Libération, Margaux Lacroux alerte dangereusement sur les dégâts du changement climatique !
Bizarre : Plus on baisse les émissions de CO2, plus la concentration de CO2 est au plus haut ! (???)
Où les émissions de CO2 sont plutôt la conséquence que la cause du changement climatique !
En 2020, la température dans le monde a été supérieure de 1,25°C à la moyenne de l’époque préindustrielle. En accumulant les records de chaleur, la planète s’approche dangereusement de la barre à ne pas franchir si on veut limiter les dégâts du changement climatique. Concentration de CO2 au plus haut ! Cela rappelle l’urgence de réduire les émissions de CO2 de manière ambitieuse afin de prévenir les effets néfastes sur le climat (???)(Carlo Buontempo, directeur du C3S). La planète est prise dans un engrenage vicieux : la libération des gaz à effet de serre participe à accélérer le réchauffement climatique. Malgré une baisse record des émissions de CO2 (-7% selon le Global Carbon Project) induite par la baisse d’activité économique en pleine pandémie de Covid-19, la concentration de CO2 dans l’atmosphère a continué d’augmenter en 2020.
Elles ont atteint un maximum de 413 ppm (partie par million) en mai 2020. Ce qui montre que le combat pour diminuer les émissions de CO2 afin de rester sous la barre des 1,5°C, ce qui permettrait de limiter les dégâts du changement climatique, est loin d’être gagné. La planète a déjà gagné au moins 1,1°C par rapport à l’ère pré-industrielle et selon l’ONU, le monde est sur la voie d’un réchauffement de 3,2°C.
L’Église de climatologie, le GIEC et l’idéologie réchauffiste au profit des spéculateurs mondialistes !
L’idéologie réchauffiste est au service des profits des spéculateurs mondialistes. Tous les mystères qui poussent les esprits de corps du GIEC à prendre la forme mystique de l’idéologie réchauffiste trouvent leur explication rationnelle dans la nature des subventions et dans la nécessité de ces subventions $$$ !
Pour commencer, qu’est-ce que l’Église de climatologie ? L’Église le corps des croyants vivant dans l’idéologie réchauffiste. L’Église de climatologie est le corps matériel de l’idéologie réchauffiste. C’est tout le contraire d’une abstraction ($$$). L’Église de climatologie est une organisation matérielle qui n’a pas non plus n’importe quelle matérialité : ce n’est pas une chose. Car le GIEC, c’est un système profitable $$$ !
Le GIEC comme institution bureaucratique donne à l’idéologie réchauffiste une forme matérielle non abstraite, mais sans pouvoir faire reconnaître le caractère scientifique de son existence. C’est cette existence seule du GIEC qui fait la décision de légitimer l’idéologie réchauffiste. L’Église de climatologie a l’immense mérite de supprimer la frontière entre la science du climat et la religion de l’idéologie réchauffiste. C’est la fin de la séparation tracée par Marx entre l’imaginaire et le réel, entre les hypothèses et les constatations.
Et de rappeler Pascal : “Mettez-vous à genoux, remuez les lèvres de la prière, et vous croirez !”
En clair, l’idéologie réchauffiste n’existe que dans et par des pratiques réelles du GIEC $$$. Et il n’est de pratique possible du GIEC $$$ que par l’idéologie réchauffiste. L’existence de la croyance dans l’idéologie réchauffiste justifie les pratiques réelles du GIEC réglées par des rituels matériels financiers $$$ !
L’appareil idéologique réchauffiste du GIEC relève, comme toutes les idéologies, de la croyance !
Les appareils idéologiques d’État comme le GIEC justifient une bureaucratie onéreuse avec la culture de l’inertie. Cette bureaucratie onéreuse est une bureaucratie de rêve, au regard des avantages des nantis.
Que ces organisations bureaucratiques onéreuses des appareils idéologiques d’État comme le GIEC soient inutilisables hors de l’idéologie réchauffiste, ou à jeter avec la culture de l’inertie, là est la question !
Si l’idéologie réchauffiste du GIEC n’avait que le poids des choses vraies, cette pesanteur attesterait son peu de gravité. Entre l’idéologie réchauffiste devenue existante par le seul fait de l’existence matérielle du GIEC, et une science physique du climat, il y a l’ampleur de l’abîme qui sépare le mensonge de la vérité.
La théorie politique et réchauffiste du GIEC, soit la politique $$$ tout court, repose sur la logique de toutes les idéologies, à savoir le financements de ses recherches improductives par les contribuables.
La notion de corpus scientifique appartient au langage de la science, celle d’appareil d’État comme le GIEC au langage de la technique financière $$$. Personne n’a jamais rencontré, en descendant la rue en sifflant, les mains dans les poches, le matin, le moindre appareil idéologique d’État avec ses ramifications.
Personne ne verra surgir au coin d’un bois le corps social des croyants dans l’idéologie réchauffiste.
Mais le choix n’est pas entre l’idéologie réchauffiste et l’exactitude de la science du climat, laquelle est totalement hors de propos, mais entre le discours écolo-médiatique et la technique financière du GIEC $$$.
Celui qui se décide par les mots du discours écolo-médiatique en faveur de l’idéologie réchauffiste se condamne à voir la chose autrement qu’elle est, ne parlant pas de la technique financière du GIEC $$$.
Aucun discours écolo-médiatique en faveur de l’idéologie réchauffiste n’est innocent, car il dit mal les choses vraies du GIEC $$$. Sans doute, en ce sens, tout discours écolo-médiatique est coupable parce que sa langue est mal faite. Et mal faite, parce que pas faite pour parler sérieusement de la science du climat.
Seule la mathématique est sans taches et qui se donne les moyens de sa logique scientifique.
Aussi bien l’idéologie réchauffiste n’a pas de sens scientifique, mais seulement des règles de foi !
Avec le GIEC, on sait comment parler aux médias, et surtout sans savoir de quoi on parle.
Pas d’autre moyen pour le GIEC, en revanche, que de nier l’indicible de la science du climat.
Le GIEC est l’instrument de l’Église de climatologie mondialiste qui fait le catéchisme de l’idéologie réchauffiste dont il s’est servi pour se faire une place politique tirée de l’idéologie écologique. Le GIEC n’est pas seulement une machine bureaucratique onéreuse qui ne sert à rien. Aussi le GIEC repose uniquement sur la politique écolo et sur la technique financière très profitable à la bureaucratie inefficace du GIEC $$$.
C’est pourquoi le GIEC possède une énergie qu’il communique aux écolo-médias qui ne la possèdent pas. Cette énergie médiatique propage l’idéologie réchauffiste qu’on ne peut expliquer que par la puissance de mobilisation des médias des idéologues du GIEC. On dit trop peu la nature politique du GIEC et de son pouvoir politique pour lui assurer des mobilisations financières organisées à son seul profit. L’organisation de l’idéologie réchauffiste du GIEC n’offre rien d’analogue à la science du climat. C’est l’inverse, avec la croyance dans le catéchisme de l’Église de climatologie organisée au profit $$$ de la politique mondialiste.
L’idéologie réchauffiste mondialiste de l’Église de climatologie repose sur une croyance dans une idéologie scientifico-religieuse ! Les organismes bureaucratiques comme le GIEC $$$ se reproduisent par la science politique et la science financière.
Le GIEC est un système profitable qui travaille à ralentir l’évolution de la connaissance de la science du climat.
C’est le principe des lois des organisations qui ne s’éclaire qu’à la lumière des financements de la bureaucratie onéreuse pour engraisser la culture de l’inefficace !
La bureaucratie onéreuse du GIEC, c’est ce qui peut à tout instant s’arrêter de vivre aux dépens des collectivités. C’est pourquoi le GIEC s’organise en conséquence pour promouvoir l’idéologie réchauffiste.
Toute organisation para-gouvernementale onéreuse et inefficace est en danger de liquidation, comme tout organisme vivant est en danger de mort. Le milieu nourrit le vivant comme les collectivités nourrissent le GIEC. Le milieu extérieur crée des déséquilibres organiques qui agressent et qui mettent en danger chaque organisme vivant. Le système bureaucratique du GIEC doit travailler à compenser ses dépenses $$$ avec le programme réchauffiste de l’Église de climatologie qui est dépositaire d’une idéologie mondialiste inintelligible en dehors de sa dimension de spéculation écolo-financière qui travaille contre la vraie science du climat.
Le travail bureaucratique du GIEC doit agir lui-même, de l’intérieur, contre la science du climat.
L’histoire de l’idéologie réchauffiste peut et doit se lire comme l’histoire des procédures de survie du GIEC $$$ employées pour échapper à l’histoire de sa liquidation, pour résister à sa propre dissolution et au dépôt de bilan. La vieille formule des systèmes bureaucratiques est que la survie du GIEC est l’ensemble des actions entreprises par la propagande de l’idéologie réchauffiste qui l’aide à résister à sa mort. La propagande de l’idéologie réchauffiste du GIEC échappe donc au devoir de défendre l’intégrité de la science du climat.
Le GIEC n’a plus qu’à être écolo-médiatiquement compatible, ce qui ne lui déplaît pas. Le principe de la science du climat ne le concerne pas ! La science du climat, comme toute science, est une aventure. Mais les machines bureaucratiques n’ont pas d’aventures, elles n’ont que des impondérables budgétaires. Comme les systèmes bureaucratiques ne peuvent s’arrêter de grandir, leurs seules ambitions se limitent à exiger des augmentations de leurs dotations budgétaires. Pour cela, la propagande réchauffiste écolo-médiatiquement compatible du GIEC doit pouvoir assurer l’intendance de l’Église de climatologie ! Sans cela, le GIEC serait obsolète, défectueux, et donc remplacé. Une théorie écolo-médiatique qui répand l’idéologie réchauffiste pour entretenir une bureaucratie parasitaire comme le GIEC ne relève pas d’une logique scientifique !
À ce titre, le GIEC fait référence à une théorie du pouvoir des États pour imposer les spéculations des milliardaires de la transition écologique imaginaire mais très profitable avec le greenwashing !
Le Greenwashing est un terme anglo-saxon désignant toutes les pratiques marketing visant à user et à abuser des positionnements ou des pratiques écologiques (dites vertes) à des fins seulement mercantiles.
En France, on a traduit le terme de greenwashing mafieux par éco-blanchiment ou verdissage ! Ce sont des phénomènes de puissances financières qui s’instituent et qui investissent dans les affaires vertes grassement subventionnées par les États politiquement à la remorque de la propagande de l’idéologie verte.
Une telle conception politico-économique est redevable à l’organisation de l’idéologie réchauffiste du GIEC d’investissements mafieux très profitables et d’éco-blanchiment en toute impunité. Sans cela, sans ces intérêts mafieux très profitables, l’idéologie réchauffiste du GIEC ne serait rien d’autre qu’une abstraction.
Aux inconvénients d’une idéologie réchauffiste abstraite s’opposent ici des avantages économiques très considérables dont la vraie science du climat n’est pas près de redresser toutes les contradictions !
C’est pourquoi l’idéologie réchauffiste du GIEC entretien une bureaucratie parasitaire onéreuse $$$ et improductive au détriment d’un financement dynamique de la recherche pour la vraie science du climat.
En clair, les faits les plus flagrants de l’idéologie réchauffiste religieuse du GIEC ne remplissent pas les conditions de la vraie science du climat, mais seulement les conditions de son financement politique.
L’idéologie réchauffiste du GIEC est l’idéologie religieuse renouvelée de l’appareil idéologique d’État !
Et cela, sans que soit intervenue une substitution d’une connaissance scientifique à une autre, mais une modification dans les rapports politiques pour imposer des règles contraignantes aux nombreux pays en voie de développement contre les progrès de leur production industrielle polluante. Au Moyen Âge, l’Église atteint la position dominante de la chrétienté. Elle s’était édifiée avant l’avènement du mode de production féodal. À quelles mutations le développement de l’idéologie de l’Église de climatologie correspond-il, si ce n’est à la propagande mondialiste globalisante contre la survie des États et des nations ?
L’idéologie réchauffiste de l’Église de climatologie, qui impose la juxtaposition d’institutions vertes coûteuses et inutiles, est sans rapport avec le monde réel où nous vivons encore pour un temps ici-bas. La singularité de l’institution du GIEC est scientifiquement impure, péniblement élaborée au terme d’une série aléatoire de croyances, de mensonges et de mystifications sur les changements du climat. Cette idéologie est concrètement existante uniquement par la bureaucratie parasitaire onéreuse $$$ du GIEC. Provisoirement, c’est un coup de dés qui a réussi, au point d’abolir sans honte toute référence à la vraie science du climat.
Pour comprendre les hasards dont la bureaucratie parasitaire onéreuse $$$ du GIEC procède, voyez le plan pour la recherche à propos du ou des virus du cancer aux États-Unis qui a échoué lamentablement et transformé ensuite en plan anti-AIDS $$$ pour maintenir cette bureaucratie parasitaire onéreuse $$$. Après le cas des multiples laboratoires de recherche du virus du SIDA sans aucun résultat ni vaccin possible, on a de nos jours la création de la bureaucratie parasitaire onéreuse $$$ et l’idéologie réchauffiste du GIEC.
C’est l’exemple du discours de propagande réchauffiste transformé en argent pour le GIEC et devenu institution avec le GIEC. Ce système de pseudo-chercheurs subventionnés du GIEC relève d’une structure de permanence bureaucratique qui obéit aux lois formelles des organisations et dont le financement du budget de l’ensemble des fausses recherches de la fausse science est la seule priorité. Mais il n’y a pas, et il ne peut y avoir, de véritable système scientifique préalable énonçant les lois qui permettraient de financer le GIEC ! Il suffit que l’origine d’une idéologie ne ressortisse pas à une science, mais à une croyance, pour relever ce défi du financement du budget du GIEC, pour échapper au hasard de la politique et à la nécessité de la science.
Ceci pour expliquer la nature religieuse de l’idéologie réchauffiste de l’Église de climatologie $$$.
Alors, à quoi ça sert, une idéologie religieuse $$$ du GIEC pour mystifier la science du climat ?
Réponse : À quoi sert une horloge ? La question ne se pose pas, précisément parce qu’elle a été fabriquée pour pouvoir y répondre.
Alors, à quoi ça sert le GIEC ? Au financement du budget du GIEC !
Thierry Michaud-Nérard
L'Église de climatologie défend l'idéologie mondialiste - Riposte Laïque
Libération, Margaux Lacroux alerte dangereusement sur les dégâts du changement climatique ! Bizarre : Plus on baisse les émissions de CO2, plus la concentration de CO2 est au plus haut ! (???) ...
https://ripostelaique.com/leglise-de-climatologie-defend-lideologie-mondialiste.html