Au départ, faute de recul, le raisonnement paraissait logique : puisque la protéine Spike est la clé qui permet au virus du Covid de pénétrer dans nos cellules, et qu’elle déclenche une réponse du système immunitaire, intégrons-là à un vaccin.
Après avoir séquencé le génome du virus, des chercheurs croyant bien faire ont réussi à produire une protéine Spike de synthèse. Celle-ci étant instable, on l’a modifiée pour la rendre plus facilement assimilable par l’organisme. Sans réussir à la fixer. Avec des effets toxiques qu’on n’a pas pris le temps d’étudier. Malgré les mises en garde du docteur Robert Malone inventeur de la technologie ARNm et du professeur Byram Bridle, expert en immunologie virale. Encore deux « complotistes » selon Wikimerdia. Et c’est alors que le crime de masse a commencé.
Aujourd’hui, l’INSEE officine gouvernementale a vendu la mèche sans le vouloir en décomptant 53.800 décès de plus en 2022 qu’en 2021. Rien qu’en France. Principalement chez les jeunes. Et quid des vieux assassinés au Rivotril ? Des ordres venus d’en haut ont obligé les statisticiens, qui ne sont pas médecins, à dire que cette surmortalité était due au Covid chez les « non-vaccinés ». L’eusses-tu cru ?
Vite, vite, vite !
Jusqu’alors, toute nouvelle thérapie devait être expérimentée dans la durée sur un nombre important de souris ou de singes, avant de passer à des humains. Uniquement volontaires et informés des risques encourus. Avec le Covidus macronibus, aucun protocole scientifique n’a été respecté. La mise sur le marché de ce poison mortel permettait aux labos d’empocher des milliards de profits. On n’allait pas laisser passer une si belle occasion au nom d’un vulgaire principe de précaution que notre société timorée applique partout ailleurs.
La pression de Big Pharma sur les médias stipendiés pour affoler des populations au bagage scientifique aussi nul que celui des prétendus experts, et l’impatience des politiques qui attendaient leurs bakchichs, proportionnels aux volumes des commandes, ont fait le reste. Provoquant une catastrophe sanitaire infiniment plus mortifère que leur soi-disant pandémie.
Les apprentis sorciers
Personne n’était en mesure de contrôler la quantité d’antigène Spike produite après l’injection. Selon les individus, leur âge, sexe, ethnie, antécédents médicaux, mode de vie, état général, elle peut varier dans une fourchette de 1 à 200. De façon totalement imprévisible.
On savait dès le départ que, si la protéine Spike peut être immunogène, c’est aussi celle qui mute le plus. Très rapidement. Avec des variantes qu’on ne peut prévoir faute d’études suffisantes. En outre, on s’est vite aperçu que cette protéine est extrêmement toxique pour l’endothélium vasculaire, la couche la plus interne des vaisseaux sanguins, en contact direct avec le sang. L’état proto-thrombosique avec formation de caillots, et les pathologies cardiovasculaires et respiratoires qui s’ensuivent, AVC inclus, sont directement liés à la Spike chez les « vaccinés ».
Des effets cumulatifs dont il est interdit de parler
Plus on vous pique, comme une propagande criminelle incite les cobayes à s’y soumettre, plus l’organisme se met à fabriquer des protéines Spike. Et plus les mutations sont nombreuses et s’accélèrent. On observe alors une multiplication incontrôlée de l’immunoglobuline G de type 4 favorisant l’apparition ou le développement de cancers, en plus des caillots… Et chez les enfants, les cœurs risquent d’être irrémédiablement affaiblis et leur espérance de vie très réduite.
Or, une fois injectés dans l’organisme, personne ne sait comment gérer les antigènes Spike. Normalement, c’est le corps qui produit l’antigène en réaction à un élément extérieur introduit de façon calculée. Mais là c’est impossible puisqu’on ne sait ni calibrer, ni standardiser la thérapie génique ARNm. On ne peut même pas définir de façon scientifique une posologie en raison des variations aléatoires du produit et des réponses imprévisibles de l’organisme du cobaye humain.
La loterie de la mort
Vous pouvez tirer un numéro gagnant qui vous permettra de continuer à vivre normalement. Ou cocher un ticket perdant. Qui vous détruira en quelques jours, mois ou semaines. Et pour certains plusieurs années... Chez certaines personnes, il n’y aura quasiment aucune production de Spike. Donc aucun effet, ce qui est sans conséquences puisque le Covid se guérit tout seul comme une vulgaire grippe. Chez d’autres individus, coup de chance, il y aura juste ce qu’il faut et cela renforcera momentanément les anticorps.
Chez les malchanceux, il aura trop de Spike, avec des effets secondaires bénins tels que courbatures, céphalées, insomnies, troubles menstruels… Ou gravissimes tels que thromboses, myocardites et péricardites, cécité, paralysies. Liste non exhaustive puisque les prétendus vaccins n’étant pas normalisés, chacun et même chaque lot possède ses propres caractéristiques en matière de toxicité.
Aujourd’hui, vu le nombre de témoignages provenant du corps médical dans des pays où subsiste une certaine liberté d’expression, on ne nie plus les dommages causés par les « vaccins ». Mais les institutions, l’OMS, l’Eurocrature et les gouvernements sous tutelle du NWO s’efforcent de les minimiser. En les associant aux comorbidités. Ou en les présentant comme des épiphénomènes rares, à causes multiples.
Mutisme absolu des labos, ni responsables ni coupables
Force est de constater que, si des mesures in vivo ont jamais été effectuées par les experts de Big Pharma, aucune ne fut diffusée avant la commercialisation de leurs poisons. Seuls quelques chiffres trafiqués ont été servis aux médias complaisants, après les vaccinations forcées pour soutenir l’innocuité de ces thérapies expérimentales et enfermer le discours dominant dans le déni des effets secondaires.
Les seules analyses sérieuses dont on dispose sont celles faites après coup, une fois que le mal était fait, par des biologistes et des instituts de recherche indépendants. Ailleurs qu’en France où on vire et condamne les savants indociles. Fourtillan, Raoult, Perronne, Henrion-Caudé, feu Montagnier, autant de sommités internationales sanctionnées pour avoir essayé de contrer les ripoux de la santé. Sans oublier les innombrables médecins honnêtes interdits de soigner leurs patients, sinon d’exercer leur métier. La punition pour avoir désobéi au dictateur psychopathe.
Le temps qui passe est aussi l’allié des assassins en blouse blanche. La coagulation intravasculaire disséminée avec ses énormes caillots peut n’apparaître que six mois, ou même un an, après les piquouses. Une opportunité rêvée de nier la relation de cause à effet.
Parfois, c’est encore pire, on attend les résultats des autopsies pour faire des « révélations » qui seront forcément contestées par les labos. Avec l’appui inconditionnel des médias aux ordres, des institutions gavées de subventions et des politicards pourris jusqu’au trognon.
Ils ne vont pas tuer la poule aux œufs d’or
Un « vaccin » vendu 24 euros à l’Eurocrature par l’entremise d’Ursula la hyène coûte, selon les firmes, entre 1 et 2 euros en frais de recherche, fabrication et commercialisation (comprendre corruption des zélites).
Le champion toutes catégories est Pfizer qui produit des « vaccins » qui lui reviennent à un demi-euro pièce. La production en très grand nombre réduit les coûts unitaires, je suppose qu’on enseigne ça en première année de gestion. Et c’est « l’Immonde » qui déballe tout !
Grâce à une propagande effrénée qui ferait passer Goebbels pour un camelot de fête foraine, Big Pharma a réussi à vendre à l’échelle planétaire environ 15 milliards de doses de ses saloperies. Et ces voyous se vantent qu’à peu près les trois quart de la population mondiale auraient subi au moins une injection. Le crime est signé. Mais les complices des tueurs sont aux manettes. Avec les médias, les flics et les juges sous leurs ordres.
Et ça risque de continuer encore un moment, avec quelques louches supplémentaires de désinformation. Car lorsqu’elle existe, l’immunité fournie par leurs « vaccins » diminue rapidement et ne produit pas de protection durable… En outre, ces mixtures affaiblissent les défenses naturelles de l’organisme et contribuent à de fréquentes réinfections… Raison supplémentaire pour se faire vacciner et revacciner indéfiniment. Jusqu’au prochain variant ou au futur virus qu’on nous concocte.
Le « vaccin » tue plus que le virus !
Des études récentes et concordantes suggèrent que les individus les plus touchés par le COVID-19 (les personnes âgées, les diabétiques, les hypertendus et les personnes immunodéprimées) sont les plus susceptibles de subir les effets négatifs des thérapies expérimentales ARNm. Lesquelles ne protègent pas contre les réinfections.
Au contraire, des doses répétées de mixtures Covid à ARNm, en particulier chez les personnes réinfectées, produisent une mutation des anticorps vers des niveaux élevés d’un type immunosuppresseur anti-inflammatoire non neutralisant. Cela conduit à une instabilité génomique et à des cancers, y compris des lymphomes, généralement dans un délai de 2 à 10 ans.
Comme si ces désagréments sur le long terme ne suffisaient pas, on ne peut ignorer d’autres pathologies telles qu’une pérennisation des perturbations endocriniennes et un renforcement des troubles mentaux.
Car la protéine Spike « favorise » les prions, ces agents pathogènes qui utilisent dans l’organisme hôte des cellules saines ou des fragments de virus pour provoquer des dégénérescences du cerveau et du système nerveux, proches de l’encéphalite spongiforme. Mais ce n’est pas grave. Si vous avez la chance de devenir une vache folle bien vaccinée, vous ne vous rendrez plus compte de rien. Et vous irez revoter Macron.
Christian Navis
Spike : Vous perdez la vie, Big Pharma gagne des milliards
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