Le Blog de Lazare

Lazare : Deux fraudes consécutives, ça énerve.

Le 5 janvier a lieu une élection sénatoriale de grande importance en Georgie. Ce sera peut-être notre dernière bouée de sauvetage, et nous ne devons pas la rater.

Deux sièges sont en jeu, les deux sièges qui vont conserver le pouvoir aux Républicains au sénat, et lui permettre de bloquer les lois les plus délirantes de l’extrémiste Kamala Harris, des marxistes de Black Lives Matter et du Squad, et limiter les dégâts.

Si le 5 janvier en Georgie, les Républicains ne tirent pas les leçons de ce qui s’est produit le 3 novembre, ne mettent pas en place la plus grande et la plus efficace équipe de surveillance de dépouillement et de vérification de chaque bulletin de vote jamais mise en place, 24/24, et les équipes nécessaires pour empêcher les mafieux Démocrates qui bloquent l’accès, intimident, menacent, empêchent les observateurs Républicains d’assister au dépouillement, ou les empêche de rejeter un seul bulletin douteux, et qu’on perde les élections sénatoriales, donc la majorité au sénat, donc le seul lambeau de pouvoir réel qui nous reste – nous l’aurons totalement mérité.

La connerie extrême, à ce point, ça se paye, et il ne faudra pas venir pleurnicher que les élections ont été truquées, volées, et nous plaindre de ce qui arrivera ensuite à l’Amérique et au monde.

Comme on fait son lit, on se couche, disait ma mère.

Pas un seul bulletin, pas une seule enveloppe, pas une seule opération ne doit se produire sans qu’un observateur Républicain ne soit présent, et ne soit soutenu par des gros bras au cas où il lui soit refusé de rejeter un bulletin de vote frauduleux.

Les élections du 3 novembre ont montré que ce qui compte, ce n’est pas ce qu’on vote, mais qui compte les votes.

Signé : Jean-Patrick, furieux d’observer la bêtise humaine de ceux qui accusent constamment l’autre, au lieu de regarder leur propre lâcheté et leur propre faiblesse dans la glace.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.