Et cela monte encore, comme si la France subissait une attaque sur les prix de son électricité.
Nous sommes relativement peu sensibles au prix du gaz (j’ai dit relativement peu, pas pas du tout).
Nous sommes très sensibles aux prix de l’électricité.
Il semblerait que l’arrêt de la centrale de Chooz pose de sérieux problèmes et des craintes réelles sur un risque de fermetures en chaîne des réacteurs français.
Est-ce une explication suffisante ?
Je n’en suis pas certain.
Un pays averti en valant deux, je serais la DGSI j’irais jeter un œil ou deux… je dis ça, je dis rien.
Charles Sannat