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21 février 2021 7 21 /02 /février /2021 21:50
Vaccin anti-covid : une manipulation génétique qu’il faut combattre

Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques, des humains OGM (organismes génétiquement modifiés).

Les dommages causés par le “vaccin covid” à ARN messager seront irréversibles (wordpress.com)
D’après Robert F. Kennedy Jr : le vaccin covid-19 devrait être évité à tout prix :
“Je voudrais attirer votre attention de toute urgence sur des questions importantes liées à la prochaine vaccination covid-19. Pour la première fois dans l’histoire de la vaccination, les vaccins dits d’ARNm de dernière génération interviennent directement dans le matériel génétique du patient et modifient donc le matériel génétique individuel, qui représente la manipulation génétique, ce qui était jusque-là interdit et considéré comme criminel”.

Vous pouvez retrouver sur son site “Kennedy News & Views” Robert F. Kennedy Jr. Le célèbre avocat américain se bat sans relâche depuis des lustres en faveur des enfants avec son équipe. On lui doit de nombreuses actions au titre de la “Children’s Health Defense” en particulier, en concours avec d’autres avocats, sur le sujet du rapport des autistes à la vaccination, ou sur le drame du Gardasil qui augmente le nombre de cancers du col de l’utérus chez les jeunes vaccinées.

En l’espèce, il tient à alerter le public en général, et les familles en particulier. Il indique ce que sont en réalité les pseudo-vaccins anti covid que les mondialistes voudraient nous imposer à toute vitesse, en dehors de toutes les procédures légales jusque-là de règle avant toute mise sur le marché d’un vaccin ou d’un médicament. La généticienne Alexandra Henrion- Caude et le docteur Louis Fouché entre autres (vous retrouverez leurs vidéos notamment sur odysee.com, quand YouTube les censure) l’expliquent pour leur part abondamment sur les réseaux sociaux, et dans certains médias aussi.

Pour Robert Kennedy Jr, l’injection du pseudo-vaccin « peut être comparée à des aliments génétiquement manipulés, ce qui est également très controversé ».

Les vaccins dits anticovid ne sont pas des vaccins, mais une thérapie génique.
Les médias et les politiciens évacuent actuellement le problème, en parlant improprement de “vaccins” – et il est donc urgent que tous, sur tous les sites de communication et dans les conversations privées, nous nous efforcions à sortir des cerveaux l’effet de cette imposture : les pseudo-vaccins covid sont des thérapies géniques qui ne répondent pas à la définition légale d’un vaccin.

Voilà la définition du vaccin (d’après Larousse) : “substance d’origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection déterminée par les microbes-mêmes dont elle provient et parfois à l’égard d’autres infections.”

Le vaccinologue Christian Perronne en appelle à la raison.
Le Pr Perronne qui a depuis toujours défendu les vaccins (sans même s’opposer aux onze vaccins devenus obligatoires pour l’enfant), explique dans sa lettre d’alerte d’hier 1er décembre (à retrouver sur son site) :
« Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique ».

« On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ?

Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits “endogènes” intégrés dans l’ADN de nos chromosomes.

Ces rétrovirus “domestiqués” qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN.

Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes.

Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.

Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins », sont des apprentis sorciers et prennent les Français, et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.

Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques, des OGM (organismes génétiquement modifiés).
Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.

C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble. »

Dommages imprévisibles, irréversibles, irréparables.

L’avocat RFK Jr, défenseur des enfants, appelle aussi à la raison car ce pseudo- vaccin qui viole toutes les lois éthiques, morales et techniques par la rapidité de sa mise sur le marché sans les expérimentations légales de règle jusqu’ici, lesquelles nécessitent au moins 12 à 15 ans avant commercialisation, expose à des dommages génétiques qui, contrairement aux dommages causés par les vaccins habituels, seront irréversibles et irréparables.

« Après un vaccin sans précédent contre l’ARNm, vous ne serez plus en mesure de traiter les symptômes du vaccin d’une manière complémentaire.
Ils devront vivre avec les conséquences, parce qu’ils ne peuvent plus être guéris simplement en enlevant les toxines du corps humain, tout comme une personne avec un défaut génétique comme le syndrome de Down, le syndrome de Klinefelter, le syndrome de Turner, l’arrêt cardiaque génétique, l’hémophilie, la fibrose kystique, le syndrome de Rett, etc., parce que le défaut génétique est pour toujours !

Ainsi si un symptôme de vaccination se développe après une vaccination contre l’ARNm, personne ne pourra vous aider. Les dommages causés par la vaccination seront génétiquement irréversibles ».

Crime contre l’humanité à une échelle jamais connue.

« À mon avis, dit Robert F. Kennedy Jr, ces nouveaux vaccins représentent un crime contre l’humanité qui n’a jamais été commis d’une manière aussi importante dans l’histoire.

Comme l’a dit le Dr Wolfgang Wodarg, un médecin allemand expérimenté : « En fait, ce “vaccin prometteur”, pour la grande majorité des gens, devrait être interdit, parce que c’est une manipulation génétique ! »

Notons que le Dr Wodarg travaille avec l’avocat Rainer Fuellmich qui est à l’origine de la plainte internationale contre les tests PCR falsifiés qui sont utilisés par les mondialistes, dont la France, pour nous imposer des mesures liberticides injustifiées (voir le papier sur FranceSoir : ” Le test PCR va en justice”). Cette plainte, ainsi que d’autres déposées aux USA, en Autriche et bientôt en France sont la première pierre du “Nuremberg de la covid” prévue par Rainer Fuellmich et associés.

Résultats de l’étude d’essai de vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole) 

Le vaccin, développé et approuvé par Anthony Fauci et financé par Bill Gates, utilise la technologie expérimentale de l’ARNm. Trois des 15 cobayes humains (20 %) ont connu un « événement indésirable grave ».
Il est donc urgent d’attendre !

Mais la course pour être le premier à vendre son vaccin et toucher le pactole ne s’embarrasse guère de précautions ; le Royaume-Uni a délivré la première autorisation mondiale pour le vaccin de Pfizer et BioNTech, utilisable sur son sol.

Les premières doses seront disponibles « dans tout le pays à partir de la semaine prochaine », a indiqué le gouvernement britannique. Le patron de Pfizer, Albert Bourla, a salué un « moment historique » (pour les actionnaires) pour cette toute première autorisation d’un vaccin contre la covid-19 dans le monde occidental.

En dehors de conflits d’intérêts majeurs ou de corruption, on ne comprend pas qu’on puisse accorder une autorisation de mise sur le marché aussi rapidement (c’est-à-dire sans possibilité de repérer les éventuels effets indésirables, ni de juger de l’efficacité clinique en population) pour un médicament utilisant une technique jamais expérimentée auparavant, et dont les résultats d’essais n’ont pas été publiés.

Espérons qu’on disposera bientôt du compte rendu complet de la réunion avec les contributions nominales des différents intervenants afin de satisfaire aux règles de la transparence qu’on nous a promise. Et qu’on puisse ainsi rechercher les responsabilités de chacun pour les complications qui ne manqueront pas de survenir.

En attendant, si vous êtes britannique, évitez d’être cobaye ; vous avez beaucoup plus à perdre qu’à gagner.

Nicole Delépine

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