Les principaux « intéressés », à savoir l’élite déliquescente française, ironisent sur l’un des propos tenus par Vladimir Poutine devant la Douma, lors de son dernier discours. Il s’agit de cette phrase : « Regardez ce qu’ils font avec leurs propres peuples : la destruction des familles, des identités culturelles et nationales, la perversion et la maltraitance des enfants jusqu’à la pédophilie sont déclarées comme étant la norme. […] Et les prêtres sont obligés de bénir les mariages entre homosexuels. »
Si la dernière proposition est fausse – certains prêtres bénissent effectivement les mariages homosexuels mais le font en défiant le Vatican –, le reste n’est que la stricte vérité. En effet, pour inonder l’humanité de sa toute-puissance, le désordre mondialiste sait qu’il doit faire sauter certaines digues puissantes qui résistent à sa domination consumériste et individualiste, dont la famille et l’identité culturelle – pas celle qu’on nous vend et qui consiste en une mélasse idéologique informe, ennemie déclarée de notre culture charnelle.
Dans cette décadence intellectuelle – voir le niveau de nos actuels « penseurs » pour constater que nous sommes loin du temps où la France rayonnait, au point, par exemple, qu’un prince héritier allemand avait un précepteur français, le futur Guillaume II – et morale, il est un vice qui, s’il n’est pas exclusif de l’Occident, a, encore de nos jours, droit de cité dans les milieux élitistes de nos contrées. Ce vice, c’est la pédophilie.
D’emblée, je tiens à préciser que je ne suis pas un père-la-morale qui verrait dans la sexualité l’antichambre de l’enfer. Je laisse ça aux fanatiques religieux. Par ailleurs – et pour prévenir les commentaires d’un abruti qui me harcèle depuis que j’ai écrit, voici quelques années sur Boulevard Voltaire, un article défendant le cardinal Barbarin, jeté en pâture après avoir respecté le secret de la confession tout en exhortant un religieux à se dénoncer pour ses actes odieux de pédophilie –, je rappelle que ce crime – car crime il y a – me dégoûte au plus haut point. Toutefois, il faut bien admettre qu’en Occident la pédophilie n’est scandaleuse que lorsqu’elle touche l’Église. Des affaires comme celle de Telford, en Angleterre, n’ont jamais beaucoup ému les progressistes, qui préféraient accuser la « fachosphère » de récupération.
https://www.bvoltaire.fr/scandale-pedophile-de-telford-lobs-cest-embetant-miel-de-fachosphere/
Pire, quand il est question de pédophilie de gauche, alors là, plus un chat pour miauler ! On peut même affirmer en toute décontraction – et depuis des années – son inclination pour les enfants. N’est-ce pas, Monsieur Cohn-Bendit, vous qui déclariez dans l’émission Apostrophes du 23 avril 1982 : « Vous savez que la sexualité d’un gosse c’est absolument fantastique. Faut être honnête sérieux. Moi j’ai travaillé avec des gosses qui avaient entre 4 et 6 ans. Ben vous savez quand une petite fille de 5 ans, 5 ans et demi commence à vous déshabiller, c’est fantastique parce que c’est un jeu érotico-maniaque » ?
Cohn-Bendit n’a jamais fait de prison pour de tels aveux, il me semble. Il faut dire qu’il appartient au sérail, où ces choses-là sont tacitement admises. Car l’on ne me fera pas croire que personne ne connaissait les perversions d’un Olivier Duhamel – avec une enquête classée sans suite due à la prescription des faits ! –, qui violait un jeune adolescent, le frère jumeau de Camille Kouchner, donc le fils de Bernard ! Tout comme ne devaient pas être ignorées les parties fines organisées par l’abject Pierre Bergé dans sa somptueuse propriété au Maroc. Un Pierre Bergé très ami de Jack Lang, qui déclara à sa mort : « Un immense trésor nous a été arraché. » Un trésor de pédophilie ?
Le même Jack Lang, en 1977, avait signé une pétition exigeant ceci : « La loi doit reconnaître le droit des enfants et des adolescents d’avoir des relations avec qui ils veulent. » Pétition signée, notamment, par Françoise Dolto, célèbre pédiatre et psychanalyste. C’était l’époque où Libération proposait, toute honte bue : « Apprenons l’amour à nos enfants »… !
Dans ce bourbier infâme, il existe même un temple de la pédophilie, qui sévit depuis des décennies, c’est Hollywood, royaume de l’Entertainment (divertissement). En 2015, le documentaire An Open Secret, d’Amy Berg, levait le voile sur cette machine à broyer des enfants : « La documentariste y dévoile l’étendue d’un réseau pédophile, sis au cœur du cinéma américain. Il y est question de ces personnes qui profitent de leur position dominante pour abuser sexuellement d’enfants mineurs. » Gabe Hoffman [producteur du documentaire] affirmait même : « Ce que nous montrons, ce n’est que la pointe émergée de l’iceberg ». Aux États-Unis, le documentaire d’Amy Berg dérangeait tellement qu’il fut déprogrammé de nombreux festivals.
En 2016, dans un entretien accordé au Sunday Times, Elijah Wood – rendu mondialement célèbre pour avoir endossé le costume de Frodon Sacquet dans la trilogie du Seigneur des anneaux, de Peter Jackson, adaptée de l’œuvre de Tolkien – déclarait que la pédophilie « réside dans les tréfonds d’Hollywood ». Il ajoutait : « Si vous êtes innocent, que vous savez peu de choses sur le monde et que vous voulez réussir, des parasites vous identifieront comme une proie. Ce qui me chagrine avec ces situations, c’est que les victimes ne peuvent pas s’exprimer aussi fort que les adultes qui sont au pouvoir. » Face aux pressions subies, qui pouvaient briser sa carrière, il dut rectifier ses propos. Car Hollywood n’aime pas qu’on évente ses secrets les plus sordides.
Le président Donald Trump en a fait les frais qui, pendant son mandat, s’est attiré les foudres du milieu – au sens le plus mafieux du terme – pour avoir dénoncé les agissements pédophiles d’Hollywood. Dénonciation aussitôt rangée dans la case complotiste. Mais s’il n’existe pas de réseau pédophile de grande ampleur aux États-Unis, l’affaire Jeffrey Epstein, c’est quoi : une blague de 1er avril ?! Un Epstein qui, en 2019, a eu la bonne idée de se « suicider » en prison, avant d’être trop bavard…
En France, on découvre – nous, mais certainement pas ses amis ! – que Pierre Palmade aurait cédé à cette tentation dominante destructrice de la pédophilie. Parce qu’être pédophile c’est avoir le goût de la destruction de l’autre ; l’autre étant un être fragile dont on fait ce que l’on veut. Cependant, Pierre Palmade n’est que la face émergée de l’iceberg pédophilo-progressiste, celui dont on ne parle jamais. Et vous savez quoi, je vous parie que, pour noyer ce poisson, Arte et les chaînes publiques vont nous inonder de reportages sur la pédophilie dans l’Église, qu’il ne s’agit pas de nier mais qui sert commodément à dissimuler le reste.
Donc, Vladimir Poutine a raison lorsqu’il explique en substance que nous nous enfonçons dans la pire décadence, à commencer par celle qui admet qu’on anéantisse notre avenir, incarné par nos enfants, en les livrant à la pédophilie…
Charles Demassieux
Poutine a raison : même secrète, la pédophilie est une norme en Occident !
Les principaux " intéressés ", à savoir l'élite déliquescente française, ironisent sur l'un des propos tenus par Vladimir Poutine devant la Douma, lors de son dernier discours. Il s'agit de c...
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