Finlande et le Japon ont été obligées d’acquérir ces trapanelles hors de prix dont les pilotes US ne veulent plus.
F-35 contre Mig-35 qui est le meilleur ?
Un comparatif entre le F-35 et le Mig-35 tourne à l’avantage de ce dernier. En supposant des pilotes à l’habileté comparable.
Le Mig de conception plus récente, est plus léger, 17 500 kilos contre 22 500, avec une masse armée au décollage de 24,5 tonnes contre 31,7.
Sa vitesse est de 2 400 km/h contre 1930, son plafond de 52 000 pieds au lieu de 50 000, et son taux de montée de 330 m/seconde contre 230.
Le MIG-35 est plus agile car sa buse à vecteur de poussée lui permet d’effectuer des virages serrés à une large gamme de vitesses. Le summum de la performance en combat rapproché. Et surtout, il vole. Alors que son rival attend sa certification.
Question armement, le MIG n’a rien à envier à son rival, en matière de canons, missiles et bombes téléguidées, mais il dispose en mieux d’un radar à balayage électronique qui lui permet de détecter des cibles et de les acquérir comme un radar ordinaire. Il retient l’image puis l’analyse, comme un œil humain. Et comme il n’émet rien, contrairement à un radar classique, il passe inaperçu. … La confrontation viendra si le Papy Gaga, le Zygomyr et Macronescu continuent à jouer aux cons !
Christian Navis