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20 avril 2023 4 20 /04 /avril /2023 06:44
Climats : les dix plus grosses embrouilles du GIEC

1/ Il fait très froid parce qu’il a fait trop chaud

C’est l’axiome dit « de Sainte Greta », future Nobel de pataphysique, section enfumages. Pour expliquer le vortex polaire qui a frappé le week-end dernier le Canada et le Nord des USA. Avec des températures extrêmes descendant à moins 78°C et des vents de 200 Km/h.

Ce serait aussi la raison des cinq vagues de froid « inhabituelles » et «exceptionnelles » qui ont frappé la France depuis février 2021.

2/ Les glaciers de l’Himalaya

En 2010, le GIEC a falsifié une étude estimant que les glaciers de l’Himalaya pourraient fondre d’ici à 2350. La plupart des glaciologues tenaient cette évaluation hautement improbable. Les dyslexiques du GIEC ont alors interverti les chiffres pour annoncer la fonte du dernier glacier himalayen en 2035 !

Ils ont écrit dans leur rapport AR4 que « au rythme actuel, les glaciers de l’Himalaya auront reculé de 500 000 km2 et disparu d’ici l’année 2035 ». Ces cancres-là devraient retourner à l’école. Car les glaciers de l’Himalaya occupent une surface totale de 60 000 km2.

Derrière ces incohérences, apparaît de façon récurrente le nom de feu Rajendra Pachauri, ingénieur ferroviaire, patron du GIEC indien, président du TERI (The Energy & Resources Institute) une holding liée au groupe industriel Tata : Aciéries, fabrication de véhicules, centres de télécoms, agroalimentaire, banques… Pour un chiffre d’affaires de l’ordre de 245 milliards de dollars US. La préoccupation réchauffiste de ce type relève d’une vocation tardive !

Un certain Sri Murai Lal « distinguished fellow » de Pachauri a affirmé dans une interview au « Daily Mail » que « les rédacteurs du GIEC savaient parfaitement que les prévisions concernant les glaciers de l’Himalaya étaient erronées mais considéraient que le discours sur la fonte des glaciers servait à encourager les décideurs politiques à passer à l’action. » Et à la caisse.

3/ Australia gate

Peter Ridd était un enseignant-chercheur de la James Cook University (Queensland). Son domaine d’expertise était la grande barrière de corail. En étudiant les causes du dépérissement des polypes, il a identifié plusieurs raisons dont une forte pollution marine liée aux rejets industriels et domestiques, et à la prolifération d’algues et d’animalcules qui colonisent le corail. Le soi-disant réchauffement climatique n’était qu’un phénomène marginal.

Le docteur Ridd en a informé ses collègues et essayé de publier ses conclusions dans le bulletin de l’université. Comme ceux-ci le mettaient en quarantaine, il publia ses travaux dans un quotidien local, puis dans un magazine national et sur le web.

Sommé de revenir sur ses propos, Ridd n’obtempère pas, et on le vire purement et simplement. Après des années de procédure, il a fait condamner le 6 septembre 2019 son ancien employeur par un tribunal qui lui a alloué 1,2 million de dollars AU d’indemnités.

Le juge retient comme préjudices « la persécution, les brimades, et le harcèlement hystérique dont Ridd a été victime, jusque dans sa vie privée, alimentées par une vindicte systémique sans autre reproche que d’avoir exprimé une théorie non conforme à ce que professaient ses collègues.»

4/ Africa Gate

Le GIEC avait prédit que le réchauffement allait diviser par deux les rendements agricoles des pays africains du fait de sécheresses accrues. D’ici à 2020. Mais comme pour les atolls « disparus avant 2020 » mais toujours là, les astrologues se sont trompés et ont trompé les crédules et les ignares.

Certes une extrapolation des courbes depuis 1950 ne portait pas à l’optimisme. Mais aucune suite de données récentes ne venait étayer les affirmations du GIEC, sinon des évaluations cueillies dans une étude publiée par un « Institut du Développement Durable » surgi du néant, avec à sa tête un délinquant marocain autoproclamé climatologue. Alors que de nouvelles terres sont irriguées et cultivées chaque année avec de bons rendements, merci les engrais russes.

5/ Amazonie Gate

Un rapport du GIEC prétendait que 40 % de la forêt amazonienne souffrait d’une baisse des précipitations causée par le prétendu réchauffement global. Or, il apparaît que l’article alarmiste a été écrit par un éditorialiste politique et un journaliste free lance, ne possédant ni l’un ni l’autre aucun bagage scientifique. Leur unique source est une étude de « Nature », une revue a priori sérieuse. Or le GIEC a choisi de ne pas mentionner cette revue qui lui est pourtant favorable.

Jean Martin, décédé en 2019, ancien directeur de recherches au CNRS et patron de l’école supérieure de physique de Paris, auteur de « Pensée scientifique unique », expliquait que l’article de « Nature » évoquait une perte de biomasse provoquée par la déforestation et les feux de forêts, mais en aucun cas liée à une diminution du niveau des précipitations.

Encore une falsification suivie d’une infamie puisque ce savant a été effacé des moteurs de recherche après sa mort.

6/ Malaria Gate

Paul Reiter était professeur d’entomologie médicale à l’institut Pasteur, spécialiste des maladies transmises par les insectes, dont la malaria. Il a dénoncé les affirmations du GIEC sur la propagation de la malaria, reposant sur des approximations qui relèvent de la manipulation systématique des données.

En effet, un grand nombre d’études médicales abondent sur la malaria… Toutes ignorées par le GIEC qui se réfère systématiquement à des articles écrits par des sociologues, des économistes et des journalistes, obsédés par le réchauffement.

Il donne en exemple : « Nairobi était dangereusement infesté quand la ville a été fondée, pour servir une ligne de chemin de fer. La ville est maintenant plutôt épargnée par la malaria et l’endroit ne s’est pas réchauffé d’un degré ». En fait, les vagues de malaria ont été fréquentes jusqu’aux années 1950, quand le DDT a fait son apparition. Actuellement, la lutte contre la malaria a régressé de 30 ans à cause de l’interdiction du DDT pour préserver la santé des moustiques. 

Reiter conclut : « Le public entend encore et encore qu’il y a un consensus scientifique sur le réchauffement, et que nous sommes au bord du désastre. C’est un mensonge et un non-sens (…) Pendant des années, le public a été nourri avec des catastrophes servies par des alarmistes qui utilisent le langage de la science pour soutenir un agenda politico-financier.

La réponse à cette diatribe a été l’effacement de ses sites, la censure de ses livres, et l’étiquette de complotiste collée par des minus. Les mêmes qui s’acharneront plus tard sur Raoult, Montagnier, Perronne, et Alexandra Henrion.

7/ Virus gate

La fonte du permafrost n’est pas nouvelle. Déjà au XVIII ème siècle, un aventurier russe Ivan Liakhov attendait le dégel estival pour récupérer des défenses de mammouths. Une bonne affaire au cours de l’ivoire.

On a extrait du permafrost sibérien des virus gelés datés d’environ 30 000 à 40 000 ans. Ces acaryotes étaient en état de vie suspendue, on les a « ressuscités ». Rien de nouveau. On sait faire depuis 25 ans. Mais avant d’être gelés ces virus étaient à l’air libre. Les humains vivant à proximité n’ont pas disparu pour autant… Et depuis 30 000 ou 40 000 ans, des dégels se sont succédé sans provoquer des contaminations de masse.

En outre on a trouvé des virus préhistoriques endormis dans des grottes, sous des lacs asséchés et dans des mines de sel. Ceux du permafrost sont une variété parmi d’autres. Ni plus ni moins pathogène. Mais l’occasion était trop belle de lier ces virus au réchauffement pour terroriser les populations en prédisant de nouvelles pandémies. La combine paye trop bien pour ne pas récidiver!

8/ Macronneries sylvestres

En 2018, le site « En Marche arrière », affichait un chiffre apocalyptique: 1 km2 de forêt disparaît à chaque seconde ! Sachant qu’il y a 31 536 000 secondes/an, hors années bissextiles, une telle cadence anéantirait 31 millions de km2 de végétation, soit 25 % de la surface des terres émergées chaque année. La terre devrait donc déjà ressembler à la planète Mars.

Quant à « l’inéluctable accélération du processus de destruction » selon les macronards, cette prédiction est démentie par le professeur émérite David South de l’université d’Auburn qui, auditionné en 2018 par le sénat US, rappela que si 2017 avait vu brûler environ 6 millions d’hectares… en 1930 on en avait dénombré 21 millions partis en fumée !

D’ailleurs la Banque Mondiale qui finance des filières bois, affirme dans une étude documentée qu’entre 1990 et 2015 la part des forêts naturelles sur l’ensemble des continents est passée de 31,8 % à 30,8 % avant de remonter autour de 32 % tandis que les forêts d’exploitation et les surfaces cultivées s’accroissaient, gagnant sur les déserts. Grâce aux effets bénéfiques du CO2 !

9/ Waterworld arrive, tous à vos bouées canard !

Géographe à l’université de La Rochelle, Virginie Duvat jette un pavé dans la fosse septique de la pensée unique en publiant en 2018 une étude sur une centaine d’îles du Pacifique soit 400 motus : Marshall, Kiribati, Tuvalu, États fédérés de Micronésie, Tuamotu sont au programme.

Les observations démentent la doxa : 57 % sont stables, 35 % sont en expansion et 8 % en légère régression. En d’autres termes, si le niveau de la mer monte un peu, les îles s’agrandissent du fait de l’activité des madrépores et des dépôts des sédiments marins, et gagnent en hauteur du fait des mouvements tectoniques provoquant une dilatation du magma qui pousse la lithosphère vers le haut.

Confirmation par des chercheurs de l’université d’Auckland (NZ) qui ont publié dans la revue « Nature Communications » l’analyse d’une multitude de photos aériennes et satellites prises entre 1971 et 2014. Leurs mesures répertorient les 9 atolls principaux des Tuvalu incluant 101 motus coralliens.

Cette observation sur plus de 40 ans montre que la taille de 8 atolls sur 9 ainsi que celle des 3/4 des îlots coralliens ont augmenté en surface de l’ordre de 3 % avec un exhaussement de 1 à 2 %. Les autres étant sans altération notable.

Un bon astrologue ne doit jamais donner de date sinon la réalité le rattrape. En 1990 le GIEC avait prédit qu’au plus tard en 2020, les Tuvalu seraient submergées. Ajoutant qu’au premier cyclone, ce qui resterait de ces îles serait balayé. Sauf que cet archipel est situé très près de l’équateur. Et que la force de Coriolis qui fait tourner les cyclones y est nulle.

10/ La multiplication des cyclones

Jolie baffe dans la gueule des réchauffards qui prédisent régulièrement un accroissement du nombre et de la force des cyclones : Richard Lindzen, physicien expert en phénomènes atmosphériques, chercheur et enseignant au prestigieux MIT, démissionnaire avec fracas du GIEC comme tant d’autres muselés par les médias propriétés des magnats du NWO, a déclaré :

« Si le réchauffement climatique était avéré, ce qui reste à démontrer, la réduction du différentiel de température entre les zones tempérées et tropicales de notre planète rendrait l’énergie cyclonique beaucoup moins dévastatrice. »

En outre, si on fait une statistique des catastrophes naturelles depuis le temps de la flibuste dans les Caraïbes (grâce aux chroniques des ecclésiastiques et aux livres de bord des capitaines) l’importance et la fréquence des tempêtes tropicales et des cyclones tendent à diminuer sur une période de cinq siècles.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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