Dans cette vidéo, le Pr Didier Raoult répond aux accusations dont il a été l’objet de la part de certains de ses collègues « scientifiques » et règle ses comptes avec les lobbies pharmaceutiques :
Le média alternatif France Soir a montré que ces « scientifiques » et les sociétés médicales auxquels ils sont liés cumulent plus de 18,5 millions d’euros de conflits d’intérêt.
« Je veux bien parier avec qui le voudra que dans cinq ans, c’est l’Agence nationale du médicament et des produits de santé (ANSM) qui sera condamnée. Parce qu’on n’a pas le droit d’empêcher l’utilisation d’un médicament. Chaque médecin a le droit de prescrire les médicaments qu’il veut prescrire dans une situation donnée, en accord avec ses connaissances, son expérience et les données de la science. (…) Plus de 400 études ont été faites sur l’hydroxychloroquine et qui montrent des effets qui sont tous favorables, en plus des études américaines et des études faites en France qui ont été interrompues volontairement au moment où elles montraient qu’elles étaient efficaces. »
« Pour vous dire la vérité – j’espère qu’un jour ils auront le courage de le dire – [beaucoup] d’hommes politiques, de PDG de journaux qui actuellement me harcèlent, m’ont demandé de les traiter. Plus un nombre de gens célèbres absolument incroyable. Donc on est dans une mauvaise foi qui est absolument spectaculaire (…) Je ne suis pas inquiet, j’ai fait mon métier, je suis en accord avec moi-même, j’ai soigné les gens »
« Nous, à l’IHU, on sait qu’il y a beaucoup moins de morts parmi les patients qui ont pris de l’hydroxychloroquine que parmi ceux qui n’en ont pas pris. Pour être sûr que notre étude ne soit pas critiquable, nous avons pris un huissier de justice pour certifier que rien ne pouvait être manipulé : personne ne peut dire que l’étude incriminée est [problématique] »
« Le résultat, c’est qu’on a sauvé des gens. Et maintenant on prouve, sous la vérification d’un huissier, qu’aucun des patients que nous avons traités n’est mort de l’hydroxychloroquine. Quand vous traitez trente mille personnes et qu’il n’y a pas une plainte, ça veut dire que vous soignez bien les gens : les gens savent ce qu’ils font »
« Le fait qu’ils [l’establishment médical] se soient trompés, ça a probablement des significations qui terrifient ces gens : s’ils avaient étendu à leurs propres pratiques notre stratégie thérapeutique, il y aurait eu moins de morts. C’est ça la question ! »
Le P. Raoult revient sur l’étude totalement bidonnée publiée par The Lancet et qui « montrait » que parmi une nombreuse cohorte de patients traités par l’hydroxychoroquine, il y aurait eu 10%de morts. L’étude a été retirée et le directeur de la publication a dû présenter ses excuses…
« Les données concernant notre étude sont déposées dans deux grandes data bases, l’une chinoise, l’autre américaine. Donc toutes ces données sont accessibles à tout le monde. Il suffit d’aller les regarder et de les analyser. [Tout cela] restera comme une espèce de folie, comme celle du Lancet Gate dont les gens n’ont jamais voulu sortir. C’est juste un énorme mensonge » « On se demande comment on peut faire croire qu’on a accès à 80 000 dossiers en disant qu’on ne peut pas dire [de qui il s’agit] »
« Je constate que le président a rejoint mes positions sur la vaccination. Pourtant, on disait que j’étais antivax. Maintenant, Macron dit “Il faut vacciner les gens de plus de 75 ans”. Je suis d’accord. On pourrait même descendre à 70 ans »
« Le premier devoir d’un médecin est de soulager ses malades et de les soigner avec les moyens qu’il a. Rien qu’en donnant de l’oxygène aux patients, on aurait sauver des gens. Nous, on a utilisé de l’oxygène à haut débit chez des gens de plus de 80 ans, ou plus de 75 ans et des cofacteurs. La réanimation ne voulait pas les prendre. Avec l’oxygène à haut débit, là où il y avait 100% de mortalité, on a réussi à en sauver 30%. Quand l’Etat nous interdisait de soigner les malades, quand il disait aux malades “Restez à la maison jusqu’à ce que vous soyez essoufflé”. Le problème, c’est que dans cette maladie, quand on commence être essoufflé, on est très proche de la détresse respiratoire [et donc de la mort]. Tout cela était des erreurs. Et si vous croyez que c’est facile de faire reconnaître [leurs erreurs] aux gens qui étaient aux manettes, plus les gens qui ne connaissaient rien de cette maladie, qui n’avaient même pas vu un malade et qui allaient sur les plateaux télé pour dire ce qu’il fallait faire qui était l’inverse de ce qu’on a toujours fait dans la médecine, ça pose un problème : vous ne pouvez pas penser qu’ils vont être contents. »
« Il fallait vacciner les gens qui étaient à risque, et on sait qu’au dessous de 50 ans, il n’y a quasiment aucun risque de mourir [du coronavirus], sauf chez les obèses pathologiques, les trisomiques et les personnes atteintes d’un cancer évolutif (…)
« Lorsque dans une épidémie, il y a peut-être 10% à 20% de gens qui sont infectés, on a un mort pour 200 000 personnes. Pour que vous prouviez qu’un vaccin est plus efficace que l’immunité naturelle, c’est impossible en trois mois. Ce virus, ce n’est pas le SARS, ce n’est pas le MERS, c’est un autre virus, qui mute à une vitesse incroyable et qui continue à s’adapter et à circuler. Il n’y a pas un endroit au monde où on a éradiqué le coronavirus »
« La moitié des morts du coronavirus en France avait plus de 85 ans. A cet âge, n’importe quelle affection respiratoire est susceptible de vous tuer. Le problème, c’est qu’on a fait croire que c’était une maladie qui allait tuer tout le monde, ce qui n’était pas vrai. Il fallait commencer par étudier la maladie pour savoir comment la prendre en charge (il n’y avait pas que les antiviraux, il y avait aussi l’oxygène, les anticoagulants). Il y avait des patients qui sont morts parce qu’ils faisaient des thromboses, il fallait les tester. »
« Dans l’étude anglaise qui fait référence, il y a 12% des malades auxquels on n’avait même pas fait un test PCR ! On ne savait même pas ce qu’ils avaient comme maladie, et c’est devenu l’étude de référence mondiale (…) Ont été inclus dans les deux plus grandes séries de cette étude des gens dont le médecin disait “Je crois, ou le malade croit, qu’il a le covid” ! Vous vous rendez compte ?! En plein 21ème siècle, il n’y avait même pas un test précis pour dire que c’était ça ! Et c’est ça qu’on nous oppose en disant : “C’est ça la vérité”. C’est inouï de bêtise ! »
« Je ne m’attaque pas aux lobbies de l’industrie pharmaceutique. Je sais que les industriels qui vendent des produits, il faut les surveiller comme le lait sur le feu ! Parce que, quand vous gagner des sommes pareilles, la tentation de la corruption est colossale. (…) Si vous suivez ce qui se passe en Chine, qui a commencé à ouvrir ses frontières pour les produits pharmaceutiques, la première chose qu’elle a fait, c’est de condamner pour corruption Astra Zeneca et Pfizer, comme ils sont condamnés aux Etats-Unis. Ils ne sont pas souvent condamnés en France – voir jamais – parce que la France accepte un état de corruption. [Après ça], on va donner des leçons en Afrique et au reste du monde… »
« De nombreux médecins universitaires et toutes les sociétés savantes sont nourris par les labo. On a calculé qu’elles avaient reçu 37 millions d’euros ces dernières années de l’industrie pharmaceutique. Donc quelle est leur légitimité à poser des questions à des gens qui ne font pas appel à l’industrie pharmaceutique ? Le conflit d’intérêt, c’est un vrai problème. Certains affirment : “Ce n’est pas parce qu’ils me donnent de l’argent qu’ils modifient ma façon de penser”. Mais c’est d’une naïveté et d’une mauvaise foi ridicules ! Dans la loi française, si vous parlez à la télévision française ou si vous faites une communication qui a à voir avec un lien d’intérêt, c’est-à-dire avec le fait que vous avez reçu de l’argent d’une entreprise qui a à voir avec ce que vous dites, vous devez le dire. On commence à avoir des condamnations pour ça, mais cette loi n’est pas toujours appliquée en France (…) Aux Etats-Unis, il y a au moins quatre ou cinq laboratoires pharmaceutiques qui sont condamnés à plusieurs millions de dollars tous les ans pour conflits d’intérêts. »
« Le plus grand scandale concerne la morphine où on estime qu’il y a eu 500 000 morts parce les labos ont dit que tel médicament était de la morphine non addictive, ce qui était évidemment faux. Si, pour toutes les douleurs, vous commencez à donner de la morphine, vous transformez une nation en drogués. Le Vioxx, 60 000 morts ! Personne n’est allé en prison. On sait bien que les données du labo étaient cachées. Chiffre d’affaire de Pfizer en 2021 : 81 milliards de dollars ! Plus que [le PIB de] la moitié des nations du monde. Il faut donc prendre des mesures qui soient la hauteur des enjeux.»
« Dire que ce que j’ai fait, c’est un essai sauvage, alors que c’est juste du traitement ! »
« Regardez ce qui s’est passé à la commission européenne pour les achats de vaccins de Pfizer: 51 milliards ! Personne n’a assisté à la négociation, personne ne sait ce qui s’est passé, et quand on le demande à Ursula von der Leyen, elle ne veut même pas communiquer ses mails avec le PDG de Pfizer. Je ne veux pas dire qu’elle est corrompue, on le verra bien, mais quand vous êtes capable de signer 51 milliards sans montrer à personne comment vous avez négocié et pourquoi vous l’avez fait, ça pose un problème ! Les enjeux financiers sont beaucoup trop importants. Ceci devrait être public, enregistré, et pourvoir être sorti à la demande de la justice »
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In girum imus nocte ecce et consumimur igni
Didier Raoult : Dans cinq ans, c'est l'ANSM qui sera condamnée !
Dans cette vidéo, le Pr Didier Raoult répond aux accusations dont il a été l'objet de la part de certains de ses collègues " scientifiques " et règle ses comptes avec les lobbies pharmaceutiq...
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