Si l’on en croit les sentiments de plusieurs personnes interviewées par le New York Times, les Américains en ont déjà assez des audiences de destitution.
Les audiences sont entrées dans leur troisième journée aujourd’hui, alors que deux hauts responsables de la sécurité nationale ont écouté le président Donald Trump et le président ukrainien témoigner lors de l’appel de juillet.
Cependant, dans un article intitulé « No One Believes Anything’: Voters Worn Out by a Fog of Political News« , le NY Times a parlé aux Américains de la façon dont ils voyaient ce spectacle et ils ne se sont pas montrés très enthousiastes.
« Dans le nord de l’État de New York, Travis Trudell a reçu une alerte téléphonique mercredi matin lui annonçant que les audiences de destitution avaient commencé. Il s’est tourné vers Disney Plus à la place », déclare l’article.
Une résidente du Wisconsin, Jerre Corrigan, a déclaré qu’elle n’avait « jamais envisagé de regarder » les audiences.
Pendant ce temps, Russell Memory, programmeur informatique de l’Idaho, a déclaré qu’il « rattraperait son retard dans quelques semaines, lorsque les audiences seraient terminées ».
M. Corrigan a déclaré que l’implacable récit anti-Trump des médias a créé une sorte de « méchant homme orange » fatigant pour les électeurs.
« C’est plus difficile maintenant – ils veulent vous avoir avec ces gros titres, » dit-elle. « Trump a fait ceci, Trump a fait cela. Il faut vraiment faire des recherches. Et je ne pense pas que beaucoup de gens fassent ça. »
Les réponses indiquent que les Américains sont conscients de l’issue extrêmement probable que Trump ne sera pas destitué et que les audiences ne sont qu’une autre tentative des démocrates pour se maintenir sur un nuage au-dessus du président à l’approche de 2020.
Source: Summit.news, le 19 novembre 2019 – Traduction par Nouvelordremondial.cc
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Les Américains en ont déjà marre des audiences de destitution
Les Américains en ont déjà marre des audiences de destitution Une femme du Wisconsin n'a "jamais envisagé" de les regarder. Si l'on en croit les sentiments de plusieurs personnes interviewées ...