Vous êtes triste, déprimé, révolté, agacé, fatigué, douloureux, nauséeux, anorexique ou boulimique, hagard, impuissant devant l’aveuglement de trop de citoyens devant la violence et la puissance mortifère des quelques milliers de milliardaires qui gouvernent le monde occidental. Ils sont menés par Bill Gates, l’informaticien, Tedros le patron de l’OMS, non-médecin au passé éthiopien sulfureux1, Fauci le MR Vaccin des USA2 depuis 50 ans et bientôt retraité tout de même (l’État profond s’effondrerait-il ?), le pouvoir politique américain, et évidemment la présidente de la Commission européenne non élue qui régente les pays soumis de l’UE et quelques autres leurs effecteurs, les dirigeants des pays européens…
Le refus de la réintégration des soignants non injectés est cohérent avec l’ensemble du « projet »
Les psychiatres formés sont débordés par les vagues de suicides chez les adultes, mais aussi chez les enfants. Bien sûr, vous pouvez piocher dans les milliers de « thérapeutes » en tous genres disponibles sur le net, de formations et valeurs diverses et variées et qui ont l’avantage, n’étant pas soignants, de ne pas être interdits d’exercice pour refus d’injection expérimentale et leurs actes non remboursés par la sécurité sociale, donc beaucoup moins persécutés que les psychiatres formés à l’université par l’assurance-maladie.
Évidemment vous y trouverez de bons psychothérapeutes bien formés (dont certains actes reconnus et remboursés), mais aussi beaucoup de plus ou moins farfelus aux méthodes et pratiques diverses, mais dont une caractéristique trop fréquente est leur sentiment de supériorité, leurs incompétences médicales, leur rejet extrême de la médecine traditionnelle qui a failli certes, mais guéri des millions de patients depuis un siècle… On plonge dans le délire.
Danger, donc, mais en attendant le rendez-vous donné par un vrai professionnel dans six mois pour un premier contact pour votre ado cassé par le confinement, les cours en visio, les discours dissonants des radios, et la peur, terrible peur véhiculée par leurs enseignants manipulés par leur rectorat, parfois la terreur de l’avenir, que ferez-vous ?
Le pouvoir mondialiste a tout prévu
Manifestement depuis plusieurs années, l’obsession des pouvoirs politiques occidentaux n’était pas de former de meilleurs docteurs et assez nombreux praticiens, mais bien de les REMPLACER ». Il ne faut pas croire que la réduction drastique du numerus clausus était une « erreur » politique. Non, le scénario a consisté à progressivement priver les médecins de leur pouvoir médical en les soumettant à une administration prétentieuse et incompétente dans les soins, mais obéissante, dirigée le plus souvent par des énarques apparemment frustrés de ne pas être médecins, et parallèlement à en diminuer le nombre et la qualité (remplacement des enseignants cliniciens par des « savants » biologistes ou épidémiologistes, ou « médecins » de santé publique n’ayant jamais écouté un cœur ni palpé un foie…).
La première étape, « invisible » pour le peuple, a été d’embaucher dans des conditions précaires des médecins venus d’ailleurs, de formation plus ou moins bonne. Surtout leurs principaux défauts aux urgences, leur lieu d’accueil privilégié, étaient leur manque de maîtrise du français et donc du contact humain avec le public. Notons que cette difficulté aurait pu et dû être comblée rapidement avant embauche par un apprentissage intensif de la langue, comme cela se pratique partout pour les expatriés.
Mais les bureaucrates au pouvoir ne souhaitaient manifestement pas qu’ils comprennent les maux de leurs consultants, surtout pas tout ce qui pouvait concerner la médecine de l’âme.
On nous parlait de robots au lit du malade remplaçant fièrement, dans les congrès médicaux de démonstration, les infirmiers absents, déprimés et maintenant interdits d’exercice sous prétexte de refus d’injection expérimentale dangereuse et inefficace. Nous rigolions plus ou moins, vaguement inquiets.
Le robot s’avançait dans le couloir de l’hôpital pour prendre la tension artérielle du vieux monsieur et apporter le repas à la vieille dame. On a OSÉ nous présenter ces machines comme des progrès ! Naïfs, des téléspectateurs ont regardé, ébahis, le malade dans sa triste chambre d’hôpital et mal fagoté dans sa chemise blanche inadaptée, être distrait par un petit robot sympathique, mais terriblement inhumain.
Les fous de la connexion seraient-ils dispensés (avec bonne conscience ?) de visite à la grand-mère en fin de vie ou à la vieille tante qui sent mauvais, voire au petit frère cancéreux sans cheveux et décharné ?
Ne vous inquiétez pas, le gouvernement veille à remplacer les soins palliatifs longs et coûteux par une euthanasie acceptée rapide – quand vous sentez gêner tout le monde et qu’on vous a suffisamment culpabilisé sur le coût de vos soins, vous la demandez cette finale piqûre et ils oseront parler de « consentement libre et éclairé ». Oui éclairé sur la cruauté du monde…
Présenté à Tokyo en 2011, le voilà maintenant arrivé sur le marché depuis novembre 2013 : le robot-infirmier de Panasonic, Hospi. Si son écran HD affiche un large sourire, sa commercialisation ferait en revanche plutôt grincer des dents. Après le robot qui réalise les prises de sang, cette nouvelle invention incarne-t-elle l’avenir du monde médical ou sa déshumanisation programmée ?
Tout d’abord mis en place et étudié dans un des hôpitaux du groupe Panasonic, Hospi a su convaincre le personnel soignant d’Osaka. Malgré son poids important (120 kg), il a su se faire apprécier de ses “collègues” en les délestant de certaines tâches fastidieuses. Il sait gérer la programmation de la distribution des médicaments à heures fixes en les déposant aux infirmières. Mieux encore, un modèle permettrait de laver les cheveux du patient de façon semi-automatique !

Juste attirer votre attention sur la parution d’un article de Pierre Kory
Selon le Dr Pierre Kory, le personnel éditorial des revues médicales à fort impact recevait l’ordre de censurer les études sur l’ivermectine de la part de Big Pharma (Substack)http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com/selon-le-dr-pierre-kory-le-personnel-editorial-des-revues-medicales-a-fort-impact-recevait-l-ordre-de-censurer-les-etudes-sur-l-ivermectine-de-la-part-de-big-pharma-et-de-philanthropes-comme-bill-gates-substack
Je suis admiratif devant votre constance et votre acharnement (merci)
On pourrait simplement ajouter en complément que dans l’éducation, notamment dans l’enseignement des mathématiques, la dérive numérique prend chaque jour plus d’ampleur.
J’avais dénoncé l’utilisation, parfois abusive, de la plate-forme Kwyk (https://nouveau-monde.ca/profs-medecins-deux-metiers-sous-influence/) qui propose une assistance au corps enseignant jusqu’à créer parfois une dépendance dont la conséquence naturelle est une perte de confiance d’abord puis à terme, de compétences.
On peut aussi citer l’application « Photomath » largement plébiscitée par les élèves auxquels, « elle sauve la vie » comme ils disent puisqu’il s’agit de résoudre quasi-instantanément des problèmes algébriques. Ce faisant, ces jeunes deviennent intolérants à la phase, portant fondamentale, de recherche ; fut-elle infructueuse.
Depuis, d’autres starts-up ne rêvent que de s’emparer d’un marché de l’éducation numérique que l’on imagine énorme (au sens : « énormément rentable ») ou encore, d’éducation sous assistance virtuelle. Nous sommes ces dernières semaines, inondés par les promesses fantastiques « d’infini Méta » notamment.
Parmi les plus récentes, on peut citer : “Mathscan.” Là encore, il s’agit de déléguer à une intelligence artificielle la responsabilité d’un enseignement et de reléguer le corps professoral au rôle de « référent potentiel ». La pédagogie, qui demande spontanéité et intuition, n’est plus une compétence strictement humaine ; elle peut être programmée. Le diagnostic concernant les difficultés de l’élève sera effectué par l’IA et le bilan, transmis à l’enseignant qui devient un simple exécutant.
Ce faisant, son expertise est niée avant d’être jugée franchement inutile. On arrive doucement à un statut de prof “consultant.” Le glissement a été aussi subtile qu’il est pervers car l’on est passé d’un enseignement libre et indépendant, à un enseignement sous assistance numérique puis, finalement, à un enseignement numérique sous assistance humaine. Cette logique est donc partout. Elle permet en effet d’expliquer pourquoi ils rechignent tant à embaucher (ou à réintégrer bien sûr) des fonctionnaires, ie des postes garantis à vie, quand ils imaginent que ce n’est là qu’une question d’années avant la démocratisation de ces technologies.
Malheureusement, il est à craindre que l’on aura bien un public pour encourager cette dérive. Il s’agira d’abord des élèves en phobie scolaire pour lesquels la présence physique de l’Autre peut être perçue comme une agression ; et puis ce sera généralisé.
Les élèves comme les étudiants exigeront un prof virtuel aux cheveux bleus, aux yeux roses, non genré (je rappelle qu’il ne se passe pas une semaine où l’on ne reproche aux maths d’être une discipline raciste et/ou genrée …) qui voudra bien “dispenser” un cours entre 18h07 et 21h34.
Un enseignant en chair et en os, c’est faillible ; c’est une personnalité à laquelle l’on doit s’adapter, avec un caractère qui peut déplaire, avec un timbre de voix qui peut agacer, une propension à postillonner (on entend ces remarques des élèves sans cesse), un humour douteux peut-être, une disponibilité limitée dans le temps. Il y a une telle culture de l’intolérance et de l’impatience, que c’est la porte ouverte à tous les excès dont le recours systématique à la machine, ie un extérieur neutre ou que l’on pourrait paramétrer selon son bon vouloir.
Enfin, plus prosaïquement, il faut compter avec la fascination, l’addiction pour l’innovation ; ce qu’ils appellent : la modernité. Attention donc à résister au chant envoûtant de ces sirènes du numérique qui nous éloignent du port de notre humanité…