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11 juillet 2020 6 11 /07 /juillet /2020 16:28
Le Pr Raoult face à la cabale des médiocres et des corrompus

Quand le Pr Raoult est attaqué par des voyous et des médiocres de la commission de l’Assemblée Nationale, les Français ont pensé qu’il ne s’agissait pas d’une invitation anodine mais pour une occasion de dénigrer un chercheur accusé de charlatanisme par des ignares et des corrompus. Voici donc un chercheur, médecin et professeur, dont les analyses médicales seraient partiales et orientées contre la Nomenklatura planquée en postes officiels et soumise aux mannes du Big Pharma, comme quoi la chose serait banale !

Mais aussi, le Pr Raoult est attaqué pour des propos qui seraient animés par la haine des protocoles très rigoureux de la science si chers à la Nomenklatura planquée en postes officiels qui ne les applique pas.

Voici le fondateur et directeur d’un institut de recherche, l’IUHM, dont le fonctionnement est menacé et devrait être affaibli sur la base des mêmes accusations : l’affaire de la cabale des médiocres est grave, en voulant atteindre non seulement une personne, mais en plus une institution vouée à la recherche en maladies infectieuse et à la diffusion de connaissances. Sur quoi s’appuie le soupçon virant à la dénonciation ?

Sauf à considérer que toutes les critiques de la meute des voyous et des médiocres sont partisanes, l’affaire de la cabale des médiocres est nécessairement entachée par les mensonges des corrompus.

C’est pourquoi les insultes et les accusations des voyous et des médiocres ne tiennent guère. On peut être en désaccord scientifique avec le Pr Raoult bien sûr, et ne pas partager ses amitiés ou ses inimitiés, cela ne justifie en aucune façon les torrents de boue qui sont déversés sur lui depuis des mois, avec un parti pris dont tous les Français sont les témoins directs à de multiples reprises sur toutes les télés vulgaires.

Oui, le débat dérape constamment en France dès qu’il est question de la Nomenklatura planquée en postes officiels et soumise aux mannes du Big Pharma. Oui, une violence verbale singulièrement menaçante peut s’exercer en France sur quiconque s’autorise à critiquer la Nomenklatura des médecins hospitaliers.

C’est pourquoi des commentateurs et des journaleux partisans, des pseudo-intellectuels militants, sur toutes les télés vulgaires BFM-Macron et LCI, préfèrent la disqualification de l’adversaire scientifique au débat argumenté. C’est le choix de l’invective et la mise en accusation de préférence à tout effort pour écouter ou lire honnêtement les travaux du Pr Raoult qui ne pense pas comme la meute des voyous et des médiocres.

Et quelle disqualification, quelle accusation ! Car enfin, personne ne peut ignorer que le charlatanisme est une infamie et pas simplement affaire d’opinion. Car le médecin qui professerait le charlatanisme est par conséquent un escroc. Donc nécessairement criminel. L’attaque des voyous et des médiocres aurait dû laisser l’accusé sans réplique, sans capacité de se défendre et de faire entendre sa voix, tant l’accusation est grave et scandaleuse. Aussitôt, les médias collabos condamnent les travaux du Pr Raoult et l’opinion suit, sans jugement serein ni documenté. C’est bien contre quoi le Pr Raoult a dû se défendre face à la meute.

Le Pr Raoult est haï et attaqué par les mensonges des voyous financés et des médiocres partisans du remdesivir de Gilead qui dénaturent ses écrits, qui confondent volontairement la recherche scientifique du Pr Raoult et leur position idéologique pour exercer des pressions et interdire l’expression libre du chercheur.

La cabale des médiocres et des corrompus par le Big Pharma veut stigmatiser les travaux du Pr Raoult, en se présentant comme les garants des valeurs qu’en fait ils détournent et pervertissent. Mais face à la meute des voyous et des médiocres, le Pr Raoult a gardé le cap et renvoyé à leur vilenie certains partisans corrompus propagateurs de mensonges lors de la commission de l’Assemblée Nationale. Les médiocres ont voulu empêcher une indispensable organisation humaniste des débats de la commission de l’Assemblée Nationale, ouverte à la critique intellectuelle, au débat d’idées, éprise de justice et de progrès scientifique.

La meute des voyous et des médiocres a pu se révéler contraire à la recherche de la vérité, y compris dans la commission de l’Assemblée Nationale, voulant salir le Pr Raoult sans vergogne. Il n’y a de ce point de vue rien qui surprenne dans le récit des avantages distribués par le Big Pharma. C’est le fonds de commerce de tous les adeptes des polémiques haineuses et des stigmatisations qui refusent de laisser la place à des échanges argumentés auxquels le Pr Raoult ne s’est jamais dérobé comme devant l’Assemblée Nationale.

Coronavirus : Le Pr Raoult qui dérange les affaires du remdesivir du Big Pharma a été entendu par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale. Propos de l’audition de Didier Raoult par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale : « Toute cette histoire, c’est parce que les gens d’Europe de l’Ouest ont de mauvaises habitudes, c’est là qu’on est mort le plus. […] Les 15 pays les plus touchés sont les 15 pays les plus riches. Est-ce qu’on sait encore traiter les maladies infectieuses aiguës ? 50% des médecins dans le monde utilisent l’hydroxy-chloroquine pour soigner le Covid. En France aussi et on le leur a interdit !

« L’idée que l’État se saisisse de soins qui sont de la tâche usuelle des médecins et leur interdise de faire un certain nombre de choses (thérapeutiques) qui sont banales, je ne suis pas d’accord. Et pour le dire tout à fait officiellement, je suis surpris que l’Ordre des médecins ait accepté une chose pareille. Moi, si j’avais été le président de l’ordre des médecins, j’aurais démissionné immédiatement ».

« Pourquoi je ne suis pas resté dans ce Conseil scientifique ? Parce que je considérais que ce n’était pas un Conseil scientifique. Je sais ce que c’est un Conseil scientifique, je vous assure que j’ai un Conseil scientifique à l’IHU, il fait rêver le monde entier, c’est que des stars dans leur domaine. Je ne suis pas un homme de (bavardages en) réunions, je suis un homme de données ». Le manque de dépistage au plus fort de la crise : « La manière dont ça s’est organisé est archaïque […] ça frise le ridicule ».

Le Didier Raoult a vertement critiqué les laboratoires et dénoncé des conflits d’intérêts : « Je l’avais dit au ministre : Les conflits d’intérêt, ils vont tout polluer. J’avais dit : Faites attention ! Je vous recommande de faire une véritable enquête sur Gilead et le remdesivir […] J’ai été menacé, j’ai porté plainte et l’auteur des mails, c’était le type qui recevait le plus d’argent de Gilead depuis dix ans… L’idée qu’on va donner le même médicament aux quatre étapes de la maladie est une fantaisie […] Le remdesivir ne pouvait pas marcher sur les formes graves. Le laboratoire Gilead qui produit le remdesivir aurait exercé une influence disproportionnée sur la recherche d’un remède contre le Coronavirus : « C’est bien au-delà ce qu’on a vu avec le Mediator. (…) J’étais surpris de voir le directeur de Gilead tutoyer le responsable des essais au ministère de la Santé. »

« Si quelqu’un qui a fait partie du board de Gilead parle de la microscopie électronique, ça ne pose pas de problème, mais s’il parle du remdesivir, alors ça pose un problème ! Ce n’est pas ma faute si on ne sait pas organiser les essais cliniques dans ce pays. L’observation est toujours la première étape. Mais pour observer, il faut faire du diagnostic. Il y avait les moyens de tester dans ce pays, […] et c’était indispensable parce qu’à partir du moment où on ne testait pas, on ne pouvait pas étudier la maladie. Tout ce que l’on a déduit sur la maladie, on l’a déduit de la grippe, et ce n’était pas vrai. On n’a pas dit la vérité sur la simplicité de généraliser le dépistage. C’est moi qui ai expliqué [la simplicité du dépistage] au président, pour la première fois, [en lui disant] : Vous savez, la PCR, c’est très simple et tout le monde peut la faire. »

« L’essoufflement est un très mauvais marqueur de cette maladie. (Selon la propagande officielle du comité) on a dit aux malades de venir quand ils étaient essoufflés, alors que souvent, à ce moment-là, il était déjà trop tard pour beaucoup d’entre eux. 65% des gens qui n’ont pas encore de signes respiratoires ont déjà des lésions au scanner, alors que cette phase d’observation dont on les a privés était un point clé. »

« La décision du confinement, et la décision du masque dans la rue, ne reposent pas sur des données scientifiques établies, claires et démontrables, et ça ne sera jamais démontré. Si les rassemblements sont déraisonnables dans le contexte actuel, il est impossible de prouver scientifiquement le bien-fondé ou non du confinement. Tous les (escrocs) qui vous feront des modèles projectifs sur des maladies qu’on ne connaît pas encore sont des fous. C’est mon idée, en tout cas, ils n’ont jamais eu raison. Il faut préférer les données brutes aux modèles mathématiques pour tenter de prévoir l’évolution de l’épidémie, dont certains tirent une opinion et une croyance qui s’apparente une religion. L’étude des Pieds nickelés publiée puis retirée par The Lancet, pointant l’inefficacité, voire la dangerosité de l’hydroxy-chloroquine, était partisane et mensongère :

« Il suffisait de lire, et pas seulement le titre, pour se rendre compte que [ce qu’avançait l’article] n’était pas vrai. Je pense que le ministre a été mal entouré. Il faut avoir des remparts, des gens qui sont capables d’analyser les articles pour la prise de décision d’Olivier Véran d’interdire l’hydroxy-chloroquine. »

Paul Le Poulpe : « France-Soir balance le Top-13 des anti-Raoult : ils passent tous à la caisse !

C’est sûr que Raoult, il fallait pas l’inviter, c’est une sacrée belle connerie ! Hier, devant les députés, il a clairement mis en cause les conflits d’intérêt qui pourrissent (la Nomenklatura de) la médecine française et il a suggéré d’enquêter sur Gilead et ses méthodes d’influenceur. La caste collabo a dénoncé des insinuations sans preuves. Pas de bol, aujourd’hui France-Soir, le seul journal qui semble faire du journalisme, pas comme BFM/RMC et autres farces de (manipulation de) l’info, publie le Top 13 des intéressés : Comme par hasard on y retrouve Karine, Deray, quel hasard, les principaux pourfendeurs hystériques de Raoult sur les plateaux.

N°1. La Palme d’Or revient au Pr François Raffi de Nantes. 541 729 €, dont 52 812 € de Gilead. Est-ce un hasard si on apprend que le coup de téléphone anonyme pour menacer Didier Raoult, s’il persistait avec l’hydroxy-chloroquine, est parti du téléphone portable du service d’infectiologie du CHU de Nantes dont François Raffi est chef de service ? Sûrement une pure coïncidence !

N°2. Le Pr Jacques Reynes de Montpellier. 291 741 €, dont 48 006 € de Gilead et 64 493 € d’Abbvie. Jacques Reynes a été sollicité par Olivier Véran pour piloter l’essai clinique du protocole Raoult à Montpellier alors qu’il est en même temps le coordinateur national de deux études sur le remdesivir pour le compte de Gilead. Il n’avait sûrement pas eu le temps d’envoyer au ministre sa Déclaration publique d’intérêts (DPI).

N°3. Pr Karine Lacombe de Saint Antoine. 212 209 €, 28 412 € de Gilead. Elle est sur la dernière marche du podium, mais l’essentiel est d’y être. Il n’y a pas que le podium avec les ministres à Matignon.

N°4. Le Pr Jean-Michel Molina de Paris-Saint Louis. 184 034 €, dont 26 950 € de Gilead et 22 864 € d’Abbvie. Or Jean-Michel Molina est co-auteur d’un article publié dans Médecine et Maladies Infectieuses sur quelques cas, pour dire que l’hydroxy-chloroquine ne marche pas. Médecine et Maladies Infectieuses est le journal officiel de la SPILF (Société de pathologie infectieuse de langue française) (financée par qui ?).

N°5. Le Pr Gilbert Deray de Paris. 160 649€. Une belle somme pour un néphrologue (anti-Raoult) qui est très présent sur les plateaux télés. Attention, chut ! Le remdesivir peut être très toxique pour les reins !

N°6. Le Pr Jean-Paul Stahl de Grenoble. 100 358 €, dont 4 552 € d’Abbvie. À noter que cette somme n’a pas été déclarée sur sa DPI. Or Jean-Paul Stahl est rédacteur en chef du journal Médecine et Maladies Infectieuses (financé par qui ?). C’est lui qui a comparé le Plaquénil au (papier-cul). La classe quoi !

N°7. Le Pr Christian Chidiac de Lyon. 90 741 €, dont 16 563 € de Gilead. Or Christian Chidiac est président de la Commission maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique qui a rendu l’avis interdisant l’Hydroxy-chloroquine, sauf aux mourants et demandant (contrairement au Pr Raoult) d’inclure les malades (graves hospitalisés) dans les essais officiels (donc Discovery). Son adjointe, la Pr Florence Ader, citée ci-dessous, est l’investigatrice principale (des mensonges de) de Discovery. Pure coïncidence.

N°8. Le Pr Bruno Hoen de l’Institut Pasteur (financé par qui ?). 82 610 €, dont 52 012 € de Gilead. À noter que sur sa DPI, il a noté n’avoir reçu que 1 000 € de Gilead ! Or Bruno Hoen a attaqué l’équipe de Marseille dans un courriel du 18 mars 2020, partagé avec tous les infectiologues.

N°9. Le Pr Pierre Tattevin de Rennes. 79 956 €, dont 15 028 € de Gilead. À noter que sur sa DPI, comme son prédécesseur, il a noté n’avoir reçu que 1 000 € de Gilead ! Ça doit être le surmenage. Or Pierre Tattevin est président de la SPILF (financée par qui ?). Cette Société savante a attaqué l’hydroxy-chloroquine pour encourager les inclusions dans Discovery, ainsi que dans les autres études par tirage au sort avec des groupes de patients non traités (donc pris comme objets d’expérimentation) (études randomisées).

N°10. Le Pr Vincent Le Moing de Montpellier. 68 435 €, dont 4 776 € de Gilead et 9 642 € d’Abbvie. Or Vincent Le Moing pilote, avec son patron Jacques Reynes cité ci-dessus, l’essai clinique de Montpellier.

N°11. Le Dr Alain Makinson de Montpellier. 63 873 €, 15 054 € de Gilead. Or Alain Makinson participe à l’étude de Montpellier avec Jacques Reynes et Vincent Le Moing. Montpellier est très bien représentée.

N°12. François-Xavier Lescure de Paris Bichat. 28 929 €, dont 8 621 € de Gilead. Or François-Xavier Lescure est l’adjoint du copain célèbre Yazdan Yazdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19.

Il a publiquement critiqué l’équipe de Marseille pour discréditer l’hydroxy-chloroquine. Il est co-auteur de l’étude très contestable et critiquée sur le remdesivir de Gilead (financée par qui ?), publiée dans le New England Journal of Medicine. Or cette étude n’a aucune méthodologie. Ben voyons ! Tout est permis !

N°13. Pr Florence Ader de Lyon. 11 842 €, dont 3 750 € de Gilead. Or (comme par hasard) Florence Ader est l’investigatrice principale de Discovery.

Yves Lévy est Professeur d’immunologie clinique, directeur général du VRI, responsable de l’équipe « Développement lymphoïde normal et dans l’infection par le VIH », U955, INSERM, pro-vaccins anti-Raoult.

Catherine Haddad, europe-israel.org (Marianne) Les liens d’intérêts des experts ! REACTing, c’est le nom du consortium qui dirige Discovery. Son président, Yazdan Yazdanpanah a montré un attrait certain pour une molécule testée, le remdesivir, produite par le laboratoire Gilead. La relation entre le gouvernement et Florence Ader, l’infectiologue qui coordonne l’essai Discovery, questionne sur les dix membres du Conseil scientifique installé par Macron dont huit sont liés à REACTing le consortium qui supervise Discovery.

Macron a remis sa politique sanitaire et son choix de traitements au même réseau de chercheurs !

Yazdan Yazdanpanah, président de REACTing qui coordonne Discovery, a supervisé les recherches de l’OMS. Il avait montré un attrait certain pour une molécule : le remdesivir. C’est ce qui interroge quand on a connaissance des liens d’intérêts qu’il a avec le laboratoire américain qui le fabrique, Gilead. Discovery est un produit de la recherche médicale française. REACTing (REsearch and ACTion targeting emerging infectious diseases) est une affaire française $$$ créée en 2013 par l’INSERM et Aviesan, l’alliance pour la recherche scientifique dirigée alors par Yves Lévy (dont on a évoqué les rapports conflictuels avec Didier Raoult).

Yves Lévy a créé REACTing avec Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique Covid-19. Yazdan Yazdanpanah est président de REACTing et membre des 2 structures censées éclairer Macron (le Conseil scientifique et le Comité analyse, recherche et expertise). Et il est  présenté comme impartial ?

Jean-François Delfraissy et Yazdan Yazdanpanah ne sont pas les seuls représentants de REACTing $$$ au sein du Conseil scientifique inventé par Macron. Laëtitia Atlani Druault, l’anthropologue du Conseil scientifique, est membre fondatrice de REACTing et fait partie de son comité d’organisation. Elle pilote l’un des vingt projets $$$ sélectionnés par le consortium REACTing pour lutter contre l’épidémie. Ben voyons !

Daniel Benamouzig, l’autre représentant des sciences sociales au Conseil scientifique, dirige l’un des projets de REACTing. Comme Denis Malvy, qui gère le projet baptisé Coverage ou Bruno Lina, qui supervise Discovery aux côtés de Florence Ader. Arnaud Fontanet est membre du comité d’organisation de REACTing.

Lila Bouadma, réanimatrice à l’hôpital Bichat, où se déroule Discovery, a signé une étude $$$ au nom de REACTing. Du Conseil scientifique, seuls Pierre Louis Druais et Simon Cauchemez n’ont pas de liens directs connus avec le consortium. REACTing : De quoi placer tous ses copains en position de juge et partie ?

Christian Chidiac qui est président de la commission spécialisée « maladies infectieuses et maladies émergentes » au sein du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) a joué un rôle important.

Il est chef de service à la Croix-Rousse de Florence Ader, l’infectiologue qui dirige Discovery, et sujet à d’importants liens d’intérêts avec Gilead qui fabrique une molécule testée dans Discovery : le remdesivir !

La corruption au sommet de l’État-Macron $$$ veut remplacer la Chloroquine par le remdesivir !

Jean-Patrick Grumberg pour dreuz.info : Pour que Gilead vende pour 1,1 milliard de $ de remdesivir, il suffisait d’interdire l’Hydroxy-chloroquine. Gilead Sciences a un marché potentiel de près de 7 milliards de dollars de vente de son remdesivir sur trois ans contre le Coronavirus de Wuhan, selon une nouvelle analyse de Robyn Karnauskas, analyste chez SunTrust Robinson Humphrey. La société vendra pour 1,1 milliard de dollars de ce médicament cette année, 3,2 milliards l’année prochaine et 2,5 milliards en 2022, a-t-elle prédit, sur une estimation que le traitement coûtera 10 000 $ par patient après avoir discuté avec la direction de Gilead à propos du remdesivir qui a été approuvé par la FDA le 1er mai pour le traitement d’urgence des patients atteints de COVID-19. Cette estimation permet de comprendre les campagnes de dénigrement voire l’interdiction de l’Hydroxy-chloroquine. Quelles raisons peuvent justifier les attaques contre ce médicament ?

D’un côté, l’Hydroxy-chloroquine coûte 37 dollars la boîte de 100 comprimés de 200 mg. C’est un médicament qui existe depuis 70 ans, qui était en vente libre jusqu’en janvier 2020, Plusieurs milliards de comprimés sont vendus et consommés chaque année et il n’a jamais provoqué la mort de personne (sinon il ne serait pas en vente libre), Il est recommandé et utilisé contre le Coronavirus par le médecin classé par Expertscape comme le plus grand expert au monde en maladies contagieuses, le professeur Raoult. Quand les statistiques de guérison et du nombre de morts du Coronavirus à Marseille sont exclues des données INSEE, il semble que ce soit sans importance pour les détracteurs anti-Raoult ! À l’IHU de Marseille, plus de 4000 personnes atteintes du Coronavirus ont été guéries. Le problème est que l’Hydroxy-chloroquine soigne !

Le problème est donc le remdesivir : 93% des personnes soignées au remdesivir meurent. Il coûte 10 000 dollars pour traiter une personne (contre 37 dollars la boîte de 100 comprimés de chloroquine). C’est le seul médicament approuvé aux États-Unis par la FDA pour traiter les patients hospitalisés.

Hospitalisés est le mot essentiel ! Son usage est décidé chez les patients sous oxygène en début du traitement. Il est sans bénéfice pour les patients déjà sous respirateur. Il réduit le taux de mortalité de 7%. 93% des personnes soignées au remdesivir meurent. La mortalité est si élevée avec le remdesivir que le traitement avec un antiviral seul ne sera pas suffisant. Telle est la conclusion de l’étude sur le remdesivir !

Jean-Patrick Grumberg pour dreuz.info : Le battage médiatique n’y fera rien : le remdesivir de Gilead ne soigne (quasi) pas le #Coronavirus. Après que l’Hydroxy-chloroquine a été interdite par Véran, Gilead se frotte les mains financièrement alors que son médicament ne peut mettre fin à la pandémie du Coronavirus chinois, car il ne soigne presque personne. Le lancement par Gilead du remdesivir a suscité l’enthousiasme des investisseurs, des politiciens, des médias et du public. C’est dans le contexte de peur et de sentiments de désespoir, ou même de panique entretenue par les médias collabos et par le gouvernement français, et de crise économique, que Gilead a fixé à près de 10 000 dollars par patient le prix de son médicament antiviral.

Question insultante, vicieuse, médiocre et tendancieuse de @PbertaGard : « Pourquoi n’avez-vous pas fait un travail correct ? (???) Vous saviez que vos pseudo-essais thérapeutiques seraient irrecevables ! »

Réponse assumée de @Raoult_Didier à @PBertaGard : « Tous les gens qui ont critiqué ma méthodologie n’ont publié que des essais comparatifs non-#randomisés. Il n’y a pas 1 essai français randomisé comparatif ou qui ait le degré d’isolement des stratégies thérapeutiques comme le nôtre ».

Thierry Michaud-Nérard

Audition de Didier Raoult par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale. Version intégrale.
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