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7 mai 2016 6 07 /05 /mai /2016 16:59
Photo Credit/Jean Vercors

Photo Credit/Jean Vercors

33 pays ont voté pour la résolution de l’Unesco qui cherche à dépouiller les juifs de leurs racines, afin de leur faire réintégrer de force le statut du juif errant et apatride que les antisémites espèrent ensuite lui reprocher.

 

Et parmi les pays signataire : la France.

 

2 autres pays de l’UE, la Slovénie et la Suède, ont également voté pour la résolution, tout comme l’Argentine, avec qui Israël attendait une amélioration spectaculaire des liens après les élections de l’année dernière.

6 pays ont voté contre : Estonie, Allemagne, Lituanie, Pays-Bas, Royaume-Uni et États-Unis.

17 se sont abstenu.

Comme l’Etat islamique qui a détruit Palmyre à coups de pioches, le vote du conseil exécutif de l’Unesco efface les lieux historiques juifs du Mont du Temple et du Mur occidental (Kotel, plus connu sous le terme Mur des lamentations) à coups de textes.

Le directeur du ministère des Affaires étrangères israélien Dore Gold a envoyé une lettre aux 33 pays signataires pour protester contre cette ignoble résolution.

La France, représentée par Mr Laurent Stefanini, qui a collaboré à la réécriture de l’Histoire en votant cette résolution a reçu la sienne.

Dans sa lettre, Dore Gold a qualifié la résolution de «scandaleuse» et a déclaré que celle-ci fait «partie d’une tendance inquiétante qui cherche à nier les liens profonds entre le peuple juif et l’Etat d’Israël et sa capitale historique ».

⇒ Le terme « Mont du Temple » a même été radié du texte de la résolution et remplacé par une simple référence à al-Aksa Mosque et al-Haram al-Sharif.

C’est le document non modifié (ci-dessous à la fin de l’article) qui a été présenté conjointement par l’Algérie, l’Égypte, le Liban, le Maroc, le royaume d’Oman, le Qatar et le Soudan – des pays musulmans – et qui accuse l’État juif (qu’il refuse de nommer, comme pour déjà le faire disparaitre) de profaner la mosquée Al-Aqsa et de creuser des fausses tombes juives dans les cimetières musulmans de Jérusalem.

Le mufti nazi de Jérusalem, Al Husseini (né au Liban) avait lancé cette rumeur dans les années 20, ce qui déclencha le massacre de juifs à Hebron en 1929. Les arabes massacrèrent environ 67 juifs, en blessèrent 53, et pillèrent des maisons et des synagogues.

En octobre 2015, l’Unesco avait classé le Caveau des patriarches (Adam et Ève ; Abraham et Sarah ; Isaac et Rébecca ; Jacob et Léa) et la Tombe de Rachel, deux lieux saints juifs en Israël, comme sites musulmans de l’État falestinien qui n’existe pas. Et c’est l’ancien président français Nicolas Sarkozy, qui ne cesse de se déclarer l’ami d’Israël, qui fût à l’origine de l’admission en 2012 de la Falestine à l’Unesco.

L’Unesco nie le fait que les racines du peuple juif en Israël remontent à plus de 4000 ans. Que 1000 ans avant la naissance du christianisme, le roi David a fait de Jérusalem la première ville juive. Qu’elle n’a jamais été totalement abandonnée malgré toutes les occupations étrangères et les persécutions. Qu’au cours des 2900 dernières années, les juifs ont sans jamais aucune interruption vécu sur la terre de Palestine.

 

L’Unesco collabore avec l’ISESCO, l’organisme culturel de l’Organisation de la Conférence Islamique, pour effacer tout lien historique et culturel du peuple juif en Palestine et faire de lui un élément colonisateur d’une terre arabe.

Le tombeau de Joseph est un lieu de pèlerinage religieux pour les juifs – pas pour les musulmans. Lorsque des dizaines de falestiniens ont attaqué avec des cocktails Molotov, l’Unesco n’a rien vu, rien entendu et ne l’a pas dénoncé.

En moins d’une décennie, l’organisation censée créer un mouvement mondial pour la promotion d’une culture de paix et de non-violence est devenue une association spécialisée dans le vol du patrimoine juif, comme les nazis volaient les tableaux de maîtres des familles juives qu’ils envoyaient dans les fours crématoires.

Jusqu’au jour où quelqu’un exigera que les juifs aient l’interdiction de prier au Kotel car ils « judaïsent » ce lieu saint de l’islam

Ce vote est ignoble. Il est inquiétant pour les juifs de France qui ont les yeux ouverts – les juifs gauchistes, eux, ne verront rien car ils nient le réel. Vous n’entendrez pas un mot d’Anne Sinclair, qui avait pourtant su pleurnicher à l’antisémitisme au sujet du film qui théâtralisait sa relation avec DSK. La France a révélé ici sa volonté perfide de bafouer l’identité, l’histoire et les droits des juifs.

Même le Mur occidental, le site le plus sacré du peuple juif après le Mont du Temple, est mentionné par l’Unesco entre guillemets. C’est pour donner une préférence à son nouveau nom : al-Buraq, nom que vous retrouverez de plus en plus souvent dans les médias, jusqu’au jour où quelqu’un exigera que les juifs aient l’interdiction d’y prier car ils « judaïsent » ce lieu saint de l’islam.

Les pays arabes se servent de l’Unesco, ou l’Unesco se sert des pays arabes ?

L’Unesco était trop heureuse de cette demande de résolution des dictatures arabes : elle permettait à l’institution internationale d’effacer tous les aspects de la tradition juive et d’en faire une fiction.

  • Mahomet n’a jamais mis les pieds à Jérusalem ? On s’en moque dit l’Unesco.
  • Le mot Jérusalem n’est pas mentionné une seule fois dans le coran ? C’est sans objet affirme l’Unesco.
  • La résolution parle «de fausses tombes juives» ? L’Unesco est radieuse.
  • Elle soutient que «ce qu’on appelle des bains rituels juifs» est une invention ? L’Unesco jubile.
  • La résolution va renforcer l’instrumentalisation haineuse par les arabes falestiniens de la question du Mont du Temple, qui a déjà coûté la vie à des dizaines d’Israéliens, et conduire à la mort de plus d’innocents ? L’Unesco exulte.
  • Sous l’administration israélienne, les personnes de toutes les confessions peuvent profiter d’un accès à leurs lieux saints à Jérusalem, pour la première fois depuis des décennies. L’Unesco ne pourrait pas y être plus indifférent.
  • Jérusalem a enduré 19 ans d’occupation par la légion arabe jordanienne, qui divisa la ville avec des barbelés et des murs. Les snipers jordaniens ont fait vivre un enfer aux résidents juifs de la ville, la légion arabe détruisit plus de 57 synagogues. Là, l’Unesco et la France avaient un orgasme – qui leur manque.
  • Cette résolution sabote les pourparlers de paix, excite les terroristes ? C’est l’aubaine rêvée pour condamner Israël !

Jérusalem se situe en Judée, où naquit le peuple juif. Le christianisme et plus tard l’islam s’y sont installés parce que la ville était déjà sainte. Mais comme le rappelle Alain Legaret « les musulmans ont une fâcheuse manie de poser une mosquée sur les lieux saints des autres. »

Les Assyriens, les Babyloniens, les Perses, les Grecs, les Romains, les Croisés, les Arabes musulmans, les Mamelouks, les Ottomans, les Anglais, tous ont voulu à un degré ou à un autre nous anéantir. Tous ont échoué.

Ils croyaient nous jeter aux poubelles de l’histoire, et c’est eux qui ont disparu ou, pour les Européens, sont en train de disparaitre.

Et maintenant cette farce falestinienne ?!

Jérusalem juive a existé bien avant que Paris, Londres, New York ou Moscou ne voient le jour. Ces villes n’étaient que marécages pendant qu’à Jérusalem vivait une communauté juive. Ces villes redeviendraient marécages que Jérusalem ne serait pas vidée de sa communauté juive.

La France antijuive existe, je l’ai rencontrée : elle a voté la résolution révisionniste de l’Unesco.

Hag Sameach et Shalom de Jérusalem.

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean Vercors pour Dreuz.info.

Résolution Unesco page 1 Résolution Unesco page 2 Résolution Unesco page 3 Résolution Unesco page 4 Résolution Unesco page 5

 
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7 mai 2016 6 07 /05 /mai /2016 04:50
L’Unesco rejette le témoignage de la Bible, douteux, et entérine celui du Coran, scientifiquement fiable

Si l’Unesco laisse plus tard, dans un avenir lointain, un souvenir, ce sera probablement quelque chose ayant malheureusement un goût d’amertume, sous la forme d’une plaie, à la manière de celles laissées par la défunte URSS.

Théoriquement, l’URSS devait être une république socialiste fédérative de conseils (Soviets) élus.

Pratiquement, elle n’aura été qu’un système totalitaire : le pouvoir s’y est concentré à l’extrême entre les mains d’un seul homme, Staline (puis ses duplications de plus en plus pâlottes), au moyen d’une police politique terroriste sur laquelle le tyran rouge avait la mainmise absolue.

Cette république fédérative, centralisée politiquement, devait construire l’égalité sociale : elle produisit, en fait, sous une égalité sociale théorique, une inégalité extrême.

Et l’Unesco ?

Née après la seconde guerre mondiale, en tant qu’outil des Nations-Unies dans les domaines visant à favoriser l’accès universel à la culture et au développement scientifique, cette agence devient le contraire de sa raison sociale.

Procès d’intention ?

C’est ainsi que pour complaire au lobby des gouvernements membres de la conférence des Etats islamiques (OCI), l’exécutif de l’Unesco a commencé à voyager dans le temps. Il est parti dans le passé pour y faire le ménage, effaçant des pans entiers d’Histoire. Les évènements passés, gommés par nos chrononautes de l’Unesco, étant, plus particulièrement, ceux ayant trait à la présence des douze tribus hébreues sur le territoire de Canaan.

L’exploit le plus récent des voyageurs du temps de l’équipe de Madame Bokova a consisté à proclamer :

  • que le Temple de Salomon-Hérode n’avait pas existé ;
  • que le puissant mur de soutènement, bâti par Hérode-le grand pour le Temple remanié, n’avait rien à voir avec le Temple
  • et qu’il n’était en rien une construction ayant un lien quelconque avec les Juifs…
  • il ne serait, et rien d’autre qu’un mur dont on ne saurait rien, sauf qu’il n’aurait aucun lien avec le Temple remanié par Hérode et rien à voir avec les Juifs.

En vertu de quoi, cette affirmation « scientifique » péremptoire ?

Mystère et boule de gomme : cette conclusion obligatoire fait partie de ces intuitions qui rendent poétiques les hypothèses scientifiques.

Ce qui est sûr et certain, pour nos scientifiques unescuesques-voyageant dans le temps pour débusquer les mythes hébreux sans fondement, c’est que le brave Mahomet y a attaché, à ce mur et pas un autre, sa monture ailée mi-cheval, mi-on-ne-sait-pas-quoi (une mule disent certaines traditions, une femme disent d’autres).

Pour l’exécutif de l’Unesco et pour ses équipes de chercheurs, c’est un fait historique, et c’est le seul recevable : (que) Bourak ayant été attaché, quelques instants d’une même nuit, à ce mur et pas à un autre, il serait lieu saint d’une religion née des siècles après qu’il ait été construit, ce mur dont on ne sait pas à quoi il servait, si ce n’est « qu’il n’était pas le mur de soutènement du Temple d’Hérode, et si ce n’est qu’il n’était pas un vestige du Temple d’où Jésus chassa les marchands ».

Bref, ce mystérieux mur sans utilité connue, -cette énorme construction de gros blocs non édifiée par les arabes ou par les Byzantins, non bâtie par les romains, non érigée par les Grecs d’Alexandre-, n’aurait pas été construit non plus par les Hébreux ni avant eux par les Jébuséens.

Alors qui est l’auteur de cette construction, « sans lien avec un Temple n’ayant jamais existé »? L’Unesco ne veut pas le savoir. Et pour cause…

L’Unesco se contente donc de décréter ; on est en démocratie n’est-ce pas : puisque le livre saint musulman dit que la monture fantastique du fondateur de l’islam a été attachée à un mur de « la mosquée lointaine » (qui doit être Jérusalem, même si le coran ne le dit pas), ce mur est lieu saint musulman. il n’est à plus personne d’autre et c’est le mur occidental (Kotel en hébreu) ; donc les juifs ne sauraient le revendiquer ; et si c’est eux qui l’on bâti, il suffit de dire : que ce n’est pas le cas et le débat est clos !

Nous vivons de drôles de temps

L’Unesco a décidé que ce mur était un lieu sans rapport avec le Temple, mais qu’il est en rapport physique avec une créature étrange envoyée du ciel et s’appelant Bourak. En d’autres termes, par ce bref contact avec une cavale volante éphémère (que le fondateur de l’islam ne chevauchera qu’une nuit et plus jamais ensuite), le mur ne pourrait plus être ce qu’il était pour les juifs de partout depuis la destruction du Temple en l’an 70 de l’ère actuelle.

Comme le plomb que les alchimistes changeaient en or, le mur a changé de nature et d’origine, au 7ème siècle : de plomb hébreu, il est devenu or, or de l’exclusive sainteté coranique.

Et il n’y a pas à objecter, c’est ainsi : l’exécutif de l’Unesco vote et sanctionne cette décision… « culturelle et scientifique ».

C’est évident que nous sommes là en présence d’une décision purement  « scientifique », et qu’il serait malvenu de critiquer le représentant du gouvernement français, qui n’a fait que se ranger à des arguments objectifs, à de purs arguments scientifiques…. c’est sûr.

Les témoins de l’Histoire

Reconstruction du temple de Jérusalem
Reconstruction du temple de Jérusalem

 

Comme je le rappelais plus haut, le mur et le Temple ont des témoins.

Le mur a notamment Flavius Josèphe. Le Temple en a un, de taille, que je voudrai citer ici.

L’Unesco a décrété l’inexistence du Temple, dont le mur occidental est un mur de soutènement, et l’absence de liens entre les juifs et Jérusalem.

Ouvrons la Bible, au hasard. Voici Ezra, un « Prophète ».

Nous pouvons y lire : (7-27) 

«  béni soit le Dieu de nos pères, qui a mis ainsi au cœur du roi le désir de glorifier le Temple de l’éternel à Jérusalem » (tiens, un sioniste, Ezra, et un sioniste, ce roi ?)

La parole d’Ezra, qu’elle soit prophétique ou purement humaine et politique, témoigne : elle réfute l’assertion spoliatrice et totalitaire de l’exécutif de l’Unesco approuvée par le gouvernement français.

Cette parole d’Ezra est datée

Elle parle des « anciens », « Yehoudaï » en hébreu (Judéens, habitants de Juda, territoire et groupe ethnique).

 

Ezra poursuit :

« les anciens parmi les Judéens poursuivent les travaux de construction –encouragés- par les prédications du prophète Haggaï et de Zacharie, fils d’Iddo. Ils bâtirent jusqu’à complet achèvement, par la volonté du Dieu d’Israël et celle de Cyrus, de Darius et d’Artahchasta, roi de Perse. Le Temple fut terminé le troisième jour du mois d’adar, dans la sixième année du règne du roi Darius ».

Ezra précise :

« Ils offrirent, pour cette inauguration du Temple de Dieu (6-7) (…) comme sacrifice expiatoire pour tout Israël, selon le nombre des tribus d’Israël ».

Alors, mesdames et messieurs les historiens et les chefs de l’Unesco : Israël n’a aucun lien, plusieurs fois millénaires, avec Jérusalem ?

Aucun « Temple de Dieu » n’y a été bâti, par les hébreux de Juda, puis rebâti jusqu’à la destruction de 70 ?

Israël et la Perse

(Ezra 5-16) :

« Dans la première année de son règne, Cyrus roi de Babylone, le roi Cyrus rendit un édit prescrivant de rebâtir le Temple de Dieu (Beit Elaha ; Elaha s’épelant en hébreu : alef, lamed, hè, alef complété de points diacritiques servant de voyelles, d’où peut aussi provenir la forme arabe Allah).

On voit ici que les méchants faux-témoins sionistes sont nombreux et influents.

la tradition coranique, ça c’est de la preuve historique et scientifique

Dans sa très grande sagesse, l’exécutif de l’Unesco les a écartés : pensez, un prophète hébreu de la tribu de Juda et trois rois Perses du 6ème siècle avant l’ère chrétienne, sont-ce des témoignages crédibles et recevables, pour des savants, pour des experts scientifiques ?!….

Pensez donc, Ezra, il était juge et partie ; tandis que la tradition coranique, ça c’est de la preuve historique et scientifique ; ça c’est du témoignage fiable, objectif et impartial, s’imposant à tous et à chacun sans discuter, sans pinailler en perdant son temps en datation des blocs du mur occidental, et sans investigations dans les carrières dépôts d’ordures de Jérusalem-Est, où les responsables palestiniens s’en sont allés jeter des tonnes de gravats formés de vestiges archéologiques de toutes tailles, traités au marteau piqueur, à l’excavatrice et au camion poubelle, à l’occasion du creusement d’une vaste salle de prière sous l’esplanade dite des mosquées …

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Alon Gilad pour Dreuz.info.

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1 mai 2016 7 01 /05 /mai /2016 08:17
Confessions d’une Conseillère Financière dégoutée par ses 12 années passées dans deux Grandes Banques Française !

Ce texte d’une ex-conseillère est assez exceptionnel puisqu’il dit absolument tout de la réalité de la situation du métier de bankster : des voyous, des criminels, des parasites de la société, qui vivent aux crochets des travailleurs.

Confessions d’une ex-Bankstère Française

Longtemps, j’ai volé les gens. 
C’était ce en quoi consistait à peu près 95 % de mon temps passé au bureau. 
Enfin, je n’étais pas une voleuse au sens strict du terme ; j’étais une arnaqueuse de première main, mais institutionnalisée. 
J’étais également bien plus disciplinée, soumise. 
J’étais une voleuse légale, qui ne volait même pas pour son propre compte, mais pour celui de ses patrons. 
Ces derniers, cyniques, me donnaient des objectifs – journaliers, hebdomadaires, mensuels. 
Et à chaque forfait que je commettais, j’avais même droit à toutes les félicitations. 
Mon job était connu de tous : je bossais dans une banque.
Bien sûr, bosser dans une banque lorsqu’on sort d’un BTS assistante de gestion, c’est loin d’être la chose la plus séduisante. 
Pour ma part je voulais me tourner vers les maisons d’édition et aider des auteurs à être publiés. 
Visiblement ce n’était pas le choix qu’avait mon père pour moi. 
Pour lui, la banque était un domaine "plus stable", et en ce temps il était d’ailleurs l’ami d’un directeur d’agence qui avait "un siège libre pour moi". 
Je ne me souviens plus de ma rémunération lorsque j’ai commencé. 
Je sais en revanche que le dernier conseiller à être arrivé en fin d’étude à l’agence a commencé à hauteur de 1.600 euros nets par mois. 
Je sais aussi que mes dernières fiches de paie n’étaient guère plus hautes. 


 



Ma vie de bureau – mon monde – était constituée de gens biens sous tous rapports, surtout dans le rapport à l’argent. Costard-cravate pour les hommes et tailleurs-parfum pour les nanas. 
Respect des codes et de la procédure, respect des horaires et respect des objectifs ; le tout, dans une apparente bonne ambiance. 
Moi, j’étais tout en bas de l’échelle. 
Tellement bas même, que mon ordinateur et les logiciels qui y étaient intégrés avaient plus de pouvoir que moi. 
On appelle ça "conseiller financier", ou conseillère, tout simplement. 
Il s’agit de ces personnes qui vous reçoivent dans leurs bureaux à la banque et qui vous donnent des leçons sur la manière de mener votre vie en fonction de vos ressources. 
Voilà ce que je faisais. 
Pendant 12 ans, j’ai passé mon temps à refourguer des assurances inutiles, des crédits revolving, des agios, des cartes bleues, des forfaits, à des gens qui n’avaient rien demandé.
Selon Big Browser, le blog du Monde, près de 97 % de l’argent disponible dans le monde, en réalité, n’existe pas. 
De fait, où se trouve-t-il ? 
En tant qu’insider, j’ai un début de réponse. 
Je sais que, lorsque vous faites un prêt, c’est votre établissement bancaire qui invente l’argent avec lequel vous paierez votre voiture, votre téléviseur, l’ordinateur ou le téléphone sur lequel vous êtes en train de lire cette story. 
Sachez-le : vous créez de la dette, et donc, de la richesse. 
Car la croissance, c’est votre dette.
Longtemps, j’ai volé les gens. 
C’était ce en quoi consistait à peu près 95 % de mon temps passé au bureau. 

 



Pourtant, quand j’ai commencé, je croyais fermement à mon métier. 
Je pensais sincèrement que je pouvais venir en aide à certaines personnes en difficulté devant la gestion de leurs comptes bancaires. 
C’est ce qui me motivait, réellement. 
Étant moi-même issue d’une famille ayant vécu quelques "contraintes" financières, je me faisais fort d’être celle qui saurait comprendre et accompagner mes clients dans leurs réflexions et leurs démarches. 
Mais très vite (4, 5 mois à peine) j’ai été rattrapée par le vice, et sans m’en rendre compte, j’ai changé. 
Par mes principes d’abord, et puis par ma boîte ensuite. 
Car celle-ci a bien compris tout le potentiel et toute l’énergie que je pouvais dépenser pour son compte.
Il m’aura donc fallu 12 années pour m’apercevoir, comprendre et accepter le fait que je ne changerais rien, ni au monde, ni à la France. 
Absolument rien. 
Et que le jeu était faussé, truqué, dès le départ. 
Et ce, malgré toute la bonne volonté du monde. 
Quand j’ai débuté, les conseillers avaient encore un peu de liberté. 
Certains pouvaient encore jouir de délégations et ainsi octroyer quelques facilités à certaines personnes. 
Le grand changement, ce fut l’informatisation à outrance et la part de plus en plus prépondérante que prenaient les machines et les algorithmes. 
Les fameux algorithmes et avec eux les célèbres quotas, scoring, pourcentages et statistiques. 

 



De fait, en rendant les turnovers – terme pour définir le fait de "renouveler le personnel" – plus fréquents, les dirigeants de la banque amenuisaient considérablement le pouvoir de l’empathie qui pouvait se nouer entre le conseiller et ses clients. 
Ainsi, ma relation avec eux s’est lentement dégradée. 
D’humain à humain, elle est dans un premier temps devenue paternaliste. 
"Tous les clients sont comme des enfants à qui il faut enseigner un rapport à l’argent normalisé tel que nous l’entendons", ai-je notamment entendu plusieurs fois au cours d’un colloque. 
Et ensuite, la relation est vite devenue conflictuelle. 
De plus en plus tendue, et à tous les niveaux. 
Les objectifs ont augmenté, les primes ont baissé et les clients ont gueulé. 
Normal. 
Néanmoins, la seule réponse que je pouvais leur apporter se résumait à ça : "Je suis désolée. Je ne peux pas intervenir et ne dispose pas des droits pour."
À nous aussi les conseillers, il pouvait nous arriver de manifester nos désaccords. 
Les réactions de la part de nos supérieurs étaient alors immédiates. 
Ces derniers nous faisaient changer d’agence tous les deux ou trois ans, avec parfois plus de 50 kilomètres de distance entre deux affectations. 
De notre côté, on avait juste le droit de fermer notre gueule. 
De même, la rémunération des postes de conseillers n’a fait que chuter avec les années. 
Le tournant des années 2000 a été fatal. 
Les 13 e et 14 e mois payés par exemple, c’est fini depuis belle lurette.
Sachez-le : vous créez de la dette, et donc, de la richesse. Car la croissance, c’est votre dette. 

 



Les années 2010 ont, elles, sonné le glas de la décence parmi mon corps de métier. 
Aujourd’hui, ce sont les actionnaires qui se rincent. 
Avec environ + 10% par banque par rapport à 2014. 
Les agents pour leur part, on les utilise comme de la chair à canon. 
Ce sont ceux qui vont au front pour prendre les roquettes balancées par les clients mécontents. 
Sans surprise, nos supérieurs s’en foutent royalement. 
Ils n’ont jamais à subir les conséquences de leurs décisions. 
Nous, on est coincés dans l’étau, entre la direction qui nous contrôle en permanence et nous demande toujours plus de chiffre, et les clients qui voudraient toujours moins de frais.
Or, concilier les deux est impossible. 
Puisque c’est justement sur les frais facturés aux clients que les banques gagnent de l’argent. 
Et les frais, eux, ils n’ont jamais cessé d’être augmentés ; frais de lettre à 15 euros – ça fait cher du timbre –, frais d’attestation à 12, frais de dépassement de découvert, ou encore, frais d’impayés – de loin l’un des plus cyniques. 
En somme, on vous explique que vous êtes punis par l’argent justement parce que vous n’en avez pas assez.
Les années passaient, bon an mal an, et tout devenait insupportable. 
Nos rendez-vous étaient minutés. 
Nous étions intimés de mettre la pression aux clients, leur insuffler une forme particulièrement sournoise de culpabilité, de peur aussi. 

 



Puis un jour, lors de la finalisation d’un dossier d’emprunt immobilier, à la fin d’un rendez-vous, le courtier qui avait prescrit les clients et qui les accompagnait pour cet entretien, m’a pris à part. 
Puis il s’est penché vers moi avant de se lancer dans une tirade d’une cruauté absolue. 
Il m’a dit : "Vous savez, dans quelques années, vos patrons n’auront plus besoin de vous. 
Tout est déjà géré informatiquement. 
Si vous êtes encore là, c’est juste pour donner le change", a-t-il commencé. 
Je l’ai regardé interloquée, ne sachant trop que répondre. 
Il ne s’est pas démonté. 
"C’est pour que vos clients aient toujours cette impression que leur argent est géré par un humain, dans l’intérêt d’un autre humain. 
Mais vous n’avez d’ores et déjà plus la main sur la machine. Vous ne pouvez plus intervenir. 
Vous n’avez plus le moindre pouvoir", a-t-il renchéri, s’excusant presque de me présenter mon travail sous cet angle sinistre. 
Enfin, il a conclu sa démonstration par une pichenette humoristique dont j’ai le plaisir de vous faire part ici : "Le pire, c’est que le jour d’une panne informatique, vous ne serez même plus capables de faire quoi que ce soit."
Je vous avoue que se faire renvoyer son inutilité à la face, comme ça, d’un coup, ça fait mal. 
Néanmoins, je me suis aussi rendu compte que c’est bien lui qui avait raison. 
Aujourd’hui, en agence, les conseillers bancaires ne servent plus à rien, sinon à vendre des produits inutiles pour faire empocher les frais inhérents à ces produits aux actionnaires, et accessoirement, à faire passer les colères justifiées des clients en servant de punching-ball. 
Ce courtier cynique n’a en réalité fait qu’accélérer le processus à l’œuvre à ce moment de ma vie : celui de ma future démission. 

 



Comprenez bien qu’une banque, en 2016, ne vous aidera que si vous êtes déjà riches. 
Là, elle vous expliquera sans réserve les mécanismes vous permettant d’en redistribuer le moins possible aux plus pauvres, afin de les conserver dans son giron. 
Quand vous êtes pauvres au contraire, la banque vous explique qu’il est de votre devoir de payer les riches, afin de faire rouler l’économie. 
C’est une arnaque sur toute la ligne, et je suis désolée d’y avoir participé pendant plus d’une décennie.
J’ai donc somatisé, et ai, comme nombre de mes collègues conseillers, frôlé le burn-out. 
Mais nous n’étions pas tous des enfants de chœur. 
Je me souviens de pas mal de collègues qui enculaient le client avant de se marrer à gorge déployée, en se foutant bien et royalement de sa gueule.  
Aujourd’hui, la BNP Paribas et le Crédit Agricole, mes deux anciens patrons, prévoient déjà un grand nombre de licenciements étalés sur l’année 2016. 
Ils parlent également de ventes d’actifs, lesquels entraîneront nécessairement de nouveaux licenciements. 
Tout ça, alors que leurs actionnaires n’ont jamais amassé autant d’argent que ces dix dernières années et l’histoire des paradis fiscaux ne surprend pas vraiment.
Alors pour moi, c’est terminé. 
J’en avais marre de gerber tous les jours en rentrant du boulot. 
Et si j’écris ces mots aujourd’hui, c’est par compassion envers mes anciens et anciennes collègues. 
Je sais qu’ils sont impuissants, et qu’ils ont peur. 
Et si cela peut aussi éviter à tous les épargnants de se faire dépouiller à la première crise organisée venue à l’aide d’un bail-in (Ndlr : Bail-In = Prélèvements sur les comptes clients pour rembourser les dettes des Banques, votés par le Gouvernement Française cette année et l'Union Européenne, afin d'éviter le Bail-Out de 2008 où ce sont les États qui ont renfloué les Banksters, qui ont pu ainsi continuer leurs juteux commerces de création monétaire et de casino boursier !)  – comme à Chypre –, ce sera aussi bien. 
Si cela peut contribuer à créer un peu plus de solidarité, même infime, en rassemblant les humains indépendamment de leur fonction dans la société, idem. 
Alors, peut-être que nous aurons fait un pas. 
Un petit pas sans doute, mais un pas tout de même dans la bonne direction.

Aujourd’hui, j’ai vendu mon appartement en bordure de centre-ville pour aller m’installer à la campagne. 
J’ai trouvé un job à mi-temps et je passe plus de temps avec les gens, les vrais gens. 
Je me suis volontairement déconnectée de la frénésie du monde. 
Je fais pousser mes fruits et mes légumes. 
Après avoir volé l’argent de tous ces gens, je donne à d’autres de la nourriture, autant que je le peux.

http://www.lelibrepenseur.org/

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5 avril 2016 2 05 /04 /avril /2016 20:05

Photo prise ce jour de Pourim en Israël. Une éventuelle Reine-sorcière locale (plus adepte du couteau que de la pomme empoisonnée) aurait du souci à se faire.

Humour : Avec certaines Blanche Neige, mieux vaut éviter de jouer au con ;)

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gally pour Dreuz.info.

 

Nous en France, faute de Blanche Neige, nous avons les Sept Nains !

Humour : Avec certaines Blanche Neige, mieux vaut éviter de jouer au con ;)

Mais si ! Il y a Grincheux, Simplet, Dormeur.......................................

Humour : Avec certaines Blanche Neige, mieux vaut éviter de jouer au con ;)
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5 avril 2016 2 05 /04 /avril /2016 04:31
George Soros, vrai ennemi de l’Europe

Selon George Soros, la principale menace pour l’Europe serait … Poutine et non l’Etat islamique.

 

 

Dans un récent éditorial, publié sur le Guardian, George Soros, le spéculateur illuminé, s’est épanché sur la politique étrangère. Que ce soit dû à son âge avancé ou au délire d’omnipotence, typique de celui qui est habitué à manipuler impunément la vérité et l’argent, il semble cette fois avoir dépassé le seuil du ridicule.

Car selon notre illuminé, fidèle financier du mouvement No Border, mouvement fasciste d’extrême gauche qui réclame, via des manifestations violentes, l’abolition des frontières et la libre circulation des personnes, la véritable menace pour l’Europe c’est le président russe Vladimir Poutine et non le « pieux » Etat islamique, en dépit de sa cruauté et de ses velléités belliqueuses.

Et sur quelle raison se base Soros pour éructer une affirmation aussi hasardeuse ? Très simple : Poutine serait en train d’orchestrer la destruction de l’Europe à travers la crise des migrants.

Comme l’objectif de Poutine est la désintégration de l’UE, écrit Soros, le meilleur moyen de la réaliser est d’inonder l’Europe de migrants syriens. Dès lors, les Russes en Syrie s’emploient à bombarder la population civile afin d’obliger des millions de désespérés à fuir et à envahir notre continent.

Ainsi, l’épisode biblique de migrants – déstabilisant le tissu social, l’économie européenne et son futur – serait l’œuvre de l’ours russe, Vladimir Poutine, selon Soros.

Les barques qui traversent la Méditerranée surchargées de vrais et de faux réfugiés majoritairement musulmans, les migrants qui se pressent à nos frontières par dizaines de milliers, la transformation de l’Europe en Eurabia, tout cela résulterait d’un complot russe dans le seul but machiavélique de faire imploser l’UE.

Incohérences

Que la crise des réfugiés ait débuté bien avant l’intervention russe en Syrie, est une évidence qui ne semble guère érafler les certitudes de Soros.

Soros ne fait aucune allusion aux « guerres humanitaires » conduites par l’Occident ces dernières années, qui déstabilisèrent toute la région allant de l’Afrique du nord au Moyen- Orient.

Il occulte la faillite des « Printemps » arabes et le désastre libyen – autre chef d’oeuvre occidental – qui ouvrirent les portes à la propagation de l’islam radical en Méditerranée.

Il éclipse le fait que l’EI soit une créature des services secrets saoudiens, engendrée pour détruire la Syrie et construire une entité salafiste en Méditerranée, comme le dernier chaînon d’un effet domino qui aurait dû conduire à la chute de tous les gouvernements de la région hostiles au pouvoir des monarchies du Golfe.

Mais au-delà des incohérences historiques, pourquoi la Russie devrait-elle essayer de détruire l’Europe au risque d’amplifier la menace islamique, non seulement en Asie centrale, mais également à ses frontières occidentales ?

Pour Soros, la réponse est simple.

Vu que la Russie est en train de sombrer économiquement, (autre vieille obsession du financier) le moyen le plus efficace pour le régime de Poutine d’éviter la faillite est de provoquer l’effondrement de l’UE.

Une UE en morceaux ne pourra jamais maintenir les sanctions infligées à la Russe, suite à son incursion en Ukraine.

Ce mélange de délire et d’obsession, entre intérêts et manipulation de la vérité à travers les médias du système, pousse Soros à nier l’évidence même : à savoir que l’EI a ralenti son avancée après l’intervention de la Russie.

Les collusions scandaleuses entre Soros et le gouvernement ukrainien

Et voilà ! Dans le schéma simplet de Soros, tout se rapporte à ce qui constitue son intérêt majeur : l’Ukraine et le gouvernement fantoche de Kiev ! Enième produit des révolutions démocratiques décidées sur papier dans les think tank d’Outre-Atlantique et les conseils d’administration des banques d’affaires et des fonds d’investissement des amis de Soros.

Amis qu’il fait par la suite nommer ministres, même s’il s’agit de citoyens étrangers au pays comme l’ex-président géorgien pro-occidental Mikheïl Saakachvili, accusé d’abus de pouvoir dans son pays, et de crimes contre le peuple géorgien. Il a été nommé gouverneur d’Odessa, après avoir reçu la citoyenneté ukrainienne par décret. Odessa, ville où les néonazis de Kiev ont brûlé vifs des pro-russes en toute impunité, est un symbole profond de la ˮ démocratieˮ à la Kiev, observée avec bienveillance par l’Occident.

Un avertissement à l’Europe

Soros envoie en fait un avertissement aux Européens : « laissez tomber l’EI, car c’est nous qui l’avons créé et nous le détruirons, dès qu’il ne nous servira plus

« Occupez-vous de la Russie et ne prenez pas vos rêves pour des réalités : vous ne pouvez décider librement quels sont vos intérêts stratégiques

L’article de Soros ne doit pas être relégué dans le chapitre « troubles séniles », car il est le miroir de ce qui se passe dans la tête de l’élite technocratique qui domine l’Occident, dont la folle idéologie, mélangée à une agressivité sans scrupule, est en train de nous mener vers une guerre mondiale.

Cette élite, financière et techno-militaire, contamine les gouvernements occidentaux, contrôle l’OTAN, domine Wall Street et conditionne l’information globale. Cette élite a besoin d’élargir sa propre sphère d’influence dans sa recherche compulsive de domination.

Pourquoi l’Europe se meurt ?

Contrairement à ce qu’affirme Soros, l’Europe agonise, non à cause de Vladimir Poutine, mais à la suite de la perte de sa souveraineté (monétaire, démocratique et militaire), qui est en train de détruire les économies, la cohésion sociale et l’identité de nos nations.

Pas après pas, les espaces de liberté se ferment et une élite de technocrates sans visage, alchimistes de la monnaie, bureaucrates et politiciens frétillants, sont en train de prendre le pouvoir sur nos vies et nos destins.

Ce sont eux les véritables ennemis de l’Europe et George Soros en fait partie.

En 1998, il écrivait : “Jusqu’à présent, il y a des intérêts collectifs qui transcendent les frontières des Etats. La souveraineté des Etats doit être subordonnée à la loi internationale et aux institutions internationales. »

Cet homme maléfique est un démagogue de gauche des plus destructifs. C’est l’Amalek des temps modernes.

 

Soros ouvrit en 1993 son Open Society Institute dans le but de distribuer sa richesse à différentes « causes progressistes ».

Via cette société, Soros a donné plus de 7 milliards de dollars à des mouvements d’extrême-gauche, parmi lesquels on peut citer :

Media Matters, ACORN, La Raza, le Huffington Post, le Southern Poverty Law Center, Planned Parenthood, Center for American Progress, MoveOn.org, Occupy Wall Street, No Border.

Sur leur site internet, les « No-Bordersˮ affichent une liste de plus de 550 organisations dans tous les pays d’Europe, qui les soutiennent. Et là, on est très loin d’organisations d’extrême gauche. Pour en citer quelques unes, on retrouve, parmi d’autres, le Conseil de l’Europe, la Commission Européenne, plusieurs groupes parlementaires du Parlement Européen, le Home Office (ministère de l’intérieur britannique), le Département fédéral des affaires étrangères suisse, le conglomérat d’entreprises suisses Migros, etc.

Et … sans surprise, la très puissante Open Society Foundation de Soros.

En France, l’Open Society a également financé le Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF), une organisation dont le président, Marwan Muhamad, avait déclaré en 2011 :

« Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. »

Soros a les pieds dans de nombreux groupes médiatiques progressistes ou de gauche radicale : The Guardian, le Monde, Indymedia et Avaaz, le New York Times, le Washington Post, l’Associated Press, NBC, CNN et ABC .

Soros se considère comme une figure messianique

Soros : « Je me vois comme une sorte de dieu, créateur de toute choses.ˮ

Dans son livre publié en 1987, « The Alchemy of Finance », il affirme être à l’origine d’une grande révolution, comparant son œuvre à celles de Keynes et d’Einstein. Mais il ne s’arrête pas là.

Dans une interview donnée au journal britannique The Independent, il déclarait tout simplement : « Je me vois comme une sorte de dieu, créateur de toute choses.ˮ (I see myself as some kind of god, the creator of everything).

Pour Soros, l’argent est un moyen d’exprimer son point de vue et d’étendre son influence : « Je réalise, que c’est l’argent qui fait tourner le monde.ˮ (I realise it’s money that makes the world go round).

Et il n’a pas tort, cet architecte maléfique du chaos mondial !

Ci-après quelques extraits d’un excellent article, très complet, sur la face sombre et dangereuse de George Soros, rédigé par Yéh’ezkel Ben Avraham pour Europe Israël News, intitulé : » Georges Soros, face moderne d’Amalek, oeuvre à la destruction d’Israël »

« Faiseur de rois », il a financé l’élection de Obama et soutient actuellement Hillary Clinton (on le retrouve aussi acoquiné avec Tony Blair et beaucoup d’autres « grands » de ce monde), a obtenu pour une de ses créatures un Prix Nobel de la Paix et l’a fait nommer à la présidence du Libéria, a organisé en sous-main la mise en place de divers pouvoirs d’anciennes républiques de l’URSS contre la Russie, a tenté de déclencher une guerre mondiale lors du conflit du Kosovo, a soutenu l’instauration des « Printemps arabe », est copain comme cochon avec l’Iran des Ayatollahs, divers mouvements terroristes islamistes, de nombreuses monarchies du Golfe, et a aidé à mettre en place – en fomentant, entre autres, des troubles à l’aide de francs-tireurs – le gouvernement ukrainien actuel d’extrême-droite. C’est lui aussi qui a travaillé à la faillite de la Grèce afin de faire diriger ce pays par Syriza et on peut le soupçonner de ne pas être étranger aux divulgations de Edward Snowden.

Semeur de troubles et actif destructeur des valeurs judéo-chrétiennes, on retrouve sa sale patte financière derrière les Femen, les Indignés, la campagne pour la libération des criminels de guerre incarcérés à Guantanamo, la promotion, en vrac, du multiculturalisme, de l’avortement, du « mariage » homosexuel, de la théorie des genres, de la légalisation des drogues et de l’immigration illégale (Dans le but de « noyer » l’Europe sous la vague de « réfugiés ˮ, il a fait distribuer au Moyen-Orient et en Libye un vade-mecum – publié par une de ses organisations – expliquant toutes les ficelles juridiques aux candidats migrants).

S’étant juré la perte d’Israël (le judaïsme, la judéité et le sionisme étant à l’extrême opposé de son diabolisme), il finance pour plusieurs centaines de millions de dollars (sans compter les autres subsides que son lobbying obtient, pour elles, de l’U.E., de divers gouvernements occidentaux, voire arabes) une nébuleuse d’organisations anti-israéliennes (juste créées pour critiquer, sans bonnes raisons, l’Etat juif et lui nuire.

De même, il favorise le Printemps arabe, calculant que cela laissera la place aux « fous d’Allah » et à leurs excès bien médiatisés. Les Européens tremblent… et trembleront encore plus quand les quelques milliers de djihadistes, infiltrés avec les « réfugiés », commettront quelques attentats bien sanglants sur le Vieux Continent.

Insécurité intérieure, insécurité aux frontières ! Devant le manque orchestré de réactions viriles de leurs gouvernements, les peuples entreront en guerre civile, s’autodétruiront ou – s’ils se réveillent à temps – voteront pour les partis d’extrême-droite néo-nazie… qui mangeront dans la main de la haute finance internationale qu’il manipule.

Le chaos, la misère et la mort ou « le joug et l’esclavage à son diktat », tel est le choix que se propose de nous laisser George Soros, l’Amalek d’aujourd’hui, et sa « société ouverte.

Etrange ! Mais c’est exactement ce qui relie le nazisme, l’extrême-gauche et l’islamisme. »

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

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22 mars 2016 2 22 /03 /mars /2016 15:39
Français, votre lâcheté d’aujourd’hui sera votre enfer de demain

Toutes ces petites lâchetés sans importance, la place qu’on ne cède plus au plus âgé, le regard que l’on baisse devant celui du voyou mineur en se disant « c’est la jeunesse », le changement de nos modes de vie que l’on excuse en s’inventant une pseudo « tolérance », toutes ces bonnes raisons qu’on se trouve pour manquer de courage et renoncer pour le confort facile du consensus et faire « comme tout le monde ».

Toutes ces occasions de se dire qu’après tout, c’est le problème du voisin, cette façon que vous avez de vous dédouaner de la moindre responsabilité en trouvant les meilleures raisons du monde, et tout ça en plus en vous permettant de donner des leçons.

Vous avez tous les prétextes et toutes les raisons: la destinée pour expliquer votre passivité devant les événements, jusqu’à la plus vile trahison de ceux qui ont donné leur vie et leur sang pour le prix de votre liberté.

Celui qui vous crache à la gueule sa haine en raison de sa peau, de ses origines ou de sa religion trouve devant vos yeux toutes les justifications d’un ethno-masochisme que même les animaux desquels vous vous croyez supérieurs ne pratiquent pas.

Votre ordinaire de suivre le chemin de milliers de moutons passés là avant vous et votre obstination à en suivre scrupuleusement les traces, surtout pas un pas de travers car on pourrait vous confondre.

Et du coup vous pointer du doigt.

Et cette façon de trouver les excuses les plus minables, dont la plus grandiose sans doute c’est « mais alors toi, qu’est-ce que tu proposes? »

Ben oui, parce que dans le dénuement complet de votre lâcheté ordinaire, il faudrait encore vous donner des solutions que vous ne prenez même pas le temps de chercher.

Et puis, en cas de coup dur, ça ferait au moins l’occasion de désigner un responsable.

Votre attitude d’aujourd’hui, c’est votre enfer de demain; ou d’après-demain, mais le temps passe vite.

A dilapider cette liberté et la céder si facilement parce qu’elle ne vous aura coûté que la naissance.

Je ne vous plains pas, vous êtes des parias, je ne vous excuse pas, vous crachez déjà sur les tombes de ceux qui se sont battus pour vous avant, et sur celles de vos enfants à qui vous allez léguer tous les problèmes que vous n’aurez pas eu ni le cran ni le courage d’affronter.

Pauvres merdes.

Philippe Taylor

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13 janvier 2016 3 13 /01 /janvier /2016 00:37
Tatiana Demidova

Tatiana Demidova

« Cinq policiers sont venus chercher Tatiana Demidova », témoigne son professeur d’économie à l’université de Perpignan. « Ils l’ont emmenée au centre de rétention de Toulouse [pour l’expulser]. J’ai alerté France 3, la presse locale, les collègues…. personne ne bouge ».

 

 

Son crime ?

La préfecture lui reproche « un manque de motivation dans ses études » rapporte FR3 Languedoc.

Tatiana est en doctorat de Science économie. Assignée à résidence depuis le mois de septembre, elle est contrainte de se présenter deux fois par semaine à la police de l’air et des frontières, un traitement qui, s’il était exigé des djihadistes retournant du combat en Syrie et des fichés S, aurait probablement pu éviter les terribles attentats du mois de novembre.

Mais Tatiana ne revient pas des zones de combat, elle n’est pas candidate au djihad, est elle n’est pas radicale, mais étudiante en Science économie à l’université de Perpignan – ce qui justifie sans doute de mobiliser les ressources publiques, une bureaucratie aveugle et bornée, pour la persécuter.

 

 

Son directeur de thèse, notre ami Jean Louis Caccomo, s’interroge, sans comprendre :

 

Disons le sans détour : si c’était une Syrienne ou une Malienne, les associations de défense des sans papiers et les ONG humanitaires se seraient déjà mobilisées et auraient alerté les médias et les politiques.

Mais Tatiana n’est ni syrienne ni malienne, elle n’entre pas dans le champ limité des minorités à défendre par les « antiracistes », alors les « humanitaires » s’en lavent les mains.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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2 janvier 2016 6 02 /01 /janvier /2016 13:24
Bachar al-Assad : La France soutient les terroristes qu'elle prétend combattre

Selon le Président BacharAl-Assad, dans une interview, donnée le 1er décembre à la TV tchèque : "les terroristes viennent de plus de 100 pays à travers le monde, et veulent faire de la Syrie une plaque tournante pour le terrorisme."

Transcription intégrale de l'interview : LIEN

Dernière minute : (Fabius mange son chapeau)

Syrie : Paris change son fusil d’épaule
 

(...) 
Dans un entretien accordé au quotidien français Le Progrès de ce samedi, Laurent Fabius déclare que la transition politique voulue en Syrie « ne veut pas dire que Bachar el-Assad doit partir » d’abord. (...)

Source

Bonus 1 :

Rappel de la politique française de soutien et d'armement des terroristes que dénonce Assad

Bonus 2 : 
 

Comme promis, les satellites russes fournissent la preuve par l'image de la complicité (au moins passive) du gouvernement turc dans le financement de Daech : Camions-citernes franchissant la frontière syro-turque sans aucun contrôle!

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31 décembre 2015 4 31 /12 /décembre /2015 19:13
Marché de Noël en Israël

Une preuve de plus que les Chrétiens sont bien mieux en Israël que n’importe où ailleurs au Proche-Orient, cette photo d’un marché de sapins de Noël, prise à la gare centrale de Tel-Aviv.

On y trouve des sapins authentiques et d’autres synthétiques (moins agréables mais plus abordables).

Le vendeur est juif et ses clients, chrétiens, sont essentiellement des femmes philippines chrétiennes qui viennent en Israël pour y travailler comme auxiliaires de vie auprès des personnes âgées (elles gagnent 5 fois plus que dans leur pays et envoient l’argent à leurs familles restées sur place jusqu’au jour où certaines rentrent au pays tandis que d’autres s’installent définitivement en Israël).

L’année dernière (et peut-être cette année aussi si les budgets le permettent – info à vérifier), la mairie de Jérusalem avait offert des sapins à ses habitants chrétiens.

 

A Jérusalem, il s’agit majoritairement de ceux qui se nommaient voici peu encore « Arabes chrétiens ».

Mais à leur demande, et sans doute aussi parce qu’ils ne veulent plus être assimilés aux « Palestiniens de l’intérieur » qui sont eux des musulmans s’identifiant à ceux de Gaza et de Judée-Samarie, les Arabes chrétiens ont été renommés « Araméens », identité liée au langage-soeur de l’hébreu que parlait Jésus, en plus de l’hébreu classique.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © DF.Gandus pour Dreuz.info.

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1 décembre 2015 2 01 /12 /décembre /2015 12:55
La Syrie avait la liste des djihadistes de France et l’a proposé aux Français. Mais Valls a refusé

Le refus de M. Valls pourtant gracieusement proposée par la Syrie mérite aujourd'hui quelques explications.....

Yves de Kerdrel, directeur de la publication de Valeurs actuelles, révèle l’information inédite de l’interview de Bernard Squarcini qui paraîtra dans l’édition de ce jeudi 19 novembre. L’ancien directeur de la DCRI y affirme que les services secrets syriens ont la liste des combattants djihadistes français opérant en Syrie.

« SQUARCINI RÉVÈLE QUE LA SYRIE AVAIT LA LISTE DES DJIHADISTES DE FRANCE OPÉRANT SUR SON SOL ET L’A PROPOSÉ AUX FRANÇAIS. MAIS MANUEL VALLS A REFUSÉ ».

La Syrie avait la liste des djihadistes de France et l’a proposé aux Français. Mais Valls a refusé
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