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3 août 2022 3 03 /08 /août /2022 11:58
La pierre Ingá, mystère préhistorique du Nordeste brésilien

Couverte de gravures indiennes vieilles de plus de 5 000 ans dont l’interprétation est encore incertaine, la pierre Ingá attire de nombreux archéologues et visiteurs dans la petite ville du même nom, dans le nord-est du Brésil. (Vidéo ci-dessus)

Des tablettes retrouvées au Brésil

La tablette de Parahyba prouve que des marins originaires du pays de Canaan arrivèrent au Brésil en 600 avant notre ère. L’inscription, extrêmement longue, raconte qu’un galère phénicienne se perdit dans une tempête lors de la cirumnavigation de l’Afrique.

Cet événement peut être approximativement daté de 600 avant notre ère si l’on se réfère à la seule tentative de contourner l’Afrique par l’Ouest décrite par Hérodote. L’inscription brèsilienne dit que douze hommes et trois femmes arrivèrent sur « un nouveau rivage » où ils sacrifièrent un enfant afin que cela leur porte chance.

Des Hébreux en Amérique bien avant Christophe Colomb

Ce que nous savons c’est qu’un rapport a été déposé par des marins lors de leur retour  en Espagne, dans la seconde moitié du cinquième siècle avant JC… Que l’histoire soit vraie ou pas, nous est inconnu, mais il a été consciencieusement rapporté à l’époque dans certains ont écrit.

Plus tard, aux XVIIIe et XIXe siècles, Ezra Stiles, alors président du Collège Yale, a estimé que l’écriture était de l’hébreu.

Dans son livre de 1871, l’Amérique ancienne, John Denison Baldwin a déclaré que

«l’entreprise connue de la race phénicienne, et cette connaissance ancienne de l’Amérique, si diversement exprimée, encouragent fortement l’hypothèse que les Phéniciens sont venus sur ce continent, et ont établi des colonies dans une région où se trouvaient des villes ruinées et la remplire d’une vie civilisée. On prétend qu’ils faisaient des voyages sur le «grand océan extérieur» et que de tels navigateurs avaient traversé l’Atlantique; Et il est ajouté que des dispositifs symboliques semblables à ceux des Phéniciens se trouvent dans les ruines américaines et qu’une ancienne tradition des Mexicains et des Amérindiens ont décrit les premiers civilisateurs comme des «hommes blancs barbus», qui «venait de l’Est en navires. »

Des inscriptions qui évoquent une guerre en Mésopotamie
Les inscriptions Inga Stone sur un mur d’environ 12 pieds de haut et 150 pieds de long à Paraiba, au Brésil.

La pierre Ingá (Pedra do Ingá en portugais) est située au milieu de la rivière Ingá près de la petite ville d’Ingá, à 96 km de João Pessoa, dans l’état de la Paraíba, au nord-est du Brésil. La pierre Ingá s’appelle également Itacoatiara do Ingá. Le mot Itacoatiara signifie pierre dans la langue tupi des indigènes qui vivaient dans cette région.

C’est une formation rocheuse au gneiss qui couvre une superficie d’environ 250 m².

Au total, un mur vertical de 46 mètres de long par 3,8 mètres de haut et des zones adjacentes, il y a des entrées dont les significations sont inconnues. Dans cet ensemble sont sculptés en bas relief, plusieurs figures, suggérant la représentation des animaux, des fruits et des constellations comme Orion et la Voie lactée.

Personne ne sait comment, par qui ou pour quelles raisons les inscriptions sur le roc ont été faites. Diverses sources ont été identifiées, et il y en a beaucoup qui font valoir que la pierre d’Inga a une origine phénicienne. Le Père Ignatius Rolim, par exemple, professeur de théologie, grec et latin, qui a vécu au XIXe siècle, fut l’un des premiers défenseurs et promoteurs de cette idée.

De nombreux symboles du monolithe de l’Inga sont semblables à ceux trouvés en Turquie, dans l’ancienne Anatolie des Hittites.

Une série d’inscriptions parle d’une « guerre des frontières » entre deux souverains d’origine mésopotamienne.

Une autre histoire raconte une terrible éruption volcanique. Les cendres couvraient une ville de pierre sur la côte atlantique.

Diverses théories prétendent que les signes ont été sculptés par des cultures indiennes anciennes, tandis que d’autres ont suggéré qu’il était fait par une civilisation ancienne inconnue qui a visité cette région dans le passé.

Les Tablettes brésiliennes gravées en hébreu ancien

DES PHÉNICIENS AU NOUVEAU MONDE ? – Par Ronald J. Willis – extrait de : Le livre de l’Inexplicable de Jacques Bergier

L’existence de l’inscription de Parahyba et son sens ne font plus de doute. Même les archéologues les plus réactionnaires les admettent. Il semble que les Anciens se déplaçaient beaucoup plus qu’on ne le croit et qu’ils exploraient davantage qu’on ne le pense.

Tout récemment, on a prouvé qu’au XIVe siècle de l’ère chrétienne une immense flotte chinoise a atteint l’Afrique. La conception d’une Histoire fragmentée, avec des civilisations bien séparées, est amenée à disparaître.

En 1872, à Parahyba, au Brésil, fut découverte une pierre qui portait une inscription en huit lignes dont les caractères n’appartenaient très évidemment pas aux cultures connues de l’Amérique du Sud.

En 1874, l’inscription vint à l’attention du Pr Ladislas Netto du Musée national brésilien de Rio de Janeiro. Ni le professeur Netto ni aucun autre savant brésilien ne semblent lui avoir jamais accordé une très grande attention sérieuse.

Elle en vint cependant à être connue en Europe où les infatigables érudits allemands la remarquèrent. Elle fut d’abord jugée d’origine phénicienne. Plus tard, la philosophie allemande l’écarta comme non phénicienne.

Apparemment la pierre elle-même se trouva perdue. Mais l’inscription demeura en copie. Maintenant, la controverse s’est rallumée. Un nouveau protagoniste soutenant l’origine phénicienne de l’inscription est apparu. C’est le Dr Cyrus H. Gordon de l’Université Brandeis.

Deux facteurs sont survenus pour ranimer la controverse.

L’un vient de ce que de nouvelles découvertes dans les écrits phéniciens démontrent, selon le Dr Gordon, que l’usage des mots dans l’inscription de la pierre de Parahyba est correct, contrairement à des jugements antérieurs moins bien informés.

L’autre facteur provient de la découverte par le Dr Jules Piccus, de l’Université du Massachusetts à Amherst, d’un carnet de notes ayant appartenu à Wilbeforce Eames, l’un des conservateurs en chef de la New York Public Library au XIXe siècle. Dans ce carnet, se trouvait une lettre du 31 janvier 1874 adressée à Mr Eames par le Pr Netto. Le Dr Piccus montra cette lettre au Dr Gordon. Celui-ci en conclut que la transcription des caractères dans la lettre était plus plausible que la version « définitive » précédente, publiée en 1899.

Tandis que le Pr Frank M. Cross de Harvard continue de stigmatiser l’inscription comme un « faux du XIXe siècle », le Dr Gordon soutient que l’usage d’une terminologie inconnue des archéologues au moment de sa découverte prouve que ce n’est pas une fabrication frauduleuse.

La controverse se poursuit donc. Mais jusqu’à présent sans prêter d’attention visible à d’autres inscriptions tenues pour phéniciennes trouvées au Brésil. En gros, celles-ci comprennent :

Egalement en 1872, un ingénieur du nom de Francisco Pinto prétendit avoir découvert, des inscriptions dans plus de vingt cavernes dans la jungle brésilienne ; en tout, environ 250 inscriptions. Sur l’invitation du gouvernement brésilien, le philosophe allemand, Ludwig Shoenhagen, vint au Brésil, étudia les inscriptions pendant quinze ans et les
déclara phéniciennes.

Dans les années 1880, le Français Ernest Renan affirma avoir trouvé d’autres inscriptions phéniciennes.

Au début de ce siècle, un industriel retiré des affaires, Bernardo da Silva Ramos, prétendit avoir découvert plus de 2800 inscriptions sur des pierres, le long du cours de l’Amazone. Un rabbin de Manáos déclara qu’à son avis ces inscriptions étaient phéniciennes. Les ouvrages ou articles de Ramos sur ce sujet semblent avoir été vraiment bien ignorés.

On considère généralement que les Phéniciens atteignirent les Açores. Sur la plus occidentale de ces îles, Corvo, on dit qu’il y aurait eu des découvertes de monnaies carthaginoises (en 1749), des rumeurs persistantes (quoique obscures) de l’existence de ruines phéniciennes, y compris la découverte, lorsque les Portugais y arrivèrent, d’ « une statue équestre désignant l’ouest », qui, si cela est vrai, aurait été détruite depuis très longtemps.

Nous estimons qu’il conviendrait de prêter attention à ces corroborations possibles d’une présence phénicienne dans le Nouveau Monde.

Quelques remarques sur le texte de Parahyba

Extraits de « L’authenticité du texte phénicien de Parahyba », par le Dr Cyrus H. Gordon de l’université Brandeis, dans Orientalia de Rome, vol, 37 (1968), p. 75.

Les singularités linguistiques qui ont jeté la suspicion sur le texte viennent au contraire à l’appui de son authenticité.

« R (Rab, le capitaine) et un nombre de dix hommes périrent.

Des pertes pour moi et (mais) pourquoi pour (mon) camarade Hnna (Hanno). »

Note : le mot Rab traduit par capitaine, peut tout aussi bien signifier un chef religieux : Rabbi ou Rav

Si l’on ajoute que dans son numéro d’avril 1971, New World Antiquity a déjà publié trois autres traductions différentes de l’inscription de Parahyba, on voit les nombreux pièges qui guettent même les traducteurs les plus expérimentés et pourquoi il est si difficile d’avoir une complète certitude (N.D.T.)

AUX ORIGINES

D’après diverses sources, l’Amérique aurait été peuplée par les fils de Jectan, arrière-petit-fils de Sem, fils de Noé.

Au lendemain de la découverte de l’Amérique, alors que la critique géographique était à peine sortie de ses langes et que les textes bibliques jouissaient d’une autorité que personne n’osait mettre en question, c’est dans l’Écriture qu’on devait chercher l’origine des Américains. Un savant espagnol qui connaissait une foule de langues, Arius Montanus, l’auteur célèbre de la fameuse Bible polyglotte commandée par Philippe II, (publiée à Anvers, de 1569 à 1573,’ en 8′ volumes in-folio), trouva parmi les descendants de Noé les progéniteurs de cette race..

C’étaient les fils de Jectan, arrière-petit-fils de Sem, dont l’un, Seba, colonisa la Chine, un autre, Ophis, s’en alla d’abord au N.-O. du Nouveau Monde, puis descendit jusqu’à la région péruvienne, alors qu’un troisième, Jobal, élisait domicile au Brésil.

Montanus figura cette conception géographique dans une mappemonde signée et datée de 1571, qui parut pour la première fois dans sa grande Bible et qui reparut dans ses Antiquitatum Judaicarum, publiés à Ley de en 1593, où elle est expliquée savamment? Elle eut un grand succès, tant à cause de la notoriété de son auteur, que parce que c’est la première carte, où la tradition biblique sur le peuplement du monde entier par la postérité de Noé est interprétée graphiquement par un orientaliste spécialement versé dans la langue des écrits qui nous l’ont transmise.

Les Hébreux et les Туriens des flottes de Salomon envoyées à Ophir

Au XVIe siècle, on était si persuadé que l’Amérique avait été peuplée -par des descendants de Nóé, qu’on chercha par quelle région ils l’avaient fait. Naturellement on la trouva.

C’était à Ophir et les Hébreux, nous assure-t-on, continuèrent à être en rapports avec ces premiers Américains qui étaient de leur race, car Salomon, d’accord avec les Tyriens, envoyait souvent à ce pays des navires qui en rapportaient de l’or, des bois choisis et autres précieuses matières.

Seulement, les auteurs ne sont pas d’accord sur la situation d’Ophir.

Pour le plus grand nombre c’était au Pérou. Telle était l’opinion de Génébrard, célèbre professeur d’hébreu au Collège royal en 1563, de Guillaume Postel, savant cosmographe, qui mourut en 1581, d’Arius Montanus, mentionné plus haut, de Fernando Montesinos, qui consacra sa vie à l’étude des Indiens, et dont l’ouvrage, écrit vers 1530, est justement estimé, et de plusieurs autres.

Mais celui qui s’est montré le plus affîrmatif sur ce point est le vovageur Onfroy de Thoron qui a vécu plusieurs années dans l’Amérique du Sud’ et qui a déployé une érudition extraordinaire pour démontrer qu’Ophir était dans la haute Amazonie, sur le rio.Japura, à l’extrémité- occidentale du Brésil.

Ils allèrent à Ophir, et ils y prirent de l’or, quatre cent vingt talents, qu’ils apportèrent au roi Salomon.1 Rois 9 : 28

Les navires de Hiram, qui apportèrent de l’or d’Ophir, amenèrent aussi d’Ophir une grande quantité de bois de santal et des pierres précieuses. 1 Rois 10 : 11

Josaphat construisit des navires de Tarsis pour aller à Ophir chercher de l’or; mais il n’y alla point, parce que les navires se brisèrent à Etsion-Guéver (Eilat). 1 Rois 22 : 48/49

Les dix tribus du Royaume d’Israël se réfugient aux Amériques

L’historique de cette singulière opinion est curieuse, elle prend sa source dans un fait mémorable : la conquête, par l’Assyrie, du royaume d’Israël, qui comprenait les dix tribus septentrionales de la Palestine, alors que les deux autres tribus, formant le royaume de Juda, restaient en paix avec les’ Assyriens. Cette conquête, commencée en 733 avant notre ère, se termina en 721 , par la prise de Samarie et la captivité d’une grande partie des Israélites, qui furent dispersés dans les états des vainqueurs. A partir de ce moment, ces tribus disparaissent de l’Histoire; on ne sait ce qu’elles sont devenues.

D’après un passage du IVe livre d’Esdras, ouvrage apocryphe, ou plutôt non canonique, désirant vivre en paix, elles auraient cherché un pays qui n’avait jamais été habité, où elles pourraient suivre librement leurs lois, et, après avoir erré un an, elles se seraient fixées à un lieu appelé Arsareth, où elles devaient habiter jusqu’à la fin des temps. Les textes ne disent pas où il se trouvait, mais des commentateurs ont jugé que c’était l’Amérique et leur manière de voir a prévalu auprès du plus grand nombre.

Le premier qui paraît avoir émis cette opinion, est le célèbre apôtre des Indiens, Las Casas, qui mourut en 1566. Le Père Duran, dont le livre fut terminé en 1581, la reprit et la développa, et, en 1607, date de la première édition de son livre sur l’origine des Indiens, lé Père Gregorio Garcia put citer et analyser les vues de plusieurs autres auteurs favorables à la thèse. Grotius, qui la connut, la combattit en 1642, mais sans succès.

En-1650, un rabbin portugais, Menasech ou Manassès Ben Israël, qui s’était laissé persuader qu’il existait en Amérique une tribu qui connaissait la Bible, chercha des textes pour expliquer ce fait et demeura convaincu qu’il s’agissait de descendants des dix tribus perdues. Il le démontra dans un livre qui attira une. grande attention et qui fut aussitôt traduit en plusieurs langues.

Au XIXe siècle, nombre d’auteurs anglais témoignent encore en faveur de l’origine Israélite des Indiens. Parmi les plus connus nommons Elias Boudinot, américain d’origine française, Jarvis, Ethan Smith, Israël Woreby et Barbara Simon, dont les écrits sur cette question sont aujourd’hui des raretés bibliographiques extrêmement recherchées.

Des Cherokees d’origine hébraïque

Un jeune garçon et une jeune fille Cherokee en costume dans une réserve du nord du Canada, en 1939.

L’idée selon laquelle les amérindiens sont les descendants des anciens juifs a été controversée pendant des centaines d’années. James Adair est un colon du 18e siècle qui a commercé avec les amérindiens pendant 40 ans. Il a rapporté que leur langage, coutumes et structures sociales étaient similaires à ceux des israélites.

Dans son livre, L’histoire des amérindiens, il a écrit :

« c’est très difficile de se libérer soi-même, pour ne pas dire les autres personnes, des préjugés et opinions qui ont la faveur de tout le monde, et je m’attends à être censuré par certains parce que je m’oppose à des sentiments communément admis, ou parce que je me mêle d’un différent qui agite les savants depuis la première découverte de l’Amérique. »

Plus récemment, des observations similaires tenues par le Dr. Donald Panther-Yates ont même attisé ce que Yates décrit comme des « courriers de haine » provenant de professeurs en sociologie des indigènes.

Il est communément admis que les amérindiens descendent des Mongols. En 2013, une étude publiée dans la revue Nature a cependant reconnu la possibilité d’ancêtres européens. L’ADN d’un squelette vieux de 24 000 ans en Sibérie a été analysé. Son génome montre des similitudes évidentes avec les amérindiens et également avec les européens mais aucune avec les populations asiatiques. Cependant, le courant dominant de la communauté scientifique est loin d’accréditer la théorie selon laquelle les populations autochtones d’Amériques descendent des populations antiques du Moyen-Orient ou de la Grèce comme l’ont proposé Yates et d’autres.

Yates est lui-même d’origine Cherokee. Il est aussi titulaire d’un doctorat en études classiques et il a fondé l’institut de recherche en génétique, DNA Consultants. Ces trois qualités réunies en une seule personne donnent à Yates une approche unique en son genre sur l’histoire des amérindiens, sur les liens avec les cultures anciennes et sur la façon dont les tests ADN peuvent soutenir le lien théorique.

Des similitudes génétiques

On considère généralement que les amérindiens se retrouvent dans cinq groupes génétiques, connus sous le nom de haplotypes, portant chacun une lettre de l’alphabet : A, B, C, D et X.

Dans un article intitulé Anomalies du lignage de l’ADN mitochondrial chez les Cherokee, Yates a démontré ce qu’il appelle une erreur derrière de nombreuses analyses génétiques: « [Les généticiens affirment que] « les lignages A, B, C, D et X sont amérindiens. Donc, tous les amérindiens sont de lignages A, B, C, D et X ».

L’erreur dans un tel raisonnement est évidente. On pourrait le reformuler ainsi : « Tous les hommes sont des créatures à deux jambes, donc, puisque le squelette que nous avons déterré a deux jambes, c’est un humain. » Il pourrait pourtant s’agir d’un kangourou. »

Toute divergence à partir des haplotypes est habituellement attribuée à un mélange des populations après la colonisation européenne, non aux gènes que possédaient les amérindiens à l’origine.

Après avoir analysé l’ADN Cherokee, Yates a conclu : « Dans le peuple Cherokee, un tel mélange ne peut pas résulter d’un flux de gènes européens postérieur à 1492. »

« Mais alors, d’où proviennent les éléments génétiques qui apparaissent et qui ne sont ni européens, ni indiens ? » a-t-il demandé. « La part de l’haplogroupe T (grand groupe d’haplotype) chez les Cherokee (26,9 %) est approximativement le même que pour les anciens égyptiens (25 %), une des seules populations où les halogroupes T atteignent une position majeure parmi les divers lignages mitochondriaux. »

Yates s’est concentré sur le haplotype X pour son « absence relative en Mongolie et en Sibérie et sa forte présence récemment prouvée au Liban et en Israël. »

En 2009, Liran I. Shlush, de l’Institut israélien de technologie a publié un article dans la revue PLOS ONE, déclarant que le haplotype X s’est diffusé dans le monde à partir des Collines de Galilée dans le nord d’Israël et du Liban.

Yates a écrit : « Le seul autre endroit dans le monde où X est trouvé à un niveau élevé, à part chez des groupes amérindiens comme les Ojibwe, se trouve parmi les Druzes des Collines de Galilée au nord d’Israël et au Liban. »

Des similitudes culturelles et linguistiques

Bien qu’une grande partie de la culture Cherokee ait été perdue, fait remarquer Yates dans son livre Clans Cherokee, ce que nous pouvons encore découvrir dans les légendes fournit des indices sur les ancêtres ayant traversé la mer et dont la langue était similaire à celle des anciens Grecs. Certaines similitudes ont aussi été retrouvées entre les langues amérindienne, égyptienne et l’hébreu.

Maui, le demi-dieu blanc des Cherokee pourrait avoir ses racines chez une figure libyenne, commandant d’une flotte détruite par le pharaon Ptolémée III avant 230 av J.C, a expliqué Yates. « Maui » est similaire aux mots égyptiens pour « guide » ou « navigateur ». Maui aurait amené à la civilisation les arts et l’artisanat. Selon Yates, Maui a attribué aux principaux chefs Cherokee des titres comme Amatoyhi ou Moytoy, qu’on peut traduire par « marin » et « amiral ».

Yates a raconté une légende du Clan Cherokee Twister qui nommait le père de Maui, Tanoa. Il a affirmé que Tanoa pourrait se référer à un grec. « Tanoa était le père de tous les enfants blonds et venait d’une terre appelée Atia » a-t-il écrit.

Atia pourrait se référer à l’Attique, une région historique comprenant la capitale grecque, Athènes. Dans la dite légende, Atia était présentée comme un endroit « plein de hauts temples d’albâtre », dont l’un « était très spacieux et construit comme un endroit de rassemblements entre les dieux et les hommes ». À cet endroit, se déroulaient des compétitions sportives, des jeux, des fêtes pour les divinités, des réunions de grands chefs. C’était aussi le lieu où naissaient les guerres qui ont poussé les gens à se disperser dans tout le Pacifique.

« On pouvait difficilement inventer une mémoire folklorique plus appropriée de la culture grecque » écrit Yates. « Le mot Hawaïen qui incarnait ce monde égaré est karioi- « loisir, facilité », c’est littéralement le même mot en grec pour « amusements » ». Yates a remarqué d’autres similitudes linguistiques.

« Selon les anciens de la Société de Keetoowah, autrefois, les Cherokee parlaient une langue non indienne, proche du Hopi (langue amérindienne), mais l’ont abandonnée et adopté le Mohawk pour continuer à vivre avec les Iroquois. La « vieille langue » semble avoir beaucoup d’éléments du grec, ainsi que de la langue de l’Egypte Ptolémaïque et celle des anciens judéens » a-t-il déclaré.

James Adair avait, de son côté, noté des similitudes linguistiques entre les langues amérindienne et l’hébreu.

Comme pour les noms en hébreu, les noms amérindiens n’ont ni cas ni déclinaisons, a écrit Adair. Une autre similitude est le manque de degrés comparatifs ou superlatifs.

« Il n’y a peut-être pas une autre langue ou langage, excepté l’hébreu et l’amérindien, qui n’ait pas beaucoup de prépositions. Les indiens, comme les hébreux, n’utilisent pas pour cela de termes séparés et spécifiques. Ils sont obligés de joindre certains caractères aux mots, dans le but de combler ce grand déficit » a-t-il décrit.

Une perspective du passé

Adair offre une perspective sur la culture que ne propose pas Yates. Adair a beaucoup interagi avec les amérindiens des centaines d’années plus tôt, alors que leurs traditions étaient en plein essor. Bien entendu, en tant qu’étranger, l’étendue de son incompréhension de cette culture doit aussi être prise en compte.

Adair a écrit :

« A partir des observations les plus exactes que j’ai pu faire au cours de la longue période durant laquelle j’ai commercé avec les amérindiens, je ne pouvais pas ne pas croire qu’ils descendaient directement des israélites, soit au moment où ils constituaient une puissance maritime, soit peu après leur mise en captivité, cette dernière hypothèse est cependant la plus probable ».

Ils avaient une organisation tribale similaire, a t-il déclaré. Leur manière de segmenter le temps était similaire, ainsi que leur habitude de disposer d’un endroit très sacré, et leur désignation des prophètes et des grands prêtres.

Il a donné un exemple de coutume similaire : « comme pour la Loi mosaïque concernant la purification des femmes après un voyage, les femmes indiennes se tiennent éloignées de leurs époux et de toute compagnie publique pendant une période considérable. »

Il explique ainsi l’absence de circoncision parmi les amérindiens : « quand les israélites se trouvaient dans le désert, ils n’ont pas renouvelé l’acte douloureux de la circoncision à cause des fatigues et des difficultés engendrées, seul Joshua se l’est imposé. Et comme cela a déjà été indiqué, les amérindiens devaient être exposés aux mêmes conditions lors de leur première arrivée dans ce désert vaste et étendu, il est probable qu’ils se soient abstenus de la circoncision, selon le principe divin de leurs supposés prédécesseurs dans le désert de ne pas accepter de sacrifice au détriment de la miséricorde. Ceci pourrait les avoir incité, après cela, à le rejeter comme une tâche inutile, en particulier si un des païens orientaux les accompagnait dans leurs voyages en quête de liberté. »

Il semble que le peuple Cherokee ait éprouvé des sentiments mitigés sur les travaux de Yates. Alors que le site Internet du groupe central Cherokee ( Central Band of Cherokee website ) a posté un résumé des recherches de Yates, certains commentaires en ligne indiquent que certains Cherokee sont réticents à l’idée d’accepter de telles déclarations ou à s’impliquer dans la controverse.

En écrivant au sujet du clan Cherokee Paint, Yates a déclaré : « Certains d’entre eux pratiquaient le judaïsme, bien que les anciens du Keetoowah Uni [une organisation cherokee] le nient vigoureusement. » 

Les Amérindiens connaissaient le Nom de YHWH
Pierre découverte dans l’état de l’Ohio

Extrait de : Le problème du peuplement initial de l’Amérique et de l’origine ethnique de la population indigène- Henry Vignaud

Des monnaies romaines au Venezuela…?!

A la fin du XIXe siècle, un trésor en pièces de monnaie romaines fut découvert sur la côte du Venezuela. Les pièces, sans leur contenant original, arrivèrent entre les mains de l’attaché militaire américain à Caracas. Elles sont maintenant à la Smithsonian Institution de Washington, D. C.

A propos de ces pièces, Frederik J. Pohl indique dans une note de son ouvrage sur les Traversées de l’Atlantique avant Colomb (déjà cité, p. 34):

« Etant donné que le trésor comporte de nombreuses pièces en double, on présume que ces pièces ne furent pas réunies par un collectionneur, mais constituaient l’encaisse en espèces d’un négociant pour ses achats de marchandises. Comme ces pièces ont été trouvées entassées dans une jarre et non pas éparpillées sur la plage, il semble raisonnable de présumer également qu’elles n’ont pas été perdues accidentellement par quelqu’un ni égarées dans le sable mais qu’elles ont été rejetées sur la côte à la suite d’un naufrage ou délibérément enfouies par leur possesseur. Du fait qu’il y a des monnaies de tous les empereurs romains jusqu’au milieu du IVe siècle, on connaît la date approximative à laquelle le bateau les a apportées. »

La lettre ci-dessous datée du 7 mai 1968, que Paul J. Willis, secrétaire général d’I.N.F.O. (The International Fortean Organisation, PO Box 367, à Arlington, Virginie 22 210), a reçue de M. L. Peterson, président du département d’Histoire des Forces armées, à la Smithsonian Institution (musée national des Etats-Unis, Washington D.C. 20 560), donne les dernières précisions à ce sujet:

« Je travaille toujours sur le trésor de monnaies romaines mentionné dans votre lettre et j’ai l’intention de publier un rapport lorsque ce sera terminé. Beaucoup de ces pièces sont terriblement rongées par la corrosion et il est difficile de les identifier avec précision. Je peux cependant vous dire que la majeure partie des pièces consiste en monnaies romaines avec quelques monnaies romaines préhispaniques. On a trouvé deux pièces maures dans le lot — dont une hispano-mauresque datant du VIIIe siècle.

« Au moment où j’ai donné des informations sur ce trésor à plusieurs personnes qui l’ont mentionné dans leurs écrits, je ne l’avais pas complètement étudié et les pièces maures n’étaient pas identifiées. En conséquence, ces personnes peuvent être parvenues à une conclusion légèrement erronée sur la chronologie de cette découverte, mais à l’époque, je leur ai donné les informations que j’avais. Je leur avais également expliqué que l’étude n’était pas complète.

Malheureusement, le vase dans lequel le trésor fut trouvé était déjà détruit au moment où l’attaché (militaire) américain de notre ambassade à Caracas (propriétaire des pièces) est arrivé sur les lieux. Considérant l’extrême intérêt de cette découverte, je projette de publier un rapport préliminaire sur elle, même si quelques-unes des pièces pouvaient ne pas être exactement identifiées. »

Les Toltèques juifs d’Amérique du nord : histoire du royaume juif/romain de Calalus en Amérique du Nord

On découvrit dans les années 1920 à Tucson, dans l’Arizona, « des objets et des écrits en latin, en grec et en hébreu, avec des objets rituels et des symboles catholiques et juifs ».

Apparemment ces objets viendraient de ces exilarques de Babylone qui adoptèrent une forme de judéo-christianisme, alors que d’autres membres de leur famille restèrent des juifs orthodoxes. Ils auraient quitté la Septimanie en 775 EC pour aller s’établir dans l’Arizona.

Un certain Cyclone Covey décrivit sa découverte dans son livre « Calalus: colonie judéo-romaine en Amérique depuis le temps de Charlemagne jusqu’au roi Alfred le Grand. »

On y apprend que les Amérindiens de peau blanche sont les descendants des Chevaliers du Cygne et de la famille Sinclair.

L’auteur reconnaît que certains experts ont cherché à discréditer les découvertes de Tucson, en prétendant que les objets de culte seraient l’œuvre d’un groupe franc-maçon, mais « il convient de se rappeler qu’il y a beaucoup de forces antisémites qui refusent de voir la connexion juive dans l’histoire de l’Amérique ».

Les marchands aventuriers des rois de Rhoda

Depuis qu’ils ont été révélés il y a près de cent ans, les artefacts de Tucson avec leurs écrits en latin et en hébreu ont été qualifiés de falsifications, bien qu’aucun faussaire n’ait été découvert.

Donald Yates, un médiéviste du Colorado, relie les découvertes à l’exploitation minière de turquoise de la région.

Il réfute totalement la thèse de la falsification et offre une masse de preuves, allant des chartes marchandes juives aux relevés minéralogiques de l’Arizona. Reliant le tout à une épave indonésienne datée de 838 et des documents dynastiques du Mexique précolombien.

Les premiers Européens de l’Ouest auraient manifestement traversé l’océan Pacifique à la suite d’une extension de la route commerciale des épices vers la Chine, au minimum vers l’an 560, première date mentionnée par les artefacts.

Rhoda, était le centre commercial indo-toltèque de ces européens ce qui correspond à Tucson, alors appelé la ville rouge, Tlapallan, la maison de Quetzalcoatl».

« Pendant la Pâque et les autres grands jours saints, nous pouvons imaginer des prières hébraïques dérivant à la tombée de la nuit depuis les tombes des rois juifs sur la colline de Tumamoc. » dit Donald Yates.

« Si un dixième de l’histoire enregistrée sur les artefacts peut être vérifiée, cela brise complètement ce que nous croyions savoir à la fois sur ‘les Indiens’ et les premiers Juifs du Moyen Âge. »

Ils ont navigué en 775, sont allés à Calalus, une terre inconnue, et Theodore était roi au-dessus des peuples
Le nehushtan, un losange, sous la forme d’une croix celtique avec un serpent à sonnettes qui constitue l’Artifact 18, est considéré comme la plus belle des productions d’une série d’objets de plombs, inhabituels,  trouvés à Tucson dans les années 1920.

« Les colons ont navigué de Rome, d’où ils se sont rendus à Calalus, dans la Terra Incognita. »

Donald Yates identifie les colons avec les forces expéditionnaires romani de Bretagne et de la Gaule franque, menés par des Juifs comme le Breton Oliver, qui a signé les inscriptions sur les croix qui enregistrent les annales d’une colonie dans la province Tolteque du Mexique, aujourd’hui en Arizona.

Donald Yates relie Theodore avec la famille de Makhir, l’exilarque Natronaï ben Zabinaï, nassi, et fondateur du Royaume juif de Narbonne.

Les dates 765-900 de cet épisode exotique et unique de la civilisation occidentale correspondent bien à celles des artefacts de Tucson.

Des événements extraordinaires eurent lieu à l’époque où Bagdad était la capitale du monde, et formait, pour la première fois dans l’histoire, une zone de commerce unifiée.

A ce moment précis, un groupe de marchands gallo-romains et des forces expéditionnaires franques comprenant des Juifs de Bretagne, du Pays de Galles et de Gaule appelés Rhadanites quittèrent le port de Rome sur le Tibre pour se rendre en Égypte, en Palestine et en Perse.

Les Juifs ont partout cherché l’apparition du Messie: C’était sept cents ans après la chute de Jérusalem et la destruction du Temple sous les Romains. La Terre Sainte était alors un protectorat sous Charlemagne, le fils de Pépin. Le commerce était en plein essor. La connaissance et la science étaient sur le point d’entrer dans une renaissance. Les États pontificaux ont vu le jour.

Voici donc la partie centrale d’une chronologie plus large destinée à aider les gens à comprendre et à situer les Artefacts de Tucson dans les développements mondiaux, y compris l’histoire bretonne et franque, la navigation et le commerce, la montée de l’Islam et l’âge d’or du judaïsme.

Les artefacts de Tucson portent des dates fiables dans le calendrier chrétien (560, 705, 775, 800, 880, 885, 900).

Nehushtan de Calalus
Collection de croix de plomb coulées, d’épées et de lances découvertes à Tucson dans les années 1920 et conservées au Arizona Historical Society Museum

Ces artefacts documentent les annales et la prosopographie d’une entité géopolitique distincte, un royaume militaire de style romain en Toltec au Mexique avec des dirigeants juifs de Bretagne, le cœur carolingien ou franque sur la Seine, et la Gaule, qui a existé pendant plus d’un siècle (890-900 ).

Ils sont directement composés en latin, la langue officielle des disques au Moyen Age. Ils sont clairement écrits dans un script destiné à un examen public. Les circonstances de leur fabrication à partir du plomb local et leur récupération du sol du désert les localisent à l’endroit où ils ont été excavés. Enfin, ils sont parfaitement conservés, complets, inaltérés.

Ce sont des documents diplomatiques, reconnaissables comme étant signés et scellés par un notaire public (OL). Ils n’ont pas besoin d’être reconstitués, déchiffrés ou datés. Pour toutes ces raisons, ces témoins uniques de l’histoire sont capables de jeter une lumière considérable sur les études amérindiennes, en particulier pour les huitième et neuvième siècles.

La reconquête de l’antique Empire américain de Calalus en 775

En 775 AD Nehemiah Theodoric a reconquis l’Empire américain de Calalus.

Calalus a été gouverné par le «Silvanus Tolteczus» [Salomon le constructeur] le dirigeant héréditaire de cette ancienne colonie juive dirigée par les juifs.

Calalus aurait été fondée au 1er siècle avant JC par l’Exilarch de Babylone connu sous le nom de Silvanus Ogam ou Silvanus Brabo (Exilarch de Babylone de Salomon II, Nassi de Mara, souverain de Sumer (Somerset) en Grande-Bretagne) un grand dirigeant juif romain, soldat et ancêtre des Chevaliers du Cygne (Barbur haKatzin). 

Il avait aussi une flotte de navires commerciaux connus sous le nom de navires de Salomon ou des bateaux Swan.

Les navires ont la forme d’un cygne avec ses voiles comme les ailes d’un beau cygne blanc glissant. Après la défaite du Silvanus Toltezus, les membres de la famille royale furent renvoyés en Europe où ils étaient sous la protection de Nehemiah Theodorus et de sa famille.

Les légendes de Doon et Ogier sont basées sur les activités de cette famille descendante de Duon (Duon) Antigoon (Ogier) et Silvanus Brabo (Solomon Barbur).

La légende irlandaise de Regamon fait également allusion à cette famille.

Les Juifs de cet ancien royaume juif romain de Rhoda étaient également connus sous le nom de Rhodans ou Radhanites et étaient de grands marchands juifs qui contrôlaient les anciennes routes commerciales. 

La vallée du Rhône et la rivière ont été nommés d’après ces marchands Radhanites juifs qui ont utilisé la vallée du Rhône comme base pour leur empire commercial.

Beaucoup d’entre eux s’installèrent en Irlande aux premiers siècles après Jésus-Christ, s’unissant à leurs cousins, descendants de saint Joseph d’Arimathie.

Isaac Kalonymus le fils de Néhémie Théodoric [de Ripaurien] était aussi connu sous le nom d’Isaac le Radhanite. Le récit des Radhanites par Ibn Khordadbeh souligne leur source quelque part au-delà de la mer occidentale et de la terre des Francs.

Au cinquième siècle Calalus faisait partie de l’Empire occidental revivifié du roi Arthur un descendant des chevaliers de cygne.

Au huitième siècle, en raison du mélange avec les Indiens d’Amérique, l’État était revenu au paganisme. 

Néhémie Théodore mena une expédition en 775 pour ramener Calalus à la domination juive et romaine. Il a conquis l’ancienne ville de Rhoda et la loi juive a été restaurée.

Après 4 ans en 779 après JC, Nehemiah Theodorus quitta Calalus pour son royaume en France qu’il avait laissé entre les mains de son frère Guillaume de Gellone.

Il a ensuite nommé un prince Davidique britannique Jacob comme le roi juif de Calalus comme régent pour son jeune fils Israël qui était marié à la fille de Jacob.

Le monde perdu des artefacts de Tucson

Les artefacts de Tucson documentent les annales d’un gouverneur militaire oublié de style romain à Chichimec Toltec, au nord-ouest du Mexique.

Parfaitement conservés, complets et inaltérés, ils sont directement composés en latin, la langue officielle des disques au Moyen Age. Ils n’ont pas besoin d’être reconstitués, reconstitués, déchiffrés ou datés. Cette collection éclairante de lectures traduites du latin, grec, arabe, chinois, nahuatl, hébreu et d’autres langues par le médiéviste Donald N. Yates fournit les contextes culturels pour comprendre ces témoins uniques de l’histoire du monde.

Les objets proviennent des années 1920 et sont constitués d’objets cérémoniels en cire perdue, en plomb coulé, inscrits avec des textes historiques médiévaux latins et des mémoriaux de dirigeants avec des noms tels que Jacob, Israël, Benjamin, Joseph, Saul, Isaac et Théodore.

Certains contiennent également des phrases hébraïques comme « huit divisions » et « une grande nation », tandis que d’autres affichent des portraits de dirigeants commémorés, des navires, des marques de fabrique, des temples, un glyphe méso-américain, un feu sacrificiel, une ancre anges dans la gloire et d’autres dessins.

Leur iconographie comprend les dix commandements et des objets de culte comme les cuillères à épices, la place du charpentier, les haches franques, les serpents et les trompettes. Il y a aussi des hymnes militaires et des devises.

Une série de doubles croix épaisses unilatérales, jointes comme des albums scellés, présentent ce qui est clairement des disques signés par OL (Oliver), avec des dates allant de 560 à 900 AD.

La provenance globale est déclarée romaine par les fabricants des artefacts eux-mêmes (Romani, monogramme R), un terme équivalent à ce moment européen. Cette revendication de nationalité est divisée en Lévites (L) et Israélites (I). L’un des emblèmes distinctifs représentés est un triple diadème.

Le général gallo-romain Aetius mentionné dans les inscriptions sur l’Artefact 1.

Les artéfacts de Tucson sont toujours controversés. Comme le chat de Schroedinger, les artefacts de Tucson semblent être vivants et morts en même temps. Mais ce ne sont pas des concepts ou des idées philosophiques. Ce sont des choses réelles qui existent, qui peuvent être mesurées, pesées, analysées chimiquement, lues et étudiées. En effet, ils sont hébergés et exposés pour examen public et universitaire dans un musée de l’Arizona pendant une durée indéterminée. Il n’est pas nécessaire qu’ils soient controversés, sauf pour des raisons d’obscurantisme.

Nous suggérons que les artefacts de Tucson, depuis leur découverte, ont posé une menace existentielle pour de grandes parties de l’histoire précolombienne américaine, de l’anthropologie du Nouveau Monde et de l’archéologie du sud-ouest.

Ceux qui prétendent que ce sont des faux n’ont aucune autre raison à apporter outre celle qui veut qu’ils soient faux uniquement parce qu’ils doivent l’être, afin de ne pas gêner leur vision traditionnelle de l’histoire de l’Europe et des Amériques.

Il est incontestable que le Royaume de Calalus découvert par ces judéo-chrétiens du 1er siècle alliés à des romains qui, semblent-il, partageaient leur nouvelle foi, ne pouvait pas plaire…

 

https://elishean.tv/des-hebreux-en-amerique-bien-avant-christophe-colomb/

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