14 décembre 2024
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Vu la supériorité militaire russe, il est évident que les fauteurs de guerre de l’Otan ne comptent pas sur un affrontement armé conventionnel pour détruire le conservatisme et s’emparer des richesses énergétiques russes. Par contre ils sont prêts à tout pour y arriver.
L’affrontement conventionnel, c’est tout juste bon à décimer la population ukrainienne comme ils rêvent de le faire pour les populations européennes et plus largement occidentales.
L’idéal pour eux serait que les Russes se chargent de ce sale boulot.
Un tsunami géant avec un missile Poséidon qui submergerait une large part du continent européen ferait bien leur affaire. Un grand nettoyage dont ils se mettraient à l’abri. Et dont la responsabilité incomberait au méchant Ours Russe. Comme en Ukraine.
Pour arriver à trouver le fil logique des discours essentiellement belliqueux des gouvernants occidentaux, on en arrive toujours là : leur souhait obsessionnel de dépopulation.
Force est de constater que la guerre ne leur fait plus peur, même le nucléaire. Pire : elle leur est devenue souhaitable, indispensable sur les plans démographique et économique.
Ils sont très pressés. Le terme de l’Agenda de Davos, 2030, a été envisagé trop loin. Le tsunami protestataire des agriculteurs auxquels on ne peut plus conter UE-fleurette commence à se faire menaçant. Et les effets secondaires du pchout covidique les rattrapent.
Les analyses convergent.
Jean-François Geneste
Charles Sannat :
Idriss Aberkane
Le pire n’est jamais certain mais le meilleur non plus.
La guerre de la communication qui anticipe le passage à l’acte qui les démange est en tous cas en cours.
Et heureusement les ténors sont de notre côté.
Victor Hallidée