Bon, explique le journalope, il y a eu quelques exactions en 2014 et quelques nazillons autrefois dans ce brave bataillon, mais bon, c’est du passé ! Ces journalistes aux ordres hurlent quand ils croient reconnaître un nazi, qui se révèle la plupart du temps un vrai défenseur de la liberté, comme nos camionneurs québécois ou des militants gaullistes, et quand ils font face à d’authentiques nazis, criminels de guerre de surcroît, ils font la moue, se tâtent et pardonnent ! Pourquoi ? Car maintenant ils sont entrés dans le rang, car ces nazis combattent dans le camp du bien ! Torturer, assassiner, faire du nettoyage ethnique, c’est permis si BHL vous donne l’absolution !
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Quand on écrit de tels mensonges, c’est qu’il n’y a plus rien à faire, on est une sale ordure ! Tout cela pour sauver BHL, le milliardaire mégalo, mytho et criminel, au service de la CIA !
Il faut comprendre que ces bataillons ukronazis sont une vraie épine dans le narratif des journalopes, qui essaient de nous faire croire à l’agression russe, alors que l’ensemble des gradés de l’armée ukrainienne sont signalés par les ONG pour « crimes de guerres » comme le guide de BHL à Odessa et autrefois en 2020 dans le Donbass, Maksim Marchenko . Pour mieux comprendre pourquoi ces régiments d’Ukronazis ont été créés, il faut revenir en 2005 pendant la guerre en Irak.
Les Américains se sont trouvés en 2003 devant une masse de prisonniers irakiens ou islamistes à « traiter », et ils ne pouvaient le faire sur le sol américain, car les torturer et les exécuter les auraient envoyés devant la justice de leur pays. Alors la CIA a ouvert des prisons secrètes dans le monde entier, là où le flou juridique leur permettait de faire leurs saloperies. C’est le Washington post qui va révéler au monde entier en 2005 « l’existence d’un réseau mondial de prisons secrètes géré par la CIA, car les détenus n’ayant aucun statut juridique dans ces pays ».
« Ainsi, la CIA contrôle des prisons secrètes dans plusieurs pays européens, en Roumanie, au Kosovo, en Pologne, et en Ukraine où elle couvrirait des actes de torture pour obtenir des informations. »
Il fallait donc des milices pour garantir la sécurité de toutes les prisons secrètes, tout comme celle de laboratoires que la CIA contrôlait ou construisait sur le sol ukrainien. Pour sécuriser ces activités illégales, les agents américains ont financé les ukronazis, issus du nationalisme historique ukrainien, ils les ont entraînés et manipulés pour garantir leurs intérêts. On vit ces ukronazis à l’œuvre notamment lors du coup d’État contre Viktor Ianoukovitch en 2013-2014.
Devant le scandale de ces centres de torture sur son territoire, l’Union européenne a été contrainte d’ouvrir une enquête confirmant les révélations d’Amnesty International et du Washington Post. Mais ce ne fut qu’hypocrisie car les services de sécurité étaient au courant depuis toujours, tant la fréquentation de milliers d’avions de la CIA sur les aérodromes de ces pays n’était pas passée inaperçue, et c’est pour cette raison qu’Amnesty international s’en était par ailleurs inquiétée dès 2004.
Le journal Libération en 2014, qui était moins sous la coupe des atlantistes à l’époque manifestement, rapporte que de nombreuses prisons secrètes ont perduré en Ukraine, et qu’elles ont servi lors de la guerre du Donbass à torturer et à exécuter les russophones rebelles au régime du criminel Porochenko. Les geôliers étaient liés au service de sécurité ukrainien et à ses bataillons de répression, financés et contrôlés par la CIA, via le financier de Zelensky, l’oligarque Igor Kolomoiski.
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« Dans ces sites contrôlés par la CIA, la torture était la norme : coups, privation de sommeil, waterboarding (simulation de noyade), bains glacés, « alimentation rectale », enfermement dans des boîtes de la taille d’un cercueil... » Rapport d’Amnesty International.
« C’est un centre de détention arbitraire et clandestin, vraisemblablement à Kharkiv, dans le nord-est du pays », explique Denis Krivosheev, directeur adjoint d’Amnesty International pour l’Europe et l’Asie Centrale en 2016, où étaient conduits et torturés les russophones du Donbass . Et c’est le bataillon Aidar, commandé par l’ami de BHL qui y apportait les prisonniers, quand les ukronazis ne s’en occupaient pas eux-mêmes ! (Libération, 2016)
Quant au bataillon Azov, basé à Marioupol, les survivants de la prison secrète de l’aéroport rapportent leur séjour de cauchemar quand ils y ont pu y réchapper. « Tatiana Ganja a passé 10 jours à l’aéroport de Marioupol et ne s’attendait plus jamais à revoir sa prison, surtout à la télé. En octobre 2014, elle a été interpellée par les combattants du bataillon Azov: Tatiana ne savait pas qu’elle figurait sur les listes noires en tant que « séparatiste radicale ». Il est impossible d’exprimer toutes les horreurs. On m’a cassé la racine du nez, et je n’entends plus rien avec mon oreille gauche. Il est très difficile de m’en souvenir. Je ne vais pas raconter tous les faits… Un jeune soldat qui m’accompagnait vers les toilettes le long de ce corridor, m’a dit un jour : « Une fille a été tabassée à mort ici il y a deux jours. Elle aussi s’appelait Tatiana ». ‘( Sputnik 2020) Et ces horreurs ont continué jusqu’en 2022 !
Or le chaudron à l’est de l’Ukraine est en train d’être complètement encerclé et les pertes de l’armée ukrainienne sont très élevées, et l’armée russe va les mettre hors d’état de nuire et bientôt elle va libérer les populations prises en otage par les bataillons ukronazis, et ces populations pourront témoigner des exactions de ces miliciens tatoués de croix gammées !
Le président Poutine a même appelé personnellement Macron pour lui signaler ces horreurs, ces crimes de guerre qui ont été commis par ces miliciens dégénérés. (Le Figaro).
La presse valorise le héros Zelensky, un comédien corrompu et qui a été financé par l’oligarque Igor Kolomoisky , oui le même qui a servi d’interface à la CIA pour financer les ukronazis ! Ceux que BHL appelle les combattants pour la liberté ! Quand la vérité crue va apparaître aux yeux de tous ces Français naïfs qui ont accroché des drapeaux ukrainiens à leurs fenêtres, ils risquent encore une fois d’avoir la triste mine du cocu !
Mais en même temps, comment voulez-vous que BHL, Glucksmann, von der Leyen, Biden et Macron, qui ont soutenu Zelensky, puissent appartenir au camp du Bien ?
Marquis de Dreslincourt
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Ukraine : les prisons secrètes de la CIA et les ukro-nazis
Bon, explique le journalope, il y a eu quelques exactions en 2014 et quelques nazillons autrefois dans ce brave bataillon, mais bon, c'est du passé ! Ces journalistes aux ordres hurlent quand ils ...
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