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Ce samedi 18 juin, place à la Bastille à Paris, a eu lieu une manifestation de l’ensemble des associations citoyennes qui militent pour que les effets secondaires des substances dénommées « vaccins anticovid » ne fassent plus l’objet d’une omerta politico-médiatique et que la parole se libère enfin dans l’opinion publique sur les effets délétères que produisent en nombre ces substances.
Le média alternatif NTD Esprits Français, dont il faut saluer les efforts de réinformation, sur ce sujet comme sur beaucoup d’autres, était présent à cette manifestation :
Vers 0’25 : témoignage de Marc DOYER, président de l’association VERITY France. Environ quinze jours après la deuxième injection Pfizer, son épouse Mauricette a commencé à ressentir des tremblements, des fourmillements, et lui a rapidement diagnostiqué la maladie de Creutzfeld-Jakob. Les médecins ont fait un signalement sur la plateforme gouvernementale de pharmacovigilance. Mauricette est décédée début mai dernier.
Bien que les médecins qui se sont occupés de Mauricette aient conclu à un « probable rapport avec la « vaccination » , l’ANSM a d’emblée nié tout lien de cause à effet. Commentaire de Marc : « Beaucoup d’autorités médicales se sont exprimées sur le cas de mon épouse, sans jamais avoir pris la peine de me contacter ni de regarder son dossier médical ».
Les yeux d’un nombre croissant de médecins semblent néanmoins s’ouvrir. Le chemin de croix judiciaire de Marc devant les tribunaux s’annonce long… Marc a collecté environ 75 cas similaires à ce jour. La fameuse balance bénéfice-risque est de moins en moins pertinente : « On n’est pas certain que ça protège des formes graves, ni que ce soit efficace puisque des gens sont vaccinés et tombent malades ». Le Pr. Delfressy, lui-même, président du conseil scientifique, ne désigne plus ces substances comme des « vaccins » mais des « médicaments-vaccins ». On est dans le flou « artistique » le plus complet. Marc dénonce le mutisme généralisé : mutisme des autorités sanitaires, mutisme des autorités politiques, et naturellement, mutisme médiatique : les journalistes sont manifestement payés pour taire la vérité. « Aujourd’hui, leur responsabilité est très grande. Ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas » « Il y a une perte de valeurs, une perte de morale de nos sociétés ».
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Vers 9’30 : témoignage de Jean-François Clerc, père d’un garçon de 39 ans mort un jour et demi après une deuxième dose de « vaccin ». « On n’a pas le dossier, déplore Jean-François, c’est toujours bloqué chez le procureur de la République. Au bout de trois mois (!) la police a pu récupérer les résultats de l’autopsie qu’ils ont transmis au procureur, et depuis le mois d’octobre, malgré toutes les demandes de notre avocat, on n’arrive pas à récupérer le dossier […] Au bout de 11 mois, on ne connaît toujours pas la cause du décès de notre fils : aucun papier ! » « Les médecins disent : peut-être qu’il a mal respiré ou qu’il a oublié de respirer ! Des choses auxquelles on ne peut pas croire ! Pas de pathologies graves, pas de problèmes respiratoires… On sent qu’on veut nous cacher quelque chose : les dossiers sont bloqués […] C’est bien que des médias comme vous en fassiez état parce que la « grande presse » ne veut pas en parler. L’objectif [du pouvoir et de Big Pharma] c’est : vacciner, vacciner ! Derrière, il y a de sombres histoires d’argent. Mon avocat a une quarantaine de cas similaires : dès qu’on évoque une piste « vaccination », c’est la chappe de plomb […] Est-ce que le procureur a les mains liées par le Parquet ? […] Ça ne peut plus durer : il faudra qu’ils nous disent la vérité ! »
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Vers 17’00 : témoignage de Myriam Rio, maman d’Anthony, mort à 24 ans, dix jours après une « vaccination ». « Il était en sixième année de médecine : toute sa classe a dû se faire vacciner. Le médecin légiste a bloqué le dossier, pressentant que la mort n’était pas « naturelle ». Résultats de l’autopsie (au bout de trois mois !) : thromboses partout dans le corps, rate, foie, reins, cerveau… […] On a payé 1.500 euros pour avoir droit au dossier ! J’ai juste l’autopsie, mais même pas le certificat de vaccination ! […] L’AstraZenaca a ensuite été interdit au moins de 55 ans, et ils ont changé le nom de ce « vaccin » […] Il y a eu également des problèmes avec Pfizer, avec Moderna : on ne peut plus avoir confiance […] C’est le Parquet de Nantes qui s’est emparé du dossier. On n’a eu le droit de porter plainte qu’au bout de six mois. […] Antony a succombé au vaccin, il aurait survécu au covid : il avait moins de 30 ans »
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Vers 24’55 : témoignage de Pierrick Thevenon, pompier suspendu. Pierrick dénonce la volonté de la Commission européenne de « vacciner » avec des produits qui sont encore en cours d’essais cliniques. « On a déjà une multitude d’effets secondaires graves : il faut dire stop ! » « On a des témoignages d’enfants ou d’adolescents qui ont fait une myocardite ou une péricardite à la suite de « vaccination » »
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Vers 26’00 : témoignage de Martin et de sa maman. Martin s’est fait « vacciné » lundi 18 septembre. Le lundi suivant, il s’écroulait au sol, avec des douleurs intenses à l’abdomen. Depuis, Martin est en possession d’un certificat de contre-indication à la « vaccination ». Il échappera donc à toute nouvelle dose.
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Vers 28’20 : témoignage de Mélodie, fondatrice du collectif « Où est mon cycle ? » (créé en janvier 2022) Enormément de femmes ont vu leur cycle menstruel bouleversé suite à une « vaccination » : plus de 5.000 témoignages ! Le Sénat vient enfin de reconnaitre que des troubles de cycle menstruel devraient être des effets secondaires avérés de la « vaccination »
« On en retrouve beaucoup dans les chiffres de l’ANSM. Ce sont des effets secondaires qui sont maintenant connus, mais rien n’a changé du côté de la médecine : on continue à « vacciner » les femmes enceintes, et je rappelle que pour les femmes enceintes aucune étude n’a encore été faite […] J’ai été contactée par l’ANSM pour améliorer la qualité des remontées d’effets secondaires sur les cycles, mais sinon, rien n’a changé ! Ils ont quand même clairement dit que c’était un effet secondaire avéré ! [Jusqu’à une date récente], on disait aux femmes qu’elles étaient folles, on leur proposait des antidépresseurs […] Avec le collectif, on défend les femmes pour qu’elles n’aient pas d’obligation vaccinale. La « vaccination » doit être un choix libre, avec un consentement éclairé. […] Mon compte Instagram est censuré, je ne passe pas dans les médias mainstream, parce qu’ils en ont reçu l’interdiction [de la part du pouvoir] […] Ce n’est pas normal qu’il y ait tout d’un coup autant de femmes qui ont des troubles du cycle menstruel [suite à une « vaccination »] […] « Parler des effets secondaires, ça veut dire remettre en cause tout un système »
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Vers 35’20 : témoignage d’un(e) soignant suspendu « l’un des 30.000 à 40.000, et non 15.000 ! » « Tous les jours, des soignants qui refusent la 3ème dose sont suspendus ! Il y en a encore eu 600 cette semaine ! »
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Vers 35’50 : témoignage d’Angélique, une administrative qui travaillait à la Pitié-Salpêtrière et qui a été suspendue pour refus de « vaccination ». « J’ai intégré par la suite le collectif « RéinfoCovid » et le collectif « Groupe Soutien Soignants ». « J’ai été amené à accompagner beaucoup de soignants suspendus qui se sont retrouver sans aucun revenu ». De nombreux soignants refusent la troisième dose, constatant les dégâts des deux premières, et sont suspendus, sans ressources. Angélique cite le cas d’une soignante qui n’a pas supporté sa suspension et s’est suicidée. Silence radio dans les « grands » médias. Angélique dénonce le chantage dont sont victimes les personnels soignants : ou bien la « vaccination » avec un substance aux effets potentiellement délétères, ou bien la suspension sans revenu, avec des risques de suicide pour les plus fragiles. « Il y a tellement de pression ! C’est vraiment incroyable… »
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Vers 39’00 : témoignage de Patrick. Non vacciné. L’une des filles (18 ans) d’un de ses amis s’est fait vacciner, sa jumelle, non. La première a fait une myocardite et une péricardite, l’autre va très bien. « J’ai quatre enfants, aucun n’est vacciné. Ma femme qui travaillait à l’hôpital n’a pas voulu se faire « vacciner » et a donc été suspendue […] Ce qui me fait peur c’est qu’on me contraigne à me faire « vacciner ». Ne plus pouvoir aller au cinéma, au restaurant, partir en voyage, je m’en fous ». Par contre, quid des gestes de la vie quotidienne : aller s’acheter à manger, sortir de chez soi pour aller voir sa famille, ses amis, etc. « Ce vaccin me fait peur. J’irai jusqu’au bout de ce que je peux faire pour ne pas être vacciné ». « Quand il y a un an, on disait, attention c’est grave ce qui se passe, plus ça va et plus on va ressembler à la Chine, on nous traitait de complotiste »
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« Notre combat pour la vérité et liberté n’est pas un bras de fer ni une opposition volontaire, mais un devoir, une légitime défense. C’est pour cela que, quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas, demain comme aujourd’hui ! »
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Manifestation du 18 juin : Alerte aux effets délétères des " vaccins " anti-covid !
Ce samedi 18 juin, place à la Bastille à Paris, a eu lieu une manifestation de l'ensemble des associations citoyennes qui militent pour que les effets secondaires des substances dénommées " vac...