Nous pensions sans doute à tort que le procès de Nuremberg avait mis fin aux folies de l’idéologie nazie. Or, une série de décisions prises par la Commission européenne montre que le nazisme est en train de triompher à nouveau au cœur du pouvoir européen. Quatre exemples permettent d’apporter la preuve dramatique que nous devons rapidement nous soustraire à l’emprise d’une nazification des instances européennes : 1. l’expérimentation médicale, 2. le soutien d’un régime néo-nazi, 3. la préférence musulmane et 4. le wokisme néo-nazi. Voyez par vous-même et faisons campagne.
1. L’expérimentation médicale à grande échelle
Ne réécrivons pas ici les nombreux articles publiés à juste titre en ce sens, les nôtres (Passe vaccinal et violation des accords sur les libertés humaines – Riposte Laique en décembre 2021 ou Y a-t-il des similitudes entre les Covidistes et les Nazis ? – Riposte Laique en novembre 2021, mais aussi la brillante synthèse de Gérard Delépine (Le code de Nuremberg est d’une actualité brûlante – Riposte Laique) ce mois-ci. Rappelons que les décisions prises par l’Union européenne imposent une expérimentation médicale à grande échelle à faire pâlir d’envie les médecins nazis.
Il n’y a pas de discussion possible concernant l’autorité morale et juridique du code de Nuremberg, de la déclaration d’éthique médicale d’Helsinki de 1964 de l’Association Médicale Mondiale et de la convention d’Oviedo de 1997 dont les pays européens sont signataires. Ces signatures les engagent à respecter la dignité humaine, l’inviolabilité du corps humain, l’interdiction de toute expérimentation en dehors d’un cadre très contraignant après les vérifications de la faible dangerosité, d’où les expérimentations animales antérieures. Le libre consentement est une clé de voûte absolue. Elle suppose l’accès loyal à toutes les informations les plus claires concernant les alternatives thérapeutiques proposées et leurs incidences. Aucune pression ne doit être exercée. A l’inverse, nous avons vécu et allons encore vivre une pression insupportable, un chantage aux libertés dans une violence psychique sciemment organisée. Alors que ces textes et leur application devaient nous protéger des horreurs nazies, l’Union européenne a fait le choix de balayer ces protections pour renouer avec la folie d’une expérimentation à grande échelle et les textes en préparation pour l’hiver 2022-2023 démontrent son ancrage nazi.
L’aspect nazi de la décision est renforcé par la protection invraisemblable accordée aux laboratoires pharmaceutiques en matière d’irresponsabilité pénale. Cette concession est sans doute la plus grande preuve que l’Union européenne est complice des laboratoires dans une expérimentation dont personne ne veut assumer la responsabilité. Et ce fait d’organiser l’irresponsabilité est une preuve accablante, car elle révèle ce que dévoilait déjà la philosophe Hannah Arendt, assistant au procès d’Eichmann à Jérusalem en 1961, où elle concluait à l’organisation de la banalité du mal par l’irresponsabilité de chacun des participants de l’Holocauste. Organiser l’irresponsabilité est un signe clair du nazisme de l’Union européenne.
De plus, indépendamment de toute polémique sur la nature de cette thérapeutique et ses effets indésirables qui ne manqueront sans doute pas d’occuper l’actualité dans les mois et années à venir, les pratiques actuelles sont nazies. La pression exercée dans les hôpitaux et Ehpad sur les personnels de santé pour exécuter des crimes, l’interdiction de prescrire des médecins pour laisser mourir des patients, la punition des populations résistantes pour leur extorquer la violation de leur intégrité physique démontrent l’inspiration nazie de la politique sanitaire de l’Union européenne. Il faut imposer à tous une expérimentation sans aucune preuve de la qualité de la protection et encore moins de l’innocuité, faute d’un recul suffisant. L’urgence aura servi de prétexte à l’installation d’un régime sanitaire nazi. Ne craignons pas ces mots.
2. Le soutien aveugle d’un régime sous influence des néo-nazis
Même le jeune avocat d’extrême gauche, Juan Branco, dans une émission brillante intitulée : Vers une Révolution (Juan BRANCO déglingue la MACRONIE [Grand Entretien] – YouTube) (à partir de la 22e minute), pointe sans aucune concession l’invraisemblable soutien de l’Union européenne à un gouvernement ukrainien construit autour d’influents néo-nazis. Ceux-ci sont très satisfaits d’encourager les juifs d’Ukraine à faire leur Alya pour quitter l’Ukraine et aller en Israël. Plus de 270.000 ont fui l’Ukraine depuis son indépendance. Personne ne s’en émeut. La passivité de l’Union européenne est d’ailleurs une autre preuve de son caractère nazi, puisqu’elle se refuse à prendre en compte les rapports produits par les organisations internationales sur les crimes commis par ces nazis qui arborent fièrement des emblèmes du Reich et persécutent les populations russophones ou les minorités Roms. On trouve des véhicules ukrainiens en Europe qui arborent fièrement : HH88 (Heil Hitler et 88 pour la position de la lettre dans l’alphabet). Silence! Négationnisme encore, quand l’Union européenne ne dit rien concernant l’incendie criminel de la maison des Syndicats d’Odessa le 2 mai 2014 où périrent 32 personnes dans les flammes. A ce jour, censure, attitude révisionniste, aucune récrimination de l’Union européenne malgré l’horreur du geste et la technique rappelant furieusement celle du IIIe Reich. Ce n’est donc pas un hasard si l’Union européenne occulte intentionnellement toutes les informations concernant les exactions ukrainiennes sur ses propres populations depuis 2014, les médias s’en faisant les complices zélés. Ce silence vaut caution donnée au traitement militaire des populations du Donbass en particulier : génocide des Slaves qui n’est pas bien grave quand on sait qu’il s’agit d’une sous-race pour les Allemands rappelons-le, les Ukrainiens se pensant aryens comme Bandera.
3. La préférence musulmane
Personne n’ignore que le nazisme était anti-chrétien et antisémite et que les religieuses, les prêtres, les rabbins et bien sûr les juifs furent les victimes expiatoires d’une société païenne hantée par le retour de l’Empire romain et fascinée par les philosophies orientales. Cette même détestation des traditions judéo-chrétiennes est étonnamment omniprésente dans les politiques de l’Union européenne contemporaine. Elle refuse toute référence à ses racines et elle poursuit une œuvre de déchristianisation au quotidien. Elle partage avec le nazisme cette très troublante haine de l’histoire judéo-chrétienne, les chrétiens n’ayant qu’à se taire sur toutes les questions qui engagent pourtant la morale publique : avortement, euthanasie, eugénisme prénatal, etc.
Mais il existe surtout un autre signe troublant qui est un point commun inédit avec le nazisme. C’est cette attirance pour l’islam et son pouvoir théocratique soumettant les populations au profit d’oligarchies qui règnent sans partage. L’Union européenne entretient des relations de complaisances coupables avec les pires royaumes et émirats islamistes, trafiquant même des armes au profit des mouvements terroristes au moment de déstabiliser la Syrie. Cette préférence musulmane a joué lors du conflit en Bosnie et au Kosovo. L’Europe a soutenu des États musulmans contre les sociétés orthodoxes où chrétiennes sur son propre sol. Et le signe devient manifeste quand on sait que dans le même temps, cette Union européenne lutte contre les souverainistes et poursuit les chrétiens de Pologne ou de Hongrie en souhaitant leur imposer de forces des lois contraires à leur tradition d’inspiration chrétienne. Mes confrères de Riposte Laïque y consacrent de nombreux articles. Tout le monde connaît la complicité et l’attirance mutuelle entre les dignitaires musulmans et les autorités du Reich. Les autorités musulmanes n’ont jamais condamné les positions de l’empire Ottoman ou du Moufti de Jérusalem. Pour ceux qui veulent, lire : Amine el Husseini, Grand Mufti de Jérusalem, et le Troisième Reich de Chantal Metzger dans Les Cahiers de la Shoah 2007/1 (n° 9), pages 91 à 121 (Amine el Husseini, Grand Mufti de Jérusalem, et le Troisième Reich | Cairn.info)
4. le wokisme néo-nazi
Le quatrième exemple est à mes yeux le plus révélateur. Il s’agit du wokisme néo-nazi qui consiste à liquider les traces de la 2e guerre mondiale dans des pays aux accointances nazies avérées pendant la guerre. Au nom d’une position anti-russe très opportune, il est sidérant de constater la liquidation des monuments aux morts dans les pays baltes. Ces pays s’autorisent à retirer des monuments aux morts qui rappellent le rôle des armées russes, soviétiques à l’époque, dans ce qui fut la libération du nazisme en Europe. Cette coïncidence est beaucoup plus que troublante. Certains de ces pays ont donc la mémoire très courte sur le rôle qui fut le leur en faveur de l’extermination des juifs et des minorités Rom par exemple, ayant ouvertement choisi le camp hitlérien. Quelques liens permettent ici aux lecteurs de se documenter sur les événements et l’histoire nazie des pays Baltes :
L’Estonie enlève des monuments datant de l’époque soviétique | TF1 INFO
Les pays baltes dénoncent l’idée de commémorer le début de l’occupation soviétique (lefigaro.fr)
Les fantômes des collaborateurs des nazis hantent les rues de Vilnius (france24.com)
LA WAFFEN-SS EST « LA FIERTE DE LA LETTONIE », selon le ministre letton de la Défense | PCF.fr
Ce wokisme d’un nouveau genre démontre qu’il est acceptable de retirer des monuments aux morts honorant le souvenir de soldats russes qui ont lutté jusqu’au sacrifice contre des armées locales favorables à l’Allemagne Nazie. Cette liquidation opportune est particulièrement inquiétante, puisqu’elle consiste à éliminer les preuves d’une histoire complexe et douloureuse. L’Union européenne soutient donc là encore une entreprise bien étrange. Elle cautionne ainsi le retrait d’une mémoire : attitude au combien révisionniste pour ne pas dire négationniste qui arrange bien des pays, dont les responsabilités sont réelles en matière de collaboration active aux crimes nazis, comme les Ukrainiens d’ailleurs. Il devient donc légitime de retirer ces monuments au prétexte que ces soldats étaient des Russes. Comment déjà tolérer le retrait de monument aux morts ? Comment accepter l’oubli des sacrifices des luttes contre le nazisme ? Il y a là une manière de liquider l’histoire très inquiétante, car demain, l’existence des camps d’extermination sur les sols de ces pays ne devront-ils pas être aussi détruits ? Nous réhabiliterions l’Allemagne nazie! A quoi joue donc l’Allemagne contemporaine aujourd’hui dans ce révisionnisme ?
Voilà quatre exemples, dans la santé, dans les choix géopolitiques, dans le domaine des croyances et religions et dans celui de l’histoire. Ces signes ne trompent pas. Et je pense à un dernier qui émerge. Celui de l’autoritarisme et de la censure des médias. Jamais, je n’aurai pensé possible en Europe que nous pourrions censurer des organes de presse et des auteurs ou des scientifiques. Je préfère donc aujourd’hui jouer le rôle de Cassandre, en espérant que cela ne se concrétise pas. Je ne souhaite pas avoir raison. Je préférerais que l’avenir me fasse dire que j’ai joué le rôle de Jonas, envoyé à Ninive pour qu’il se repente au risque de leur destruction, ce qui arriva et contraria ce pauvre Jonas. Que le temps me donne tort serait un plaisir. Je serais alors un Jonas heureux. Mais il faut agir pour cela.
Nous devons, je crois, tous lutter, dénoncer et argumenter sur ce nazisme évident de l’Union européenne. Il y a dès cet automne un combat à livrer contre l’emprise sanitaire. Nous sommes libres, dignes, sacrés, inviolables. L’enfreindre est nazi, voilà tout. Il faut leur jeter à la figure ce qu’ils sont. Le soutien à l’Ukraine néo-nazie est un crime qui détruit ce peuple victime de ses élites criminelles. Nous soutenons des nazis, donc l’Union européenne fait le choix de l’apologie du nazisme, sans respecter une seconde les droits des minorités ethniques et linguistiques de ces territoires. Il faut l’asséner avec vigueur. Le piège est facile. Que l’Ukraine gère son différend avec la Russie. Voilà tout. L’Union européenne fait aussi ouvertement l’apologie et la promotion de l’Islam alors qu’elle lutte contre les religions « autochtones ». Cette situation est inacceptable et cette complicité est à dénoncer avec vigueur.
Nous devons aider nos contemporains à se dessiller les yeux. Qu’ils prennent garde de ne pas devenir les sinistres collaborateurs de ce nazisme. Il est sans doute crucial dans les mois à venir de liguer partout en Europe ceux qui préfèrent la paix, la liberté et plus encore l’amitié et l’amour de leur prochain au lieu et place d’une tyrannie emplie de haine, qui s’installe chaque jour pas à pas dans le quotidien des médias et des discours politiques. Réveillons-nous, car nous sommes en marche vers l’enfer.
Pierre-Antoine Pontoizeau
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