Derrière la crise de la filière bio, il y a une omerta
L’escroquerie de la pseudo alimentation « bio » vit enfin ses derniers temps.
L’inflation voulue par Macron en boomerang aux inutiles et illégitimes sanctions contre la Russie porte évidemment un coup de plus à la filière.
Mais le déclin de cet attrape-nigauds estampillé par l’État a heureusement commencé depuis deux ans et demi.
Des enseignes leader du « bio » ont mis la clé sous la porte et les rayons dédiés des hypermarchés ont réduit drastiquement leur offre.
La dernière tentative de certains est de disséminer les produits « bio » parmi ceux de fabrication conventionnelle.
Mais il est risible de constater que malgré la pénurie organisée d’un produit ordinaire, les stratèges du marketing sont loin d’imposer l’achat de son ersatz « bio » beaucoup plus cher.
Les gogos même friqués ont quand même fini par comprendre. Faut dire qu’il y a déjà longtemps qu’on voit leurs belles bagnoles sur les parkings de Lidl et Aldi. Pour le reste, comme tout le monde, ils vont chez Action et Noz.
Les indécrottables clients du « bio » le recherchent maintenant à prix discount, eux qui soit dit en passant, ne voulaient pas d’OGM dans leur assiette, mais couraient les vaccinodromes pour se faire injecter l’ARNm expérimental dangereux des pseudos « vaccins » Covid.
Reste plus que les écolos-producteurs de soi-disant « bio » disparaissent rapidement des marchés, vous savez, ces crasseux qui arborent « leurs » pommes de terre avec la terre et les carottes avec les fanes, histoire de faire authentique. Avec la terre et l’herbe au prix de la denrée pour le cochon payant.
Dans ma jeunesse, le « bio » n’existait pas, les produits étaient naturels. En patois de Haute-Loire, les patates s’appelaient des trifolles et les carottes des pistenailles. Elles coûtaient peu.
Le « lien social » ne s’énonçait pas ; il se vivait partout au quotidien.
Quant aux agriculteurs cupides qui ont été charmés par le produire moins pour vendre beaucoup, beaucoup plus cher, et qui font désormais la grimace, je leur présente mes meilleurs vœux pour 2023-2027, avec la nouvelle PAC et HECTAR (1).
Les détails de la Pac 2023
Bref, le « bio » est à l’agonie. Bonne nouvelle. Mais le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, Marc Fesneau, a décidé d’engloutir 5 750 000 euros supplémentaires dans l’escroquerie du «bio » dans le barnum géré par l’Agence bio, dont 750 000 euros pour une campagne de publicité commerciale.
La directrice de l’Agence bio, , Laure Verdeau, https://www.agencebio.org/2021/01/13/laure-verdeau-nouvelle-directrice-de-lagence-bio/ se frotte les mains, elle qui sait pouvoir compter sur l’argent public.
Juillet 2022. L’invité de SMART IMPACT : Laure Verdeau (Agence Bio)
Janvier 2022. « EA : Quelles sont les missions et activités de l’Agence Bio ?
« L. Verdeau : Notre première mission d’intérêt général est d’informer les Français sur les vertus du bio. Tous les jours, nous rappelons que le bio produit sans OGM, sans chimie de synthèse, sans maltraitance animale, sans antibiotiques et sans brusquer les cycles naturels. Et nous sensibilisons les consommateurs aux impacts de leurs achats sur l’air, le sol, la biodiversité ou encore le moral des agriculteurs. Nous expliquons en outre pourquoi le bio est plus cher, et comment en manger plus sans changer son budget… https://www.essecalumni.com/article/laure-verdeau-e08-la-france-est-le-bon-eleve-du-bio-en-europe/26/01/2022/4733
Or, souvenez-vous, c’était en 2019 ; l’Iref (institut de recherches économiques et fiscales https://fr.irefeurope.org/irefeurope/) accusait carrément l’agriculture « bio » de tromperies subventionnées.
8 milliards d’euros de chiffre d’affaires pour ce secteur, alors que la littérature scientifique ne permet pas de prouver : « la supériorité de l’agriculture dite « biologique » (AB) sur l’agriculture conventionnelle (AC), que ce soit sur les plans sanitaires, nutritionnels, organoleptiques et environnementaux. ». Rien qu’à ce titre, l’Iref propose d’abandonner « l’interventionnisme massif et coûteux de l’État en faveur de cette pratique pour permettre le libre choix alimentaire des consommateurs ».
Il n’y pas d’OGM en bio / baliverne #21
Un litre de lait « bio » est subventionné 50 % de plus, et une véritable rente légale prévaut pour les cantines en « bio » obligatoire.
Face à cette « rente de la peur » organisée et subventionnée par l’État, l’Iref propose de supprimer les subventions spécifiques pour l’AB et son lobby, de privatiser le label AB, d’abolir le monopole intellectuel sur le mot « biologique » et de supprimer la loi forçant la consommation de « bio » dans la restauration collective ».
COP21 : pour préserver le climat, il faut manger moins de viande / BALIVERNE…
Révision du règlement européen pesticides : la schizophrénie du gouvernement.
Ré-homologation du glyphosate : quand les pays membres sont à court d’arguments
Tenez-vous bien, la décote et le coût d’entretien se calculent en heures !
PRIX et DÉCOTE du TRACTEUR MASSEY FERGUSON 7718 S
https://youtube.com/shorts/OAgDh2h1Fg4?feature=share
Les nouveautés du Sima 2022 en avant-première
Le nébuleux business du « bio » est de plus en plus controversé
14 août 2019 Jacques Chassaing
https://ripostelaique.com/le-nebuleux-business-du-bio-est-de-plus-en-plus-controverse.html
(1) Les vautours de McKinsey planent sur les agriculteurs français
30 décembre 2022 Jacques Chassaing
https://ripostelaique.com/les-vautours-de-mckinsey-planent-sur-les-agriculteurs-francais.html
UE : Sicco Mansholt fut le fossoyeur de l’agriculture familiale
3 novembre 2022 Jacques Chassaing
https://ripostelaique.com/ue-sicco-mansholt-fut-le-fossoyeur-de-lagriculture-familiale.html
Jacques CHASSAING
Nouvelle aide de 5 750 000 euros pour la filière bio moribonde
https://youtu.be/vP1anMtb7aw L'escroquerie de la pseudo alimentation " bio " vit enfin ses derniers temps. L'inflation voulue par Macron en boomerang aux inutiles et illégitimes sanctions contre la
https://ripostelaique.com/nouvelle-aide-de-5-750-000-euros-pour-la-filiere-bio-moribonde.html