Les estimations faites par les USA annoncent dans les 500.000 morts ou hors de combat depuis le début des hostilités. Pour une population de l’ordre de 40 millions d’habitants. En diminution constante à cause de ceux qui ont réussi à fuir à l’étranger.
Les Européistes et leurs merdias ont beau réduire les pertes de moitié, recopiant les communiqués victorieux du Zygomyr, aucun ne se demande pourquoi les satrapes de Kiev viennent de mobiliser 200.000 hommes supplémentaires. Toujours plus jeunes. Toujours plus vieux. Et à la formation militaire toujours aussi rudimentaire… En tout cas, on ne pourra pas taxer le Zygomyr d’irréalisme. Il vient d’annoncer la création à Kiev d’un nouveau cimetière pouvant recevoir 400.000 corps. Et dans les campagnes, les pelleteuses creusent des fosses communes.
C’est qu’il faudra bien caser quelque part toute cette viande froide après la nouvelle offensive annoncée au printemps 2024. Puisque les foudres de guerre du Pentagone viennent de reconnaître piteusement que la contre-offensive de 2023 a été « un peu décevante ». On va donc remettre ça l’an prochain. Quand les pluies d’automne-hiver embourbant les blindés auront cessé, et que les Ukrainiens auront appris à piloter leurs avions (pour le moment, pas besoin des Russes pour les envoyer au tapis, ils se bigornent entre eux)
Il faut tenir jusqu’en novembre 2024, ordre de Robinette
Le gaga de Washington n’a qu’une obsession qui occupe sa pauvre tête déglinguée : empêcher Trump de revenir à la Maison-Blanche. Malgré la complaisance des juges gauchistes (là-bas aussi c’est devenu un pléonasme !) une victoire claire et nette des Russes sonnerait le glas des ambitions des prétendus démocrates.
Les caciques du parti comme les bellicistes de White House ne sont pas des naïfs. Cet octogénaire déjà très diminué, qui aurait 84 ans lors de son éventuelle réélection, ne les enthousiasme guère. Ils préféreraient la pétulante crypto-musulmane Kamala (féminin de Kamel) mais si le sénile se cramponne au pouvoir, ils feront avec.
En attendant, pour ne pas perdre l’élection, car il y a des limites aux fraudes et aux trucages, surtout face à des adversaires plus méfiants qu’en 2020, les Ukronazis doivent tenir bon contre les Russes. Peu importe les morts, les mutilés, les estropiés et les ruines, le Zygomyr doit sacrifier davantage de ses compatriotes pour payer sa dette aux USA.
Car l’opinion américaine commence à reprocher au Papy Gaga d’avoir livré des milliards de dollars d’armes et de munitions pour une contre-offensive arlésienne… Et les Ricains s’inquiètent de leurs arsenaux vides, alors que le dynamique complexe militaro-industriel, malgré tout son potentiel, s’avère incapable de répondre aux exigences sans cesse accrues du petit clown de Kiev.
Si les Ukrainiens envoient leurs soldats se faire déchiqueter sur les champs de mines, c’est sur ordre de Washington. Pour économiser le matériel occidental que les États-Unis n’ont plus les capacités de remplacer au rythme effréné de la consommation de ces derniers mois.
Pour que des milliards de dollars continuent à pleuvoir sur l’Ukraine, le Zygomyr a inventé un nouveau jeu de télé-réalité. Boum, tu perds un bras, tu continues. Boum, tu laisses une patte, tu continues. Boum, ta tête est arrachée, game over.
Les meilleures troupes formées en Occident et encadrées par des conseillers-mercenaires, ont déjà été sacrifiées pour la plupart. Il reste encore des volontaires assez bien entraînés, mais leur nombre décroît aussi vite que leur moral. Mais puisqu’il faut tenir jusqu’en fin 2024, on bricole des opérations symboliques hyper-médiatisées.
Ainsi le débarquement d’un commando en zodiacs sur une plage de Crimée le 24 août, fête nationale de l’Ukraine. Pour hisser furtivement leur drapeau bleu et jaune sur le toit d’un bungalow dans un village de vacances.
Résultat : des images édifiantes que la télé de propagande de Kiev s’est hâtée de glorifier. Sans dire que le retour à la base a été moins glorieux que l’aller. Puisqu’ils ont perdu une dizaine d’hommes. En plus, rendez-vous compte de la perfidie des Ruskofs, la disparition de Prigojine la veille, a occulté le haut fait d’armes des Ukronazis. Les « une » des vingt heures des pays alliés de l’OTAN n’en avaient que pour feu Prigo.
La « bataille de Robotyne » procède de la même logique. Afin de montrer à ses bailleurs de fonds européens et étasuniens qu’il utilise au mieux leur pognon, le Zygomyr a sacrifié 3 000 hommes et une centaine de blindés pour reprendre un petit village d’intérêt stratégique nul, qui comptait dans les 450 habitants avant la guerre.
Depuis 90 jours, c’est un Bakhmout en modèle réduit. Avec son obstination psychotique, le Zygomyr s’acharne sur ce symbole, tandis que les Russes pilonnent à bonne distance tout ce qui bouge. La 82e brigade dotée de chars Challengers britanniques, considérée comme la plus performante, était gardée en réserve pour forcer une percée dans les lignes russes. Elle a été anéantie pour que des fantassins puissent parader dans les gravats, tandis que les combats continuent alentour.
Les plages de la mer noire sont encore loin
La destruction de Robotyne était supposée déverrouiller la route vers Tokmak puis Melitopol, en direction du littoral. Or la situation est figée sur place, les Russes tiennent leurs positions, tandis qu’au Nord, équipés par les usines d’armement qui tournent à plein régime, ils sortent du Donbass, avancent vers les faubourgs de Kupiansk et préparent une offensive sur Karkhov.
Toujours plus de morts, de mutilés et de désaxés, mais un général de bureaux a cyniquement déclaré sur LFI que les Ukrainiens devraient se résoudre à accepter beaucoup plus de morts s’ils veulent submerger les Russes.
De son côté, le « Times » rapporte que des responsables étasuniens ont grondé le Zygomyr parce que ses compatriotes ne sont plus très motivés à finir en steak haché. Toute poussée contre des artilleurs russes retranchés et protégés par des champs de mines et des tranchées piégées se traduit par un nombre considérable de pertes. Et on commence à revoir des mutineries, s’ajoutant aux désertions en hausse constante.
Mais Zelensky est frappé du même trouble mental que Macron : l’obstination des immatures. Laquelle enferme dans les dédales de la dissonance cognitive tout individu qui refuse de voir la réalité telle qu’elle est, si elle n’est pas conforme à ce qu’il voudrait voir.
Pour les planificateurs du Pentagone la guerre est un jeu vidéo
Ils exigent de l’Ukraine qu’elle concentre ses forces sur le front en direction de Melitopol, qui doit être la priorité absolue, sans se soucier des pertes à travers les champs de mines et autres défenses. Un général décoré comme un arbre de Noël affirme : « Nous avons livré pour la contre-offensive une montagne d’acier qui a été détruite. Nous ne pouvons pas la remplacer. Mais les hommes, eux, sont remplaçables. »
Et les crapules des médias occidentaux, à l’abri dans leurs luxueux bureaux (jusqu’à ce que Vladimir se décide à leur expédier un vecteur hypersonique ?) sont des pousse-au-crime. Les pertes humaines considérables des Ukrainiens sont passées sous silence tandis que la destruction d’un camion russe par un drone, devient une grande victoire… Encourageant à envoyer encore plus d’hommes à une mort inutile.
Lucide, le « Washington Post » révèle que les services de renseignement américains estiment que la contre-offensive de l’Ukraine ne parviendra pas à s’emparer de la ville de Melitopol dans le sud-est, cette année. Kiev ne réalisera pas l’objectif principal assigné par le Pentagone, qui était de couper le pont terrestre de la Russie vers la Crimée.
La revanche sera pour l’an prochain. Le Pentagone a ordonné au Zygomyr de concentrer tous ses efforts vers la mer Noire. Ils programment déjà la boucherie suivante. Le temps de reconstituer les stocks d’armes.
Le petit clown mégalo aurait préféré attaquer directement la Russie sur son sol. Avec des armes plus performantes que ses drones en carton. Des armes fournies par les USA et donc susceptibles de provoquer de fâcheuses représailles. Du coup, ses sponsors ont arrêté de tirer les fils de la marionnette, pour qu’elle ne gesticule plus jusqu’au prochain spectacle.
Christian Navis
Pas de chômage pour les croque-morts en Ukraine
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