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15 février 2021 1 15 /02 /février /2021 23:04
Fraudes US : les auditions explosives du Sénat de Pennsylvanie

Pendant que les grands médias continuent à prétendre mensongèrement qu’il n’y a pas eu de fraude lors de l’élection présidentielle américaine, les preuves de fraudes massives s’amoncellent.

Plus de 1000 preuves de fraude électorale

Sur les 11.000 témoins directs de fraudes électorales, qui ont contacté les équipes d’enquêteurs, d’avocats et de juristes envoyées par le Président Trump dans les 6 États contestés (Pennsylvanie, Géorgie, Michigan, Wisconsin, Nevada, Arizona), plus de 1000 ont déjà rédigé et signé un “affidavit”, témoignage sous serment ayant la valeur d’une “evidence” (preuve) et utilisable en justice.

Les électeurs Républicains refusent toute concession

Malgré la censure mise en place par les grands médias américains, la majorité des électeurs Républicains savent que les Démocrates ont commis des fraudes massives lors de l’élection présidentielle, et, selon un sondage récent, seuls 3% d’entre eux pensent que le Président Trump devrait concéder la victoire au sénile et corrompu Biden. (Note 1)

Le choix des grands électeurs dépend uniquement des législatures

L’article 2 de la Constitution américaine (section 1, clause 2) stipule que ce sont les législatures qui certifient en dernier recours les élections, et votent pour envoyer les grands électeurs à Washington. (Note 2)

La législature de chaque État a le dernier mot sur ce sujet, et son choix outrepasse toute décision du gouverneur, du secrétaire d’État et même de la Cour Suprême.

C’est pourquoi l’un des axes choisis par les avocats du Président Trump est de demander, aux législatures des 6 États contestés, qu’elles déclarent que l’élection présidentielle a été “irrémédiablement compromise” dans leur État en raison des fraudes massives, et qu’elles refusent en conséquence d’envoyer leurs grands électeurs à Washington, ou qu’elles les attribuent au Président Trump, puisqu’il est le vainqueur réel. (Note 3)

Les auditions explosives du Sénat de Pennsylvanie

Dans cette optique, le 25 novembre, la législature de Pennsylvanie a commencé ses auditions publiques sur les fraudes survenues lors de l’élection présidentielle de 2020.

Ces auditions ont lieu dans la ville de Gettysburg (site d’une célèbre bataille, qui vit la victoire décisive des Nordistes sur les Sudistes en 1863), à la demande du Sénateur Républicain Doug Mastriano, sous la direction du Comité Républicain de la majorité sénatoriale du Sénat de Pennsylvanie, devant une trentaine de Sénateurs et de Représentants de cet État.

Lors de la première journée, les avocats du Président Trump, Rudy Giuliani et Jenna Ellis, ont été entendus, puis des témoins des fraudes électorales, qui ont rédigé et signé des “affidavits”, ont pu pour la première fois s’exprimer en public, devant une centaine de spectateurs (nombre réduit en raison du coronavirus).

Le Président Trump est intervenu par téléphone, et s’est exprimé pendant une dizaine de minutes. Il a déclaré : « Cette élection doit être inversée, car nous avons largement gagné la Pennsylvanie », « Cette élection a été perdue par les Démocrates, ils ont triché, c’était une élection frauduleuse », sous les hourras du public.

Ces auditions du Sénat de Pennsylvanie vont se poursuivre la semaine qui vient.

Une résolution capitale de la législature de Pennsylvanie

Suite à cette première journée d’auditions, des élus Républicains de Pennsylvanie ont déposé, vendredi 27 novembre, une résolution devant le Sénat et la Chambre des Représentants, qui :

constate que des “irrégularités substantielles” ont eu lieu lors de l’élection présidentielle du 3 novembre ;

rappelle que seuls les élus des deux Chambres (contrôlées toutes deux par les Républicains) ont le droit souverain de certifier les grands électeurs :

rejette la certification des résultats électoraux dans cet État (décidée illégalement par la Secrétaire d’État Démocrate) ;

ordonne au gouverneur et au secrétaire d’État d’annuler la certification des élections et des grands électeurs ;

informe le Congrès des États-Unis que le choix des grands électeurs est suspendu et qu’ils seront certifiés par la Chambre des représentants et le Sénat de Pennsylvanie par une résolution ultérieure. (Note 4)

Transcription des auditions du Sénat de Pennsylvanie

Les auditions du Sénat de Pennsylvanie ont duré près de 4 heures. Nous vous proposons ci-dessous la transcription des deux premières heures, qui sont révélatrices de l’ampleur des fraudes commises par les Démocrates.

Voici les révélations les plus frappantes :

Dans les grandes villes des États contestés, les observateurs Républicains ont été empêché de vérifier les bulletins de vote par correspondance.

682.770 bulletins de vote par correspondance ont été enregistrés à Philadelphie et Pittsburgh sans qu’un seul observateur Républicain ait pu les vérifier.

20.000 bulletins de vote par correspondance remplis ont été reçus par les services des élections avant même qu’ils aient été envoyés par ces services à des électeurs.

8021 bulletins de vote ont été retournés par des morts.

Plus de 5000 bulletins de vote endommagés ont été re-créés par des employés électoraux sans aucune vérification.

47 clés USB (sur lesquelles sont stockés les votes) manquent et sont introuvables.

Dans le comté de Delaware, tous les documents électoraux de traçabilité, dossiers, feuilles de décompte, et tous les enregistrements informatiques ont disparu.

Les systèmes de vote (machines à voter, logiciel électoral) aux États-Unis et en Pennsylvanie ont été conçus pour être manipulés.

Les opérateurs des machines à voter peuvent attribuer au candidat de leur choix les bulletins de vote remplis, les bulletins blancs et les bulletins erronés en grand nombre.

Jusqu’à 1,2 million de votes en Pennsylvanie auraient pu être modifiés ou seraient frauduleux.

Des pics anormaux représentant 570.000 bulletins pour Biden (99,4%) et seulement 3200 pour Trump (0,6%) ont été enregistrés dans la nuit des élections.

Des employés électoraux ont fait passer deux voire trois fois de suite le même bulletin de vote dans la machine à voter.

LIVE: Pennsylvania State Legislature Holds Public Hearing on 2020 Election (Right Side Broadcasting Network) 25-11-20

https://www.youtube.com/watch?v=DSDZkXxFVEU

 

Sénateur David Argall (19:00)

Les sénateurs, les représentants et les gouverneurs ne sont pas des rois, nous ne sommes pas des juges, nous ne sommes pas des dictateurs, nous sommes élus par le peuple pour une durée déterminée en tant que législateurs, pour assurer au nom du public la surveillance de nos administrations gouvernementales. Nous sommes ici aujourd’hui parce que nous avons tous reçu un grand nombre d’appels téléphoniques, de courriels et de commentaires personnels au sujet du déroulement de cette élection. Mon bureau a reçu plus de 25.000 appels téléphoniques et courriels de citoyens mécontents. Nous savons tous que la secrétaire d’État de Pennsylvanie [Kathy Boockvar, Démocrate] a illégalement modifié le processus électoral la veille des élections du 3 novembre, sans l’approbation du Sénat ni de la Chambre des Représentants.

Sénatrice Kim Ward (22:15)

Les citoyens ne font plus confiance au processus électoral ni aux résultats. J’ai hâte d’entendre ce que les témoins et monsieur Giuliani ont à nous dire.

Sénateur Doug Mastriano (23:26)

Aujourd’hui, nous allons assister à un renversement de la situation, car nous n’avons pas encore entendu les arguments avancés par l’autre côté. Nous avons un gouverneur [Tom Wolf, Démocrate] et des dirigeants qui veulent fermer les yeux sur ce qui s’est passé pendant cette élection, et malheureusement beaucoup dans les médias sont complices. Ceci n’est pas un jeu pour nous, notre République est en danger. Malgré les demandes de nos citoyens, le gouverneur refuse d’admettre qu’il y a eu des fraudes dans notre État lors de cette élection, et c’est tout simplement inacceptable. Il y a eu de nombreuses allégations de violations de la loi électorale dans tout l’État et un gouverneur au service du peuple devrait secouer le ciel et la terre pour s’assurer qu’il n’y a pas eu de fraude.

J’ai demandé à quatre reprises à la Secrétaire d’État pourquoi les élections en Afghanistan sont plus sûres qu’en Pennsylvanie, et elle a été incapable de répondre.

De même, notre procureur général [Josh Shapiro, Démocrate], le plus haut responsable de l’application de la loi dans notre État, avant même qu’aucun vote ne soit compté en Pennsylvanie, a déclaré Biden vainqueur la veille des élections.

L’une des choses les plus troublantes dans toute cette affaire, c’est le manque de transparence et de responsabilité. Nous sommes donc ici pour découvrir ce qui s’est passé lors de l’élection, pour apporter de la lumière dans ces ténèbres.

En raison de l’incapacité de notre pouvoir exécutif à faire son travail, nous sommes obligés d’intervenir. Les hommes et les femmes oubliés de notre grand État se sentent trahis par leur gouvernement et je ressens aussi cette trahison. Nous entreprenons ces démarches aujourd’hui pour découvrir ce qui s’est passé et empêcher que cela se reproduise.

Nous allons découvrir la vérité et la célébrer. Nous allons mener le combat pour la liberté et la sécurité de notre République. Nous ne devons pas permettre à des bureaucrates et politiciens corrompus de voler des voix et peut-être même de voler une élection.

Nous serons inflexibles dans notre quête de la transparence et de la vérité. Le temps des tergiversations et des jeux politiques est révolu. Le temps de la vérité et de la justice est venu.

(Présentation des législateurs de Pennsylvanie qui participent aux auditions, en plus des Sénateurs Doug Mastriano et David Argall : les Représentants Dave Zimmerman, Greg Rothman, Mike Jones, Paul Schimmel, Rob Coffman, Stephanie Borowicz, Dan Moul et les Sénateurs Judy Ward, Mario Scavello, Mike Regan, Frank Ryan.)

Sénateur David Argall (33:15)

Nous sommes également rejoints par visioconférence par le sénateur Brooks, le sénateur Hutchinson, le sénateur Yaw, le sénateur Stefano, le sénateur Laughlin, le sénateur Martin, le sénateur Pittman, le sénateur Pat Brown.

Rudy Giuliani, avocat du Président Trump (34:45)

Nous sommes très reconnaissants que vous nous donniez l’occasion d’être entendus, ce que les médias nous ont refusé presque systématiquement. Tout ce que nous demandons, c’est que vous écoutiez les faits que nous présentons et que vous les évaluiez ensuite. Si nous permettons à l’avenir que des élections soient menées de la manière dont cette élection a été menée, nous perdrons pour toujours notre démocratie.

Au cours de cette élection, nous avons failli perdre notre droit à la liberté d’expression. Il y a eu une censure que je n’avais jamais vue auparavant, d’une nature incroyable, par “Big Tech” [Facebook, Twitter, Google], par les grands médias et par les grandes entreprises. Ils ne permettent qu’à un côté de se faire entendre et ils refusent à l’autre côté de se faire entendre, comme s’ils avaient peur que les Américains découvrent ce qui s’est passé.

Cette fraude électorale a eu lieu de la même façon dans au moins six États que nous avons pu étudier. En d’autres termes, ce que les témoins vont vous décrire s’est passé à peu près de la même manière dans le Michigan, le Wisconsin, au Nevada, en Arizona et en Géorgie.

Le principal moyen utilisé [pour la fraude] a été les bulletins de vote par correspondance. De nombreux experts estiment depuis longtemps que les bulletins de vote par correspondance sont très dangereux, car ils sont très faciles à falsifier. Nous avons été avertis par l’ex-président Jimmy Carter et l’ancien secrétaire d’État James Baker, dans le rapport qu’ils ont rédigé sur la manière de rendre les élections plus sûres [rapport publié le 19 septembre 2005], qu’il faut à tout prix éviter le vote par correspondance généralisé, car dans chaque endroit où il a été introduit, cela a conduit à une fraude énorme. C’était une terrible erreur de l’introduire en Pennsylvanie, car cela a permis à la direction d’un parti [le parti Démocrate], qui était déjà devenu expert en fraude électorale, de se déchaîner.

Les témoins que nous présentons vont d’abord témoigner que, dans le cas de Philadelphie et de Pittsburgh [les deux plus grandes villes de Pennsylvanie], aucun bulletin de vote par correspondance n’a pu être inspecté par les observateurs Républicains. Or, vous savez à quel point cela est important pour déterminer si un bulletin de vote est valide ou non. Vous ne pouvez faire cela qu’une seule fois, et c’est au moment où vous séparez l’enveloppe contenant les informations de vérification, du bulletin de vote qu’elle contient. Une fois qu’ils ont été séparés, vous ne pouvez plus rien vérifier. Vous ne pouvez pas revenir en arrière et faire un recomptage. Vous ne pouvez pas revenir en arrière et vérifier le bulletin de vote papier par rapport au bulletin de vote enregistré sur la machine à voter, car le vote est anonyme.

C’est pourquoi les bulletins de vote sont vérifiés, depuis des temps immémoriaux, en Amérique, en Pennsylvanie et dans tous nos 49 autres États. Plusieurs de nos témoins sont observateurs électoraux depuis 20 ou 30 ans, et ils n’ont jamais vu une situation où aucun bulletin de vote par correspondance n’a été vérifié. Et la même chose a eu lieu dans le Michigan, le Wisconsin, et ainsi de suite.

Quelle est la probabilité que, dans la nuit du 3 au 4 novembre, quand ils ont commencé le décompte, dans chacun de ces endroits, les dirigeants Démocrates de ces villes Démocrates, qui ont des antécédents de corruption, et dans le cas de Philadelphie, une longue histoire de fraude électorale – quelle est la probabilité qu’ils se soient tous réveillés avec la même idée : après des années et des années où nous avons toujours examiné les bulletins de vote par correspondance, tout d’un coup, alors que cette année nous en avons des millions dans chaque État [sous prétexte de coronavirus], nous n’allons permettre à aucun observateur Républicain de les vérifier ?

Lorsque vous avez, comme cette année, 2,5 millions de bulletins de vote par correspondance, vous disposez d’un éventail beaucoup plus large pour tricher.

Nous avons calculé, et les preuves le montreront, que 682.770 bulletins de vote par correspondance ont été enregistrés à Philadelphie et Pittsburgh sans qu’un seul observateur Républicain ait pu les vérifier. Ces bulletins auraient tous pu être pour Joe Biden, ils auraient tous pu provenir de la même personne, ils auraient pu ne porter aucun nom ni signature. Mais dans tous les cas, en vertu de la loi de votre État, ces bulletins de vote sont illégaux.

Un autre exemple : 22.686 bulletins de vote par correspondance remplis ont été reçus [par les services des élections] le même jour où ils ont été envoyés par ces services [à des électeurs]. Et 20.000 autres bulletins de vote remplis ont été reçus avant même qu’ils aient été envoyés !

Et puis, il y a 8021 bulletins de vote retournés par des morts – il est certes plus facile pour des morts de voter par correspondance qu’en personne.

L’élection dans votre État est une imposture.

Enfin, il faut rappeler que l’élection à la présidence des États-Unis n’est pas dirigée par le gouverneur de votre État, ni par votre commissaire aux élections [tous deux Démocrates]. La Constitution des États-Unis indique clairement qui a la responsabilité de diriger ces élections. L’article 2, section 1, clause 2, de notre Constitution dit que c’est la législature de l’État qui nomme les grands électeurs. C’est votre pouvoir. C’est votre responsabilité.

Parce que si de telles fraudes peuvent se produire sans conséquence, si [les Démocrates] peuvent simplement enregistrer 600.000 bulletins de vote par correspondance sans permettre à un seul observateur Républicain de les vérifier, comment être sûr que la prochaine fois, ils ne le feront pas avec un million ou deux millions ?

Je connais très bien les escrocs. Vous leur donnez un centimètre, et ils prennent un kilomètre. Vous leur donnez un kilomètre, et ils prennent tout votre pays.

Sénateur David Argall (49:09)

Merci beaucoup, monsieur Giuliani. J’ai été informé que nous avons également été rejoints sur Zoom par la sénatrice Kristin Phillips-Hill, la représentante Dawn Keefer, la représentante Barb Gleim, le représentant Daryl Metcalfe, le sénateur Wayne Langerholc.

Justin Kweder, témoin (51:14)

Je suis un résident et un électeur inscrit dans la ville et le comté de Philadelphie. Je suis avocat. Je suis un observateur électoral certifié. J’étais présent au “Philadelphia Convention Center” pendant le dépouillement des bulletins de vote, le jour du scrutin. Je suis revenu en tant qu’observateur bénévole pour suivre le processus tous les jours pendant les 10 jours suivants. J’ai calculé qu’en tout, j’ai été présent pendant environ 85 heures au cours de ces 10 jours. J’ai été le témoin oculaire de nombreux problèmes et irrégularités qui ont été observés à Philadelphie lors du traitement et du dépouillement du vote. Je vais maintenant me concentrer sur deux problèmes que j’ai personnellement observés.

Premièrement, le Bureau des élections de Philadelphie a enregistré des centaines de milliers de bulletins de vote par correspondance sans aucune vérification. Les bulletins de vote par correspondance ont été traités, ouverts et comptés dans le hall F du Centre des congrès, qui fait environ 100 mètres de côté, soit 10.000 mètres carrés. Le Bureau des élections a érigé une clôture qui s’étendait sur toute la longueur de la salle. Tous les observateurs étaient parqués derrière la clôture. Plus d’une centaine d’employés du Bureau ont traité les bulletins de vote par correspondance de l’autre côté de la clôture. Ces employés masqués étaient répartis sur les 10.000 mètres carrés, à une distance de 3 à 60 mètres des observateurs.

En raison de la distance entre les employés du Bureau et la clôture, il était impossible pour moi et pour les autres observateurs de voir ce que faisaient les employés électoraux. Les observateurs n’ont pu contester aucune décision concernant le traitement de ces bulletins de vote par correspondance. Il n’y a eu aucun contrôle sur des centaines de milliers de bulletins de vote par correspondance, aucune possibilité pour les observateurs d’observer, de contester ou d’inspecter ces bulletins de vote. Je trouve que c’est un problème et que c’est irrégulier.

Passons au deuxième point, les bulletins de vote endommagés. On m’a dit qu’il y avait plus de 5000 de ces bulletins endommagés, mais on m’a également dit que le nombre réel était inconnu et pourrait être beaucoup plus élevé. La solution du Bureau des élections à ce problème a consisté à donner aux employés, qui travaillaient seuls et sans supervision, des piles de bulletins de vote blancs, pour qu’ils les remplissent [en recopiant les bulletins endommagés]. Les employés électoraux ont fait ce travail de re-création pendant des heures, avant que les observateurs Républicains ne réalisent ce qui se passait, parce que nous n’avions pas été informés de ce qui se passait.

Quand nous avons protesté auprès du Sous-commissaire des élections à propos de cette irrégularité, un système a été mis en place lors duquel les travailleurs montraient aux observateurs chaque bulletin de vote par correspondance re-créé pendant une seconde, à une distance de 2 à 6 mètres. Des milliers de bulletins de vote par correspondance ont finalement été enregistrés de cette façon. Encore une fois, je trouve que c’est un problème et que c’est irrégulier.

La légitimité de centaines de milliers de bulletins de vote qui ont été dépouillés à Philadelphie suscite de graves préoccupations.

L’idée que nous devrions simplement avancer en nous assurant que la loi sera correctement appliquée lors des prochaines élections est inacceptable. Les problèmes, les irrégularités et l’illégitimité de ce que j’ai vu m’amènent à conclure que les lois de la Pennsylvanie et des États-Unis n’ont pas été respectées à Philadelphie lorsque des centaines de milliers de bulletins de vote ont été comptés, cette année. Des mesures doivent être prises maintenant pour protéger l’intégrité de nos élections.

Kim Peterson, témoin (58:20)

Je viens de Pittsburgh, où j’ai été observatrice électorale. Le jour du scrutin, quand nous regardions les employés électoraux ouvrir les bulletins de vote par correspondance, nous étions parqués derrière des barrières situées à plus de 4 mètres d’eux, et certains étaient à 30 mètres de nous. Il nous était impossible de vérifier les enveloppes et les bulletins de vote.

Il y avait des téléviseurs [pour permettre de voir ce que faisaient les employés électoraux], mais ils étaient flous, on aurait dit qu’ils utilisaient une technologie ancienne, ils dataient probablement des années 60. Nous regardions toutes ces caméras multiples filmant ces personnes ouvrant les bulletins de vote, et il nous était impossible de voir quoi que ce soit, si des méfaits étaient commis.

Leah Hoops, témoin (01:01:00)

Je viens du comté de Delaware. J’étais observatrice du scrutin le jour de l’élection, dans le centre de dépouillement de Chester.

Le Bureau des élections du comté de Delaware est dirigé par les Démocrates. Cela inclut également tous les sous-traitants, le personnel de soutien et tous les acteurs clés impliqués. Notons également que le superviseur de l’entrepôt où sont stockées les machines à voter est un délégué de Bernie Sanders [sénateur Démocrate], sans aucune expérience.

Le centre de dépouillement se trouvait au premier étage. Les bulletins de vote arrivaient par plusieurs portes, et ils étaient dépouillés dans de nombreuses arrière-salles par les employés électoraux. J’y ai passé trois jours consécutifs.

Ce qui est préoccupant, c’est que nous n’avons jamais pu vérifier le processus, pendant la nuit des élections et les jours suivants. Il a fallu que notre avocat obtienne une injonction pour que nous puissions entrer dans les arrière-salles. Et même avec cette injonction, ils ne nous ont accordé que cinq minutes toutes les deux heures, pour observer le dépouillement. Et nous étions obligés de rester assis sur une chaise à 6 mètres des employés électoraux.

Nous avons signé des affidavits sous peine de parjure, ce qui devrait suffisamment prouver qu’il s’agit d’un problème très grave. Je suis ici pour une seule chose, dire la vérité. J’espère que ce comité prendra des mesures et que toute personne impliquée dans des activités frauduleuses sera punie.

Sans intégrité électorale, nous ne sommes qu’une République bananière de plus.

Gregory Stenstrom, témoin (01:06:44)

Je viens du comté de Delaware. Je suis un ancien officier de la Marine. Je suis un spécialiste de l’analyse des données et un expert en sécurité et en fraude informatiques.

Le jour du scrutin, je me suis rendu au centre de comptage de Chester, à 18 heures, avec quatre autres observateurs Républicains. Nous n’avons été autorisés à entrer que 5 heures après, à 23 heures, et cela après que nous ayons obtenu une injonction grâce à notre avocat.

Suite à ce que j’ai vu, en tant qu’expert, je pense qu’il est impossible de confirmer la validité d’environ 100.000 à 120.000 bulletins de vote, sur les 300.000 enregistrés.

Ce que j’ai vu, c’est un processus électoral qui était destructif, dans la manière dont il était mené, avec les enveloppes séparées des bulletins de vote envoyés ensuite de l’autre côté de la salle. J’ai constaté qu’il n’y avait aucun traçabilité pour les enveloppes, ni pour les bulletins de vote par correspondance, ni pour les clés USB [utilisées pour stocker les votes des machines à voter]. Dans tous les cas, les procédures de traçabilité définies par le Bureau des élections n’ont pas été suivies.

J’ai personnellement observé le superviseur du centre de comptage en train de télécharger des clés USB sur les machines à voter, à plusieurs reprises, sans vérification. Je l’ai porté à l’attention du shérif adjoint et du greffier des élections, et je leur ai dit : « Je ne peux pas voir ce qu’il fait ». Dans nos affidavits, nous avons des photos de cette personne arrivant avec des sacs de clés USB. Et il mettait ces clés USB dans les machines. Cela s’est produit à 24 reprises. Nous avons plusieurs autres témoins qui ont vu cela, y compris des observateurs Démocrates.

Le lendemain, j’ai découvert que 47 clés USB manquent et sont introuvables. On m’a dit personnellement que 24 à 30 cartes qui avaient été téléchargées sur les machines avaient disparu.

Quand nous avons voulu entrer dans les arrière-salles, il nous a fallu trois jours pour qu’ils obéissent à l’ordonnance du tribunal que nous avions obtenue. J’ai été le premier à être autorisé à y entrer à 13h30 le jeudi, puis de nouveau à 15h30, et pendant seulement cinq minutes. Ce que j’ai observé dans cette pièce, c’est 70.000 bulletins de vote non-ouverts, rangés dans des boîtes de 500 empilées proprement. Un observateur Démocrate qui était entré avec moi a estimé leur nombre à 60.000. Le problème, c’est qu’à ce moment-là, les bulletins de vote par correspondance avaient déjà été enregistrés, et ils étaient au nombre de 120.000. Ma question est la suivante : où sont passés ces 70.000 bulletins de vote non-ouverts ? Personne ne le sait. Ils sont restés là pendant environ trois heures, puis ils ont disparu.

Quand on nous a informé qu’il y avait 120.000 bulletins de vote par correspondance enregistrés, on nous a dit qu’il restait 6000 bulletins de vote à dépouiller au total. Mais quand nous sommes revenus, ce ne sont pas 126.000 votes qui étaient enregistrés, mais 200.000. C’est un problème.

Quand j’ai protesté, ils m’ont dit qu’ils avaient conservé tous les documents de l’élection, mais nous venons d’apprendre il y a deux jours que tous les documents électoraux de traçabilité, dossiers, feuilles de décompte, et tous les enregistrements informatiques ont disparu. Le résultat, c’est que 100.000 à 120.000 bulletins de vote sont compromis. Il n’y a pas de remède pour cela.

Je dis donc que si vous ne pouvez pas certifier 100.000 votes sur les 300.000, donc que vous ne pouvez pas certifier le comté de Delaware.

(On annonce que la représentante Kathy Rap a rejoint l’audience par Zoom.)

Phil Waldron, témoin (01:22:36)

Je suis colonel de l’armée à la retraite. La dernière moitié de ma carrière a été consacrée à la guerre de l’information en tant qu’officier des opérations psychologiques et officier des opérations de l’information. J’ai mené des opérations concernant les réseaux informatiques, la guerre électronique, l’espionnage, le contre-espionnage et quelques autres spécialités.

Les systèmes de vote aux États-Unis et en Pennsylvanie ont été conçus pour être manipulés. Ils ont été utilisés dans des élections volées dans le monde entier, au Venezuela, en Italie, en Argentine, à Singapour et en Bolivie il y a deux semaines à peine. Philadelphie utilise ESNS, Pittsburgh utilise Dominion, d’autres comtés de Pennsylvanie utilisent Dominion et d’autres systèmes, alors quel est le problème ? Tous ces systèmes électoraux ont un ADN commun. L’entreprise Smartmatic a vendu les logiciels de vote “Sequoia” à Dominion en 2010, puis la société Debold a transféré ses machines à voter “Premier” à Dominion à la suite d’un procès anti-trust. Donc, l’essentiel est que ces systèmes ont un code similaire et des fonctions similaires.

Ces systèmes ne sont pas ce que l’on vous a dit. Ils sont connectés à Internet et à des serveurs en dehors des États-Unis. Il n’y a aucune transparence, sur la manière dont les informations sur les électeurs sont traitées, comment et où elles sont stockées. L’enregistrement du vote peut être modifié et/ou supprimé par les opérateurs, les administrateurs et des ennemis extérieurs. Les opérateurs peuvent attribuer au candidat de leur choix les bulletins de vote remplis, les bulletins blancs et les bulletins erronés en grand nombre. De nombreux experts ont dénoncé la facilité avec laquelle ces machines peuvent être piratées pour manipuler les votes. En fait, un expert en piratage de mon équipe a déjà découvert un malware présent sur les serveurs électoraux, qui capture chaque connexion et chaque mot de passe de chaque opérateur jusqu’au niveau de la circonscription électorale.

En plus, comme vous le savez probablement, le 30 septembre dernier, un centre de stockage électoral a été cambriolé dans votre État. 30 clés USB ont été volées ainsi qu’un ordinateur portable.

Ainsi, ces systèmes permettent aux utilisateurs autorisés et non autorisés d’annuler des votes, d’intervertir les votes, de pré-charger des votes, d’attribuer des bulletins blancs à un candidat, le tout en temps réel et en grand nombre. Notre équipe a examiné ces systèmes et il existe une douzaine de façons de manipuler les bulletins de vote, de scanner et d’attribuer des votes blancs.

Nos experts et d’autres universitaires estiment que jusqu’à 1,2 million de votes en Pennsylvanie auraient pu être modifiés ou seraient frauduleux. C’est ce que nous avons découvert au cours des 22 derniers jours [depuis l’élection]. En réalité, seule une analyse informatique légale détaillée des machines et des logiciels révélera vraiment combien de citoyens de Pennsylvanie ont vu leurs droits civiques violés.

Maintenant, je veux partager avec vous un graphique. Notre équipe s’est concentrée sur les “anomalies de pointe”. Ce sont des événements où un grand nombre numérique de votes est traité dans un laps de temps qu’il n’est pas mécaniquement possible de traiter dans des circonstances normales. Il y a un taux de vitesse spécifié par le fabricant pour qu’un certain nombre de bulletins de vote puissent être scannés et traités. Les “anomalies de pointe” dans ce graphique montrent vraiment où nous devons rechercher de manière légale pour déterminer réellement ce qui s’est passé avec ces votes.

Au début du graphique, il y a une “anomalie de pointe” : 337.000 votes qui ont été ajoutés en une seule fois. Normalement, vous vous attendez à voir la courbe monter doucement, pas avec des grands pics. Donc, ce grand pic qui se produit est un indicateur important de vote frauduleux.

Rudy Giuliani: (01:31:34)

Et quand vous regardez toute cette courbe, avec tous ces pics anormaux, pouvez-vous calculer la part du vote pour Biden et celle pour Trump ?

Phil Waldron: (01:31:46)

Environ 570.000.

Rudy Giuliani: (01:31:53)

Pour Biden ?

Phil Waldron: (01:31:54)

Exact.

Rudy Giuliani: (01:31:54)

Et combien pour Trump ?

Phil Waldron: (01:31:56)

Un peu plus de 3200.

(Cris d’émotion dans la salle, car ces pics anormaux sont à 99,4% pour Biden et 0,6% pour Trump.)

Gary Phelman, témoin (01:36:15)

Je suis un résident et un électeur de Philadelphie. J’ai reçu un certificat d’observateur pour l’élection présidentielle du 3 novembre. Ce certificat d’observateur dit que le porteur est autorisé à observer dans n’importe quel bureau de vote de Philadelphie. Quand je suis entré dans le bureau de vote, deux employés électoraux – je ne sais pas qui ils étaient car ils portaient des masques – m’ont demandé de m’identifier. J’ai produit le certificat et ils m’ont demandé de sortir. Nous sommes donc sortis dans la rue, et mon avocat, Will Chamberlain, a pris une vidéo de moi ayant une confrontation dans la rue avec les deux employés électoraux, qui n’ont jamais décliné leur identité.

Cette vidéo, qui a été rendue publique, compte déjà 3,8 millions de visionnages. J’ai essayé de leur expliquer que mon certificat d’observateur est pour valable pour toute la ville de Philadelphie, donc qu’ils devaient me laisser observer, mais ils ne me l’ont pas permis.

Dave Stisogis, témoin (01:41:50)

Je suis avocat, autorisé à pratiquer le droit dans l’Illinois et en Floride. Le 24 octobre de cette année, je suis venu à Pittsburgh en tant que bénévole, pour recruter une cinquantaine d’observateurs électoraux Républicains.

Le jour de l’élection, quand nous sommes arrivés dans le centre de dépouillement, nous avons été parqués dans une zone clôturée. Les employés électoraux les plus proches étaient à 5 mètres de nous et les plus lointains à 45 mètres, parce que la salle dans laquelle nous étions fait environ 2000 mètres carrés. Nous avons cependant constaté que les enveloppes de vote par correspondance arrivaient dans la salle déjà ouvertes. Nous ne savons pas quand ni où elles avaient été ouvertes, ni dans quel endroit l’ouverture avait eu lieu, ni ce qu’il y avait en fait à l’intérieur de ces enveloppes.

À côté de la grande salle de 2000 mètres carrés, il y avait une salle plus petite de 700 mètres carrés, dans laquelle se trouvaient les machines à voter qui enregistraient les bulletins de vote. Les employés électoraux arrivaient avec de grandes quantités de bulletins de vote depuis la grande salle, sans traçabilité ni explication de leur origine. Parfois, ils faisaient passer deux voire trois fois de suite le même bulletin de vote dans la machine, sans que nous puissions savoir s’ils avaient remis la machine à zéro.

A un moment donné, j’ai demandé au procureur du comté : « Pouvez-vous me décrire le parcours d’un bulletin de vote entre le moment où il arrive dans vos locaux et celui où il est compté ? ». Il m’a répondu simplement : « Non ». Ensuite je lui ai demandé : « Y a-t-il un protocole écrit pour cela ? ». Il m’a répondu : « Non, nous n’avons pas de protocole écrit pour ce que nous faisons ici ». Le procureur du comté est censé être celui qui donne des conseils juridiques aux gens sur la façon de traiter légalement les bulletins de vote, et il m’a dit qu’il ne sait pas comment ils sont traités, et qu’il n’y a pas de protocole écrit sur la façon dont ils doivent être traités.

Il n’y avait donc aucun moyen d’examiner les bulletins de vote, et il était impossible de vérifier le processus.

Elizabeth Preate Havey, témoin (01:54:01)

Je suis avocate et résidente du comté de Montgomery. Un certain nombre de problèmes témoignent d’un manque total de transparence concernant le déroulement de l’élection dans ce comté.

Deux jours avant les élections, lors de notre visite pré-électorale, les responsables du Bureau des élections nous ont dit que nous ne pourrions pas vérifier directement les bulletins de vote par correspondance. Après que j’aie protesté, ils ont accepté d’autoriser deux observateurs à entrer dans la salle, mais ces observateurs n’ont jamais pu voir les bulletins de vote de près.

Il n’y a eu absolument aucun contrôle des bulletins de vote par quiconque autre que les responsables du Bureau des élections, qui sont tous des Démocrates, pour savoir si ces bulletins de vote répondaient ou non aux critères établis par le Code électoral. Au niveau le plus élémentaire, nous n’avons même pas pu vérifier si un électeur avait voté deux fois ou si un électeur était décédé.

En tout, ce sont 200.000 bulletins de vote par correspondance que nous n’avons pas pu vérifier.

Nous avons par la suite découvert qu’au moins 188 personnes décédées ont voté en 2020 dans le comté de Montgomery. Nous avons aussi trouvé d’inquiétantes “anomalies” dans les résultats. Par exemple, plus de gens ont voté dans la petite ville de Norristown pour la première fois, que d’électeurs ayant voté lors des élections précédentes. Ces chiffres doivent être revus et analysés.

En fait, un examen complet des bulletins de vote par correspondance dans tout l’État doit être effectué.

Julia Vahey, témoin (02:00:10)

Je suis résidente du comté de Montgomery et directrice exécutive du Comité républicain de ce comté. Dans les semaines qui ont précédé l’élection, j’ai personnellement formé plus de 100 bénévoles pour inspecter et surveiller le dépouillement des bulletins de vote par correspondance afin d’assurer la légitimité du vote dans notre comté. Malheureusement, cette opportunité ne leur a jamais été donnée.

Le jour des élections, j’ai été enfermée dans une petite zone, délimitée par des tables et des barrières de plexiglas, dans un coin de la salle de dépouillement. Je n’avais de visibilité que sur l’espace où les bulletins de vote étaient scannés. C’était une zone immense, le scanner le plus proche était à environ 2 mètres et le plus éloigné à environ 20 mètres.

De mon endroit, je n’avais ni visibilité ni accès à la salle où les bulletins de vote étaient triés et où les enveloppes étaient inspectées et ouvertes. L’espace de dépouillement était séparé de la salle de numérisation par un grand mur blanc, bloquant toute visibilité vers les bulletins de vote.

Il y avait des caméras de sécurité, mais elles étaient de très mauvaise qualité et nous ne pouvions voir que des images pixelisées. Nous n’avons jamais eu de vue significative sur les bulletins de vote par correspondance.

(Les auditions continuent encore pendant près de deux heures.)

Maxime Lépante

Notes :

(1) Almost no Trump voters consider Biden the legitimate 2020 election winner

https://www.cnbc.com/2020/11/23/2020-election-results-almost-no-trump-voters-consider-biden-the-winner.html

(2) Article II de la Constitution des États-Unis

https://fr.wikipedia.org/wiki/Article_II_de_la_Constitution_des_%C3%89tats-Unis

(3) Voir notre article suivant, dans lequel nous expliquons en détails ce processus :

Révélations sur la stratégie de Trump pour être réélu !

https://ripostelaique.com/revelations-sur-la-strategie-de-trump-pour-etre-reelu.html

(4) Resolution Disputing the 2020 General Election Statewide Contest Results

https://www.legis.state.pa.us/cfdocs/Legis/CSM/showMemoPublic.cfm?chamber=H&SPick=20190&cosponId=32628

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N’oubliez pas de lire nos 11 articles sur les fraudes électorales massives dont les Démocrates se sont rendus coupables aux États-Unis, articles remplis d’informations que vous ne trouverez nulle part dans les médias français :

1) États-Unis : les fraudes électorales, spécialité des Démocrates !

2) États-Unis : la plus énorme fraude électorale de l’Histoire !

3) États-Unis : 32 infos capitales sur la fraude électorale !

4) États-Unis : Trump ne doute pas de la victoire !

5) États-Unis : 18 nouvelles infos capitales sur les fraudes électorales !

6) États-Unis : la contre-attaque judiciaire de Trump contre les fraudes électorales !

7) Fraudes US : incroyables révélations sur les machines à voter Dominion !

8) États-Unis : 27 infos supplémentaires sur les fraudes électorales massives !

9) Les médias français mentent : Trump n’a pas reconnu la “victoire” de Biden !

10) Révélations sur la stratégie de Trump pour être réélu !

11) Exclusif : toute la conférence de presse de Trump que les médias ont censurée !

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