Voici une conversation canalisée avec Marie et Almathéa déesse de l’Abondance. Puisse ceci vous être utile.
Gratitude, Namasté
Virginie

Virginie bonjour je suis ALMATEYA déesse de l’abondance et suis accompagné de la Reine Mère Marie pour te donner ce channeling.
Nous sommes heureuse toutes les deux de pouvoir donner ces informations précieuses aux femmes comme aux hommes afin de vous amener davantage vers vous-mêmes et vers votre Ascension Collective.

V : Pouvez-vous déjà redonner une explication sur l’Ascension Collective? On me pose souvent la question, ou bien, on n’ose pas me la demander. Merci :

M : Je suis Marie, Marie la belle, Marie la douce, et je viens vous parler afin de vous retrouver mes chers tous.

En mes qualités de Mère Divine, chèrement apprise dans mon incarnation de Marie Mère de Yeshoua, quel fût mon bonheur et aussi tant de souffrances dans cette vie-ci. Mais j’ai sû relever les défis de mon âme et de mon programme d’incarnation afin de dépasser toutes mes peurs profondes et de me confronter à une foi totale pour DIEU et Notre Père. Ce ne fût pas simple, j’étais une femme comme vous et moi. Certes j’avais énormément d’amour en moi, de pureté de coeur, et aussi une foi totale. Mon âme était déjà très avancée (même si cette expression ne veut rien dire en réalité) mais disons que le cheminement de mon parcours d’incarnation avait déjà été largement riche en expériences diverses pour que je sache intimement en moi que DIEU Est. Et que je devais le retrouver. Je ne savais pas que je porterai Le Fils de Dieu. Que je serai sa Mère, que je l’élèverai et qu’ensuite je le perdrai par la mort, puis le retrouverai par sa résurrection. Je ne le savais pas. Je l’ai su plus tard, lorsque Gabriel, Archange cher à mon coeur, est venu me l’annoncer. Il ne m’a pas tout dit, mais les mages, eux m’avaient prévenu d’un grand évènement qui se lisait dans les étoiles, dans mes mains, et dans mes yeux. Ils m’avaient dit que la guerre ferait rage, que des étrangers viendraient me le tuer s’il n’y prenait garde. Et aussi, que j’enseignerai à travers lui, la foi, et l’hymne à la vie.

V: Mère, comment as-tu pris, en tant que femme, tout cela?

M: J’ai cherché en moi si cela était vrai. Bien sûr j’avais foi. Oui. Mais il faut toujours vérifier en soi si cela sonne juste. Si le coeur est en accord. Si au fond l’âme sait (mais elle sait toujours, elle à juste oublier parfois). Je priais beaucoup. Mes parents étaient des gens simples et humbles et j’ai été élevé dans la tradition hébraïque pure. Il m’a fallu braver des tempêtes et bons nombres de jugements pour réaliser ce que je devais. Quand j’étais enfant, je voyais, ressentais beaucoup de phénomènes que les autres personnes ne voyaient ni ne ressentaient. Cela m’a toujours guidé. Quand à 16 ans, presque 17, je n’étais pas encore marié-car je ne le voulais pas et mon père le tolérait, et que Gabriel est venu me dire que je serai enceinte du Fils de Dieu et qu’il fallait que je crois par dessus tout à la force de cet amour, je me suis effondrée. Comment moi Mariam allais-je réussir ? Qu’avais-je de plus que les autres ? Pourquoi tant de différence avec les autres femmes et les autres familles? Cela n’avait de sens. Puis en méditant longuement le long de la rivière pendant mes devoirs de corvées familiales, j’ai compris que Dieu avait placé en moi une grande mission et que je me devais de l’honorer. A cette époque-là les femmes étaient peu considérées. Cela dépendait beaucoup si les parents avaient fait un mariage d’amour, ou si celui-ci avait été arrangé par les parents en dépit du fait du choix de leurs enfants. Tu sais, nous n’avions rien à dire. Alors quand je refusais systématiquement les demandes en mariage en disant à mes parents, Dieu m’a choisi ! Ils étaient à la fois en colère et en crainte que ce fut vrai. Mon fort caractère, même si ma dévotion envers eux étaient totale m’a permise que mon Père attende et ne me force pas. Là aussi Dieu est entré en lui et lui a dit qu’un homme plus vieux que moi serait mon mari. Il lui a dit en rêve. Il me l’avoua bien plus tard. Ma mère elle était si douce, une grande femme espiègle et aimante, qu’elle rassurait mon père, en s’inquiétant tant pour moi, du jugement que l’on porterait à sa famille toute entière par mes actes.

V: A 16 ans l’Archange Gabriel est venu te voir, peux-tu Mère, nous raconter cela?

M: J’étais seule. Dehors. Près des Oliviers. Je triais des racines. Quand j’ai entendu une voix familiaire en moi. J’ai levé la tête, et vu une belle lumière comme il m’arrivait souvent d’en voir. Senti la présence de Dieu, d’un Ange. Et ce fût lui. Une merveille d’homme.

V: D’homme? :

M: Les Anges ont une allure d’homme tu le sais bien. Mais ce ne sont plus des hommes, même s’ils en ont l’apparence. Il ne reste de leur allure d’homme que l’apparence d’un homme, mais ils sont bien plus. Ils sont unis les uns aux autres. Ils ont tout le divin en eux, et toutes leurs capacités d’anges. Ils servent constamment celui qui les a fait Ange. Et quand je le vis, il était si beau. Si doux et bienveillant. Il me parla longuement de ce que j’avais à faire, ce que j’allais devenir. La première fois qu’il est venu j’avais 13 ans. Depuis ce jour, j’ai attendu le bon moment, j’ai attendu celui qui allait être mon mari. Et j’avais des visions de lui. Nombreuses. Gabriel est revenu me voir deux autres fois. La première pour me dire que j’attendais le Fils de Dieu. La seconde pour me dire que Dieu le rappelait à lui, mais que je le retrouverai toujours, après. Et que je serai Reine parmi les Anges et le Ciel du Père.

V: J’ose à peine te poser, même si nous en avons déjà longuement parlé toutes les deux, si tu as été enceinte par acte sexuel ou par intervention divine. Souhaites-tu l’expliquer ici ? Et Pardon Mère pour cette question., et pardon au Père…

M: Je comprends ta question. Tant de guerre ont reposé sur ce point. Tant de conflits y compris à mon époque tu sais. Qu’il a été dur d’être différente, mais quelle joie aussi de porter cette différence. La vérité ma fille, c’est que l’esprit saint a déposé cette âme dans mon ventre, dans mon corps, dans ma chair. J’ai porté cette âme de mon enfant pendant 9 mois. Le Divin me l’a transmise directement en mon corps. Ensuite, Joseph est arrivé dans ma vie. J’étais jeune 15 ans. J’avais refusé les mariages. Je n’avais plus le choix, et heureusement, il est arrivé. Je l’ai reconnu tout de suite. Nos âmes sont si liées. Il est mon rayon géméllaire. C’est un homme merveilleux d’amour et de quiétude. Il était bien plus vieux, avait été marié, était veuf, avait déjà 3 enfants. Je l’ai aimé au premier regard. Il avait été guidé jusqu’à moi. Il m’a épousé rapidement. C’était un mariage d’amour, total. J’ai pu tout lui dire. Et il a accepté. Je suis devenu sa femme physiquement et la fécondation a eu lieu tout de suite. Le premier jour, du premier rapport. Là est la vérité. Il n’y en a pas d’autre. L’esprit saint est venu en moi, et j’ai fais ce que je devais. Joseph aussi car son coeur était pur et noble. Dieu aussi était venu le voir, avait mis en lui ce qu’il devait pour me retrouver et m’aimer. J’ai aimé ses enfants comme les miens. Yeshoua a été son fils matière, son fils physique, mais il était surtout le Fils de Dieu, le fils du Père, et le nôtre. Nous l’avons toujours considéré ainsi car cela est Vérité. Et nous lui avons donné tout ce qu’il fallait du mieux que nous l’avons pu, pour qu’il se réalise lui, et tout ce qu’il avait à faire. Par chance, les mages m’ont expliqué le reste …