Non, décidément, l’incendie de Notre-Dame ne peut pas être un accident, la preuve par neuf :
Article 1
Le ministère de la Culture interdirait aux architectes des monuments historiques de répondre à des interviews sur Notre-Dame
Article 2, cette suite de remarques et questions de bon sens de Yves-Marie Laulan, économiste et directeur de l’Institut de géopolitique.
Sans tomber le moindrement du monde dans le travers du « complotisme », l’incendie de N.-D. de Paris ne manque pas de soulever un certain nombre de questions intrigantes :
1° Comment d’énormes poutres de chênes vieilles de plusieurs siècles, qui comme on sait, deviennent avec le temps, sèches et dures comme du béton, peuvent-elles flamber comme des allumettes ? Par quels moyens est-il possible d’y mettre le feu ?
2° Le feu est parti de la base de la flèche de N.-D. Sur quel support reposait-elle ? Comment était-elle ancrée dans la charpente sous-jacente ?
3° Comment cette énorme pièce de charpente et de métal a-t-elle pu s’enflammer sans le concours d’un matériel hautement combustible disposé à sa base ou à proximité (copeaux, feuilles mortes, débris végétaux divers, ou… liquide inflammable ?).
4° Comment expliquer la rapidité avec laquelle le feu s’est propagé de la base de la flèche à l’ensemble du toit sans le concours d’un matériel hautement combustible présent sur le toit ?
5° Comment se fait-il que des personnes pouvaient, sans difficultés aucunes ni entraves, se promener librement sur le toit de la cathédrale, comme sur une promenade publique, en escaladant les échafaudages installés pour les restaurations prévues, quelques heures seulement (ou minutes) avant le départ du feu ? (voir les images sur internet, et notamment le selfie d’un jeune homme blond dont la silhouette s’encadre entre la perspective des deux tours). En fait, renseignements pris, il s’agirait peut-être de Simon Nogueira free runner professionnel nous dit-on. Mais si « ce héros » juvénile l’a fait sans efforts, d’autres moins bien intentionnés ont pu le faire aussi. Cela donne à réfléchir.
En bref, ce fantastique gâchis reflète la totale incompétence des autorités religieuses qui officiaient au quotidien dans la cathédrale , et de l’État, en la personne de l’aimable Stéphane Berg, soi-disant en charge de la protection du patrimoine, sans parler de la Mairie de Paris et du ministère de la Culture.
Tout ce petit monde nul et parasitaire se pavanait le jour des cérémonies et inaugurations mais ne s’est pas préoccupé une seconde de la protection incendie du bâtiment sacré dont il avait pourtant la charge.
Tout le monde est irresponsable, comme d’hab.
En fin de compte, cette catastrophe épouvantable, sans précédent et, sur le fond , inexplicable, reflète bien la colère divine, (comme le soutiennent avec juste raison les Serbes qui sont, eux, en contact permanent avec la puissance divine.)
Par contre, l’étranger sans indulgence, considérera que les Français sont infichus d’assurer la sauvegarde des merveilles léguées par leur histoire.
Yves-Marie Laulan