Le Blog de Lazare

Stepan Bandera, l’idole du pays. Dès 1941, les « bandéristes » prennent la résolution de combattre les Juifs, considérés comme favorables aux Soviétiques, qui sont d’après  Bandera, l’avant-garde de l’impérialisme moscovite en Ukraine et aussi le « principal ennemi »

Voyage dans l’Ukraine néo-nazie, odieusement soutenue par un Occident sans scrupules

Le pouvoir en place à Kiev depuis 2014 est bien un régime néo-nazi et ce n’est pas l’omerta des médias qui changera cette réalité. L’Histoire reconnaîtra un jour le bien-fondé de l’opération spéciale, voulant dénazifier l’Ukraine et démilitariser un pays devenu hostile à la Russie par la seule volonté des Américains.

Dès lors que les États-Unis veulent assouvir leur haine viscérale des Russes, plus rien n’arrête les faucons du Pentagone, ni le droit international systématiquement bafoué, ni les valeurs humanistes que défend soi-disant le camp du Bien. La morale occidentale s’arrête là où les intérêts américains sont menacés.

Des centaines de milliers de jeunes Ukrainiens sont déjà morts pour les seuls intérêts de l’Amérique, mais l’ogre étasunien réclame toujours plus de sang, surtout celui des autres.

On sait que depuis 1945, le droit international est le droit de l’Amérique, donc le droit du plus fort, qui impose sa loi au monde entier, semant depuis plus de 75 ans les guerres, les révolutions et les coups d’État à travers la planète pour préserver la suprématie de Washington sur sept milliards d’êtres humains.

L’exemple de l’Ukraine résume à lui seul toute la fourberie et le machiavélisme dont les États-Unis sont coutumiers pour parvenir à leurs fins.

Dès la chute du Mur de Berlin en 1989 et la fin de la guerre froide en 1991, l’Amérique a décidé qu’il n’y aurait jamais de grande Europe de l’Atlantique à l’Oural, risquant de menacer son hégémonie planétaire.

En 2014, la CIA a donc renversé le gouvernement prorusse en place à Kiev et a préparé pendant huit ans une guerre contre son ennemi de toujours, ne supportant pas le redressement spectaculaire de la Russie, sur les plans économique et militaire, sous la présidence de Poutine.

C’est ainsi qu’aujourd’hui l’Otan soutient l’indéfendable, à savoir un incontestable régime néo-nazi, mafieux et corrompu, enterrant de ce fait tous les grands principes moraux défendus par le monde occidental depuis l’écrasement du nazisme en 1945. Oubliée la Shoah, oubliée la barbarie nazie.

Comment la France, amie de la Russie et patrie des droits de l’homme, a-t-elle pu s’associer à une telle ignominie ? Il faut être un idiot immature comme Macron pour ne pas comprendre que défendre l’Ukraine, c’est se faire complice du pire. Macron déshonore notre pays et nous salit.

Le Diable, c’est donc Poutine, alors que la Russie a été le premier pays à libérer les camps de concentration hitlériens et reste le grand vainqueur de la Seconde Guerre mondiale. C’est l’Armée rouge qui a écrasé le nazisme et personne d’autre.

Dans un article de la Tribune juive du 15 février, relayé par le général Delawarde, nous pouvons constater à quel point nos élites occidentales et nos médias sont littéralement pourris jusqu’à la moelle, en taisant une vérité effroyable sur l’idéologie du régime ukrainien que nous portons aux nues. Le général Delawarde ajoute une déclaration du général d’armée Bachelet, que je retransmets intégralement ci-dessous.

À tous ceux qui nient l’idéologie néo-nazie du régime ukrainien actuel, la Tribune juive apporte des preuves indiscutables de ce cancer qui ronge l’Ukraine depuis 2014 et que l’Occident refuse de reconnaître pour continuer sa guerre par procuration contre Moscou.

« Au cours des années écoulées depuis que le soulèvement de Maïdan a amené un nouveau gouvernement en Ukraine en 2014, de nombreux monuments aux collaborateurs nazis et aux auteurs de l’Holocauste ont été érigés, parfois jusqu’à un nouveau chaque semaine. »

« Le nombre sidérant de monuments érigés ou de rues rebaptisées à la gloire des nazis ukrainiens, ne laisse aucun doute quant à la forte réémergence du nazisme en Ukraine depuis le coup d’État de Maïdan »