Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 juin 2023 6 24 /06 /juin /2023 23:20
Pour un député anglais, la guerre contre la Russie serait perdue en cinq jours

Les propagandistes au service de l’OTAN consacrent 98 % de leurs images et de leurs commentaires à glorifier le génie du Zygomyr et la vaillance de ses troupes. Mais ceux qui connaissent la réalité apprécient les choses autrement.

Un analyste compétent confirme que ce serait une folie d’attaquer la Russie

Il s’appelle Tobias Ellwood. Président conservateur de la commission de la défense à la chambre des Communes, il connaît bien son sujet. Son passé parle pour lui. Ce n’est pas une lopette. Le 22 mars 2017 à Londres, passant là par hasard, cet ancien combattant en Irlande s’est porté spontanément au secours d’un bobby agressé par des terroristes islamistes lors de l’attentat de Westmisnter. À 51 ans, l’homme n’était pas rouillé.

Il ne faut pas mésestimer son grade de colonel dans la réserve des Royal Green Jackets. C’est une unité d’élite héritière des Rangers qui se sont illustrés dans toutes les batailles depuis la guerre de Sept ans (1756 – 1763). Rien à voir avec les zékolos verdâtres. Et encore moins avec l’élégante jaquette réversible de notre trottinette nationale.

Tobias n’y va pas par quatre chemins : l’armée britannique tiendrait au maximum cinq jours en cas de guerre contre la Russie

Les carences et faiblesses qu’il dénonce sont les mêmes que celles dont souffre l’armée française : État Major de vieux croûtons aux stratégies obsolètes, effectifs trop réduits, soldats sous-équipés et mal entraînés, encadrement médiocre, plus assez de chars d’assaut ni de munitions pour se battre dans un conflit de haute intensité, avions et navires insuffisants ou inopérants… Les troupes britanniques perdraient en moins d’une semaine.

Les armées Françaises aussi. Peut-être même en seulement trois jours. D’autant qu’elles sont minées de l’intérieur pas une « diversité » imposée par pure idéologie, pas très motivée à se faire trouer la panse pour les beaux yeux des Kouffars. Mais à la différence de Messire Le Cocu, ministre de la guerre des Froggies, le Rosbif a l’honnêteté de reconnaître le désastre et d’anticiper la catastrophe.

Dans un article du Financial Times (un canard sérieux en principe) Tobias Ellwood, affirme que la réduction des effectifs de l’armée de terre britannique, et l’envoi de nombreux équipements, armes et véhicules militaires à l’Ukraine ont laissé les troupes de Londres « dans un état sinistre ».

La forte inflation que connaît le Royaume-Uni serait le dernier clou scellant le cercueil de l’armée britannique, puisqu’elle n’a plus les moyens financiers ni le temps pour remplacer les armes fournies en pure perte aux truands de Kiev.

Français, Anglais et Boches cobelligérants depuis le début

Parce qu’il s’agit d’un secret militaire (mais de Polichinelle pour ceux qui suivent l’évolution du conflit) Tobias évite d’évoquer les forces spéciales de Sa Majesté envoyées sur le terrain, qui se sont faites étriller par les spetsnaz. Non que les Brittons aient manqué de courage ou de savoir-faire. Mais comment se battre avec des armes qui s’enrayent, des munitions comptées avec avarice, des cartes de situation pas à jour, et quand on ne peut pas se fier à ses alliés ?

Pour les reconnaissances et l’information, les éclaireurs ukrainiens restaient très approximatifs, ne voulant pas prendre des risques en allant au contact des Russes. L’histoire de l’homme qui a vu un homme qui a peut-être vu un char. Et ces « combattants invincibles » selon nos merdias détalaient aux premiers coups de feu. Des guerriers de fête foraine fiables comme leur président de carnaval.

Il y a eu beaucoup de pertes anglaises au début du conflit. Se chiffrant au moins par dizaines, peut-être par centaines de morts. Un pourcentage important eu égard au nombre limité des forces engagées sur un relatif bref laps de temps… Comme chez les Français envoyés se battre, sous fausse identité et faux drapeau.

De temps en temps, l’actualité rend compte du décès d’un ou deux de ces malchanceux liquidés par les Russes. Ceux qu’on ne peut pas cacher car la famille ne se laisse pas impressionner et exige des explications. Mais la plupart disparaissent dans les brouillards de la cenSSure. Tous ces mercenaires seraient des humanitaires évaporés dans des combats qui n’ont jamais existé !

Les Ukrainiens prétendus indomptables, drogués jusqu’à la moelle des os

Pleutres, lâches, fuyards, déserteurs, jusqu’à ce que leurs chefs les chargent au captagon, un cocktail d’amphétamines euphorisantes qui fait perdre tout sens du danger. Et conduit à des hécatombes. Dans leurs propres rangs comme chez les ennemis. Puisque sous l’influence de ce stupéfiant, on se bat à mort et on ne fait pas de prisonniers. Bakhmout est comme un îlot tenu autrefois par les Japs pendant la guerre du Pacifique.

On a des vidéos des Russes torturés et achevés avec sauvagerie par des tueurs arborant des croix gammées. Mais les propagandistes des médias menteurs, si complaisants avec les pleurnicheries du Zygomyr, se gardent bien de les diffuser.

La débâcle des russophobes semble inéluctable

Dès janvier 2022, avant que Poutine envoie ses troupes, pressentant ce qui allait se passer (facile avec de bonnes sources de renseignement) Ellwood avait déjà déploré que les forces britanniques ne soient plus que l’ombre d’elles-mêmes.

Ce député conservateur de premier plan avait précisé que l’armée de terre qui possédait 900 chars d’assaut au début des années 2000, n’en avait plus que 148. En clair, elle avait perdu les cinq sixièmes de son potentiel de manœuvre. Vaincue par des politiciens inconscients et des bureaucrates radins. Et c’était avant de se laisser dépouiller du peu qui lui restait au profit du Zygomyr aux exigences incessantes auxquelles les politicards soumis aux Étasuniens ne savent pas résister.

Par ailleurs le Royaume-Désuni (où l’Écosse pourrait profiter de la confusion d’une déroute pour proclamer son indépendance) serait incapable de défendre son espace aérien contre un niveau de frappes de missiles et de drones comparable à celui touchant actuellement l’Ukraine. Et on ne parle que de matériels conventionnels… Si les vecteurs hypersoniques sortaient des silos, ça abrégerait les souffrances et l’agonie des Rosbifs.

Depuis, Tobias Ellwood mène une campagne pour que le gouvernement augmente le budget de la défense. Rishi Sunak envisage 3 % du PIB d’ici à 2030, au lieu des 2 % actuels. Pieuse intention. En 2030, il ne restera de l’Ukraine nazifiée qu’un souvenir flou comme celui de l’empire Inca.

D’ailleurs, au lieu de réorganiser et renforcer leurs forces conventionnelles en urgence, les Anglais construisent un nouveau sous-marin lanceur de missiles nucléaires. Opérationnel quand la guerre sera finie. Même si elle dure encore deux ou trois ans. Et déjà dépassé par les fusées russes disponibles aujourd’hui.

Les zétasuniens et les zotanesques doutent des capacités de leurs vassaux et les Boches en profitent

En 2023, le Royaume-Uni aurait dû prendre le commandement d’une force de réaction rapide de l’organisation Atlantique. Mais l’OTAN est une auberge espagnole. Chacun y amène son casse-croûte. Ainsi Londres devait fournir 5 000 soldats de troupes de choc et de commandos. Mais on ne les trouve pas.

Selon des sources internes de l’alliance militaire confirmées par le ministère de la Défense britannique, l’armée du Royaume-Uni serait bien trop petite et sous-équipée pour se payer le luxe de déployer 5 000 hommes dans un autre pays. Les Français ne sont guère mieux lotis.

Au printemps 2022, un contingent cosmopolite avait été formé et dirigé par des officiers français. Sans que la représentation nationale soit informée de cette participation directe aux combats. Et dans le silence infâme des journaleux qui savent. Avec les sources d’information dont ils disposent, ces fringants menteurs ne peuvent ignorer ce qu’une analyse attentive des dépêches, et quelques contacts, révèlent à toute personne entraînée à croiser les sources.

Ce contingent dirigé par la France s’est pris une raclée mémorable à Marioupol. Depuis on n’en entend plus parler. Et pour compenser la carence des Rosbifs, les Boches, dont la tradition guerrière exulte comme en 1940, ont pris le commandement du fer de lance de l’Otan. Qu’ils devraient garder au moins jusque fin 2024 ! Sieg Heil Reichsmarschall Ursula !

Rishi Sunak n’a pas la don de double vue qu’on attribue aux Hindous

Selon le Financial Times, le gouvernement de Rishi Sunak a balayé les déclarations alarmistes de Tobias Ellwood en les qualifiant de scénarios de l’apocalypse. Improbables et invraisemblables. Rishi va-t-il suspendre Ellwood du parti comme avait fait Boris Johnson allergique à son franc-parler ?

Pour fournir plus de moyens à l’armée de terre, le Trésor britannique envisagerait de mettre en veille l’un des porte-avions de la Royal Navy et de diminuer le nombre de vols d’entraînement des avions de chasse de la Royal Air Force. Des remèdes pires que le mal. Comme dans une société commerciale en train de couler, quand la direction s’enferre dans la recherche de nouveaux produits invendables et de nouveaux marchés illusoires, plutôt que de sagement déposer le bilan pour limiter les dégâts.

Une analyse reposant sur les seuls chiffres (sans même évoquer le moral de troupes) montre clairement qu’au lieu de continuer à jouer les matamores de série B, les Froggies et les Rosbifs seraient bien inspirés de se retirer du jeu. Et de laisser les Ricains affronter les Russes. Puisqu’ils y tiennent tant. Renforcés par les Polaks qui n’ont pas encore compris que l’URSS n’existait plus. Et par les Boches qui rêvent de prendre leur revanche depuis 1945. Une dérouillée bis pourrait peut-être leur remettre les idées en place. Au moins jusqu’à la quatrième guerre mondiale…

Christian Navis

Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)

Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : Le Blog de Lazare
  • : Etude des Prophéties, Fin des Temps et préparation à l'ère nouvelle.
  • Contact

Recherche Dans Le Blog