Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
4 février 2020 2 04 /02 /février /2020 21:37
Le pape François, coco mondialiste, a tombé le masque

Tout fout le camp au Vatican… Le pape François, communiste-mondialiste, n’est qu’une mystification et une parodie de pape activiste militant pro-migrants. Et le pape haineux a osé frapper une femme catholique fidèle convaincue devant les télés qu’il utilise sans cesse pour sa propagande islamo-gauchiste pro-migrants.

Profond émoi très justifié sur les réseaux sociaux à la vue de ce pape politicien haineux, arrogant, hautain et méprisant, tapant sur la main et brutalisant une fidèle catholique sur la place Saint-Pierre de Rome.

Jean-Patrick Grumberg, Dreuz.info : « C’est la goutte qui a (mis le feu aux poudres et l’étincelle qui a) fait déborder le vase. Des mois d’aigreurs, de rancœur et de dégoût de ce pape qui déplaît à beaucoup se sont focalisés sur ce geste. Sur les réseaux sociaux, les insultes fusent de partout : gauchiste, Soros, honte pour le monde catholique, vendu et je vous passe les pires (Macron ?) lorsqu’il a lavé les pieds de migrants illégaux : Illuminati, franc maçon et pion de Soros à vomir ! Je n’aime pas ce pape, et je n’aime aucune des prises de position de ce pape de gauche, que ce soit sur le climat, sur l’encouragement à l’immigration, sur les critiques du capitalisme, ou sur la défense de droits des Palestiniens qui n’existent pas ! »

Michel Janva, le Salon beige : « Comment comprendre la croisade effrénée du pape François en faveur de l’accueil inconditionnel des immigrés clandestins (donc sans papiers) allant jusqu’à customiser un crucifix façon Alerte à Malibu, après que, en voyage à Lesbos en avril 2016 et ayant ramené trois familles musulmanes dans son avion malgré le sort précaire des chrétiens syriens présents dans le camp, il a justifié sa sélection en disant : « Je n’ai pas choisi entre musulmans et chrétiens. Ces trois familles avaient des documents prêts, en règle. Il y avait, dans une première liste deux familles chrétiennes, mais alors, François, elles n’avaient pas des papiers en règle » ? Pourquoi protester contre un tel manque d’équité ?

Édouard Husson : « Ce qui manque le plus chez le pape François, c’est la capacité à incarner une figure paternelle. Au Saint-Siège, il est un moment que l’on redoute quand l’on travaille à la Curie, c’est celui du discours de Noël du pape François. Personne n’a oublié le 22 décembre 2014, lorsque le pape Bergoglio avait humilié le gouvernement de l’Église devant le monde entier en dénonçant ce qu’il appelait les quinze maladies de la Curie, énumérant, pêle-mêle « le fantasme de l’immortalité, la pétrification mentale et spirituelle, la planification excessive, l’Alzheimer spirituel, la rivalité et la vanité, la schizophrénie existentielle, la rumeur, la médisance et le commérage, la maladie de diviniser les chefs, l’indifférence aux autres, le visage lugubre, l’accumulation, les cercles fermés, la maladie du profit mondain et des exhibitionnismes. » Les collaborateurs du Saint-Siège étaient repartis consternés quand ils n’étaient pas terrifiés. Deux ans plus tard, le pape avait été apparemment plus sobre dans les propos mais non moins inquiétant, lorsqu’il avait dénoncé trois types de résistances à la réforme de la Curie : résistances ouvertes naissant souvent de la bonne volonté, résistances cachées naissant de cœurs effrayés ou pétrifiés, résistances malveillantes se réfugiant dans les traditions, dans les apparences, dans les formalités. En 2017, le pape avait dénoncé les traîtres au sein de la Curie et comparé son effort de réforme à la tentative de « nettoyer le sphinx d’Égypte avec une brosse à dents« .

Le pape François se comporte en hériter partisan de la théologie communiste de la libération !

Un exemple de l’apport humaniste actuel du pape François se situe dans le domaine des migrants où la contribution gauchiste de l’Amérique latine est éminente. En matière de gauchisme papiste libertaire, il est significatif que ce soit un pape argentin, le plus grand jésuite de notre temps, qui s’est donné la mission, avec l’immigrationnisme de l’UE de Merkel, d’éveiller dans les masses une conscience militante pro-migrants.

Jean-Marie Guénois sur le Figaro : « Le pape François est-il de gauche ? Ses déclarations sur l’accueil inconditionnel des migrants et des réfugiés, sa proposition d’un cadre juridique de protection sociale en vue de leur intégration ont semé le trouble. Certains se réjouissent de cet appel papal à plus de générosité.

« Mais une majorité de catholiques ne comprend pas. Elle est prise de vertige, soucieuse de l’identité européenne qu’elle estime en danger mortel. Elle est démunie devant le paradoxe d’un pape qui ne défendrait plus une Europe chrétienne et humaniste au profit du métissage mondialiste et du multiculturalisme. »

Le gauchisme du pape François, imprégné de la théologie communiste de la libération, prétend être une « défense des opprimés » pour faire l’éducation des masses pour une « pratique de la liberté ». Au lieu de vouloir défendre les valeurs de l’ordre moral, la théologie de la libération du pape François vise la prise de conscience de ce que Lénine appelait les « conditions subjectives » d’une révolution et d’une libération.

La « conscientisation », selon la théologie de la libération du pape François jésuite de gauche, consiste à dénoncer les oppressions sociales, politiques et économiques, et à agir contre les principes d’oppression contenus dans la réalité de la vie des masses. C’est un rappel des fondamentaux de la culture marxiste.

La « conscientisation » des masses est un élément essentiel du mouvement de libération sud-américain qui a essaimé dans toute l’Amérique latine et en Afrique. Un mouvement révolutionnaire, comme celui de la théologie de la libération, ne considère pas la foi chrétienne comme une croyance coupée des réalités, mais comme un moyen pour l’action militante. La théologie de la libération du pape François, jésuite argentin, est un « signe des temps » pour une révolution politique, morale et culturelle. C’est le chemin militant suivi par nombre de chrétiens sud-américains dans la lutte contre toutes les oppressions, les exploitations et les dépendances à l’égard du capital. C’est la lutte communiste du pape dans laquelle s’exprime la foi libératrice.

Une caractéristique de la « nouvelle théologie », qui n’est plus seulement une sagesse et un savoir sur la foi, mais une réflexion politique, morale et culturelle, est la pratique des militants engagés dans cette lutte.

Cette théologie propose un renversement de la démarche théologique traditionnelle : « Au lieu de partir des données de la Révélation et de la Tradition de l’Église, selon les méthodes de la théologie classique, il s’agit de partir des actes et des idéologies politiques socialo-marxistes qui dominent le monde.

Contre le « péché » de l’Église « d’amour et de paix », la théologie de la libération exige qu’on libère les pauvres et les migrants de l’oppression, et les nantis de leurs richesses et de leurs pouvoirs. La théologie de la libération veut appliquer la formule de Marx sur la philosophie, qui ne doit pas se contenter d’interpréter le monde, mais qui doit agir politiquement pour le changer en faisant la révolution communiste mondiale.

À partir d’une expérience politique, morale et culturelle sud-américaine, le pape François veut faire reculer, dans la pensée chrétienne, l’image faussée du communisme révolutionnaire, en exaltant la politique en faveur des hordes de migrants qui arrivent en masses dans les pays européens. Est-il nécessaire d’avoir la connaissance du Livre de la foi, quand la vérité de la foi s’exprime au plus profond des actes et des conduites révolutionnaires radicales ? La préoccupation du pape François est d’incorporer l’engagement dans l’action politique pro-migrants pour les progrès de la mondialisation dans les perspectives du Royaume  de Dieu.

La pensée marxiste a joué un grand rôle dans la théologie de la libération, dans une Amérique latine en pleine fermentation révolutionnaire et où les conflits de classes apparaissent sous un fort grossissement.

C’est pourquoi, il est impossible à un chrétien de s’en tenir aux déclarations de l’Église sur « l’amour », mais de s’engager en matière d’action politique et sociale contre la prétention illusoire de l’Église de se tenir « au-dessus » des antagonismes politiques et des luttes. La réalité sociale latino-américaine est révolutionnaire.

L’évangile exige que l’Église pèse dans le sens de la libération politique de toutes les oppressions. La seule manière, pour l’Église d’Amérique latine, de combattre l’ordre capitaliste des nantis, c’est de dénoncer l’injustice sociale fondamentale sur laquelle l’ordre capitaliste actuel est fondé au profit des nantis.

Le mythe révolutionnaire de la théologie de la libération est la propagande de ce mensonge historique du pape d’aujourd’hui. Le sous-développement du Tiers Monde serait un sous-produit du développement et de la domination des pays capitalistes. Il serait la conséquence nécessaire de l’oppression par le capital.

La dynamique propre de l’économie capitaliste tend à créer toujours un centre capitaliste dominant et une périphérie soumise au capitalisme, à créer la richesse pour les riches et la misère pour les pauvres.

La perception de la dépendance profonde de l’Amérique latine à l’égard des États-Unis est essentielle à la prise de conscience politique des peuples latino-américains. Dès lors la « théologie de la libération » prêche pour la mise en actes révolutionnaire car il s’agit de lutter pour la « libération » politique des peuples opprimés.

Le pape François prêche l’abandon de la Charité pour la prise de conscience politique de l’exigence de la foi chrétienne de l’Église d’Amérique latine, importée de l’Occident, et de sa nécessaire complémentarité avec l’exigence communiste révolutionnaire inculquée par les gauchistes aux populations d’Amérique latine.

Henri Tincq : « Une partie de l’Église se droitise, voire s’extrême droitise ! Le conflit entre le Vatican et Salvini : « Salvini ne devrait pas donner de leçon au pape, déclare l’archevêque Bruno Forte. S’il veut faire le catholique, qu’il écoute le pape. Son discours sur l’invasion des étrangers fait du mal à tous sauf à ceux qui l’utilisent comme propagande électorale. Bruno Forte ne croit pas si bien dire. Un sondage de l’institut Ipsos révèle que le soutien des catholiques à la politique migratoire du gouvernement a été multiplié par deux.

« En 2017, plus d’un tiers des catholiques pratiquants ont voté pour Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle. Un symbole de la dérive « catho-identitaire » d’une partie de l’Église française.

« Au second tour, 38 % des catholiques pratiquants (près de 4 sur 10 !) ont voté pour Marine Le Pen. Quinze ans auparavant, ils n’étaient que 17 % à avoir donné leur voix à Jean-Marie Le Pen face à Chirac.

« Il s’est produit une incontestable montée en puissance des électeurs catholiques dans le camp Le Pen. Il y a toujours eu, au (Rassemblement) national, un fort courant « national-catholique », illustré par Marion Maréchal « catholique pratiquante » qui a manifesté contre le mariage pour tous et l’avortement, plus « catho-compatible » que Marine Le Pen, même si sa politique de « dédiabolisation » a pu rassurer l’électorat catholique traditionnel. La candidature de Macron (gay-friendly) n’était pas la bienvenue dans les milieux catholiques soi-disant de l’ultra-droite comme Sens commun, car il prévoyait la légalisation de la PMA et de la GPA ! »

Thierry Michaud-Nérard

Lazare : Voici la version non censurée.

Vous remarquez que l'attitude du pape est assez différente de celle de Jésus

 

Luc 8
44Elle s'approcha par derrière, et toucha le bord du vêtement de Jésus. Au même instant la perte de sang s'arrêta. 45Et Jésus dit: Qui m'a touché? Comme tous s'en défendaient, Pierre et ceux qui étaient avec lui dirent: Maître, la foule t'entoure et te presse, et tu dis: Qui m'a touché? 46Mais Jésus répondit: Quelqu'un m'a touché, car j'ai connu qu'une force était sortie de moi.…

Partager cet article
Repost0

commentaires

S
Par contre il y a surement du vrai dans l'article, quelque chose n'est pas catholique avec ce pape.
Répondre
S
Non là faut arrêter la mauvaise interprétation de la vidéo. Le pape se fait tirer la main et il aurait pu tomber, je comprends sa réaction. Rien à voir avec l'Evangile. Et quand bien même, le pape n'est pas Jésus, il n'est pas parfait.
Répondre

Présentation

  • : Le Blog de Lazare
  • : Etude des Prophéties, Fin des Temps et préparation à l'ère nouvelle.
  • Contact

Recherche Dans Le Blog