Une provocation du type de celles qu’affectionnait Adolf
Trouvant que l’effondrement de la Russie ne va pas assez vite, les Ukronazis ont envoyé deux missiles sur les Polaks, membres de l’OTAN, pour accuser les Russes d’agression… Profitant de l’occasion pour exiger plus d’argent, plus d’armes, dont des avions modernes, et entraîner les forces de l’OTAN dans l’escalade.
C’est tout à fait dans le style du Zygomyr qui, depuis le début du conflit, ne cesse de monter des machinations, tantôt puériles, tantôt sordides, pour accuser les Russes de tout et n’importe quoi. Depuis les génocides des morts qui ressuscitent, on en est presque à une mise en scène nouvelle chaque jour !
Bien entendu, pas une crevure de journaliste vendu n’a fait observer que ce scénario des missiles n’était pas crédible. S’il y avait eu des mouvements russes dans le secteur, les satellites les auraient repérés. Même le sénile Robinette en convient.
Quant aux missiles, si leur usine d’origine était établie, rien n’indiquerait la provenance du tir. Puisque, bizarrement, on ne trouve pas de traces radar. Or, au début du conflit, l’arsenal ukrainien contenait de nombreux matériels de fabrication russe et il doit bien leur en rester quelques-uns.
Ceci dit, ce serait bien que le plan du Zygomyr, simpliste mais qu’il croit machiavélique, réussisse et que l’OTAN attaque la Russie pour de bon. Sans se cacher derrière ce clown. Ça donnerait enfin l’occasion à la Russie menacée dans son existence d’utiliser ses armes hypersoniques de dernière génération, et la messe serait dite.
La Russie se ressaisit mais les merdias d’Occident préfèrent ne rien voir
Outrageusement partisans, nos médias putrides n’ont pas trop d’éloges pour encenser le Zygomyr ni trop de critiques haineuses pour condamner Vladimir.
Le moindre gain de quelques km2 par les Ukrainiens, souvent encore disputés sous la mitraille, est présenté comme une grande victoire. Tandis que les avancées tactiques des Russes dans le Donbass sont qualifiées d’opérations-suicides.
En fait tous les éléments de langage de la propagande du Zygomyr sont repris au mot près, sans la moindre curiosité, sans la plus minime tentative d’analyse, ni la plus infime miette d’esprit critique.
Mais les culottes de peau de l’OTAN, les politicards à leur botte et les journaleux à leur traîne ont chanté victoire trop vite.
Certes, les centaines de milliards de dollars de matos militaire haut de gamme expédiés aux Ukronazis, avec pour les aider des « instructeurs » (surtout ne pas dire mercenaires) ont causé quelques soucis aux Russes.
Par ailleurs obligés de se démener sur les marchés internationaux des pays alliés ou neutres pour compenser l’embargo décidé par les Américains, ils doivent gérer leurs finances au plus près. Tandis que des milliards de dollars ou d’euros affluent dans les poches du corrompu Zelensky, à qui personne ne demandera d’en justifier l’usage.
C’est dégueulasse. Mais terriblement efficace ! La majorité de nos chers compatriotes, là comme pour la musulmanisation du pays, récitent pieusement la doxa mondialiste assénée par les télés, sans omettre une virgule.
Quoi qu’il en soit, trois éléments permettent de penser que les otanesques ne sont pas au bout de leurs peines : L’écrasement des infrastructures de l’ennemi, le renforcement des rives du Dniepr et les contre-attaques dans le Donbass.
Les infrastructures ennemies ciblées et détruites
Tous les livres d’histoire, et tous les films à la gloire des alliés, montrent que pour venir à bout des Boches, il a fallu les aplatir sous des tapis de bombes jour et nuit, détruisant leurs villes, leurs usines, leurs ponts, leurs ports, leurs voies ferrées, leurs barrages et des millions d’habitations.
Ce n’est pas nouveau. Les Ricains ont un savoir-faire qui remonte loin. C’est ignoble de reprocher aux Russes de faire ce qu’ils ont fait eux-mêmes maintes fois, à tous leurs ennemis. En pire. Y compris à ceux de leur propre peuple.
À une autre époque, les vertueux Yankees brûlaient les fermes du Sud, incendiaient les champs et les silos pour affamer les Confédérés, empoisonnaient leurs puits, prenaient des otages parmi les notables pour les fusiller. Et tout le monde trouvait cela très bien. Puisqu’il fallait mettre au pas les vilains-méchants esclavagistes.
On sait aujourd’hui que les discours « humanitaires » de Lincoln et compagnie visaient moins à affranchir les nègres qu’à jeter sur les routes des foules de vagabonds et de miséreux, libres de monter dans le Nord pour bosser comme manœuvres ou ouvriers sous-payés dans les usines de leurs « libérateurs ».
Au plan militaire, même raisonnement avec les Japs. On pilonne et on repilonne, île après île, ville après ville, et on finit avec les feux d’artifice de Hiroshima et Nagasaki.
Mais je ne plaindrai jamais les Nippons qui avaient massacré des milliers de Français en Indochine. Ils n’ont eu que ce qu’ils méritaient.
La guerre n’est pas un jeu de rôle où on se répartit les dés, les cartes et les déguisements. Le meilleur moyen de faire reculer les militaires au front est de détruire leurs arrières. Privés d’intendance et du soutien d’une population affaiblie et déprimée, même les plus bellicistes finissent par se calmer.
En ce sens, les missiles et les drones de Poutine sur les villes, les structures énergétiques et les nœuds de transport font plus pour en finir que la logomachie des diplomates otanonusiens. Lesquels ne peuvent concevoir la paix autrement que par la capitulation inconditionnelle de la grande Russie.
Une reddition non pas à un pitre grotesque comme le Zygomyr. Mais aux stratèges des bureaux du Pentagone, décorés comme des sapins de Noël, qui tirent toutes les ficelles, sans être jamais allés au feu pour la plupart.
On va quand même voir jusques à quand les populations européennes, lobotomisées par les médias, vont supporter sans s’insurger des privations de biens essentiels, à commencer par la nourriture, sans protester contre les rationnements d’énergie, ni regimber contre une inflation délirante et des rackets fiscaux en hausse pour entretenir un conflit qui ne les concerne en rien.
Le Dniepr, frontière naturelle renforcée
Le repli stratégique de Kherson m’a beaucoup déçu. Même si je comprends les arguments avancés par les généraux, j’aurais préféré qu’ils vitrifient le site et rôtissent les spadassins ennemis. Ou au moins, à titre d’avertissement, qu’ils fassent sauter le barrage pour noyer les Ukronazis comme des rats.
L’ami Vlad est trop bon, finalement ! Espérons que cette nouvelle stratégie n’est qu’un repli attentiste pour limiter les dégâts, avant de repartir à l’attaque.
En toute hypothèse, tenter le franchissement du Dniepr et lancer un débordement des défenses russes va coûter très cher aux Ukronazis, avec un espoir de gain quasi nul.
Plus de 30 000 militaires et près de 5 000 unités d’armements et de véhicules de combat ont été retirés de la rive occidentale du fleuve pour être déployés désormais sur la rive gauche dont les principaux ponts sont détruits.
À quelques dizaines de kilomètres de Kherson, des norias de camions vont et viennent pour renforcer la barrière naturelle du fleuve. Du matériel lourd, de l’artillerie, des blindés, des plots en béton sont acheminés pour fortifier la position russe. Des tranchées et des abris sont en train d’être creusés.
Même les propagandistes appointés par TF1 qui sont allés y faire un tour, librement, sans que les « méchants » Russes les en empêchent, le reconnaissent. Avec des sanglots larmoyants dans leur haleine fétide de chacals. Ça va pas être du gâteau !
Une consolation pour eux, des propagandistes du Nouvel Ordre Mondial tiennent pour acquis que le fleuve constituera désormais la nouvelle frontière de Novo Rossia. J’ose espérer que, dans l’esprit de Vladimir Vladimirovitch, il ne s’agit que d’un repli provisoire.
Et au Donbass, l’offensive repart !
On estime que 50 000 à 60 000 soldats russes tenaient Kherson et sa région. Si à peu près la moitié est déployée le long du fleuve, pour protéger in fine la Crimée, l’autre moitié a été envoyée à l’Est pour aider les russophones qu’il n’est pas question d’abandonner aux sbires de Kiev. Lesquels n’ont pas attendu pour reprendre les exécutions sommaires comme avant l’intervention russe.
Après des mois de guerre de tranchées, où le moindre hameau de 10 habitants réoccupé par les Ukronazis était qualifié de grande victoire par les putois qui sévissent sur nos antennes télé, comme le Zygomyr le leur a ordonné, la guerre de mouvements semble reprendre.
Dans un premier temps, les troupes aguerries du GMP Wagner ont stoppé la déferlante des kamikazes ukrainiens et des mercenaires étrangers drogués jusqu’à l’os. Puis, dans une progression lente, ils ont commencé à reprendre du terrain, et à renforcer les zones nettoyées.
« Nous somme mieux entraînés et équipés que les soldats ordinaires, reconnaît un de leurs sergents lors d’une interview diffusée partout sauf en France, et nous obéissons aux ordres de nos officiers, mais le vrai patron est au Kremlin. »
Au moins, ça a le mérite d’être clair.
Ces hommes que nos médias présentaient comme de vils mercenaires motivés par l’appât du gain se conduisent en patriotes. Ils se battent pour la Russie et ne reculent pas malgré les pertes importantes que leur infligent, à distance, les armes sophistiquées de l’OTAN.
Bien entendu, aucun merdia n’en parle, ce serait nier la parole sacrée du Zygomyr face de rat qui ne cesse de crier victoire.
Par ailleurs, il est probable que les nouvelles troupes russes dépêchées au Donbass, et parmi elles quelques commandos surentraînés retirés à Kherson, peuvent aider à renverser le cours des opérations.
En combats rapprochés, l’ennemi recule.
Comme à Pavlovka dans l’oblast de Lougansk qui vient d’être repris par les Russes. Par contre, avec les tirs à longue portée, les Ukronazis infligent de gros dégâts aux Russes sans prendre de risques. Il faut donc aller chercher l’ennemi là où il se terre, et l’obliger à se battre. Plutôt que de le laisser tranquille sous le parapluie de l’OTAN et des USA qui font une guerre technologique à la Russie.
« L’immonde » le torchon subventionné des bobos gauchistes s’est trahi !
En reconnaissant dans son édition du 5 novembre 2022 à propos des Wagner que « ces mercenaires qui sèment la terreur partout où ils passent » (sic) sont les seuls aujourd’hui à faire avancer les lignes et à reprendre du terrain sur tous les fronts, contre les attaques ukrainiennes, quand les forces de Moscou patinent ou reculent.
Et de déplorer, évidemment, le fait que le groupe Wagner, au fur et à mesure de ses victoires sur le terrain, prend de plus en plus d’importance en tant que bras armé de Poutine. Reconnaissant implicitement que la suite des opérations risque de ne pas être un long fleuve tranquille pour le clown de Kiev et ses séides.
Christian Navis
/https%3A%2F%2Fripostelaique.com%2Fwp-content%2Fuploads%2F2022%2F11%2Fpoutine.jpg)
Le Dniepr ne sera pas un long fleuve tranquille pour les pantins de l'OTAN
Une provocation du type de celles qu'affectionnait Adolf Trouvant que l'effondrement de la Russie ne va pas assez vite, les Ukronazis ont envoyé deux missiles sur les Polaks, membres de l'OTAN, pour