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26 décembre 2021 7 26 /12 /décembre /2021 10:10
Joe Biden a démoli l’indépendance énergétique des USA créée par Donald Trump

Tant que Biden continuera à étouffer la production américaine, nous n’aurons aucun contrôle sur ce que font les producteurs étrangers. Le moyen de les battre est d’augmenter la production nationale et de donner le feu vert à Keystone XL pour que les États-Unis puissent importer davantage de pétrole du Canada. Mais le président refuse de le faire, car il a l’impression que l’écrasement de la production nationale aide à lutter contre le «changement climatique». Cela n’a aucun sens. Peu importe d’où vient le pétrole brut, il sera quand même brûlé et transformé en émissions de carbone. Il n’y a aucune raison de supprimer des emplois américains et notre indépendance énergétique, même si on est un fervent partisan du « changement climatique ». Tout cela n’est que le grand jeu joué par la Maison Blanche, afin d’accélérer la transition vers une énergie «propre». (tiré de Bonchie, RedState)

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Monica Showalter, paru sur le blogue d’American Thinker, le 24 novembre.

L’Administration Biden n’a pas la moindre idée de la raison de la flambée des prix de l’essence

Il est difficile de ne pas éprouver du mépris à l’égard de la Maison Blanche de Joe Biden, compte tenu de sa réaction maladroite face à la flambée des prix de l’énergie.

À l’échelle nationale, les prix moyens de l’énergie ont augmenté de 70,63 % depuis que Joe a pris ses fonctions en janvier, passant de 2,40 $ le gallon le 25 janvier à 3,40 $ le gallon aujourd’hui, selon les données de l’AAA (American Automobile Association – l’ Association américaine des automobilistes ).

 

Dans les huit États les plus à l’ouest des États-Unis, plus la Pennsylvanie, la moyenne atteint 4,71 dollars le gallon. Cela vient s’ajouter à une hausse record de 69 % des prix du pétrole entre l’«élection» de Joe et le jour de son entrée en fonction.

Ce type de prix est connu sur les marchés comme étant «anticipatif».

L’augmentation accumulée des prix, montre que les marchés n’ont pas suffisamment anticipé.

Voici les deux réactions que nous avons vues jusqu’à présent de la part de l’Administration Biden – la première provenant de Bloomberg News :

«L’Administration Biden a une nouvelle réaction devant la flambée des prix du pétrole et de l’essence qu’elle considère comme politiquement périlleuse : blâmer les compagnies pétrolières.
Le dernier exemple en date est apparu jeudi matin (le 18 novembre) lorsque le chef de cabinet de la Maison Blanche, Ronald Klain, a tweeté un lien vers un article sur la baisse des prix du pétrole.
« Les prix du pétrole sont en baisse », a déclaré M. Klain. « Maintenant, quand l’industrie fera-t-elle baisser les prix de l’essence ???? ».
Et cela juste un jour après que le président Joe Biden ait écrit à la Commission fédérale du commerce pour enquêter sur d’éventuels comportements illégaux sur les marchés de l’essence aux États-Unis, dans une lettre dans laquelle il s’inquiète de la différence entre les prix à la pompe et le coût du carburant en gros, tout en citant ce qu’il a dit être « des preuves croissantes d’un comportement anti-consommateur de la part des compagnies pétrolières et gazières. »
« Je n’accepte pas que les Américains qui travaillent dur paient plus cher leur essence à cause d’un comportement anticoncurrentiel ou potentiellement illégal », a déclaré M. Biden dans sa lettre. Lors d’un briefing la semaine dernière, la Secrétaire de presse Jen Psaki a indiqué à deux reprises que le «gonflement abusif des prix» était la raison pour laquelle les prix sont restés élevés malgré l’augmentation des réserves de pétrole.
»

Le Congrès et les meilleurs enquêteurs ont «enquêté» sur le gonflement abusif des prix à de nombreuses reprises au cours des 50 dernières années, lorsque les prix du pétrole augmentaient à l’échelle mondiale. Ils ont même préventivement accusé les stations-service de la même chose à la suite d’une cyberattaque étrangère contre l’énergie américaine en mai dernier.

À chaque fois, ces enquêtes n’ont rien donné, je répète, rien du tout.

Il n’y a pas d’arnaque sur les prix. Même l’OPEP ne peut pas contrôler les prix mondiaux. Il y a eu des «enquêtes» en 2004, 2006 et 2012 que j’ai pu trouver et je sais qu’il y en a eu d’autres.

En 2007, le New York Times a qualifié de fausse nouvelle et de «menace fantôme» l’accusation de «prix abusifs», avec cette note :

Publié par Magali Marc le 25 novembre 2021

Tant que Biden continuera à étouffer la production américaine, nous n’aurons aucun contrôle sur ce que font les producteurs étrangers. Le moyen de les battre est d’augmenter la production nationale et de donner le feu vert à Keystone XL pour que les États-Unis puissent importer davantage de pétrole du Canada. Mais le président refuse de le faire, car il a l’impression que l’écrasement de la production nationale aide à lutter contre le «changement climatique». Cela n’a aucun sens. Peu importe d’où vient le pétrole brut, il sera quand même brûlé et transformé en émissions de carbone. Il n’y a aucune raison de supprimer des emplois américains et notre indépendance énergétique, même si on est un fervent partisan du « changement climatique ». Tout cela n’est que le grand jeu joué par la Maison Blanche, afin d’accélérer la transition vers une énergie «propre». (tiré de Bonchie, RedState)

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Monica Showalter, paru sur le blogue d’American Thinker, le 24 novembre.

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L’Administration Biden n’a pas la moindre idée de la raison de la flambée des prix de l’essence

Il est difficile de ne pas éprouver du mépris à l’égard de la Maison Blanche de Joe Biden, compte tenu de sa réaction maladroite face à la flambée des prix de l’énergie.

À l’échelle nationale, les prix moyens de l’énergie ont augmenté de 70,63 % depuis que Joe a pris ses fonctions en janvier, passant de 2,40 $ le gallon le 25 janvier à 3,40 $ le gallon aujourd’hui, selon les données de l’AAA (American Automobile Association – l’ Association américaine des automobilistes ).

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Dans les huit États les plus à l’ouest des États-Unis, plus la Pennsylvanie, la moyenne atteint 4,71 dollars le gallon. Cela vient s’ajouter à une hausse record de 69 % des prix du pétrole entre l’«élection» de Joe et le jour de son entrée en fonction.

Ce type de prix est connu sur les marchés comme étant «anticipatif».

L’augmentation accumulée des prix, montre que les marchés n’ont pas suffisamment anticipé.

Voici les deux réactions que nous avons vues jusqu’à présent de la part de l’Administration Biden – la première provenant de Bloomberg News :

«L’Administration Biden a une nouvelle réaction devant la flambée des prix du pétrole et de l’essence qu’elle considère comme politiquement périlleuse : blâmer les compagnies pétrolières.
Le dernier exemple en date est apparu jeudi matin (le 18 novembre) lorsque le chef de cabinet de la Maison Blanche, Ronald Klain, a tweeté un lien vers un article sur la baisse des prix du pétrole.
« Les prix du pétrole sont en baisse », a déclaré M. Klain. « Maintenant, quand l’industrie fera-t-elle baisser les prix de l’essence ???? ».
Et cela juste un jour après que le président Joe Biden ait écrit à la Commission fédérale du commerce pour enquêter sur d’éventuels comportements illégaux sur les marchés de l’essence aux États-Unis, dans une lettre dans laquelle il s’inquiète de la différence entre les prix à la pompe et le coût du carburant en gros, tout en citant ce qu’il a dit être « des preuves croissantes d’un comportement anti-consommateur de la part des compagnies pétrolières et gazières. »
« Je n’accepte pas que les Américains qui travaillent dur paient plus cher leur essence à cause d’un comportement anticoncurrentiel ou potentiellement illégal », a déclaré M. Biden dans sa lettre. Lors d’un briefing la semaine dernière, la Secrétaire de presse Jen Psaki a indiqué à deux reprises que le «gonflement abusif des prix» était la raison pour laquelle les prix sont restés élevés malgré l’augmentation des réserves de pétrole.
»

Le Congrès et les meilleurs enquêteurs ont «enquêté» sur le gonflement abusif des prix à de nombreuses reprises au cours des 50 dernières années, lorsque les prix du pétrole augmentaient à l’échelle mondiale. Ils ont même préventivement accusé les stations-service de la même chose à la suite d’une cyberattaque étrangère contre l’énergie américaine en mai dernier.

À chaque fois, ces enquêtes n’ont rien donné, je répète, rien du tout.

Il n’y a pas d’arnaque sur les prix. Même l’OPEP ne peut pas contrôler les prix mondiaux. Il y a eu des «enquêtes» en 2004, 2006 et 2012 que j’ai pu trouver et je sais qu’il y en a eu d’autres.

En 2007, le New York Times a qualifié de fausse nouvelle et de «menace fantôme» l’accusation de «prix abusifs», avec cette note :

« La Commission fédérale du commerce s’est montrée sceptique quant aux accusations d’arnaque sur les prix de l’essence. En 2004, l’agence a étudié les changements de prix de l’essence de 1991 à fin 2003. Elle a conclu qu’environ 85 % de la variabilité des prix – à la hausse comme à la baisse – reflétait les variations du prix du pétrole brut. »

Voici ce qu’un collègue de l‘Investor’s Business Daily a exposé en 2012 après un hurlement dénonçant les prix abusifs :

«Mais la Federal Trade Commission et le Government Accountability Office ont enquêté à plusieurs reprises sur l’industrie pétrolière pour collusion ou gonflement des prix après les précédentes flambées de prix. À chaque fois, ils ont constaté la même chose : l’industrie est hautement compétitive, et c’est l’offre et la demande, et non la collusion, qui fixent le prix du pétrole.
Il en va de même pour les spéculateurs. Comme IBD l’a rapporté le mois dernier, une étude de septembre 2011 de l’Institut de la finance internationale n’a pas trouvé de « lien de causalité clair entre les investissements financiers et les prix des matières premières » alors que le lien « entre les prix des matières premières et les facteurs fondamentaux de l’offre et de la demande est indiscutable. »
Une enquête antérieure de la Commodities Futures Trading Commission a conclu la même chose. Mais Obama, ses collègues démocrates ou leurs amis de la presse grand public n’expliqueront jamais rien de tout cela.
»

Avec cette manœuvre trompeuse sûre de nous ramener à zéro, la deuxième solution de Joe Biden consistait à manipuler les prix en utilisant la Réserve Stratégique de Pétrole. Voici comment la Maison Blanche elle-même l’a annoncé :

« Aujourd’hui, le président annonce que le Ministère de l’Énergie va libérer 50 millions de barils de pétrole de la Réserve Stratégique de Pétrole afin de faire baisser les prix pour les Américains et de remédier à l’inadéquation entre la demande au sortir de la pandémie et l’offre.
Le président a travaillé avec des pays du monde entier pour remédier au manque d’approvisionnement alors que le monde sort de la pandémie. Et, grâce au leadership du président Biden et à nos efforts diplomatiques, ce communiqué sera pris en parallèle avec d’autres grandes nations consommatrices d’énergie, notamment la Chine, l’Inde, le Japon, la République de Corée et le Royaume-Uni. C’est l’aboutissement de semaines de consultations avec des pays du monde entier, et nous voyons déjà l’effet de ce travail sur les prix du pétrole. Au cours des dernières semaines, lorsque les rapports sur ces travaux ont été rendus publics, les prix du pétrole ont baissé de près de 10 %
. »

Ceci est risible. Cinquante millions de barils de brut fourniront moins de trois jours de consommation d’énergie aux États-Unis.

Le projet d’obtenir que les autres pays libèrent également leurs réserves dépend de leur volonté de respecter leurs accords, ce que peu d’entre eux ont réellement fait.

Ce que nous voyons aujourd’hui, ce sont des navires pétroliers américains qui prennent du pétrole américain dans la Réserve Stratégique et le transportent vers la Chine dans le cadre de ce tour de passe-passe. Les Chinois sont censés les rembourser lorsque les prix de l’énergie baisseront. Quiconque pense qu’ils vont baisser est un idiot.

En attendant, drainer la Réserve Stratégique n’est pas ce à quoi elle doit servir. Elle est là en cas d’urgence. Plus précisément, elle est là pour approvisionner la marine américaine si une catastrophe quelconque bloque l’accès à l’énergie. Que se passera-t-il si les États-Unis rencontrent une véritable urgence, ce à quoi servent ces réserves ?

Les réserves sont destinées aux urgences, et non à un mécanisme de nettoyage destiné à sauver ceux qui ont mis de l’avant de mauvaises politiques, ni à un dispositif permettant de faire remonter les chiffres dans les sondages.

L’utilisation de ces réserves par Joe Biden est clairement une mauvaise utilisation, et comme le note Stephen Miller, ancien responsable de Trump, c’est humiliant.

Il est très drôle que cette mesure intervienne à un moment où les Chinois défient les États-Unis en mer de Chine méridionale. Ils riront dans leurs manches s’ils prévoient de priver la marine américaine de sa Réserve Stratégique de Pétrole alors qu’ils s’apprêtent à envahir Taïwan. Cela ressemble presque à un plan. Cela pourrait expliquer le récent retrait de la Chine de ses agressions en mer de Chine méridionale – une manœuvre astucieuse pour faire croire à Old Joe qu’il n’y a pas de menace, afin que l’accord puisse être conclu.

En fin de compte, il s’agit d’une blague, d’une absurdité, d’une tentative désespérée de faire le ménage dans ses propres politiques. Comme le fait remarquer cet utilisateur de Twitter : « En se débarrassant des réserves stratégiques de pétrole, Biden crache dans le vent qu’il a créé en s’attaquant à la production énergétique nationale et en donnant du poids à l’OPEP et à la Russie. » (Brian Brenberg sur Twitter, 23 novembre)

Ce sont ces mauvaises décisions qui contaminent le système et font grimper les prix de l’énergie.

Biden a :

  • Fermé l’oléoduc Keystone XL.
  • Donné le feu vert à Vladimir Poutine pour terminer son pipeline avec l’Allemagne, rendant cet allié dépendant de Poutine qui a utilisé le pétrole comme une arme à plusieurs reprises.
  • Fermé le forage sur les terres fédérales.
  • diabolisé les producteurs d’énergie en les accusant d’abuser des prix et autres calomnies.
  • supplié l’OPEP de produire du pétrole à la suite de ses propres interruptions de production, (les cheiks lui ont ri au nez).

La commentatrice politique Tammy Bruce résume bien ce scénario désolant avec ce tweet :

« (C’est) L’équivalent de puiser dans vos économies pour payer votre loyer parce que vous avez dépensé votre salaire en drogues et en danse contact. Ce n’est pas une solution, c’est un moyen de prévenir un effondrement complet. » (23 novembre)

En bref, les solutions énergétiques de Joe Biden sont le produit de l’ignorance, de mauvaises politiques, de décisions regrettables, et facilement réversibles avec un retour aux politiques énergétiques gagnantes du Président Trump, qui avaient rendu l’essence bon marché et l’Amérique dominante sur le plan énergétique.

Comme Joe ne reviendra pas à ces politiques, l’alternative est de perdre, dégringoler, et démolir le secteur énergétique américain.

Il n’y a pas de victoire possible dans ce spectacle de clowns.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source :

 

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