Ils sont blancs. Mais rassurez-vous ils ne sont ni racistes ni suprémacistes. Et ils sont respectueux de l’environnement. Car s’ils sont au sommet de la chaîne alimentaire dans leur secteur, ils ne prélèvent que ce dont ils ont besoin. À part ça, « l’espèce en voie de disparition » va bien, merci pour eux. Leur nombre a doublé ces dernières années.
Par ici les grolars !
Pour les zoologistes, un grolar est le fruit des amours de Monsieur Grizzly et de Madame Polaire. Ou l’inverse. Chouette un métis !
Les écolos bas de gamme, les seuls qui ont accès aux médias de désinformation, nous ont bassinés avec ces hybrides prétendant que leur existence, soi-disant récente, prouvait la diminution du nombre des ours blancs. Obligés de s’accoupler avec des partenaires basanés. Pourtant c’est le must pour tout gauchiste ! Pourquoi critiquer le mélange chez les nounours ?
Les écolos de niveau zéro affirmaient qu’on n’avait jamais vu de grolars avant le prétendu réchauffement. Alors que Jack London et Paul Émile Victor, parmi les plus célèbres voyageurs du Grand Nord, ont évoqué l’existence de ces animaux qui tiennent une place importante dans la mythologie des peuples arctiques, Inuits et Iakoutes. Mais on ne peut pas demander à un écolo d’avoir lu deux ou trois livres sur le sujet dont il s’empare pour dégoiser ses inepties.
Au plan génétique, les grizzlis et les polaires sont interféconds. Et leurs enfants Grolars sont fertiles. Rien d’étonnant, c’est la même espèce ! Leurs différences de phénotypes relèvent d’évolutions épigénétiques. Ensuite le milieu a induit quelques habitudes comportementales et alimentaires réversibles, liées aux alternances climatiques depuis environ 150 000 ans. Mais on ne peut pas demander à un écolo d’avoir un bagage scientifique minimum. Est-ce que Greta-qui-sait-tout est allée à l’école ?
Les nounours promus totems du prétendu réchauffement
Ils n’ont rien demandé à personne. Sinon qu’on leur foute la paix. Il se trouve que des scientifiques canadiens, bien placés pour une approche pragmatique du sujet, ont été les premiers à rentrer dans le lard des réchauffards pour leur faire ravaler leurs mensonges et leurs élucubrations.
Le premier à flinguer ces cuistres et leur mythe des ours blancs menacés d’extinction s’appelait Tim Ball. Ce docteur en géographie et en climatologie évolutive ne s’est pas laissé intimider par les pressions de la hiérarchie universitaire, pas plus que par la porte close des éditeurs, et la meute médiatique lâchée à ses trousses par des fanatiques ne reculant devant rien pour lui pourrir la vie.
À l’issue d’un procès homérique qui dura pas loin d’une dizaine d’années, il réussit à faire condamner ses adversaires en 2019. Ayant administré la preuve, avec le concours du MIT, que la « courbe en crosse de hockey de Michael Mann » longtemps l’alpha et l’oméga des réchauffistes, avait été lissée en ignorant l’optimum médiéval, et donc était un artéfact médiocre non probant, doublé d’une fraude caractérisée.
L’appétit d’une renommée imméritée et la quête de juteuses subventions avaient produit une des plus grandes supercheries scientifiques de notre époque.
On doit à Tim Ball, entre autres analyses, une étude pluridisciplinaire écrite avec 7 co-auteurs concluant que « les températures de l’air printanier autour du bassin de la baie d’Hudson au cours des 70 dernières années ne montrent aucune tendance significative au réchauffement, et en conséquence, la disparition annoncée de l’ours polaire est infondée. »
Ses ennemis se sont vengés après sa mort à l’automne dernier, en faisant déréférencer aussitôt sur les moteurs de recherches le site où il exposait de façon didactique les résultats de ses travaux. Puis il a été piraté chez son hébergeur. Rien d’étonnant à cela. La mesquinerie, l’intimidation et les manœuvres crapuleuses pour museler des contradicteurs qui les surclassent caractérisent les écolos. Et plus généralement tous les gauchistes.
Les trouble-fêtes de la banquise
Pour contrer l’image du glaçon qui n’a jamais fait déborder un verre en fondant, les réchauffistes s’étaient rabattus sur le Groenland. Mais la nature leur a fait un doigt d’honneur que je savoure encore.
En 2017, confirmant le début d’une inversion climatique, après une stase du climat global depuis 1998, les glaciers de ce mini-continent ont gagné en surface et en volume. Quelques rares médias mainstream en ont rendu compte dans leurs brèves. En affirmant que ça ne durerait pas. Mais les faits les ont démentis.. Malgré les dénégations fanatiques des prétendus fact checkers et la cenSSure compulsive des réseaux sociaux.
Pour apitoyer les foules, il ne restait plus qu’à se rabattre sur les ours blancs, ces féroces carnassiers si mignons quand ils sont petits. Parmi les fake news les plus abjectes véhiculées, en toute connaissance de cause, il y eut ces photos d’ animaux souffreteux, légendées comme mourant de faim à cause du réchauffement bien sûr.
Ces images jouent sur l’émotion des foules et reviennent régulièrement dans la propagande écolo. L’une montre un vieil ours cachectique malade du cancer des os. L’autre présente un animal gravement blessé à une patte arrière qui a des difficultés à se mouvoir, donc à chasser et à se nourrir.
Des vétérinaires, des biologistes, des naturalistes ont essayé d’expliquer cela, croyant avoir affaire à des gens de bonne foi. Le déchaînement contre ces « complotistes » fut à la hauteur de leurs crimes de lèse-réchauffisme. Conspués puis blacklistés par les merdias, cenSSurés sur les réseaux sociaux, chassés de l’enseignement supérieur.
Dans l’affaire, pour avoir dénoncé l’instrumentalisation des ours blancs par le GIEC, tandis que la population des ours polaires ne cessait de s’accroître, la canadienne Suzan Crockford, docteur en zoologie, a été virée de l’université de Victoria, allongeant l’interminable liste des profs de fac et des chercheurs mis à pied pour avoir osé remettre en cause une doxa ficelée par des nuisibles ignares. Abusant du pouvoir que leur confèrent les relations incestueuses de la politique et des médias.
Depuis 2015, elle doit se contenter d’un boulot de bibliothécaire à 750 dollars par mois. On ne brûle plus les hérétiques, on les affame. Comme les antivax interdits de travailler et privés de tout revenu en France.
La revanche des nounours et de Suzan
On annonce régulièrement avoir découvert des isolats où « grâce à des micro-climats protégeant les glaciers » (pas question pour les réchauffards de se déjuger) les populations d’ours blancs vont bien et sont en nette augmentation.
Ainsi plusieurs groupes de quelques centaines d’individus chacun vivent dans des régions inviolées de l’Arctique canadien. D’autres, dans des zones quasi-désertes de la Sibérie, où ils ne semblent pas incommodés par la canicule. Tant qu’il y a des phoques à chasser pour assurer leur subsistance. Vlad voulait faire visiter ce biotope rare au paltoquet. Il a refusé. Aurait-t-il craint que les ours le confondent avec un phoque ?
La population ursine était estimée à 15 000 à la fin du siècle dernier. Aujourd’hui, il seraient 26 000. Et 30 000 avec les cousins Gros Lards. Généralement blancs ou jaune pisseux avec des taches sombres.
Mais avec une mauvaise foi confondante, les réchauffards soutiennent que les ursidés chenus seraient en train de disparaître. Une inquiétude légitime qui pouvait se justifier en 1960 alors qu’ils n’étaient plus que quelques milliers. Exterminés par des chasseurs pour leur pelisses et accessoirement leurs steaks. Mais fort heureusement des mesures sévères ont été prises, avec embauche de gardes et application de lourdes sanctions contre les tueurs d’ours et les marchands de fourrures.
James Bond qui fait l’amour à une belle espionne soviétique sur une peau d’ours blanc, vous n’êtes pas prêts de revoir ça au cinéma.
Maintenant, si vous voulez aider, et si vos moyens vous le permettent (car ça coûte cher à nourrir ces petites bêtes) vous pouvez adopter un ours blanc. À condition de le prendre bébé, il fera un charmant animal de compagnie. Joueur, affectueux, taquin, et au moins aussi efficace qu’un berger allemand pour éloigner les intrus.
https://www.youtube.com/watch?v=zEJLlICaz2g
Le refroidissement climatique arrive !
Les glaciers se fracturent et se fractionnent selon un phénomène naturel d’expansion et de repli qui existe depuis la nuit des temps. Pour le bonheur des ours blancs qui utilisent les gros glaçons comme des îles flottantes pour jouer et s’approcher plus commodément de leurs proies.
Avec le refroidissement climatique en cours, leur terrain de chasse et de jeu va s’agrandir, puisque la banquise augmente avant d’éclater et de se diviser elle aussi en îlots. Un ou plusieurs ours sur un glaçon ne sont pas des naufragés à la dérive comme racontent les écolos.
Entre 2013 et 2015, une baisse notable d’activité solaire fut observée par les astrophysiciens de la NASA et des astronomes du monde entier. Et depuis 8 ans, on note une lente inversion de la courbe moyenne des températures.
Si cette tendance perdure, on peut envisager un refroidissement planétaire du type minimum de Maunder commençant aux alentours de 2030. Marquant le début d’une nouvelle ère glaciaire.
Christian Navis
Refroidissement climatique : les ours polaires sont bien contents
Ils sont blancs. Mais rassurez-vous ils ne sont ni racistes ni suprémacistes. Et ils sont respectueux de l'environnement. Car s'ils sont au sommet de la chaîne alimentaire dans leur secteur, ils ne
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