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4 janvier 2025 6 04 /01 /janvier /2025 09:35
La France va-t-elle subventionner encore longtemps des écoles coraniques ?

Ce 8 mars 2024, il y avait du pogrom dans l’air. Cibles désignées : des Juives. Que des islamogauchistes voulaient lyncher en plein Paris. Pour la journée internationale des femmes. Un double symbole.

La flicaille les a protégées. Mollement. Service minimum. Mais quid des agresseurs ? Intouchables. Liés par le PACS unissant Trotski à Mahomet… Ces agressions auraient-elles pu avoir lieu sans la complicité d’une partie des politiques qui ont favorisé l’islamisation de la France depuis trente ans ? Question rhétorique.

La finance islamique est très éclectique

Elle sollicite et reçoit des fonds de l’Eurocrature et du Francistan, ainsi que du Qatar et des Émirats. Aux premiers, elle tient un discours lénifiant assurant de l’adhésion de tous les mahométans aux valeurs occidentales. En commençant par la démocratie, le libre choix de la religion et le respect des droits des femmes.

Mais elle rassure les seconds en affirmant sa fidélité aux principes des Frères musulmans, ces fondamentalistes formellement opposés à l’intégration des musulmans dans la République française, et plus généralement hostiles à toutes les « singeries européennes ».

Ainsi à Lille, au lycée Averroès, la quasi-totalité des employées et des lycéennes portent le hijab, et cet établissement « ouvert à tous », ne compte que des mahométans. Élèves et enseignants. Le directeur, un certain Éric Dufour, est un converti.

Pour eux, les subventions sont un droit absolu !

Pas de quoi s’étonner. Puisque les généreux donateurs sont de vulgaires dhimmis qui croient ainsi, en dépouillant leur propre peuple, acheter la paix dans les zones périurbaines turbulentes, et limiter le nombre des raids terroristes venus ou inspirés de l’extérieur.

Habitués aux lâchetés de l’État français depuis quarante ans, les mahométans qui dirigent la madrasa Averroès sont indignés que le préfet du Nord ait signifié le non-renouvellement du contrat d’association signé en 2008, qui chargeait l’Éducation nationale, c’est-à-dire tous les Français, du paiement des salaires du personnel de la madrasa… Au motif insensé que cet établissement méconnaîtrait les valeurs républicaines et manquerait de transparence dans sa gestion.

Un gros trou dans la caisse puisque la masse salariale constitue leur principal poste de dépenses. Aussi, après la résiliation du contrat, les responsables d’Averroès ont porté l’affaire devant la justice. Il ne manquerait plus que les Gaulois se croient encore chez eux en France !

Mais avec ces kouffars, il faut s’attendre à tout. Le tribunal administratif de Lille a validé la décision du préfet le 7 décembre 2023. Averroès a donc porté l’affaire devant le Conseil d’État réputé plus favorable aux allogènes. Bien sûr toute personne qui se croit lésée a le droit de saisir la justice. Mais les méthodes adoptées pour influencer les juges, à travers l’opinion publique, manquent autant de transparence que la gestion de la madrasa.

Une pétition calibrée, pas aussi spontanée qu’ils le prétendent

Le 10 novembre, une pétition de soutien a été mise en ligne. En dix jours, elle aurait recueilli 27 000 signatures. Mais un certain Mohamed Louizi, ancien Frère musulman repenti, qui n’a pas apostasié, a très vite émis des doutes sur la spontanéité de cette pétition et le sérieux des signataires. Est-il sincère dans son indignation ? Ou est-ce l’expression d’un conflit entre les différents courants politiques des mecs de La Mecque ? Qu’importe. Les faits sont là.

La madrasa a recruté un lobbyiste, chargé d’œuvrer en coulisses pour accréditer la réalité d’un mouvement de masse d’élèves, d’anciens élèves et de sympathisants, qui se compteraient par centaines de milliers. De quoi impressionner les kouffars, toujours prêts à se vautrer dans l’espoir de récolter quelques bulletins de vote.

Le 30 novembre 2023, un certain Michel Taube, directeur de consciences et donneur de leçons tous azimuts, qu’on dit très proche des intérêts qataris, et qui hébergeait la pétition sur son site « Opinion Internationale », a écrit à Mohamed Damak, le président de l’association Averroès, pour lui proposer ses services. Payés avec les subventions de l’État français ou en pétrodollars ? L’histoire ne le dit pas.

« Je propose de poursuivre ma mission auprès de vous » écrit Taube. « Moyennant 30 000 euros (hors taxes), je me fais fort d’atteindre les 100 000 signatures dans les 10 jours. »

Le bon apôtre (un converti ? L’histoire ne le dit pas non plus) suggère d’investir les réseaux sociaux avec des alias multiples, d’animer un comité de soutien, d’influencer les journalistes « réceptifs », et d’organiser un « relationnel politique stratégique centré sur Emmanuel Macron, Brigitte Macron et Gabriel Attal. » On connaît leurs penchants. Prêts à vendre leur âme pour un plat de lentilles. Comprendre un coup de pub’.

L’objectif cyniquement reconnu est de faire plier les autorités de la ripoublique avant la décision du Conseil d’État, et de collecter 2 millions d’euros pour la cause. Convaincus de l’abrutissement des Français, ces comploteurs trop sûrs d’eux ont laissé des traces écrites. Que des âmes charitables se sont chargées de diffuser.

Sûrs de leur bon droit, ils ne nient pas mais déplorent des dons décevants

Contacté par « Le Point », Michel Taube ne conteste pas l’authenticité de ces documents. Tout en se disant convaincu que « l’enseignement islamique respecte scrupuleusement les principes républicains. » L’eusses-tu cru ?

Il n’y a rien d’illégal dans sa démarche. Gonfler une pétition n’est pas un délit. Même s’ils auraient préféré plus de discrétion. Pour des raisons d’éthique ou pour masquer le flop de la manip’ ? Les documents stratégiques destinés à l’établissement portaient la mention « strictement confidentiel ».

Quoi qu’il en soit, l’échec est cuisant. Allah devait avoir la tête ailleurs. Quel étourdi ! La pétition a permis de récolter dans les 28 000 euros. Or il en faudrait cinquante fois plus pour équilibrer les comptes d’une année scolaire, après la perte du très généreux contrat d’association.

Averroès n’est pas un cas unique en France !

Placé sous l’égide d’Ibn Roushd, dit Averroès, un écrivaillon de cour andalou du XIIe siècle, qui fait fantasmer les bobos sur le prétendu vivre-ensemble dans l’Espagne sous domination musulmane, la madrasa de Lille est confrontée comme les autres à de sérieux problèmes existentiels. Mais c’est la plus médiatisée parce que ses tribulations l’ont placée en première ligne.

On peut se demander quelle est la solidité de leur ancrage ? Si le gouvernement français cessait de raquer, combien de parents d’élèves seraient-ils prêts à consentir les sacrifices financiers nécessaires au fonctionnement de l’établissement ? La chambre régionale des comptes, supposée suivre l’utilisation de l’argent public mis à la disposition d’intérêts privés, évoquait une situation financière critique dans un rapport publié en mai 2023.

Dans des documents non publiés que « Le Point » a réussi à se procurer, la chambre des comptes émettait de sérieux doutes sur la légalité de certains mouvements de fonds. De prétendus dons de parents d’élèves ou de « croyants » qui auraient servi à maquiller de l’argent venu de l’étranger… Il semblerait que la communauté musulmane du Nord ne soit pas en mesure de financer collectivement sa madrasa. Dont la continuité dépendrait de fonds qataris provenant de la mouvance des Frères musulmans, opérant derrière l’écran de la « Qatar Charity ».

Il s’agirait clairement d’une fabrique de futurs cadres islamistes francophones, subventionnés par des organisations étrangères hostiles à la France. Nonobstant les discours de taqîya et les tapes dans le dos à Macron. Et dans ce cas-là, un contrat d’établissement n’a plus lieu d’être.

Il n’y a pas que les finances critiquables, le contenu de l’enseignement n’est pas très républicain non plus

Privilégier la connaissance de l’arabe classique, celui du coran, et y ajouter l’arabe dialectal parlé au Maghreb et au Machrek est pour le moins surprenant. Quand on se targue d’être axé sur des disciplines modernes comme le marketing, l’informatique et la com.

En plus d’une gestion financière douteuse, le préfet dénonce l’existence d’une communauté éducative inquiétante. Certains cadres salafistes auraient tenu des propos radicaux. Menaçants et agressifs. Auxquels on peut ajouter des cours d’éthique musulmane (sic) dont la bibliographie comprendrait des ouvrages en contradiction flagrante avec les valeurs républicaines. Sur la question de la laïcité, des rapports hommes-femmes, ou encore de la liberté de conscience.

Comme si cela ne suffisait pas, la madrasa aurait fait obstruction à une inspection de l’Éducation nationale en janvier 2022 et aurait constitué un fichier listant les inspecteurs déjà venus. Dans quel but ? En toute hypothèse, c’est illégal. On est loin de l’établissement modèle devant permettre une ascension sociale aux descendants d’immigrés.

En outre, la proximité géographique avec la mosquée de Villeneuve-d’Ascq, investie par des Frères musulmans, et où pérorait le prédicateur Hassan Iquioussen, permettait d’inviter des « conférenciers » barbus en kamis. Pas vraiment l’image qu’on se fait de la laïcité subventionnée.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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